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Exposition de Thierry Le Gouès
- Location:
- Boutique Antik Batik Marais
Collections Femme et Enfant 18, rue de Turenne 75004 Paris M° Chemin Vert, Saint-Paul, Bastille France Phone : +33 (0)1 44 78 02 00 Internet Site : www.antikbatik.fr
- Description:
- Exposition jusqu'au 24 octobre
Entrée libre
ANTIK BATIK renoue avec son histoire et nous convie à un nouveau voyage, au Pérou.
Gabriella Cortese a choisi de mettre en scène la collection Automne Hiver 2010/2011, sur les montagnes de Cuzco et sur les rives du Lac Titicaca.
Ce voyage est d'abord l'histoire de retrouvailles: celles de Gabriella Cortese, créatrice et fondatrice d'ANTIK BATIK et de Thierry Le Gouès, photographe. Après l'Inde, le Maroc et le Brésil, le Pérou est le quatrième tome de leur collaboration.

Gabriella et Thierry ont visité les villages péruviens, à la rencontre de leurs habitants.
"Il est surprenant de voir les kaftans en soie imprimée, les blouses rebrodées de perles et de paillettes, les robes en cachemire ou encore les manteaux en peaux lainée s'harmoniser parfaitement dans ce décor hors du temps, parmi des gens si loin de la mode... Un peu comme le retour aux sources d'un univers bohème devenu parisien."
Loin des sentiers battus, le résultat détonne. Entre photos de mode et reportage, l'ouvrage affirme les valeurs de la Maison: voyage et authenticité.
Pendant la fashion-week, du 28 septembre au 7 octobre 2010, les photos seront exposées à la boutique ANTIK BATIK.
Le livre sera vendu 29€ dans les boutiques ANTIK BATIK, dans la nouvelle boutique en ligne de la marque et dans quelques points de vente sélectifs de la capitale, dès octobre 2010.
Les bénéfices de la vente du livre et des tirages de l'exposition seront reversés aux habitants des villages péruviens sinistrés par les pluies de Janvier 2010, grâce à l'intermédiaire de l'association humanitaire PLAN. (www.plan.france.org).
Avec la précieuse aide de l'association humanitaire "Plan France"

Exposition "Claude Monet, 1840-1926"
- Location:
- Grand Palais
Galeries Nationales du Grand Palais avenue Winston Churchill 3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris M° Champs-Elysées - Clemenceau France Internet Site : www.grandpalais.fr
- Description:
- du 22 septembre 2010 au 24 janvier 2011
Pendant plus de soixante ans, Claude Monet (1840 - 1926) a peint sans relâche, élaborant une oeuvre qui incarne l'expression la plus pure de l'impressionnisme, pour constituer au début du XXe siècle un des fondements de l'art moderne. C'est l'ensemble de ce parcours riche et fécond que l'exposition des Galeries nationales réinterroge. Cette exposition monographique est la plus importante manifestation dédiée à l'artiste depuis près de trente ans, lorsque s'était tenue aux Galeries nationales en 1980 une rétrospective en forme d'hommage. Depuis, les recherches sur l'artiste se sont multipliées et ont mis en lumière des aspects moins connus de son oeuvre. Orchestrée selon des grands axes thématiques et chronologiques, l'exposition retrace la carrière de Monet, des débuts des années 1860 jusqu'aux ultimes tableaux liés au cycle des Nymphéas du musée de l'Orangerie. Cette exposition est coproduite par la Réunion des musées nationaux et le musée d'Orsay.
Ouverture du vendredi au lundi de 9h à 22h, le mercredi de 10h à 22h, le jeudi de 10h à 20h, fermeture le mardi. Dernier accès : 45 minutes avant la fermeture des Galeries, fermeture des salles à partir de 15 minutes avant la fermeture des Galeries. Fermeture exceptionnelle à 18h les 24 et 31 décembre. Fermeture le 25 décembre.
Plein tarif : 12 € - Tarif réduit : 8 €
http://www.monet2010.com/fr
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08:00 |
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09:00 |
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10:00 |
[10:00-18:00] L'Orient Express des saveurs
- Location:
- Maison des Associations du 7ème arrondissement
4, rue Amélie à l'angle du 93, rue Saint-Dominique 75007 Paris M° La Tour-Maubourg, Invalides France Phone : +33 (0)1 53 59 44 90 Fax : +33 (0)1 71 28 23 42 Mail : maison.asso.07@paris.fr
- Description:
- De 10 à 18 heures - Dégustation de plats, vins et gâteaux d'Europe de l'Est sur les stands.
L'Association des Originaires et Amis des Pays tchèque et slovaque, vous emmènera dans une bergerie slovaque : expo-photos, présentation d'objets et d'instruments de musique du berger, dégustation de fromage et de pâtisseries, animation musicale. L'association Albania proposera des plats typiques, salés et sucrés, d'Albanie, des objets traditionnels dont instruments de cuisine, des herbes aromatiques en provenance d'Albanie... La Croatie, la Bulgarie, ainsi que les autres pays slaves et de l'Est seront représentés.
Sur le stand de la Maison d'Europe et d'Orient, vous trouverez une sélection des meilleurs livres de recettes d'Europe orientale et d'Asie centrale et bien d'autres ouvrages à consommer sans modération !
13h00 - Géorgie, pour l'amour du vin, documentaire de Pierre Goetschel (All/Fr, 2009, 52')
14h00 - Saveurs bulgares. (Mission Bulgarie)
15h00 - Les enfants des Illyriens. (Association Albania)
15h30 - Le repas du Régent - Lecture (Association l'Est francophone)
16h00 - Dans les casseroles de Voïvodine. (Atelier parisien de Langues et de Cultures slaves)
[11:15] Ouverture du XVe Salon de La Plume Noire
- Location:
- Musée du Montparnasse
21, avenue du Maine Chemin de Montparnasse Villa Marie Vassilieff 75015 Paris M° Montparnasse - Bienvenüe, Falguière France Phone : +33 (0)1 42 22 91 96 Fax : +33 (0)1 42 22 91 00 Internet Site : www.museedumontparnasse.net
- Description:
- Dans le cadre de du XVème Salon du Livre de La Plume Noire
en présence de :
Pierre SCHAPIRA, Adjoint au Maire de Paris, chargé des relations internationales, des affaires européennes et de la francophonie
Christophe GIRARD, Adjoint au Maire de Paris, chargé de la Culture
Philippe GOUJON, Député de Paris, Maire du 15e arrondissement
Jean-François LAMOUR, ancien Ministre, Député de Paris
vernissage de l'exposition collective avec Sylvie Darreau, photographe, d'Olga Yameogo, peintre et Didier VIODE, peintre
Créée en février 1995, La Plume Noire est une ONG culturelle, fondée par Dominique Loubao, chargée de communication en entreprise.
La plume noire a pour vocation la promotion des littératures noires d'Afrique, des Caraïbes, de l'Océan indien et du Pacifique, par le biais de diverses actions :
- Un salon annuel, le Salon de La Plume Noire, ouvert au grand public et se déroulant dans le cadre de la manifestation « Lire en Fête » qui se tient à l'automne en France.
- Des expositions d'art contemporain africain et créole
- Des débats organisés avec des jeunes de banlieue sur des thèmes de société, tels que la citoyenneté, l'art, les abolitions…
- Des actions auprès des maisons d'éditions africaines et de l'Océan indien pour l'utilisation de communications plus performantes pour valoriser leurs nouvelles publications.
- Des rencontres artistiques autour de thèmes divers : le 90è anniversaire, de l'ancien président sénégalais, le poète Léopold Senghor, en partenariat avec l'Unesco (octobre 1996) et l'Agence de la Francophonie, le Téléthon (décembre 97), organisation de la conférence de presse des 14ème et 15ème Festival du Cinéma africain à Montréal (Québec), en collaboration avec la délégation du Québec à Paris (1998 et 1999).
Association La Plume Noire : 17, rue du docteur Jacquemaire Clémenceau 75015 Paris, d.loubao@gmail.com, www.la-plumenoire.com
[12:00-20:00] Vernissages de Jeppe Hein / Larry Bell
- Location:
- Galerie Daniel Templon
30, rue Beaubourg 75003 Paris M° Rambuteau, Hôtel de Ville, Les Halles France Phone : +33 (0)1 42 72 14 10 Fax : +33 (0)1 42 77 45 36 Mail : info@danieltemplon.com Internet Site : www.danieltemplon.com
- Description:
- du 16 octobre au 20 novembre
Pour sa première exposition à la Galerie Templon, le jeune artiste danois Jeppe Hein a invité le maître du minimalisme californien Larry Bell pour une exposition dialogue autour de leurs démarches artistiques respectives.
A plus de 70 ans, Larry Bell est considéré, avec ses contemporains Donald Judd, Sol Lewitt ou Dan Flavin comme une des figures clés du minimalisme américain. Son œuvre explore la lumière et sa perception. Il s'est rendu célèbre par ses sculptures dont la géométrie et les surfaces subtilement irisées remettent en question notre relation à l'espace. Fasciné par la structure du cube et utilisant le verre comme matériau privilégié, il crée des objets ambigus : à la fois transparents et opaques, volumes et surfaces, ses cubes déjouent la frontière entre peinture et sculpture.
Jeppe Hein appartient à cette plus jeune génération d'artistes qui a intégré les codes du minimalisme pour mieux les détourner. Ses installations ou ses objets épurés, géométriques, en reprennent le langage pour proposer des dispositifs interactifs. Son travail combine une réflexion sur l'architecture, « l'esthétique relationnelle » mais aussi plus largement sur la notion « d'environnement ». Dans cette exposition, Jeppe Hein prend pour point de départ une série de cubes de Larry Bell qu'il confronte à des pièces récentes, ludiques, provocatrices, offrant des espaces de jeu au regard du spectateur.

