Château de Versailles Place d'Armes 78000 Versailles M° Gares SNCF de Versailles France Phone : +33 (0)1 30 83 78 00 Mail : direction.public@chateauversailles.fr Internet Site : www.chateauversailles.fr
Description:
du 30 mai au 24 septembre 2017
L'exposition se tiendra du 30 mai au 24 septembre 2017 au Grand Trianon, ouvert de 12h à 18h30.
Dernière admission : 18h
Fermeture des caisses : 17h50
Consacrée au séjour de Pierre le Grand à Paris et en particulier au château de Versailles, en mai et juin 1717, cette exposition commémorera du 30 mai au 24 septembre 2017 le tricentenaire de la visite du tsar en France.
Fruit d'un partenariat privilégié entre le musée national des châteaux de Versailles et de Trianon et le musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg, l'exposition présentera, à travers plus de cent-trente œuvres, ce qui fut, sous la Régence, deux ans seulement après la mort de Louis XIV, l'un des événements diplomatiques et culturels les plus marquants du début du règne de Louis XV.
Le parcours
Le parcours permettra de suivre pas à pas cette visite qui, pour être officielle, n'en fut pas moins libre. Héritier de la dynastie des Romanov et premier empereur de toutes les Russies, Pierre Ier cherchait l'inspiration dans les modèles français. Cet esprit curieux, passionné d'art, de sciences et de techniques, visita les résidences royales, les manufactures et les académies parisiennes, rencontra les plus éminents savants et artistes de son temps pour en attirer certains à la cour de Saint-Pétersbourg. Peintures, sculptures, pièces de mobilier et d'arts décoratifs, gravures et dessins, livres provenant de la bibliothèque du tsar ainsi qu'objets de son cabinet de curiosités dessineront le portrait de ce grand réformateur de la Russie, tourné vers l'Occident et en particulier vers une France héritière du Grand Siècle.
Commissariat
- Gwenola Firmin Conservateur en charge des peintures du XVIIIe siècle au musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
- Thierry Sarmant Conservateur en chef, chef du Centre historique des archives, Service historique de la Défense
- George Vilinbakhov Vice-directeur du musée d'État de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg
Le voyage sur twitter
Découvrez sur le compte Twitter @CVersailles toutes les étapes du séjour de Pierre Ier dans le Paris du jeune Louis XV de mai à juin 1717. 300 ans presque jour pour jour après cette visite diplomatique mémorable, le hashtag #PierreLeGrandVoyage permet, au fil des jours, de revivre le voyage d'un tsar puissant et réformateur en quête d'inspiration autant politique et économique qu'artistique ou scientifique.
Fêtes galantes
Dans votre costume identique à ceux des plus belles époques de Versailles, vous êtes invités à retrouver l'ambiance raffinée et artistique des soirées d'appartement, un moment hors du temps, inoubliable. Cette année, le thème de ces fêtes sera bien sûr la venue de Pierre le Grand au château de Versailles pour qui fut organisé l'une des plus fastueuses réceptions officielles lors de son séjour.
Soirée costumée : 29 mai 2017 - 19h30 >> RSVP
L'exposition
Consacrée au séjour du tsar Pierre le Grand en France, à Paris et dans ses environs, en mai et juin 1717, l'exposition Pierre le Grand, un tsar en France. 1717, qui se tiendra au Grand Trianon du 30 mai au 24 septembre 2017, commémorera le tricentenaire de cette visite diplomatique. Fruit d'une collaboration exceptionnelle entre le château de Versailles et le musée d'État de l'Ermitage, elle présentera plus de 150 œuvres - peintures, sculptures, arts décoratifs, tapisseries, mais aussi plans, médailles, instruments scientifiques, livres et manuscrits - dont les deux tiers appartiennent aux collections du prestigieux musée de Saint-Pétersbourg.
Issu de la dynastie des Romanov, fils du tsar Alexis Mikhaïlovitch (1645-1676) et de Nathalie Narychkine (1651-1694), Pierre Ier (1672-1725), vingt ans après la « Grande Ambassade » qui l'a mené une première fois en Europe en 1697-1698, entreprend un nouveau voyage en Occident. Il atteint la France le 21 avril 1717 et y demeure jusqu'au 21 juin suivant. À Versailles où il fait étape deux fois, il est logé au Grand Trianon, du 24 au 26 mai puis du 3 au 11 juin 1717.
Le parcours de l'exposition suit pas à pas ce séjour qui, pour être officiel, n'en est pas moins libre car, force de la nature, imprévisible et peu façonné à l'Étiquette, Pierre Ier bouscule le protocole à maintes reprises. Sa rencontre avec Louis XV marque notamment les esprits : faisant fi du cérémonial de cour, il prend dans ses bras, en un geste spontané, l'enfant roi, tout juste âgé de sept ans. De nombreux mémorialistes, parmi lesquels Saint-Simon, le marquis de Dangeau ou Jean Buvat nous ont laissé de précieux témoignages permettant de retracer ce voyage.
Si ce séjour a des visées politiques et économiques - un projet d'alliance avec la France contre la Suède d'une part, la signature d'un traité de commerce de l'autre -, le tsar réformateur, fondateur de la Russie moderne, veut par-dessus tout voir ce que la France possède de plus remarquable afin d'en adapter certains modèles à son empire. Durant les deux mois qu'il passe dans le Paris de la Régence, visites et discussions avec les Français nourrissent sa réflexion et infléchissent les travaux qu'il a entrepris depuis 1703 à Saint-Pétersbourg et dans ses environs.
À Paris, Pierre se rend à l'Académie des Sciences, dont il devient membre honoraire, à l'Observatoire, à l'Hôtel royal des Invalides et à l'Hôtel de la Monnaie où l'on frappe une médaille en son honneur. Le tsar visite également la manufacture des Gobelins qui lui inspire la création d'une fabrique de tapisseries dans sa nouvelle capitale. Découvrant les marchands parisiens tel un simple particulier, il fait provision de livres, d'instruments scientifiques et techniques. Enfin, comme il est d'usage, ce voyage suscite l'échange de prestigieux cadeaux diplomatiques ; à l'image de la tenture du Nouveau Testament offerte à Pierre le Grand, composée de quatre tapisseries d'après Jouvenet et conservée aujourd'hui au musée d'État de l'Ermitage.
L'exposition met aussi en lumière les rapports du tsar avec les artistes français. En effet, dès 1716, il attire à la cour de Saint-Pétersbourg plusieurs maîtres, parmi lesquels Louis Caravaque (1684-1754), l'architecte Jean-Baptiste Le Blond (1679-1719) et le sculpteur ornemaniste Nicolas Pineau. Lors de son séjour en France en 1717, il est portraituré par deux peintres de renom, Jean-Marc Nattier (1685-1766) et Jean-Baptiste Oudry (1686-1755).