[12:00] inauguration du festival du livre et de la presse écologique
- Location:
- La Bellevilloise
Espace dédié à la Lumière, la Nuit et la Création 19-21, rue Boyer 75020 Paris M° Gambetta France Phone : +33 (0)1 53 27 35 77 Fax : +33 (0)1 53 27 35 70 Mail : infos@labellevilloise.com Internet Site : www.labellevilloise.com
- Description:
- inauguration du festival du livre et de la presse écologique dans le cadre des Journées Parisiennes de l'Énergie et du Climat en présence de Denis Baupin, adjoint chargé du développement durable, de l'environnement et du Plan Climat
[13:00] Vernissage de Quentin Max
- Location:
- Galerie Cub 7
27/29, rue Yves Toudic 75010 Paris M° Jacques Bonsergent, République France Mobile : +33 (0)6 26 41 39 68 Mail : galeriecubsept@gmail.com
- Description:
- Venez nombreux pour Adopter un "Alphonse"
Tous les jours du 11 au 21 octobre 2010 de 13h à 19h

[14:00-18:00] Finissage d'Ursula Kraft "Nymphalis antiopa / Traum - a"
- Location:
- Galerie Esther Woerdehoff
36, rue Falguière 75015 Paris M° Pasteur, Falguière, Montparnasse - Bienvenüe France Phone : +33 (0)1 43 21 44 83 Fax : +33 (0)1 43 21 45 03 Mail : contact@ewgalerie.com Internet Site : www.ewgalerie.com
- Description:
- du 22 septembre au 16 octobre 2010
Vernissage le 22 septembre, de 18h à 21h
La galerie Esther Woerdehof est heureuse d'ouvrir la saison avec les travaux de Ursula Kraft : Nymphalis antiopa (2007/2008) et Traum-a (2004/2007).
Les deux séries sont marquées par une ambiance mystérieuse, entre le rêve et l'hypnose, entre le beau et l'effrayant.
Dans Nymphalis antiopa, une figure enfantine à la peu diaphane est recouverte par des papillons pendant que l'enfant semble endormi. Tout ici est symbolique : le corps androgyne représente le passage entre les différentes phases de la vie et le papillon, comme il a été depuis l'Antiquité, symbolise l'âme. « En pleine mutation - écrit Estelle Pagès - en pleine métamorphose, entre l'enfance et la femme, entre la petite fille et le jeune garçon, le corps fait figure d'indétermination qui préside au devenir et à la destinée de l'être. Abandonnée, laissée, étendue, apaisée, elle est peut-être à tout jamais endormie. Elle est "entre", à la lisière d'un état de conscience et d'inconscience, de lucidité et de rêverie, tournée vers l'intérieur.
Figés dans leur mouvement, les papillons sont plus que jamais des créatures dont on peut observer les moindres détails de leur robe, de leur attitude et de leur position si incongrue sur le visage : la peau est diaphane et son teint cristallin ravive d'autant plus les couleurs subtiles, délicates et quasi factices des papillons.
Ces images ne sont pas uniquement la trace inscrite d'un moment, d'une suspension, elles affirment une présence et une beauté iconique, comme s'il s'était produit quelque chose de supra naturel ; la rencontre de la fragilité, l'union des souffles... »
L'introspection et la coexistence de présence physique et d'absence mentale se reproduisent dans la série Traum-a. Angelika Beckmann décrit le titre de l'oeuvre, qui « joue sur les notions de rêve (Traum), d'espace (Raum) et de traumatisme (Trauma).
Chaque dérivation du mot implique la proximité de l'expérience onirique individuelle et psychique, la présence spatiale de l'homme et ses situations traumatiques pesantes : il y a là une interrelation entre la vie intérieure et extérieure. L'être humain se meut selon un axe espace-temps ; il perçoit l'extérieur et réagit par des images intérieures.
C'est ici qu'intervient l'ère médiatique. Les expériences personnelles se vivent sur fond de mythes collectifs et aussi de traumatismes. »
L'exposition sera complétée par une édition de la série Emerentia (2008), qui questionne encore la dimension du rêve, de la métamorphose, du mythe et du passage de l'enfance à l'age adulte. L'artiste se sert des paysages et de la symbolique des contes de fées pour représenter un paysage intérieur. En accord avec l'interprétation de C. G. Jung, qui voit dans le conte de fées l'expression d'un procès psychologique d'un inconscient collectif, Ursula Kraft cherche à représenter en images une dimension introspective, un reflet de l'âme.

[14:00-21:00] Vernissage d'Eugène Dodeigne "Sculptures, dessins, terres cuites"
- Location:
- Galerie Jean Brolly
16, rue de Montmorency 75003 Paris M° Arts et Métiers, Rambuteau France Phone : +33 (0)1 42 78 88 02 Fax : +33 (0)1 42 78 88 03 Mail : galbrolly@wanadoo.fr Internet Site : www.jeanbrolly.com
- Description:
- Eugène Dodeigne / Sculptures - dessins - terres cuites
exposition du 16 au 13 novembre 2010
vernissage samedi 16 octobre à partir de 14 heures
« Tailler la pierre, faire des sculptures, oui. En parler non. Elle est ce qu'elle est.»
Eugène Dodeigne.
Plus qu'une exposition, c'est un hommage que la galerie Jean Brolly consacre à Eugène Dodeigne.
Agé de 87 ans, il occupe un place importante dans l'histoire de la sculpture de la seconde moitié du XXème siècle. De nombreuses expositions en France et à l'étranger le prouvent et ses œuvres, souvent monumentales, figurent dans de nombreuses collections publiques et privées (Allemagne, Belgique, Pays-Bas, France, Etats-Unis, Suisse...).
Cette exposition présente une petite vision de l'univers de son atelier avec cette confrontation de sculptures, de dessins et de terres cuites.
Très rapidement, Eugène Dodeigne s'affranchit de l'influence qu'exercent sur lui les formes organiques et lisses de Brancusi et Arp. Il opte alors la pierre de Soignies de couleur gris bleu qu'il travaille de manière brute, mal dégrossie. La trace des outils reste toujours visible pour exprimer toute la force et l'énergie entre la surface rugueuse de la pierre et son volume. Ce dépouillement et la figuration allusive du corps humain se retrouve avec d'autres matériaux comme la pierre de Massangis de couleur jaune, le marbre de Carrare et la lave de Volvic de couleur rouge.
Les grands dessins, au fusain seul ou avec de la gouache, travaillés d'après modèles (corps de danseurs) dégagent une même vision émouvante sur la condition de l'Homme. Dodeigne a exposé au Musée Rodin en 1988 et en 2007. En 1995, il participe aux Champs de la Sculpture, en 1996, à Made in France au Musée National d'Art Moderne. En 1995, une sculpture monumentale est installée dans le Parc de Sculptures du Jardin des Tuileries et présent dans le jardin de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence, et du MACVAL à Vitry-sur-Seine.
En 2008, dans le cadre des Journées du Patrimoine, le Musée d'art moderne - Lille Métropole, lui consacre une exposition-hommage. On retrouve son œuvre dans de nombreuses villes ou parcs du Nord de la France et surtout au Musée d'art moderne de Villeneuve d'Ascq où l'artiste vient d'offrir une sculpture monumentale.
Eugène Dodeigne né le 27 juillet 1923, à Rouvreux en Belgique. Il vit et travaille à Bondues.

[14:00-21:00] Vernissage d'Isabelle Arthuis "Les naufrageurs"
- Location:
- Galerie Poggi
2, rue Beaubourg 75004 Paris M° Hôtel de Ville, Rambuteau France Phone : +33 (0)9 84 38 87 74 Mail : office@galeriepoggi.com Internet Site : www.galeriepoggi.com
- Description:
- 16 OCTOBRE - 4 DÉCEMBRE 2010
VERNISSAGE SAMEDI 16 OCTOBRE 2010 DE 14H À 21H
PHOTOGRAPHIES & INSTALLATION VIDÉO
AVEC LE SOUTIEN DU CENTRE NATIONAL DES ARTS PLASTIQUES - MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION ET EN PARTENARIAT AVEC ITINÉRAIRES BIS - GALERIE DU DOURVEN
[14:00-21:00] Vernissage de Laurent Grasso "The Silent Movie"
- Location:
- Galerie Chez Valentin
9, rue Saint-Gilles 75003 Paris M° Chemin Vert France Phone : +33 (0)1 48 87 42 55 Fax : +33 (0)1 48 87 44 35 Mail : galerie@galeriechezvalentin.com Internet Site : www.galeriechezvalentin.com
- Description:
- du 16 octobre au 13 novembre
[14:00-21:00] Vernissage de Lionel Sabatté "Souffles Oxydants"
- Location:
- Galerie Patricia Dorfmann
61, rue de la Verrerie 75004 Paris M° Hôtel de Ville, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 42 77 55 41 Fax : +33 (0)1 42 77 72 74 Mail : galerie@patriciadorfmann.com Internet Site : www.patriciadorfmann.com
- Description:
- 16.10 - 20.11. 2010
VERNISSAGE Samedi 16 octobre de 14h à 21h
Pour sa première exposition personnelle à la galerie Patricia Dorfmann, Lionel Sabatté présente une série de tableaux, de dessins, une vidéo et une sculpture qui témoignent de la pratique multiforme de cet artiste né en 1975, vivant et travaillant à Paris.
Coquilles et chouettes, mouches, araignées et jadis, le loup. Ces bêtes qui peuplent les toiles, dessins et sculptures de Lionel Sabatté, pourtant bien connues de nous, sont ici habitées d'une autre animalité, consciente et décidée. Souvent composées de poussière, de cheveux, d'ongles et de peaux mortes, ces particules humaines confèrent aux bêtes un air conquérant. L'homme est bien là, sous-jacent, sujet majeur. Atome, molécule, matière ou énergie, vecteur et porteur d'information, il active, met en lumière, transforme le monde devant lui (Aurélie Voltz in Souffles Oxydants - extrait.)

La coquille perlière - 2010
Solution à base de fer, solution oxydante et vernis sur toile
160 x 160 cm
[14:00-20:00] Vernissage de Philip Akkerman "I have become paint"
- Location:
- Galerie Polaris
Bernard Utudjian 15, rue des Arquebusiers 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 42 72 21 27 Mobile : +33 (0)6 12 22 77 15 Fax : +33 (0)1 42 76 06 29 Mail : contact@galeriepolaris.com Internet Site : www.galeriepolaris.com
- Description:
- 16 Octobre - 14 Novembre 2010
Né en 1957, à La Haye (Pays-Bas) Philip Akkerman ne peint que des autoportraits depuis 1981. Il n'est question ici que de Peinture, voire de la conceptualisation du matériau Peinture.
Akkerman, comme Sophonisba Anguissola (Italie XVIe) utilise l'autoportrait comme terrain de recherche mais aussi base de son œuvre. Ne nous apprenant rien sur la vie de l'artiste, ni sur ses états d'âme, la richesse des techniques et des styles utilisés surprend si l'on considère qu'un seul sujet travaillé peut être trop réducteur.
Si ces portraits nous apostrophent, tout en se travestissant (coiffes, vêtements, déformations...) l'artiste confirme qu'il ne cherche pas à reproduire mais plutôt à obtenir le meilleur de l'absence, comme l'aboutissement d'une recherche impossible de tous les êtres qui se cachent en chacun de nous. Le visage est naturellement le sujet le plus proche et le plus naturel, mais il est aussi celui qui change au plus intime du propre regard de l'artiste. Philip Akkerman aime à dire «l'autoportrait ne dit-il pas toujours la vérité ? »
[14:00-19:00] Vernissage de l'exposition "Danse avec les requins"
- Location:
- Galerie Luc Berthier
5, rue Sainte-Anastase 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Chemin Vert, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 42 77 83 44 Mobile : +33 (0)6 30 70 30 70 Fax : +33 (0)1 42 77 83 44 Mail : contact@galerielucberthier.com Internet Site : www.galerielucberthier.com
- Description:
- "Danse avec les requins",
peintures aborigènes des Îles Tiwi- Australie
Vernissage le 16 octobre 2010
Du 16 octobre 2010 au 19 novembre 2010
Danse avec les requins, les crocodiles...
Au large de Darwin, au nord ouest de l'Australie, les clans Twi chantent leur pays par leur appartenance totémique aux diverses espèces animales qui peuplent leurs îles. Melville et Bathurst, à peine séparées par un bras de mer, en sont les deux les plus importantes. Noyées sous le soleil et les pluies de saison, jungles tropicales et vastes étendues marécageuses se chevauchent jusqu'à la côte sertie de sable blanc, illuminée.
Territoires denses et impénétrables, clairières observables du ciel seulement, rivières en bras d'eau douce ou salée sont autant pièges à l'intrus qu'enclos sacrés d'un culte millénaire.
C'est dans l'onde de la lune pleine que les rites d'initiation emmènent les jeunes officiants. Complexes en signification, les parures corporelles identifient chaque porteur à son totem. Elles sont la fierté et l'appartenance au clan.
La peinture de ces peuplades parle des cérémonies de passage par la description des danses, des motifs ornant les corps ainsi que des moments favorables liés aux astres.
Après la regrettée Kitty Kantilla qui obtint la reconnaissance nationale pour son œuvre importante, voici Jean (prononcez «djin») Baptiste Apuatimi, artiste généreuse et senior d'une famille nombreuse. Sa timidité extrême cache une main ferme et talentueuse. Voici aussi Timothy Cook dont les oeuvres témoignent avec une inventivité évidente de la joie et du profond attachement à ses terres. Ce sont certainement deux des artistes contemporains les plus représentatifs de ces îles où il fait bon danser avec les requins, les crocodiles, les cochons et toute la création !
[15:00] Exposition d'Anne-Marie de Rémur
- Location:
- Galerie Jamault - Versailles
1, rue Saint-Simon 78000 Versailles M° Gare SNCF Versailles Rive Droite, RER C Versailles Rive Gauche France Phone : +33 (0)1 39 50 40 74 Mail : galeriejamault@noos.fr Internet Site : www.galeriejamault.com
- Description:
- du 19 octobre au 20 novembre
[15:00] Performances de VLP et du CyKlop et happening de Zlotykamien
- Location:
- Galerie Univer / Colette Colla
Espace Univer 6, Cité de l'Ameublement angle 31, rue de Montreuil 75011 Paris M° Faidherbe - Chaligny France Phone : +33 (0)1 43 67 00 67 Mail : uni-ver@orange.fr Internet Site : www.uni-ver.com
- Description:
- performances de VLP et du CyKlop et happening de Gérard Zlotykamien à partir de 15 heures. C'est un évènement : l'artiste Gérard Zlotykamien qui oeuvre depuis 1959 a fait son dernier happening au Festival d'Avignon en 1982.
Les artistes intervenants sont représentatifs de l'évolution de l'art urbain. Gérard Zlotykamien en lançant son cri depuis 1959, le groupe VLP (Vive La Peinture) dans les années 80 essayaient de rassembler l'humanité autour de leur personnage Zuman Kojito et Le Cyklop qui transforme aujourd'hui la rue "utilitaire" (dont la notre) en joie de vivre, fidèles à eux mêmes depuis l'origine.
[15:00-19:00] Vernissage d'Alain Alquier et Anne Tiesse
- Location:
- ARTE VIVA
Ouvert à l'Art, à l'Art de Vivre, à l'Art de Soi 25, rue Trébois 92300 Levallois-Perret M° Louise Michel France Phone : +33 (0)1 47 37 66 37 Mail : arteviva@wanadoo.fr Internet Site : www.espacearteviva.com
- Description:
- Exposition du 16 octobre au 14 novembre 2010