Souverain guerrier et voyageur, Pierre le Grand parcourt le monde pendant près de quatre décennies, de la mer Blanche à la mer Caspienne, de la Hollande à la Moldavie et de l'Angleterre à la Perse. Cette personnalité hors du commun a su s'imposer, au regard de la postérité, comme l'un des monarques les plus marquants de son pays, initiateur d'une nouvelle Russie.
Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Cassette de Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Cadran Solaire
Musée de l'Ermitage
Veste de costume d'été de Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Louis XV visite Pierre le Grand à l'hôtel de Lesdiguières
Château de Versailles
Edifice 27 bis, boulevard Raspail 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 45 48 53 60 Fax : +33 (0)1 45 48 53 60 Mail : contact@edifice-design.com Internet Site : www.edifice-design.com
Description:
Officina de Roman & Erwan Bouroullec, Brut de Konstantin Grcic, Sequoia de Anderssen & Voll, Leaves de Blaise Drummond... Magis présente pour la première fois en France ses nouveautés 2017, à Paris, chez Édifice, au coeur du 7ème arrondissement.
Empreintes 5, rue de Picardie 75003 Paris M° Filles du Calvaire, Saint-Sébastien - Froissart, Temple France Phone : +33 (0)1 40 09 53 80 Mail : contact@empreintes-paris.com Internet Site : www.empreintes-paris.com
Description:
PRÉSENTATION PRESSE NOUVELLE SAISON :
900 OBJETS SENSIBLES FAÇONNÉS PAR 160 NOUVEAUX CRÉATEURS !
EMPREINTES révèle de nouveaux artisans d'art pour la rentrée. Céramistes, souffleurs de verre, créateurs de mobilier et luminaires, couteliers, créateurs de bijoux... venus de toute la France, investissent le 5 rue de Picardie à Paris, avec 900 nouvelles créations pour cette 4ème saison.
H Gallery ex. Galerie Sisso 90, rue de la Folie-Méricourt 75011 Paris M° Oberkampf, Parmentier, République, Goncourt France Phone : +33 (0)1 48 06 67 38 Mail : galerie@h-gallery.fr Internet Site : www.h-gallery.fr
Description:
Une exposition collective d'artistes latino-américains et espagnols
avec Greta Alfaro, Nancy Friedemann-Sánchez, Dulce Pinzón, Lina Puerta, Ritual Inhabitual
Exposition du 6 septembre au 7 octobre 2017
VERNISSAGE, le mardi 5 septembre 2017 de 18h à 21h
CONFÉRENCE / DÉBAT à la galerie en présence de Jodie Dinapoli, Dulce Pinzón et Ritual Inhabitual,
le dimanche 24 septembre 2017 lors de l'événement « Un dimanche à la galerie ».
Le débat sera suivi d'une dégustation de tapas espagnols.
Le Marais Marais 75004 Paris M° Saint-Paul, Hôtel de Ville, Rambuteau, Arts et Métiers France
Description:
Nous avons le plaisir de vous convier à la conférence de presse Brabantia, afin de vous faire découvrir le produit le plus innovant depuis la création de Brabantia. Ce produit vous sera révélé ce jour-là par le Directeur France de Brabantia, Antoine Reynaud :
Jeudi 7 septembre 2017 à 9h30
Cosy Corner
8 rue Saint-Martin
75004 Paris
RSVP à : emiliestofft@emilie-press.f OU sophie@emilie-press.fr
Showoom Serge Ferrari 56, rue du Faubourg Saint-Antoine Cour du Bel Air 75012 Paris M° Ledru-Rollin, Bastille France Phone : +33 (0)9 83 61 79 65 Mail : showroom.sergeferrari@sergeferrari.com Internet Site : www.sergeferrari.com
Description:
Son savoir-faire matière et couleur à travers une installation qui rend hommage à l'un de ses produits star : la Batyline.
Les créations iconiques et les nouveaux produits inédits de marques de mobilier outdoor seront également dévoilés.
L'occasion de découvrir une innovation majeure, un nouvel outil de personnalisation appelé Pénélope, permettant des mix de couleurs inédits et des tissages sur mesure.
Le public pourra apprivoiser ce nouvel outil et effectuer une véritable simulation de dessin et de coloration.
Prise de parole de :
- Isabelle Vidal, Vice President Business Group Marine & Furniture, qui s'exprimera sur les perspectives de Serge Ferrari sur le marché du mobilier.
- Constance Kocher, chef de marché mobilier, qui parlera de l'évolution de l'offre et du développement du service produit.
- Chrystelle Reynaud, R&D - Coloriste, qui présentera le nouveau logiciel "Pénélope".
- Karine Villeneuve & Anne Emery de Aujourd'hui ou Mardi (agence de conseil externe) qui donneront les clés du développement couleur et produit.
Silvera Université 47, rue de l'Université 75007 Paris M° Solférino, RER C Musée d'Orsay France Phone : +33 (0)1 45 48 21 06 Fax : +33 (0)1 45 48 21 13 Mail : universite@silvera.fr Internet Site : www.silvera.fr
Halle Saint-Pierre 2, rue Ronsard 75018 Paris M° Anvers, Abbesses, Château Rouge, Barbès - Rochechouart France Phone : +33 (0)1 42 58 72 89 Fax : +33 (0)1 42 64 39 78 Mail : info@hallesaintpierre.org Internet Site : www.hallesaintpierre.org
Description:
Rez-de-chaussée de la Halle Saint-Pierre
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
L'exposition CARO/JEUNET est une invitation dans le monde singulier des réalisateurs Jean-Pierre JEUNET et Marc CARO.
Le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et autres documents viendra dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d'art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.
MARC CARO
« Si singulier il y a, il me semble que l'association bicéphale que nous avons constituée avec Jean-Pierre Jeunet fut l'une des choses les plus singulières du paysage cinématographique français. Deux cinéastes visuels qui renouent avec les origines du cinématographe... Pour ma part, notre filiation revendiquée avec Meliès et l'art forain, trouve naturellement sa place à la Halle Saint Pierre qui a toujours su accueillir ceux qui marchent en dehors des clous... »
Marc CARO
Né en 1956 à Nantes, MARC CARO est un auteur de bandes dessinées qui a débuté dans la revue Metal Hurlant à la fin des années 70. Il publie également ses planches dans les magazines Fluide Glacial, Charlie Mensuel et L'Echo des Savanes). C'est aussi un musicien électronique (le groupe Parazite) et un cinéaste issu du cinéma d'animation et de la vidéo expérimentale. Il est connu pour avoir co-réalisé avec Jean-Pierre Jeunet (qu'il rencontre au Festival du Film d'animation d'Annecy en 1974) plusieurs courts-métrages, et les longs-métrages Delicatessen (1991, qui a obtenu de nombreux césars) et La Cité des enfants perdus (1995, présenté en ouverture du festival de Cannes).
Il a réalisé plusieurs courts métrages en solo (Rude Raid, 1985, La Concierge est dans l'escalier (1987)...), le long métrage Dante 01 (2008) ainsi qu'un documentaire sur les robots au Japon (Astroboy à Roboland, 2008).
On lui doit aussi affiches, musiques et décors pour les chorégraphes Régine Chopinot et Philippe Decouflé, ainsi que la direction artistique de nombreux films, parmi lesquels Alien Resurection (1997) de Jean-Pierre Jeunet, Blueberry (2004) de Jan Kounen, et Enter the Void (2009) de Gaspar Noé.
Marc Caro
JEAN-PIERRE JEUNET
« Dans tous les films que nous avons faits ensemble ou séparément, Marc Caro et moi-même, les objets ont toujours eu une place prépondérante. Marionnettes articulées pour les films d'animation, Machines Steampunk, costumes baroques, Aliens géants, objets emblématiques comme le cahier de photomaton d'Amélie, sans compter les storyboards, dessins de décors, BD et illustrations de Marc Caro... Tant d'objets qui traînaient dans mon bureau que je décidai de les partager. Le choix de la Halle Saint Pierre a été comme une évidence. Musée d'un art populaire non prétentieux... Situé à quelques mètres de là où Nino Quincampoix pourchassait Amélie dans les jardins du Sacré Cœur... C'est à la Halle Saint Pierre que j'ai découvert Jephan de Villiers, Ronan-Jim Sévellec, Charles Matton, Gilbert Peyre, que j'ai admiré les œuvres de Giger, guide spirituel de mon « Alien »... artistes que je collectionne, et qui font le pont entre l'art « singulier » et nos films, qui ne sont pas moins, du moins je l'espère... singuliers. »
Jean-Pierre JEUNET
Jean-Pierre est né le 3 septembre 1953, à Roanne. Longtemps enfant unique, il développe très vite son propre univers et c'est la caméra Super 8 apportée un jour par un ami de ses parents qui lui montre une voie qui pourrait être la sienne. Véritable autodidacte, il commence par réaliser des films d'animation L'Evasion, Le Manège, avec des personnages sculptés par Marc Caro, puis Pas de Repos pour Billy Brakko d'après une BD du même Caro. Ces films de court métrage commencent à faire parler de lui et à glaner de multiples récompenses en France et à l'étranger. Ensemble, toujours, ils réalisent Le Bunker de La Dernière Rafale, court métrage culte de science-fiction, qui passera en première partie d'Eraserhead de David Lynch dans une salle parisienne durant six années. En 1989, il réalise seul Foutaises avec, déjà, son acteur fétiche Dominique Pinon, et gagnera une cinquantaine de prix dont le César du meilleur court métrage.
Le succès commercial et les nombreux prix de Délicatessen (1991) permettent à Jeunet & Caro de mettre en chantier un projet ambitieux : La Cité des Enfants perdus, une fable sombre, tellement innovante sur le plan technique qu'elle nécessite la création de nouveaux logiciels et une très longue préparation. Le film est superbe, infiniment poétique. Il est présenté en Ouverture du Festival de Cannes 1995. C'est ce film qui attire l'attention de la Fox qui décide de confier à Jean-Pierre Jeunet la réalisation du 4ème opus de la franchise « Alien Résurrection ».
A l'issue de son séjour hollywoodien, Jean-Pierre Jeunet a la nostalgie des pavés de Montmartre et surtout, après la « grosse machine » d'Alien, il a envie de réaliser un « petit film personnel avec des copains ». Depuis des années, il collectionne des bouts d'idées étonnantes et des fragments d'histoires qui le touchent. Tout prend forme lorsqu'il invente le dénominateur commun à ces histoires : une jeune femme timide mais imaginative et déterminée à enjoliver la vie des autres. Ainsi est née Amélie Poulain, héroïne d'un film qui rend heureux et donne envie d'aimer, car Jean-Pierre Jeunet réussit avec ce film ce qui est considéré comme l'exercice le plus périlleux du cinéma : filmer le bonheur. Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain est le plus grand succès en langue française dans le monde.
Le triomphe du film et l'osmose avec Audrey Tautou lui permet d'envisager un projet qui lui tient à cœur depuis 10 ans : Un Long Dimanche de Fiançailles, l'adaptation du roman de Sebastien Japrisot. Avec Audrey Tautou, Jean-Pierre Jeunet sait qu'il tient sa « Mathilde », jeune femme obstinée à la recherche de son fiancé dans les méandres de la Grande Guerre. Le succès est au rendez-vous, tant sur un plan critique que sur un plan commercial.
Le 28 octobre 2009, sortie du film Micmacs à Tire-Larigot, une fable humaniste où Dany Boon interprète un David luttant contre Goliath, en l'occurrence deux marchands d'armes.
En 2013, L'extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet avec Kyle Catlett et Héléna Bonham Carter est une adaptation du livre-objet de Reif Larsen. Cette adaptation a été écrite en collaboration avec Guillaume Laurant. Le film a été tourné en anglais au Canada, en 3D. La sortie en France le 16 octobre 2014 sera suivie par une sortie Européenne, puis américaine. Thomas Hardmeier a été récompensé du César de la photographie en 2015. Et le film remporte tous les prestigieux 3D society Awards.
En 2015 Jean-Pierre réalise un pilote de série intitulée Casanova avec Diego Luna, Bojana Novakovic, Miranda Richardson et Ben Daniels pour Amazon. Le film sera diffusé sur leur site à l'été 2015, et son chef opérateur Pierre Gill récompensé du prix américain ASC attribué à la photographie.
Jean-Pierre vient de réaliser avec Romain Segaud un court métrage d'animation, mettant en scène ses bestioles, bricolées avec des débris trouvés dans la nature, sur un texte de Jacques Prévert et intitulé Deux escargots s'en vont.
Jean-Pierre Jeunet est le cinéaste français le plus récompensé. Son tour de force est de parvenir à être considéré comme un véritable auteur tout en parvenant à toucher un public large.