[15:00-21:00] Vernissage de Marian Breedveld
- Location:
- Galerie Bernard Jordan
77, rue Charlot 75003 Paris M° Filles du Calvaire, Temple, République France Phone : +33 (0)1 42 77 19 61 Mail : galerie@bernard-jordan.com Internet Site : www.galeriebernardjordan.com
- Description:
- Peintures
Vernissage samedi 16 octobre à partir de 15 heures
Exposition du 16 octobre au 17 novembre 2010
[15:00-20:00] Vernissage de Robert Irwin "way out west"
- Location:
- Galerie Xippas
108, rue Vieille du Temple 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 40 27 05 55 Fax : +33 (0)1 40 27 07 16 Mail : paris@xippas.com Internet Site : www.xippas.com
- Description:
- samedi 16 octobre - samedi 20 novembre
La galerie Xippas est heureuse de présenter la première exposition monographique de galerie en France de Robert Irwin. Figure incontournable de la scène artistique de Los Angeles des cinq dernières décennies, membre fondateur du mouvement « Light and Space », Irwin est l'un des artistes les plus influent du XXème siècle.
Près d'une quinzaine d'oeuvres lumineuses, conçues spécialement pour la galerie sont présentées. Ce travail récent d'une fascinante beauté explore la relation entre la lumière et la couleur, ou plus exactement la façon dont les couleurs se modifient dans l'espace en prenant en compte les effets que les passages entre les tons, leur température et leur densité lumineuse suscitent. Robert Irwin renoue ici avec le désir de créer des objets d'art, et se réconcilie peut-être avec les préoccupations formelles du peintre de la première période de son oeuvre, sans pour autant se défaire de l'approche phénoménologique d'un art qui excède les limites de l'objet.
Les installations lumineuses ont ceci de singulier qu'elles n'imposent pas des effets jouant sur le spectaculaire, mais s'ouvrent à la sensibilité et la perception de chacun, permettant ainsi autant de lectures de l'oeuvre qu'il il y a de regards pour la ressentir. L'art de Robert Irwin est toujours une adresse à l'esprit du spectateur libéré de tous préjugés qui, par l'expérience vécue, s'ouvre à une conscience élargie du monde, et installe sa perception dans une équivalence entre le sentiment et l'intellect, entre la beauté et la vérité.
Les oeuvres de Roberts Irwin figurent dans les plus grandes collections muséales. De nombreuses institutions ont consacré son travail : le Dia Center de New York en 1999, le MoCA de Los Angeles en 1993, le San Francisco MoMA en 1985, Le Whitney en 1977, le MoMA New York en 1970 ... Il a réalisé le Pavillon américain de la Biennale de Venise 1976. Plus récemment, en 2008, le Musée d'art contemporain de San Diego a présenté une grande exposition constituée d'oeuvres nouvelles.A ce jour, les seules expositions consacrées à son oeuvre en France furent celles du Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1993 et du Musée d'art contemporain de Lyon en 1997.
Le vernissage de l'exposition de Robert Irwin se tiendra en présence de l'artiste le 16 octobre 2010, à partir de 15h. A cette occasion la galerie Xippas célébrera les 20 ans jour pour jour de l'ouverture de la galerie.
Voir c'est oublier le nom de ce que l'on voit
« Seeing is forgetting the name of the thing one sees » est le titre de la passionnante conversation avec Lawrence Weschler en 1982, (rééditée par expended Editions, 2008), une traversée de l'ensemble de la carrière de Robert Irwin, l'un des livre qui a considérablement influencé toute une génération de jeunes artistes.
La recherche d'Irwin durant cinquante années de création peut apparaître comme un démantèlement progressif des dogmes de l'art jusqu'à sa matérialité même, par une remise en question rigoureuse de ses propres certitudes, sans concession, ni compromis avec le spectaculaire. Entre 1954 et 1968, Robert Irwin est l'un des peintres important de la jeune scène californienne qui se déploie autour de la mythique Ferrus Gallery. Depuis un langage gestuel et coloré issu de l'expressionnisme abstrait, son oeuvre a progressivement évolué vers une peinture minutieuse telle que la série des dots paintings, 1964-66, où de minuscules points verts et rouges sur toute la surface confèrent une aura hypnotique à la toile blanche, inscrivant la perception du spectateur dans le champ expérimental. L'oeuvre Untitled (disc), 1967-69, marque un moment charnière. Ici l'ombre des cercles d'acrylique thermoformé sur le mur révèle la teinte exacte de la forme avec laquelle elle se confond. Grâce à ce jeu d'optique évanescent, Irwin parvient à supprimer les limites qu'imposait le tableau, et trouble le spectateur dans son appréhension de l'objet d'art et de son apparence, et surtout dans l'idée que l'apparence puisse être considérée comme objet d'art. Il réalise par la suite Column, 1970, une sculpture verticale en acrylique transparent dont la présence n'est perceptible que par le reflet de tout ce qui l'entoure.
Dans le cadre d'un programme de recherches entre l'art et la technologie initiés par le LACMA (Los Angeles County Museum of Arts) entre 1968 et 71, il travaille avec Dr.Edward Wortz, chef de laboratiore d'un programme spatial, et invite à cette occasion un jeune artiste à le joindre dans ses recherches du nom de James Turell. C'est à cette période qu'Irwin décide de ne plus travailler en atelier. Il se déleste de toute son oeuvre, toute sa collection, tous ses matériaux et passe le plus clair de son temps dans le désert du Mojave pour éprouver l'espace sans limite. Ces expériences le conduisent à concevoir des projets in situ, qu'il appelle « conditional art », où les oeuvres sont déterminées par les conditions mêmes des lieux qui les accueillent. Avec One wall removed, 1980, Irwin remplace le mur de façade de la Malinda Wyatt Gallery par un écran translucide de fine toile blanche extensible, laissant apparaître des variations infinies de lumière traversant l'espace vide depuis les deux lucarnes encastrées au plafond.
Depuis une quinzaine d'années, l'oeuvre de Robert Irwin s'est développée dans des projets d'envergures considérables, situant plus largement le rôle de l'artiste dans la société. Il conçoit et réalise des jardins, comme celui du célèbre Getty Museum, à Los Angeles, ou le « Palm Garden » qu'il met actuellement en oeuvre pour le LACMA ; il a également aménagé les espaces architecturaux comme à la DIA Beacon de New York ou des projets d'aménagement d'espaces publics tels que l'aéroport international de Miami.
Grand théoricien, son oeuvre est indissociable d'une lecture éclairée de l'histoire de l'art et de la modernité, dont, nous n'avons pas encore, selon lui, résolu les questions fondamentales qu'elle soulève. Ses thèses sont imprégnées de philosophie, et du courant phénoménologique en particulier qui, de Husserl à Merleau-Ponty, ne dissocie pas la pensée de la perception, et s'affranchit volontiers des a priori de la connaissance pour reposer les questions de l'art, de la science ou de l'histoire. Le Musée d'art contemporain de Lyon a publié avec les éditions Skira un recueil de ses écrits en esthétique. Irwin s'est également beaucoup investi dans l'enseignement, à Chouinard, UCLA, et UC Irvin. Il compte parmi ses anciens élèves quelques noms aussi prestigieux que Chris Burden, Maria Nordman, Vija Celmins ou Ed Ruscha.... Les conférences de Robert Irwin sont toujours d'une clairvoyance magnifiquement articulée, où l'auditeur, conduit par un langage sans artifice, ouvre des portes en série pour toucher à l'essence du geste artistique.
[16:00-19:00] Rencontre avec Frédéric Monnet pour l'expo "Dancing"
- Location:
- Galerie d'Est et d'Ouest
1, rue Francis de Pressensé 75014 Paris M° Pernety France Phone : +33 (0)1 40 44 43 00 Fax : +33 (0)6 07 41 43 83 Mail : g.degaulle@estetouest.com Internet Site : www.estetouest.com
- Description:
- du 13 octobre au 5 novembre 2010
Vernissage le mardi 12 octobre de 18h30 à 21h
Peintures récentes
[16:00] Rencontre avec les acteurs de la série "HERO CORP"
- Location:
- Fnac La Défense - CNIT
2, place de La Défense La Défense - CNIT 92053 La Défense M° La Défense France Phone : 0825 020 020 Mail : defense@fnac.tm.fr Internet Site : www.fnac.com/La-Defense/Fnac-Defense/cl97/w-4
- Description:
- Forum du magasin, niveau 1
A l'occasion de la sortie en DVD de la saison 2, rencontre avec Simon Astier et les acteurs de la série suivie d'une dédicace.
[16:00] Showcase de Disiz Peter Punk
- Location:
- Fnac Paris - Forum (Châtelet les Halles)
1-7, rue Pierre Lescot Centre commercial Forum des Halles Porte Lescot, niveau -1 75001 Paris M° Les Halles, Châtelet France Phone : +33 (0)1 40 41 40 00 Fax : +33 (0)1 40 41 40 81 Mail : forum@fnac.tm.fr Internet Site : rendezvous.fnac.com/home_magasin.asp?SHP=17
- Description:
- Espace Rencontres - Niveau 2 du magasin
Showcase de l'artiste pour la sortie du disque Dans le ventre du crocodile (Naïve). « Cet album se pose au croisement de mes influences, du Hip-Hop d'avant le XXIème siècle, des rythmes africains intemporels aux sonorités avant-gardistes de New York, sans oublier mon attachement aux mots, de toutes origines. » Disiz Peter Punk.
[16:00] Showcase de The Two
- Location:
- Fnac Paris - Montparnasse
136, rue de Rennes 75006 Paris M° Saint-Placide, Notre-Dame-des-Champs, Montparnasse - Bienvenüe France Phone : +33 (0)1 49 54 30 00 Fax : +33 (0)1 49 54 30 03 Mail : montparnasse@fnac.tm.fr Internet Site : rendezvous.fnac.com/home_magasin.asp?SHP=4
- Description:
- Forum de rencontres, niveau -1
The Two est un duo rock acoustique envoûtant : leurs deux voix masculine-féminine se répondent, se superposent et la guitare les accompagne par une rythmique précise et des mélodies entêtantes.
Le point de départ de The Two a été la chanson 'I Wanna Be With You Again'. Remarqués et signés par Wagram Label début 2009, The Two se sont ensuite isolés en studio pour y réaliser ce premier album sur lequel n'interviendront ni musiciens extérieurs, ni réalisateur.
http://www.myspace.com/musicofthetwo
[16:00-21:00] Vernissage d'Atelier Van Lieshout
- Location:
- Jousse Entreprise - Art Contemporain
6, rue Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 53 82 10 18 Fax : +33 (0)1 53 82 13 63 Mail : art@jousse-entreprise.com Internet Site : www.jousse-entreprise.com
- Description:
- Vernissage 16 octobre 2010, 16h-21h
Exposition 17/10/2010 - 20/11/2010