26 artistes majeurs. 200 oeuvres : L'exposition TURBULENCES DANS LES BALKANS poursuit les prospections que la Halle Saint Pierre mène depuis plus de vingt ans aux frontières de l'art brut. La scène artistique des Balkans donne à voir ses territoires alternatifs riches de leur complexité et leur diversité. Gardiens du grand héritage de l'art populaire, icône de la pop culture, explorateurs de langages archaïques ou magiciens du matériau brut, tous ces artistes inventent des mondes singuliers travaillés par une Histoire déchaînée autant que par les sentiments et les instincts excessifs qui enflamment leur relation au monde. TURBULENCES, est la métaphore de ces expériences intimes mises en images, en émotions et en réflexions.
La rencontre de l'art brut et des Balkans n'en est cependant qu'à ses premiers développements, loin de la vulgarisation en cours en Europe occidentale et aux Etats-Unis. Autrefois poudrière, aujourd'hui morcelés et en quête de stabilité, les Balkans tentent d'exister ailleurs que dans le poids du passé, que ce soit un passé lointain marqué par la domination des Empires, les mythes nationaux, ou un passé proche fait de conflits armés. En marge des institutions une scène artistique alternative voit le jour. Tournant le dos aux performances trop artificielles et intellectualisées d'un certain art contemporain, des artistes veulent renouer avec des formes d'expression plus authentiques, ouvertes sur la vie intérieure jusqu'aux confins de l'obsession et du délire. Entre caractère alternatif et effervescence artistique, des initiatives ont vu le jour qui donnent une visibilité à l'art des marges. Turbulences dans les Balkans met en acte le besoin existentiel de ces artistes de penser le monde en le poétisant, de faire résonner un langage qui ne raisonnerait plus.
Carré Rive Gauche Quai Voltaire, rue des Saints-Pères, rue de l'Université, rue du Bac, rue de Lille rue de Beaune, rue de Verneuil, rue Allent 75007 Paris M° Rue du Bac, Saint-Germain-des-Prés, RER C Musée d'Orsay France Phone : +33 (0)1 42 60 70 10 Mail : info@carrerivegauche.com Internet Site : www.carrerivegauche.com
Boffi Studio Paris 234, boulevard Saint-Germain 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 84 11 02 Fax : +33 (0)1 42 84 11 02 Mail : info@boffiparis.com Internet Site : www.boffi-cuisines.com
Description:
A l'occasion de la Paris Design Week,
Boffi Paris dévoile pour la première fois en France, COVE Kitchen.
Des lignes fuselées, des matières d'exception, un travail sur les pleins et les vides... donnent vie à un projet d'envergure
signé Zaha Hadid, Prix Pritzker 2004.
Journée Presse Jeudi 7 septembre 2017 de 10h à 18h
Cocktail à partir de 19h
Cassina 236, boulevard Saint-Germain 75007 M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 84 92 92 Fax : +33 (0)1 45 44 68 90 Mail : cassina@cassina.fr Internet Site : www.cassina.com
Description:
Cassina invite le grand public à célébrer les 90 ans de l'entreprise, à découvrir la nouvelle collection 2017 et le livre « This Will Be The Place » en présence de sa directrice artistique Patricia Urquiola.
Club Marbeuf 38, rue Marbeuf 75008 Paris M° Franklin D. Roosevelt, George V France Phone : +33 (0)1 58 36 00 61 Fax : +33 (0)1 58 36 00 67 Mail : clubmarbeuf@wanadoo.fr Internet Site : www.club-marbeuf.com
Description:
PROJECTIONS DE PRESSE, au Club Marbeuf
Mardi 29 août, 18h
Jeudi 7 septembre 13h
Mardi 19 septembre, 13h
Mercredi 4 octobre, 18h
RSVP anne-lise@cinesudpromotion.com
L'Assemblée
de Mariana Otero
(Histoire d'un secret, Entre nos mains, A ciel ouvert)
sortie au cinéma le 18 octobre 2017
Le 31 mars 2016, place de la République à Paris naît le mouvement Nuit debout. Pendant plus de trois mois, des gens venus de tous horizons s'essayent avec passion à l'invention d'une nouvelle forme de démocratie. Comment parler ensemble sans parler d'une seule voix ?
Galerie Jean Brolly 16, rue de Montmorency 75003 Paris M° Arts et Métiers, Rambuteau France Phone : +33 (0)1 42 78 88 02 Fax : +33 (0)1 42 78 88 03 Mail : galbrolly@wanadoo.fr Internet Site : www.jeanbrolly.com
Description:
IN MEMORIAM - HOMMAGE À BERNARD AUBERTIN (1934 - 2015)
EXPOSITION DU 7 SEPTEMBRE AU 21 OCTOBRE 2017
VERNISSAGE LE JEUDI 7 SEPTEMBRE 2017 À PARTIR DE 14H
L'EXPOSITION PRÉSENTERA LES DERNIÈRES ŒUVRES DE BERNARD AUBERTIN ET RENDRA UN VIBRANT HOMMAGE À L'INFATIGABLE CHERCHEUR QU'IL FUT.
Galerie Emmanuel Perrotin 76, rue de Turenne 10, Impasse Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 42 16 79 79 Fax : +33 (0)1 42 16 79 74 Mail : info-paris@galerieperrotin.com Internet Site : www.galerieperrotin.com
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 7 octobre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
La galerie Perrotin Paris est heureuse de présenter «Fine Art» de Chen Fei. Cette première exposition personnelle de l'artiste Chen Fei à Paris fait suite à l'exposition «Flesh and Me» de 2014 à la galerie Perrotin Hong Kong.
Né en 1983 dans la province du Shanxi, Chen Fei fait ses études à la Beijing Film Academy. L'artiste exploite sardoniquement l'histoire de l'art, s'attaquant aux règles pour marquer son altérité. Scavengers (2010), basé sur l'œuvre préraphaélite emblématique de John Everett Millais, Ophelia (1851-52), représente une jeune femme pataugeant dans un étang de forêt et repêchant le corps d'Ophelia / Chen Fei (éventré). Xiao Wu Ji (2012) fait référence au tableau Un Bar Aux Folies Bergères de Manet (1882), représentant une vendeuse s'ennuyant au comptoir d'une boutique de matériel électronique. Dans les nouvelles œuvres de Chen Fei cependant, les recherches -auparavant fortuites- sur l'histoire et la pratique de l'art occidental et oriental deviennent un thème central.
Les dessins animés sont dérivés d'un procédé utilisé pour transposer les motifs d'une surface vers une autre (l'exemple le plus célèbre remontant à Michel-Ange pour la chapelle Sixtine). Aujourd'hui, il est principalement employé pour les films d'animation, domaine dans lequel Chen Fei s'est spécialisé durant ses études. Un film est essentiellement une série cinétique d'images immobiles constituant une narration. La sélection d'une «image immobile » donne métonymiquement la priorité à un moment. Dans «Fine Art», Chen Fei s'empare de moments génériques de l'histoire (de l'art), chinoise comme occidentale, pour critiquer l'histoire (de l'art) contemporaine.
Obscène et très drôle, l'œuvre centrale de l'exposition n'est autre que Traditional Self Portrait (2015), un autoportrait grandeur nature de l'artiste, nu et avec une érection, dans la pose classique d'un peintre occidental (Rembrandt ? Velázquez ? - nous l'ignorons) adoptant une expression hautaine et narcissique. Traditional Self Portrait est à la fois un pastiche et une parodie. Pourtant, si Velázquez considère son autoportrait comme un témoin au sein du portrait royal Les Ménines (1656), dans la peinture de Chen Fei, l'accent est exclusivement mis sur le vrai roi : l'artiste. Dans le tableau, l'autoportrait présumé sur lequel le modèle de Chen Fei travaille n'est pas visible et même l'arrière-plan est d'un noir anonyme. L'autoportrait reflète la circularité du narcissisme (et de l'histoire de l'art également), cooptant le spectateur dans l'une des positions subjectives de l'artiste (observons-nous du point de vue du peintre, du miroir ou de l'œuvre qui est en train d'être peinte ?). La peinture mélange de façon ambigüe art et culture majeurs et mineurs, vie publique et vie privée. L'artifice instinctif du portrait (et de l'autoportrait) est accentué par d'autres doublons : l'avant-bras droit et le sexe sont alignés, tout comme le pinceau dans la main droite et la toile-palette dans la main gauche (la palette/mini-toile est une façon de tourner en dérision la valeur et la place qu'occupe l'art abstrait dans l'histoire de l'art). Les tatouages renferment une autre information diégétique, notamment une représentation physique d'un cœur à l'endroit même où le vrai cœur de l'artiste est censé battre.
Dans Sketch (2016), Saint Barthélémy/Hercule pose dans une jungle. La pose et la tête sont inspirées de l'Hercule Farnèse datant du troisième siècle (env. 216 ap. J.-C.). La peau écorchée de son corps, en lieu et place de celle du Lion de Némée, pend tel un peignoir posé sur une épaule, rappelant la pose originale de la statue dans les thermes de Caracalla à Rome (env. 216 ap. J.-C.). Deux porcelets observent calmement Hercule, référence à l'un des 12 travaux - la capture du Sanglier d'Érymanthe - que le héros a dû accomplir pour l'assassinat de sa famille suite à son ensorcellement par la déesse Héra. Hercule a engendré une nouvelle famille.
Dans Natural History (2016), une femme habillée comme si elle allait en boîte ou à la salle de sport se tient dans un champ idyllique entourée de divers animaux tels qu'un tatou, un écureuil ou encore un manchot. Une autre toile, National Conditions (2017), met en scène une famille chinoise dans un salon américain fictif des années 60: le père lit son journal, la mère sirote un thé, et un enfant afro-américain s'approche de la mère tandis qu'un buste de Chen Fei se trouve au centre du tableau. Une nature morte d'un maître néerlandais met en scène un bol chinois débordant de fruits et légumes très suggestifs, notamment des concombres et des bananes.
Enfin, A Big Event (2016) est une explosion graphique de rayons de lumière, rappelant l'iconographie japonaise du soleil, populaire mais historiquement ambivalente, notamment le lever du soleil impérial, et également utilisée autrefois comme élément d'imprimés populaires par des maîtres tels que Katsushika Hokusai (1760-1849) et Utagawa Hiroshige (1797-1858). Nous pourrions tout aussi aisément regarder une œuvre Spin Art de Damien Hirst, produite semimécaniquement et consistant, entre autres, à projeter de la peinture sur la surface de la toile. Chen Fei ne laisse toutefois rien au hasard et nombreux sont les sous-entendus. Son explosion solaire dévoile un vide réel en son centre, comme sur les levers de soleil stéréotypés représentés sur les tatouages occidentaux et célébrant le design fluide du symbole tout en ignorant apparemment la part d'ombre de son héritage.
Même dans le demi-monde et les scènes alternatives, Chen Fei sort du lot. Dans chaque symbole des sous-cultures et des hautes cultures, occidentales comme chinoises, il trouve matière à plaisanterie et à critique. Un tatouage a beau être superficiellement permanent, les signes sont incertains et leurs histoires ouvertes à interprétation. Chen Fei n'est pas nécessairement contre les hiérarchies - les sous-cultures sont, elles aussi, exclusives - mais il aime les subvertir.
Christopher Moore
Juillet 2017
National Conditions / 國情, 2017. Acrylic on canvas. 200 x 300 cm / 78 3/4 x 118 1/8 in. Photo: Yang Hao / Courtesy Perrotin
vernissage jeudi 07 septembre 2017 - 16-21h
exposition du 08 septembre au 14 octobre
du lundi au samedi de 14h30 à 18h30
Le désert n'est pas vide. Écosystème traversé de forces géologiques et de flux énergétiques, espace de projection et de création de modes de vie alternatifs, ce territoire peut aussi être colonisé par des machines et des dispositifs invasifs. C'est du moins le cas du désert californien Mojave, lieu de bases militaires, de stockages de déchets nucléaires, de gigantesques centrales solaires mais également de différentes contre-cultures.
Pendant un mois, Jennifer Caubet l'a exploré pour en extraire des lignes de déploiement spatial, réelles et mentales, ensuite matérialisées sous formes de cartographies et de sculptures à la fois concrètes et abstraites. Autant de tentatives d'emprise sur un espace a priori insaisissable, chargées d'un potentiel fictionnel, où l'utopie rejoint la dystopie. « Point Oméga » est le nom de cette rencontre paradoxale.
Galerie Emmanuel Perrotin 76, rue de Turenne 10, Impasse Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 42 16 79 79 Fax : +33 (0)1 42 16 79 74 Mail : info-paris@galerieperrotin.com Internet Site : www.galerieperrotin.com
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 7 octobre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
Composante essentielle sans y être littéralement représenté, le paysage occupe l'univers mental et physique de Klara Kristalova, sans être un thème en soit. Il se déduit par bribes de ses dessins, de ses céramiques, de ses bronzes qui peuplent les expositions sombres et mystérieuses qu'elle dévoile ces dernières années. Elle préfère l'évocation, la sensation du paysage à sa représentation littérale. Tirées de nouvelles productions réalisées pour l'exposition, les œuvres ont d'abord habité son entourage immédiat avant de s'installer à Paris. Son atelier se trouve dans la campagne suédoise, dans une forêt près d'un lac, au nord de Stockholm. La scénographie de l'exposition, conçue avec l'expertise du fleuriste Thierry Boutemy, évoque cet environnement prégnant qui infuse l'imaginaire de Kristalova, sans pour autant opérer une reconstitution fidèle.