[16:00-21:00] Vernissage de Michael Riedel
- Location:
- Galerie Michel Rein
42, rue de Turenne 75003 Paris M° Chemin Vert, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 42 72 68 13 Fax : +33 (0)1 42 72 81 94 Mail : galerie@michelrein.com Internet Site : www.michelrein.com
- Description:
- 16.10 - 20.11.2010
Opening Saturday, October 16th, 2010
Cette première exposition monographique de Michael Riedel en France marque son entrée à la galerie Michel Rein.
Qu'une œuvre soit réalisée importe peu. Ce qui compte c'est qu'elle existe. Pour cela il faut qu'elle rencontre un public. Il faut qu'elle circule, ce qui n'a lieu que par la diffusion et la médiation. Pour qu'une œuvre existe il faut qu'elle soit visible, il faut qu'elle soit retransmise, que des articles soient écrits à son sujet, que des photographies soient prises et diffusées. Il faut que l'oeuvre soit livrée à l'interprétation du langage et des techniques de reproduction. L'existence d'une œuvre est donc dépendante des déplacements qu'implique sa diffusion. Un texte en fait une description toujours trop sommaire et une interprétation qui encercle ses enjeux. Une photographie lui ampute son volume, ses dimensions et un certain nombre de ses qualités plastiques. Sa mise en mouvement se fait donc en trahissant ses qualités.
Si ce mouvement est primordial à l'existence d'une œuvre il semble assez logique de le privilégier puisqu'il se substitue à toute réalisation. D'autant plus que de toutes façons celle-ci a toutes les chances d'être déformée par cette mise en circulation. C'est la position que prend Michael Riedel. Il alimente le circuit auquel est destinée toute œuvre. Un circuit fait d'expositions, de médiatisations et d'interprétations. Mais il l'alimente avec les modalités de ces déplacements eux-mêmes. Les posters sur toile Untitled ont ainsi comme contenu de l'information extraite de sites Internet, celui du site du Moma de New York qui documente une œuvre de Michael Riedel présente dans ses collections et celui d'un site d'informations culturelles qui annonce l'actualité des expositions. Dans un cas comme dans l'autre ce sont des informations sur le travail de Michael Riedel qui servent de matériau.
Ce type d'information est par ailleurs régulièrement produit par des protocoles que Michael Riedel met en place lui-même. Chacune de ses expositions est accompagnée d'un poster contenant un texte et des images. Les photographies sont prises sur le vif, elles rendent compte du projet dans le moment où il se réalise, loin de la neutralité prétendue des « vues d'expositions ». Comme celles-ci, elles proposent un point de vue sur son travail. Les textes sont des monologues ou des discussions enregistrées avec un logiciel de reconnaissance vocale qui transcrit directement la parole en texte. Bien qu'ils soient produits sur le vif et de façon mécanique, ils sont comme tout compte-rendu d'exposition ou entretien publiés dans un magazine, ils s'écartent de leur objet malgré leurs intentions. Ces posters rendent compte d'un objet dont ils s'écartent. Leur fidélité est en effet trahie par leur nature même.
Ces posters ont été assemblés dans un ouvrage : Gedruckte und nicht gedruckte Poster 2003-08 (Posters publiés et non publiés, 2003-08). La technique pour les mettre en page a consisté à les assembler sur une unique planche dans laquelle les plis et les coupes ont été réalisés pour composer un livre au format inférieur aux posters, opération les rendant illisibles. Sa forme de livre empêche finalement la lecture de son contenu. C'est ici encore l'adaptation à un format et un type de diffusion qui génère un objet prenant ses distances vis-à-vis de ce dont il est censé rendre compte. On l'aura compris, ces déplacements fondent le travail de Michael Riedel.
La typographie utilisée par Michael Riedel est l'Arial, sorte d'Helvetica bas de gamme, fournie par défaut. Ses mises en page révèlent la même neutralité. Elles semblent le résultat d'un copier-coller ne respectant aucune des mises en forme de la source. L'un comme l'autre sont les signes de passages d'un médium à un autre produisant une modification du contenu et en bousculant la lecture. La série Four proposals for the change of modern* relève de ces déplacements. Lors d'une exposition au Modern Institute à Glasgow Michael Riedel extrait le mot « modern » du logo de cette institution qu'il découpe dans du tissu présenté comme une bannière. Utilisant le tissu découpé comme un pochoir, l'artiste crée une série d'impressions numériques sur toile, accordant la même importance au processus de production qu'à l'objet final. De nouvelles versions du mot Modern ont découlé de Four Proposals for the change of Modern in the logo of the Modern Institute, et continuent d'évoluer les uns des autres, en une série à la numérotation infinie quoique prévisible. Ces interprétations ne nous fournissent pas nécessairement d'informations à propos du travail de Michael Riedel, mais, comme avec ses posters et cartes postales, sur le fait qu'il existe et qu'il est transmis au monde.
François Aubart, Octobre 2010
*L'oeuvre Four Proposals for Changing Modern (13) sera exposée sur le stand de la galerie Michel Rein à la FIAC 2010.

Michael Riedel, Untitled, 2010. Courtesy the artist and galerie Michel Rein, Paris
[16:00-21:00] Vernissage de Vera Molnár "86 (part II)"
- Location:
- Galerie Torri
7, rue Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 40 27 00 32 Mail : contact@galerietorri.com Internet Site : www.galerietorri.com
- Description:
- VERNISSAGE SAMEDI 16 OCTOBRE 2010 16H - 21H
Exposition du 16.10.10 au 23.10.10
Mardi au samedi, 11h - 19h
[17:00] Vernissage de Françoise Ducène-Lasvigne & Martine Gruszka
- Location:
- Espace Culturel Mompezat
Société des Poètes Français 16, rue Monsieur le Prince 75006 Paris M° Odéon, RER B Luxembourg France Phone : +33 (0)1 40 46 99 82 Fax : +33 (0)1 40 46 99 11 Mail : stepoetesfrancais@orange.fr Internet Site : stepoetfrancais.eklablog.com
- Description:
- du 16 au 30 octobre 2010
vernissage le samedi 16 octobre à 17 heures
En tout premier lieu nous tenons à remercier Françoise Ducène-Lasvigne et Martine Gruszka d'être venues honorer par leurs travaux les cimaises de notre espace Mompezat.
L'une, Françoise avec ses photographies remplies de charme évanescent et de poésie vibrante, et l'autre, Martine par son travail de la matière dont elle révèle des volumes qui s'imposent à nous par la force incontestable de son expression. Mais survolons plutôt les œuvres de chacune. Françoise, en cet espace Mompezat est loin d'être une inconnue, je dirais même que c'est une amie fidèle et attentive à la vie de l'espace, car elle partage souvent avec nous les expositions les plus diverses, en nous gratifiant souvent de son petit reportage photographique. Notons également que ce n'est pas la première fois que nous découvrons l'œuvre photographique de Françoise qui a déjà exposé ici. L'ambiance du lieu semble lui convenir puisqu'elle nous revient.
Françoise Ducène-Lasvigne, photographies :
Françoise est une artiste photographe très curieuse de tout, très attentive à l'instant qui s'efface, au souffle fugitif et soudain, vite lorsqu'elle est séduite, elle fige l'instant, arrête le temps sur l'image qui devient témoin de notre fragilité, la preuve tangible de l'éphémère. Françoise expose de façon régulière, soit en individuelle, soit en collectif comme récemment à Sophia-Antipolis. Elle est aussi souvent sollicitée dans le cadre des manifestations culturelles du château de Vincennes ainsi que dans bien d'autres sites.
Chez Françoise tout est lumière, frissonnement, vibration et reflet. Chacune de ses prises de vues nous offre une belle émotion poétique. Des « émotions partagées » pour reprendre le thème de cette exposition avec Martine Gruszka. Le fil d'argent de cet ensemble qui s'offre à votre regard est tout à fait aquatique avec son jeu des reflets, des palpitations et des dédoublements d'images.L'aspect très intéressant ici est que nous sommes au cœur de la photo réelle, sans manipulation, sans retouche, la photo telle que la nature s'offre à nous, et pourtant nous nous trouvons le plus souvent transportés au cœur d'une sorte d'abstraction sensible et poétique, contraste d'ombres et de lumières, jeux de nuances subtiles, harmonieuses, ici malgré les oppositions lumineuses nous ne croisons aucune dissonance.
Ces variations aquatiques se font musique du silence, susurrements suggérés avec les déclinaisons des reflets. Musique et poésie sont partout présentes et il nous est difficile de ne pas songer à Monet, c'est d'actualité ou à Debussy dans leurs pages les plus impressionnistes et musicales. En fait Françoise a ce don de nous charmer par la simplicité de sa sensibilité. Elle nous place sous les yeux l'évidente beauté naturelle, que dans la précipitation artificielle de notre monde « moderne », nos contemporains ne savent plus même regarder.
Merci Françoise de nous donner le moyen de nous arrêter un peu afin de nous réapprendre à savoir observer, à toucher et à sentir la poésie en filigrane, là où on ne la voyait même plus. Pourtant, elle est si simple la beauté pour qui sait y demeurer attentif et la pérenniser ! Françoise nous offre l'imperceptible frémissement d'un reflet, d'une note lumineuse, d'un éclat éphémère, d'un mirage diaphane. Mais quittons provisoirement l'intemporel, les chants de la lumière, pour justement nous rapprocher un peu plus du monde de la matière, des forces telluriques, de Martine Gruszka à qui nous devons ces belles et captivantes sculptures qui nous placent bien au cœur des « Emotions partagées ».
Michel Bénard
Lauréat de l'Académie française
Chevalier dans l'Ordre des Arts & des Lettres
Martine Gruszka, sculptures :
Martine nous propose un monde totalement opposé aux évanescences de Françoise. Ici nous sommes confrontés à la noblesse de la matière transformée, à la terre modelée, à la vie parfois dure et âpre, à la vie comme combat permanent, état de survie et instinct de conservation.
Martine se pose parfois la question : «.../... mais pourquoi je sculpte, pourquoi je m'obstine à vouloir maîtriser la matière.../... » Et bien tout simplement par amour de la vie, car par l'acte de sculpter, il lui semble donner à la vie un prolongement palpable, tactile. Une respiration ! La vibration vitale est sous ses doigts, chaque langue ou larme d'argile travaillée, malaxée, façonnée est un battement de cœur pérennisé. Martine nous présente un univers variable et varié où l'humain côtoie l'animal. Ce matin j'ai profité du silence et de ma relative solitude dans l'espace Mompezat pour prendre le temps de m'arrêter devant et de regarder chaque œuvre de Martine. Son travail laisse apparaître un noble raffinement, de la rigueur au travers d'une matière un peu rude et brute qui donne encore plus de force au sujet.
En effet Martine a raison, car la vie est loin d'être sereine, parfaite, lisse, polie, elle porte en elle beaucoup d'imperfections, d'angles vifs et tranchants. Oui, la vie est une confrontation au quotidien, tout comme la sculpture !
Martine possède bien sa technique, car elle impose sa facture, elle ose les mixités des matériaux en mêlant, terre et bois, pierre et bronze. Ce parcours au travers des sculptures de Martine est un chemin d'expérience, « un certain regard » pour reprendre le titre d'une de ses œuvres quelque peu helléniste. Elle se lance elle-même certains défis en travaillant des poses particulièrement complexes presque contraires aux lois habituelles de la sculpture ! Et elle finit par gagner, non sans peine ! ... Question de savoir faire et de volonté. Et puis c'est le rêve, le repos d'une jeune femme sur un lit de mousse, c'est le baiser que l'on donne, c'est l'étreinte de deux corps, la femme à terme qui attend son enfant et une autre qui protège le sien sur son sein. C'est la naissance aussi au cœur de la nature, la sève et le sang, l'arbre si symbolique de la vie ! Mais de l'homme à l'animal il n'y a qu'un pas et voila la grande parade des ours, des singes, du koala, du cheval. Et peut-être que si le « chétif » ou la « timide » arrivent à rompre les barrières qui les séparent, pourraient-ils amorcer une belle histoire d'amour, placée sous le regard curieux et charmeur de « la coquette ». Martine sait jouer aussi de la dérision, avec pour témoins les petits personnages humoristiques de « la bande à Coluche », car s'il faut savoir en tant qu'artiste être sérieux, il ne faut jamais se prendre au sérieux.
Je vous laisse maintenant prendre le temps d'admirer toutes ces œuvres chargées de quelques « Emotions partagées ». C'est par les jeux de la glaise et de l'eau que Martine sculpte les mots que ses doigts prononcent dans le silence de son atelier.
Michel Bénard
Lauréat de l'Académie française
Chevalier dans l'Ordre des Arts & des Lettres
[17:00-21:00] Vernissage de Sally Mann
- Location:
- Galerie Karsten Greve
5, rue Debelleyme 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 42 77 19 37 Fax : +33 (0)1 42 77 05 58 Mail : galerieparis@karstengreve.fr Internet Site : www.galerie-karsten-greve.com
- Description:
- Exposition du 16 octobre au 11 décembre 2010
La galerie Karsten Greve est heureuse de présenter une importante exposition, du 16 au octobre au 11 décembre 2010, consacrée à la photographe américaine Sally Mann, née à Lexington en 1951. Cette exposition présentera, sous la forme d'un parcours rétrospectif, différentes étapes du travail de l'artiste à travers des photographies réalisées depuis le milieu des années 90 jusqu'à nos jours. (Deep South 1996-1998), (Battlefields 2000-2002), (Faces 2004) et (Proud Flesh 2004-2009).
Depuis ses débuts, Sally Mann est restée fidèle à son principe de photographier son environnement proche, qu'il s'agisse des paysages du Sud des Etats-Unis, où elle vit depuis son enfance, ou de sa famille. Elle y évoque des thématiques universelles telles que l'enfance, la mémoire ou le rapport à la mort. Repoussant les limites de la simple représentation du réel, elle met en évidence certains détails pour aller vers quelque chose de plus universel et nous donne à voir des images dans lesquelles le temps est comme suspendu. Ses oeuvres se caractérisent le plus souvent par une contemplation silencieuse.
Ce caractère intemporel est significatif des paysages qu'elle réalise à la fin des années 90 avec la série « Deep South ». Photographiant sa région natale, le sud profond des Etats-Unis, Sally Mann nous fait découvrir des paysages apparemment paradisiaques, par leur abondance et la luxuriance de la végétation, reflétant une certaine douceur et la moiteur du climat. Cependant cette campagne vide de toute présence humaine évoque aussi le passé trouble de cette région, ancienne terre d'esclavage.
Sa manière de photographier, mais aussi l'emploi de techniques anciennes, aboutissent à un rendu qui donne un caractère très plastique voire pictural à ses photographies. Ayant utilisé la chambre pour ses photographies précédentes, puis différents procédés de virage notamment dans la série « Deep South », Sally Mann se tourne au début des années 2000 vers la technique du négatif au collodion humide. Outre le caractère plastique si singulier que cette technique ancienne, issue des tous premiers temps de la photographie, procure aux photographies de Sally Mann, elle permet d'extraire ces images du monde strictement contemporain pour les placer hors du temps, le temps ralenti devient extatique. Ce procédé deviendra sa technique de prédilection pour les années à venir, il demande un temps de pose de plusieurs minutes et génère des imperfections que l'artiste utilise et intègre à ses images.
A partir des années 2000, Sally Mann se consacre à un projet intitulé « What Remains ». Regroupant plusieurs séries, cet ensemble compose un corpus traitant de la disparition, de la décrépitude et de ce qui reste, à la manière d'une réflexion sur la vie et la mort. A travers des vues d'anciens champs de batailles de la guerre de sécession, la série « Battlefields » forme un ensemble de paysages sombres qui évoque la noirceur de l'histoire passée du Sud des Etats-Unis. Tout en nuances du gris sombre au noir, les images retracent le cheminement de l'artiste sur les différents lieux de bataille sur lesquels elle a côtoyé les vestiges des ossements et des âmes de ces soldats disparus et dont ses photographies évoquent la mémoire. Pour clore ce travail, Sally Mann réalise en 2004 une nouvelle série de portraits de ses enfants devenus de jeunes adultes. Cette fois en très gros plan, les visages, terrifiants et fascinants à la fois, captent une expression énigmatique. Parfois mal lisibles, les traits des visages laissent place aux imperfections de surface du négatif qui semble former comme une seconde peau sur l'image.
Depuis 2004, Sally Mann a mené avec la série « Proud Flesh » un travail photographique sur le corps de Larry, son mari. Photographiant des sections de son corps presque à la manière de paysages. Elle révèle par son approche photographique la profonde relation entre une femme et un homme donnant à voir toute une gamme d'émotions allant de la franchise à l'érotisme, de la tendresse à la brutalité, des extraits de corps lieu d'un autre champ de bataille.
Artiste internationalement reconnue et récompensée par de nombreux prix, elle est représentée par la galerie Karsten Greve de puis plus de dix ans. Ses œuvres font partie de nombreuses collections privées et publiques internationales, entre autres le MoMA ou le Whitney Museum à New York ainsi que Musée d'Art Moderne de San Francisco ou le Tokyo Metropolitan of Art.