Dans cette nouvelle exposition à la galerie Perrotin, une salle est dédiée aux dessins ; les autres, aux installations de céramiques peintes et aux bronzes. S'y retrouvent des personnages hybrides à corps féminins et têtes d'oiseaux, des chiens étranges, des humains coiffés de masques animaliers, à moins qu'ils ne soient vus en pleine métamorphose.
L'inspiration de l'artiste n'est pas faite de récits concrets et linéaires, de faits extraordinaires et surréels, il est innervé par une présence plus « normale », d'une normalité certes un peu bizarre mais finalement très commune, faite de ce réel qui recèle une part d'inconscient débridé. Sa communauté de personnages, souvent récurrents d'une exposition à l'autre, l'accompagne suivant un fil narratif qui nous échappe. Assurément, ils sont connectés au monde et touchent notre inconscient ; d'une certaine manière, ils sont rassurants.
Le paysage autour de son atelier, où ces œuvres trouvent parfois place, n'est pas si exceptionnel aux yeux de l'artiste même s'il constitue un enchantement pour ses visiteurs. Accoutumée à cette présence naturelle, Kristalova s'en inspire sans la copier. C'est un paysage qu'elle admire sans l'idéaliser, dont elle en tire une grande inspiration qui va du merveilleux à l'étrange. L'habitude de ces lieux est le meilleur des substrats pour que son imagination vagabonde, fasse fleurir des êtres à la tête de capucine, aux racines branchues, aux corps recouverts de plumes lourdes. L'ennui est d'ailleurs le meilleur des vecteurs pour l'imaginaire. L'étrange qui se faufile et s'échappe du quotidien, rejoint l'esthétique de Klara Kristalova, avec un même style simple, embarquant le spectateur dans des déambulations aux sentiments mêlant effroi et fascination. Chez elle, la nature occupe une très grande place, anxieuse, hantée par sa disparition, par son exposition aux changements climatiques qui entraînent son altération. Ce sentiment de perte est partout dans son travail, infusant les formes d'une certaine mélancolie, le désir d'embrasser cette ressource puissante et fragile.
Les œuvres se suivent, se répondent d'une exposition à une autre, se nourrissent de cette nature qui les construit. Elles sont si proches de l'artiste, peuplant son rapport au monde, jour après jour, elle vit avec elles. Son atelier est rempli de leur présence. Dans le paysage, ces œuvres surgissent de la mousse, des feuilles, de la terre. C'est ce que l'artiste cherche à restituer avec cette exposition, sans tomber dans la transposition. À Paris, réunis autour d'une figure dansante en bronze, elles offriront un nouvel aperçu de la famille disparate et tendre qui émerge de l'argile sous les doigts et les pinceaux de Klara Kristalova.
Bénédicte Ramade
Juillet 2017
To be titled, 2017. Porcelaine émaillée / Glazed porcelain. 70 x 46 x 45 cm / 27 9/16 x 18 1/8 x 17 11/16 in. Courtesy Perrotin
Galerie BOA 11, rue d'Artois angle rue Paul Baudry 75008 Paris M° Saint-Philippe-du-Roule, Franklin D. Roosevelt France Phone : +33 (0)1 45 63 77 41 Mail : galerie.boa@gmail.com Internet Site : www.galerieboa.com
Description:
Exposition organisée en collaboration avec la galerie Bernard Vidal - Nathalie Bertoux art contemporain
VERNISSAGE : le jeudi 7 septembre 2017 - 16h/20h
EXPOSITION : 07.09.17 - 29.09.17
Galerie Emmanuel Perrotin 76, rue de Turenne 10, Impasse Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 42 16 79 79 Fax : +33 (0)1 42 16 79 74 Mail : info-paris@galerieperrotin.com Internet Site : www.galerieperrotin.com
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 23 septembre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
Perrotin Paris a le plaisir de présenter «Flying V», la septième exposition personnelle de l'artiste français Xavier Veilhan avec la galerie.
Flying V est un modèle de guitare électrique en forme de V inversée de type «corps plein» (solid body), c'est-à-dire ne possédant pas de caisse de résonance, qui a été produite pour la première fois en 1958 par la firme Gibson et devenu populaire grâce à des guitaristes comme Albert King ou Jimi Hendrix.
Source : Wikipédia
Le travail de Xavier Veilhan est un hommage aux inventions et inventeurs de la modernité à travers un langage formel qui mixe les codes liés à l'industrie et à l'art. Il nourrit également son approche plastique par des collaborations musicales, notamment avec le groupe Air, le musicien Sébastien Tellier ou encore la compositrice Éliane Radigue. Depuis mai et jusqu'à fin novembre, il a transformé le Pavillon français de la Biennale de Venise 2017 en «Studio Venezia», un dispositif musical dans lequel des musiciens professionnels du monde entier enregistrent pendant toute la durée de la manifestation.
Poursuivant ses recherches sur la dynamique formelle et sonore, Xavier Veilhan présente à la galerie Perrotin une série d'oeuvres qui trace de nouveaux liens entre architecture et musique, entre son et espace. Les portraits sculptés de trois producteurs de musique, réalisés en divers matériaux, sont notamment présentés : Nigel Godrich, Swizz Beatz et Philippe Zdar. Ils sont accompagnés par les Rayons, lignes en carbone tendues dans l'espace, qui fonctionnent comme des trames transparentes. Ils offrent une demi-présence, comme les statues facettées, et évoquent la dynamique appliquée au son et représentée par l'Effet Doppler : lorsque le bruit d'un objet en mouvement change de tonalité pour finalement s'évanouir.
Le Mobile n°4 dans la troisième pièce se fond dans un environnement de la même couleur pour devenir, lui aussi, passe-muraille, fantomatique. Xavier Veilhan explore ici l'instabilité d'une forme soumise à des changements constants, fluctuant entre l'apparition et la disparition.
RENZO PIANO & RICHARD ROGERS
Les silhouettes facettées des architectes Renzo Piano & Richard Rogers s'imposent par leur taille et leur couleur vive. Leur réduction floutée les transforme en ombres silencieuses. Ces sculptures sont une variation des deux pièces homonymes créées pour la série des Architectes exposée au Château de Versailles, à l'occasion de l'exposition personnelle de Xavier Veilhan en 2009. Elles intègreront à terme les collections du Musée National d'Art Moderne/Centre Pompidou. Les œuvres sont réalisées en acier inoxydable et peintes dans des tons de vert, couleurs qui rappellent le code couleur du bâtiment et l'époque de sa construction.
Conversation entre Xavier Veilhan et Marc Teissier du Cros, fondateur de Record Makers
Vendredi 8 septembre, 19h-20h
Salle de Bal, 60 rue de Turenne, 75003 Paris
Entrée libre, dans la limite des places disponibles
À l'issue de la rencontre, présentation et signature du nouveau fanzine PRODUCE
Fondation Taylor 1, rue La Bruyère 75009 Paris M° Saint-Georges France Phone : +33 (0)1 48 74 85 24 Fax : +33 (0)1 48 78 13 54 Mail : contact@fondationtaylor.com Internet Site : www.fondationtaylor.com
Description:
Espaces du rez-de-chaussée
Dominique Le Grand, peintre
Laurence Jenkell, sculpeur
Guido Maggiori, dessinateur
du 31 août au 23 septembre 2017
Entrée libre du mardi au samedi de 14 à 20h
Vernissage le 7 septembre 2017 à partir de 17h
Orangerie du Sénat Orangerie du Jardin du Luxembourg 19 bis, rue de Vaugirard Jardin du Luxembourg Accès porte Férou 75006 Paris M° RER B Luxembourg, Saint-Sulpice, Rennes, Mabillon, Odéon France Phone : +33 (0)1 42 64 33 99 Internet Site : www.senat.fr
Description:
Du jeudi 7 septembre au lundi 18 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017 de 17h à 19h
L'exposition propose entre la sculptrice Marie-Pierre Germain-Fortini et le peintre Alain Moreau, une description réaliste et imaginaire, ouverte sur un ailleurs chaque fois inattendu. Leur île, « la Corse » n'a pas fini d'exciter leurs curiosités à la poursuite de leurs propres rêves.
Marie-Pierre a commencé la sculpture aux Ateliers du Musée des Arts Décoratifs à Paris. Elle travaille régulièrement en Italie dans son atelier à Pietrasanta, près de Carrare où elle achète son marbre. Au départ, son inspiration se portait sur des thèmes forts de société, la violence, l'enfermement, la place de la femme ; son œuvre posait alors la question du sens et de la condition humaine.
Progressivement, elle est venue sur une œuvre sculpturale plus poétique tournée vers la nature et ses éléments, notamment la mer et le corail. Son travail inspiré de la mythologie antique est influencé par la grande spiritualité émanant de son île.
Je me découvre une passion pour la nature sauvage de l'île. Après de nombreuses études picturales, j'explore aujourd'hui une thématique instantanée sur le hasard des effets de la mer. Au cours des voyages chahutés par les vents et marées, je redonne vie à cette nature en une résonance et une force, construisant ainsi une image concentrée et intense de la réalité. Une interprétation ponctuelle et éphémère, transposant une vision réelle en une expression irréelle et spontanée. Je réalise une œuvre généreuse où la matière, nourrie la toile et prend toute son importance.
Une quête inépuisable de l'inconnu dont je prends à cœur le besoin de saisir la délicatesse et la fragilité du monde qui nous entoure.
Centre d'art contemporain d'Ivry - le Crédac La Manufacture des Œillets 25-29, rue Raspail 1, place Pierre Gosnat 94200 Ivry-sur-Seine M° Mairie d'Ivry France Phone : +33 (0)1 49 60 25 06 Fax : +33 (0)1 49 60 25 07 Mail : contact@credac.fr Internet Site : www.credac.fr
Description:
du 8 septembre au 17 décembre 2017
vernissage jeudi 7 septembre de 17h à 21h
« La peau est notre plus grand organe et aussi ce que nous voyons quand nous nous regardons. Ce que nous avons de plus profond, c'est la peau. Notre vulnérabilité s'y dessine. La douleur. Notre peau participe à chacun de nos mouvements. S-T-R-E-T-C-H. Toute une vie durant. Imaginez. À chaque mot, nos lèvres s'étirent. Nous avons l'habitude de percevoir nos corps et les objets comme un tout, avec une couche, une housse. Et le choc n'est pas loin quand ce revêtement qui protège, habille, cache et représente est absent ou coupé en deux et se révèle. C'est drôle, non ? Je m'intéresse à la structure, à la nature, à la fonction qui devient alors visible. Qui recèle une vérité. Une authenticité. Quand on fait une incision dans la peau, on peut la recoudre. Le corps guérit et fonctionne de nouveau. Mais il reste une cicatrice qui rappellera la blessure pour toujours. Le corps est alors autre. Je suis autre. »
Alexandra Bircken (née en 1967 à Cologne) met au coeur de sa pratique sculpturale le corps et ses enveloppes. Formée au stylisme au St. Martins College à Londres, elle coupe, sépare, détache, déchire et démembre autant qu'elle coud, tisse, tricote et assemble. Dans le corpus d'oeuvres présentées, l'apparente fragilité de matériaux doux et transparents - laine, nylon, cheveux - côtoie la permanence et la résistance du bronze et de l'acier. Les moulages d'organes féminins comme les combinaisons accidentées de motards se transforment en fragments de corps autonomes. Archétypes de la puissance, les motos et les armes à feu sont sculptées et sectionnées, désactivant et revalorisant leurs iconiques performances.
Première exposition personnelle d'Alexandra Bircken en France,
STRETCH a été conçue conjointement par le Kunstverein de Hanovre (dir. Kathleen Rahn / 1.10-27.11.2016), le Museum Abteiberg, Mönchengladbach (dir. Susanne Titz / 26.03-25.06.2017) et le Crédac (dir. Claire Le Restif). Elle reçoit le soutien de l'IFA.
>>-> Catalogue
* Alexandra Bircken, STRETCH
- Textes (FR, EN, DE) : Alexandra Bircken, Thomas Brinkmann, Claire Le Restif, Kathleen Rahn, Michael Stoeber, Susanne Titz, Friedrich Wolfram Heubach
- Graphisme : Yvonne Quirmbach
- 24 x 32 cm / 144 p.
- 20 €
Édition : Walther König, Cologne
En partenariat avec le Kunstverein, Hanovre, le Museum Abteiberg, Mönchengladbach et le Crédac, Ivry-sur-Seine.
Alexandra Bircken est née en 1967 à Cologne en Allemagne, où elle vit et travaille. Elle commence à exposer en 2004 au shop Alex à Cologne. Formée au stylisme au St. Martins College à Londres, elle y enseigne plusieurs années, et s'y fait un nom avec sa marque Faridi (avec Alexander Faridi).