[17:00-21:00] Vernissage du Grand Marché d'Art Contemporain de Chatou
- Location:
- Île des Impressionnistes
Île des Impressionnistes 78400 Chatou M° RER A Rueil-Malmaison, Chatou - Croissy France
- Description:
- 14 AU 17 OCTOBRE
Au mois d'Octobre à CHATOU, vive la création actuelle ! le Grand Marché d'Art Contemporain se réinstalle sur l'Ile des Impressionnistes, lieu au charme unique qui a séduit tant d'artistes !
Cette édition est placée sous le signe du corps : un corps recréé, transposé sur la toile, dans la pierre ou dans le bronze, avec sensibilité, poésie, force ou humour.
Mais toujours avec vérité, celle de l'artiste, qui offre sa vision.
Cette nouvelle édition marque aussi le changement : le GMAC de CHATOU s'agrandit !
De nouvelles allées viennent s'ajouter à l'espace traditionnel d'exposition afin d'accueillir davantage d'artistes. Voici encore plus de découvertes en perspective et de coups de coeur potentiels pour les oeuvres vendues à prix "atelier" !
L'une des caractéristiques du GMAC de CHATOU est le lieu réservé à la sculpture monumentale.
Entre les deux bords de la Seine, une large esplanade offre un écrin de choix à la libre expression des sculpteurs et à la découverte du public. Véritable exercice de style cherchant à faire connaître une expression artistique difficile à appréhender hors des institutions publiques, cette espace permet chaque année de découvrir des pièces monumentales nouvelles, sculptures de tous matériaux et de toutes dimensions.
Nous espérons vous accueillir nombreux à cette 11ème édition !
HORAIRES
Ouverture au public : le jeudi 14 octobre à 11 h
Tous les jours : de 11 h à 19 h
Vernissage / Nocturne : samedi 16 octobre de 17 h à 21 h
TARIF D'ENTREE
6 euros, gratuit jusqu'à 15 ans.
SERVICES
Restaurant, bar et salon de thé.
Animations Playmaïs et Biocolor : samedi 16 et dimanche 17 octobre pour les enfants de plus de 4 ans de 11 h à 19 h.
INFORMATIONS
Tél : 01 56 53 93 93
Pour imprimer les invitations :
www.joel-garcia-organisation.fr
[18:00-21:00] Inauguration du nouvel espace de la Galerie e.l Bannwarth
- Location:
- Galerie E.L. Bannwarth
10, rue du Foin 75003 Paris M° Chemin Vert, Saint-Paul, Bastille France Phone : +33 (0)1 83 94 95 35 Mobile : +33 (0)6 16 82 30 51 Mail : emilie@galeriebannwarth.com Internet Site : www.galeriebannwarth.com
- Description:

[18:00-22:00] Vernissage d'Emmanuel Régent "Parler pour ne rien dire"
- Location:
- Galerie Baraudou Schriqui
62, rue Saint-Sabin 75011 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Chemin Vert France Phone : +33 (0)9 53 47 41 62 Mobile : +33 (0)6 08 89 32 68 Mail : paris@galeriebaraudou.com Internet Site : www.galeriebaraudou.com
- Description:
- Vernissage d'Emmanuel Régent "Parler pour ne rien dire / Beating round the bush"
16 octobre - 27 novembre
Vernissage samedi 16 octobre
Suite à son exposition "Mes plans sur la comète / Drifting away" au Palais de Tokyo, la galerie Le CABINET présente les nouveaux travaux de l'artiste.
Emmanuel Régent travaille par gestes discrets et imperceptibles, créant des œuvres à l'effacement progressif, voire à la disparition pure et simple. Selon les mots de l'artiste, il s'agit de « construire des espaces de projections ouverts, des espaces de suppositions, de divagations, de dispersions » à l'image de ses très grands dessins de manifestants, hors du temps et de tout contexte social. Se confronter aux œuvres d'Emmanuel Régent, c'est faire l'expérience d'un regard instable, nécessitant un œil acéré pour être sûr de ne rien manquer.»
[18:00-21:00] Vernissage de Joana Vasconcelos "Loft"
- Location:
- Galerie Nathalie Obadia
3, rue du Cloître Saint-Merri 75004 Paris M° Hôtel de Ville, Rambuteau France Phone : +33 (0)1 42 74 67 68 Fax : +33 (0)1 42 74 68 66 Mail : info@galerie-obadia.com Internet Site : www.galerie-obadia.com
- Description:
- 16 octobre - 18 décembre 2010
La galerie Nathalie Obadia est très heureuse de présenter la deuxième exposition personnelle de Joana Vasconcelos dans sa galerie parisienne.
Après les expositions organisées en 2008 (Où Le Noir et Couleur, Galerie Nathalie Obadia) et en 2009 (A la mode de chez nous au centre culturel Calouste Gulbenkian) qui ont révélé au public des oeuvres désormais emblématiques - Coeur Indépendant Rouge #2, www.Fatimashop, Contamination - cette nouvelle exposition est l'occasion de donner à voir des productions inédites de l'artiste portugaise, conçues spécialement pour la galerie.
Joana Vasconcelos, dont le jeu sur le statut de la femme s'est déjà manifesté à travers de multiples avatars plastiques (Madame du Barry, Marylin, le lustre en tampons A Noiva) réinvestit ici l'univers féminin sur le mode architectural du foyer, espace domestique par excellence.
En collaboration étroite avec un architecte et sur la base de plans et de dessins techniques, la plasticienne a passé plusieurs mois à penser et à préparer un véritable « loft », qui doit opérer la transfiguration radicale de l'espace d'exposition en habitat complexe et mouvant s'offrant à la déambulation intriguée du spectateur.
Salon, cuisine, wc pourront tour à tour être envisagés tandis que jailliront des murs des éléments tubulaires et protéiformes venant déconstruire les notions établies d'intérieur et d'extérieur.
S'engage alors une réflexion ironique sur notre société du spectacle qui, à travers le triomphe de la télé-réalité, consacre l'abolition de la frontière entre public et privé. A l'image de cet intime qui se donne à voir, les câbles électriques, plomberies et autres armatures sont ici exhibés et transformés comme par magie en éléments textiles ornés et colorés.
Aussi cette prolifération organique et joyeuse est-t-elle de nature à ré-enchanter un espace domestique parfois aliénant.
Loft est l'oeuvre principale de l'exposition. Elle est constituée de huit parois recouvertes de différentes surfaces : marbre, carreaux, bois, papier peint, stuc, acier inoxydable, miroir et verre. L'espace subdivisé en plusieurs pièces est traversé de plusieurs formes tubulaires étranges et colorées qui créent des connections entre les huit murs. Ces corps abstraits en tissu issus de l'association de techniques artisanales traditionnelles - la couture et le crochet - et de matériaux industriels provoquent une étrange sensation de familiarité.
Deux autres oeuvres récentes de Joana Vasconcelos seront exposées.
Fenêtre sur cour (marbre), fenêtre sur cour (granit) : ces deux oeuvres seront accrochées au mur reprenant le dispositif mis en place pour Nénuphar (2010) et nous apparaîtrons sous formes de boîtes, chacune couverte d'un matériau différent, marbre vert et granit. De ces boîtes sortiront des corps en tissu abstraits, comme émergeant de leurs cocons.
Le chant des gargouilles donne à voir quatre gargouilles qui se détachent d'un mur entièrement recouvert de carreaux issus de l'atelier Viúva Lamego, célèbre au Portugal pour ses collaborations avec des artistes. De la bouche de ces gargouilles jaillissent des tubes de tissus qui s'interconnectent.
Joana Vasconcelos est aujourd'hui l'une des artistes les plus reconnues de la scène artistique internationale. En associant nostalgie et ironie, Joana Vasconcelos s'interroge sur l'identité et la culture populaire de son pays. Ses sculptures et installations puisent leur inspiration dans l'imagerie kitsch et traditionnelle portugaise et font réfléchir sur les tabous de la sexualité féminine, le rôle de la femme, ou encore la société de consommation.
Née en 1971 à Paris, vit et travaille au Portugal. Depuis quinze ans, son travail est régulièrement présenté dans le cadre d'expositions individuelles et collectives au Portugal et à l'étranger.
www.joanavasconcelos.com

Joana Vasconcelos. Vue d'atelier 2010
[18:00-21:00] Vernissage de Mehdi-Georges Lahlou "Les Talons d'Allah"
- Location:
- Galerie Dix9
19, rue des Filles du Calvaire 75003 Paris M° Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 42 78 91 77 Fax : +33 (0)1 42 78 91 77 Mail : info@galeriedix9.com Internet Site : www.galeriedix9.com
- Description:
- du 15 octobre au 13 novembre 2010
Vernissage samedi 16 oct -18h/21h avec performance de l'artiste à 19h30
Fort de sa double appartenance franco-marocaine, de père musulman et de mère catholique, Mehdi-Georges Lahlou traverse avec bonheur les frontières de nos sociétés multiculturelles. Dans ses performances comme dans ses installations, il questionne l'esthétique, notamment celle liée à l'Islam, et ouvre sur des problématiques plus générales telle que l'identité (religieuse, culturelle ou sexuelle).
Cette œuvre cohérente dans sa diversité perturbe les clichés et joue de l'ambiguïté liée à l'esthétique - et de l'esthétique stigmatisée - où le corps est omniprésent. Un corps, figure de l'artiste, qui se cache et se dévoile en même temps.
Pour sa première exposition personnelle en France, Mehdi-Georges Lahlou poursuit son approche singulière et présente à la Galerie Dix9 des sculptures, photographies et vidéos, toutes œuvres se référant à cette ambiguïté.
[18:00-21:00] Vernissage de Patrick Pietropoli
- Location:
- Espace Saint-Jean
26, Place Saint-Jean 77000 Melun M° RER D Melun France Phone : +33 (0)1 64 52 10 95 Fax : +33 (0)1 64 09 11 46 Mail : espacesaintjean@ville-melun.fr Internet Site : www.ville-melun.fr/Agenda/Espace-Saint-Jean
- Description:
- Du 16 OCTOBRE 2010 au 16 JANVIER 2011
Du mardi au samedi de 13 à 18h et le Dimanche de 14 à 18h
Fermée lundis et jours fériés
Inauguration samedi 16 octobre à 18h
Patrick Pietropoli est né en 1953 à Paris. Il vit et travaille actuellement à New-York. A partir des années 80 il se consacre exclusivement à la peinture et à la sculpture.
Il commence à exposer à partir de 1983, dans de nombreuses galeries parisiennes et de province. Dés 2003 il commence à exposer aux Etats Unis à la galerie Soho à New-York. Il s'y installe et présente ses oeuvres à San-Fransisco, New-York en 2008, Boston en 2009.
Pietropoli a aussi réalisé une sculpture monumentale pour la mutualité du Pas-de-Calais (1986/89) et une exposition sur le thème des portraits historiques au Musée de Crema (Italie) en 2008. De nombreux catalogues ont été édités à ces occasions.
[18:00-21:00] Vernissage de Serban Savu "essay on limits"
- Location:
- Galerie Hussenot
Eric Hussenot 5 bis, rue des Haudriettes 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 48 87 60 81 Fax : +33 (0)1 48 87 05 01 Mail : info@galeriehussenot.com Internet Site : www.galeriehussenot.com
- Description:
- du 16 octobre au 20 novembre
[18:00-21:00] Vernissage de l'exposition "L'ART URBAIN...du mur à l'atelier..."
- Location:
- Addict Galerie
14/16, rue de Thorigny 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 48 87 05 04 Fax : +33 (0)8 71 41 45 39 Mail : info@addictgalerie.com Internet Site : www.addictgalerie.com
- Description:
- Première exposition collective avec 108, 36RECYCLAB, Alexandros Vasmoulakis, Eelus, Gérard Zlotykamien, Herakut, Imminent Disaster, Jazi, Jaybo, Jean Faucheur, John Fekner et Don Leicht, Kofie, Lady Pink, L'ATLAS, Marco Pho Grassi, Nick Walker, Thomas Fiebig, TRYONE, Victor Ash.
Vernissage le Samedi 16 Octobre 2010 18:00 - 21:00
du 16 Octobre au 4 Décembre
Mardi - Samedi 11:00 - 19:00
La rue, laboratoire d'un nouveau mode d'expression
Un art est né dans la rue parce que ses auteurs ne se définissaient pas comme des artistes. C'était là, la révolution. Des jeunes aux doigts errants, voulaient simplement rappeler leur existence en prenant à partie un paysage urbain, prison de briques et de pierres, souvent délabrée, qui servait de décor à leur vie. Depuis maintenant plus d'un demi-siècle, l'esthétique des cités s'en est trouvée modifiée.
On a souvent dénoncé le spontanéisme immature de ces peintres clandestins qui n'obéissaient en réalité qu'à un besoin instinctif d'expression visant à déconstruire un certain académisme des formes. D'abord terrain d'expérimentation de jeunes "amateurs", la rue est devenue le lieu d'exposition d'artistes issus des meilleures écoles allant à la rencontre d'un public, souvent absent des musées.
A rebours de l'individualisme traditionnel du créateur, ces artistes ont su développer générosité et sens du partage pour élaborer des projets collectifs. Ils ont également renouvelé les outils traditionnels de la peinture en explorant toutes les techniques et tous les types de supports. Certains d'entre eux en revisitent l'aspect figuratif avec l'ironie d'un langage métaphorique. D'autres s'approprient aussi le multimédia pour nous sensibiliser aux dangers du monde virtuel.
L'art urbain est désormais un art de vivre pour beaucoup de ses adeptes, artistes authentiques à l'inspiration variée qui entendent créer en toute légalité, sur des supports autorisés.
Surgit alors un paradoxe : comment ces innovateurs nomades, ayant élu la rue comme terrain d'expérimentation, habitués à y exposer des travaux destinés à disparaître, comment ces acteurs du provisoire peuvent-ils se laisser enfermer dans un musée ou une galerie ?
Une chose est sûre : en investissant « l'intérieur », en renonçant à leur clandestinité, ces artistes ne perdent rien de leur authenticité. Ils revendiquent simplement une inspiration différente mais fidèle à leur démarche créatrice. Tous se promettent également de retourner s'exprimer dans la rue. Cette tendance n'est pas nouvelle. Le passage du mur et du wagon au support léger, mobile et collectionnable se produit déjà à New York dès la fin des années 70, avec Crash, Lady Pink...!
Face à ces tentatives qui se mondialisent que pense le citadin de ces « œuvres » qu'on lui met sous le nez ? Il demeure sceptique, parfois choqué, souvent dérouté. Institutions et critiques en ont tiré prétexte pour tenir à l'écart ces fabricants de signes indéchiffrables, ravalés au rang de propagateurs d'une sous culture de ghetto aux slogans parfois subversifs.
La presse, de son côté, a fait preuve d'une étonnante absence de curiosité à l'égard de ce mouvement quand elle ne l'a pas fustigé allant jusqu'à le traiter « d'art dégénéré ».
Les musées l'ont largement ignoré. Les collectionneurs, mal informés, ne pouvaient que se montrer frileux à son endroit.
Un tel contexte assigne à l'art urbain une place singulière dans l'histoire et ne facilite pas sa reconnaissance comme mouvement artistique à part entière. Même si la situation évolue lentement, à ce jour en France, très peu d'expositions lui ont été consacrées. Elles ont notamment peu pris en compte la variété des techniques qu'il met en œuvre, ni la richesse de son inspiration, passant même à côté de certains de ses grands acteurs.
Il n'était que temps de témoigner de l'importance d'un des élans créatifs les plus révolutionnaires du Vingtième siècle car inscrit dans une époque condamnée à l'entassement humain dont il réinvente les formes d'art pictural.
Pour rendre compte de son ampleur, Addict Galerie lui consacre deux expositions, la première débutera le 16 Octobre 2010. Ce panorama voudrait témoigner du foisonnement des talents qui l'irradie. Seront entre autres rassemblées les œuvres de plus de quarante artistes internationaux, des pionniers tels Gérard Zlotykamien, John Crash Matos, Doze Green, Lady Pink, John Fekner et Don Leicht, Jean Faucheur, Toxic... jusqu'aux jeunes talents tels Imminent Disaster, Jazi, Alexandros Vasmoulakis, 36RECYCLAB, Mambo...Partageront aussi ses murs Jaybo, Marco Pho Grassi, Victor Ash, Herakut, Andrew Mc Attee, Nick Walker, Kofie, Boris Hoppek, Thomas Fiebig, L'ATLAS, Mist, TRYONE, Smash 137, Eelus, Dtagno, 108 ...
Ce projet unique en son genre suppose une subjectivité dans les choix dont Addict Galerie a conscience et qu'elle assume librement. Il s'agit pour nous de révéler, loin des sentiers battus, la cohérence d'un mode d'expression qui, à travers sa multiplicité, s'affirme comme imaginatif, inspirant et novateur.
La scénographie proposée scande en deux temps le parcours de ce panorama sans en briser l'unité même si la première étape comporte une dominante plus abstraite et la seconde plus figurative. Cette approche conforte au contraire une vision globale qui voudrait souligner la réussite du passage de cet art en galerie.
Par cette initiative hors norme, Addict Galerie souhaite rendre justice à l'art urbain et l'aider à asseoir sa légitimité artistique.
Laetitia Hecht et René Bonnell


[18:00-21:00] [Deauville] Vernissage de l'exposition collective "Women by Women"
- Location:
- Galerie La Bohême
14, rue du Général Leclerc 14800 Deauville M° Gare SNCF Deauville France Phone : +33 (0)2 31 88 46 89 Mobile : +33 (0)6 07 18 94 77 Mail : info@laboheme-deauville.fr Internet Site : www.laboheme-deauville.fr
- Description:
- "Women by Women"
Photographies
Frédérique CALLU, Photographe
Renay Elle MORRIS, Photographe
Arièle SCHWEPS, Photographe
du 13 octobre au 13 décembre 2010
Du vendredi au lundi de 10h00 à 13h00 et de 15h00 à 19h00 et tous les jours aux mêmes horaires pendant le Women's Forum et les vacances scolaires



[18:30-21:00] Vernissage du festiival Temps d'Ecole d'Images
- Location:
- La Ferme du Buisson
Scène nationale de Marne-la-Vallée Allée de la Ferme 77186 Noisiel Cedex 2 M° RER A Noisiel France Phone : +33 (0)1 64 62 77 77 Fax : +33 (0)1 64 62 77 99 Mail : contact@lafermedubuisson.com Internet Site : www.lafermedubuisson.com
- Description:
- Le festival témoigne aussi du dynamisme de la jeune génération, à travers des installations et des courts métrages issus d'écoles d'art et de cinéma.
En collaboration avec: Le Fresnoy, studio national des Arts Contemporains, l'Ecole Européenne Supérieure de l'Image, le CRR de Poitiers, l'Ecole nationale supérieure des Arts Décoratifs, l'ENS Louis-Lumière, Les Gobelins, l'Ecole des Métiers du Cinéma d'Animation.
jusqu'au 17 Octobre
Vernissage le samedi 16 octobre à 18h30
[19:00-22:00] Remise des 17e Trophées Epona
- Location:
- Cabourg
Cabourg 14390 Cabourg M° Gare SNCF de Dives - Cabourg France Internet Site : www.cabourg.net
- Description:
- En présence de Cécile de Ménibus, Ora-ïto, Tasha de Vasconcelos, Faustine Bollaert, Vincent Parizot, Delphine Gleize, Jean Rochefort, Olivier Galzi, Vincent Perrot
[19:25-22:00] Vernissage de l'exposition "10h23"
- Location:
- Frichez nous la paix
22, rue Dénoyez 75020 Paris M° Belleville France Mobile : +33 (0)6 19 66 49 18 Mail : 22denoyez@free.fr Internet Site : www.fotolog.com/friche
- Description:
- 16/10/10 - 1/11/10
"10h23" présente
fringues++++
XXXX, XX...
sérigrahies+++
XXX, XXXX...
La soirée d'inauguration c'est le Samedi 16 Oct. à 19h23...

[20:00] Concert de clôture de l'exposition d'Antoine de Margerie
- Location:
- Galerie Gimpel et Müller
12, rue Guénégaud 75006 Paris M° Odéon, Mabillon, Pont Neuf, Saint-Michel France Phone : +33 (0)1 43 25 33 80 Mobile : +33 (0)6 16 81 71 49 Fax : +33 (0)1 73 73 33 64 Mail : info@gimpel-muller.com Internet Site : www.gimpel-muller.com
- Description:
- Concert de clôture de l'exposition d'Antoine de Margerie
[21:00] Soirée des Ambassadeurs - Bal des Canailles
- Location:
- Atelier Christofle
Le Moment des Orfèvres 112, rue Ambroise Croizat 93200 Saint-Denis M° Saint-Denis - Porte de Paris France Phone : +33 (0)1 48 09 00 35 Fax : +33 (0)1 48 09 23 83 Mail : info@ateliers-christofle.com Internet Site : www.ateliers-christofle.com
- Description:
- Soirée des Ambassadeurs - Bal des Canailles
[23:00-23:55] Soirée "Dance with Me"
- Location:
- Crystal Lounge
51, rue de Ponthieu 75008 Paris M° Franklin D. Roosevelt, Saint-Philippe-du-Roule France Phone : +33 (0)1 53 75 44 55 Internet Site : www.crystallounge.fr
- Description:
- Aimery de Crozes a le plaisir de vous inviter gratuitement à la soirée 'Dance with Me', le Samedi 16 Octobre 2010 à partir de 23h, au Crystal Lounge au Coeur du Triangle d'Or.
L'Open-Bar est privé jusqu'à 00h30 et seuls les invités munis de leur laissez-passer nominatif y seront admis.
Puis nous serons rejoints par les habitués pour terminer la fête au petit matin vers 5h.
Pour avoir votre laissez-passer personnel (ou faire votre réservation de table), connectez-vous sur le site avec votre code V.I.P. puis enregistrerez-vous dans le formulaire 'RSVP & laissez-passer VIP'.
Vous recevrez alors votre laissez-passer par mail :
=> http://www.cireurs-private-club.com
=> Votre code V.I.P. : CBI
http://www.cireurs-private-club.com/?invit=ivc20618

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