Parmi ses expositions personnelles récentes : Parallelgesellschaften, au K21 Ständehaus, Düsseldorf (jusqu'au 03.12.2017) ; Tramway, Glasgow International, Glasgow (2016) ; Alexandra Bircken, Museum Boijmans van Beuningen, Rotterdam (2014) ; ESKALATION, The Hepworth Wakefield, Wakefield (2014).
Elle est représentée par les galeries Herald St., Londres et BQ, Berlin.
Alexandra Bircken, Janus, 2016
Collage numérique : Mur de briques et Janus
Almine Rech Gallery
Rue de l'Abbaye 20, 1050 Ixelles, Belgique
September 7 - October 5, 2017
Opening on September 7th, 2017 / 5 - 8 pm
'Laguna Sunrise' will be Anselm Reyle's fourth solo exhibition with the gallery, celebrating almost a decade of collaboration with the artist. Reyle will present a selection of new paintings and new ceramic vases reminding the style of Fat Lava, a form of glazing developed in West Germany during the 1950s and 1970s characterized by bold colors and striking glazes.
Centre d'art contemporain d'Ivry - le Crédac La Manufacture des Œillets 25-29, rue Raspail 1, place Pierre Gosnat 94200 Ivry-sur-Seine M° Mairie d'Ivry France Phone : +33 (0)1 49 60 25 06 Fax : +33 (0)1 49 60 25 07 Mail : contact@credac.fr Internet Site : www.credac.fr
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Hugues Reip, Phantasmata
Sélection de films, 1995-2017 ; en boucle
Du 7 septembre au 29 octobre 2017
Depuis le début des années 1990, Hugues Reip (né en 1964) développe une œuvre prolixe traversée par un imaginaire « archéomoderniste ». Ses vidéos, sculptures, installations élémentaires et découpages forment des tableaux oniriques tantôt enfantins tantôt Rock 'n' roll. Certains procédés techniques et formels hérités des origines du cinéma (Méliès, Keaton) et des avant-gardes artistiques du XXe siècle (Oskar Fischinger, Vassily Kandinsky) mêlés à des artifices bricolés, donnent naissance à ses expériences filmiques, souvent de très courte durée.
Jeudi 5 octobre à 19h
Projection suivie d'une rencontre avec Hugues Reip
Hugues Reip, Fantaisie, 2008. Photogramme
Film d'animation réalisé avec des dessins de Georges Méliès
(c) Hugues Reip / ADAGP Paris, 2017
Galerie L.J. Lemarié-Jeudy 12, rue Commines 75003 Paris M° Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 78 38 44 47 Mail : info@galerielj.com Internet Site : www.galerielj.com
Description:
Exposition du 7 septembre au 14 octobre 2017
L'exposition de rentrée est consacrée au dessin contemporain via le travail de trois femmes artistes : Tangent Lin (Taiwan), Allyson Mellberg (USA) et Swoon (USA).
Une sélection d'oeuvres récentes de Swoon est présentée à l'occasion de sa 1ère exposition rétrospective au Contemporary Art Center de Cincinnati qui sera inaugurée le 22 septembre (+ d'infos).
Les dessins de Tangent Lin avaient reçu un accueil particulièrement enthousiaste lors de nos participations à la foire Drawing Now ces précédentes années. Après une pause de deux ans pour renouveler sa production, nous sommes heureux de présenter de nouveaux dessins de cette toute jeune artiste taïwanaise au trait singulier et à l'humour décapant.
Enfin, les nouveaux dessins d'Allyson Mellberg nous propose de redécouvrir "l'inquiétante étrangeté" et la poésie de son univers minéral.
Orangerie du Sénat Orangerie du Jardin du Luxembourg 19 bis, rue de Vaugirard Jardin du Luxembourg Accès porte Férou 75006 Paris M° RER B Luxembourg, Saint-Sulpice, Rennes, Mabillon, Odéon France Phone : +33 (0)1 42 64 33 99 Internet Site : www.senat.fr
Description:
Du jeudi 7 septembre au lundi 18 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h30
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017 de 17h à 19h
Le Sacré dans l'intensité des Paysages.
La nature sublimée, Bretagne - Colorado et autre Rives, « Tout endroit est le centre du monde et toute chose est sacrée ».
Le grand mystère de la vie est contenu dans la nature.
J'aime cette allégorie de la couleur qui enivre l'espace et qui symbolise des moments de sagesse et de contemplation.
Le pouvoir mystérieux de la couleur nous entraîne sur des sentiers où chacun de nous comprend que l'art et la nature sont intimement liés. Des enchantements simples qui embellissent nos vies.
L'esprit de la terre par magie a enveloppé ce lieu de jaunes et de pourpres de l'infini des cimes aux vallées profondes et de ces couleurs d'océan qui imprègnent la Bretagne.
Je remercie ceux qui m'ont amené sur ces routes austères et riches à la fois participant ainsi au grand opéra de la couleur des quatre saisons sur la terre des indiens et en pays celte.
Bien plus encore je vois devant ce chef d'œuvre l'ombre d'une main divine qui cristallise mon imaginaire. Tout être peut ainsi comprendre que s'intéresser à la beauté de la nature élargit nos connaissances et notre sens des responsabilités.
« Séduit et porté par différents courants comme le symbolisme, le fauvisme, l'expressionnisme, on retrouvera dans son œuvre l'influence qu'il a su maîtriser pour forger sa propre signature sans jamais succomber à la facilité du plagiat. Ses toiles sont riches d'une sensualité forte et évocatrice de ces paysages bucoliques aux crépuscules et couchants brumeux aux lumières étranges laissant à chacun la liberté de rêver et d'y voir quelques métaphores spirituelles. Lorsque de sa Bretagne profonde il lance un cri « Sauvons la Terre » il peint des rouges qui expriment la fin d'un jour mais aussi la vie. Ses chemins de prière, ses villages qui se cachent pour mourir, ses soleils rouges évoquent pour lui le malaise qu'il ressent dans notre monde moderne ».
Que faisons-nous ? Où allons-nous ?
Extrait -Jean Duquoc -Peintre de l'Essentiel - Joëlle Kartel
Galerie espace marie-robin 18, rue de Montmorency 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 78 65 53 Mobile : +33 (0)6 80 26 74 04 Mail : espace.marie-robin@wanadoo.fr Internet Site : www.galerie.marie-robin.com
Fondation Taylor 1, rue La Bruyère 75009 Paris M° Saint-Georges France Phone : +33 (0)1 48 74 85 24 Fax : +33 (0)1 48 78 13 54 Mail : contact@fondationtaylor.com Internet Site : www.fondationtaylor.com
La Patinoire Royale / Galerie Valérie Bach
www.lapatinoireroyale.com / www.galerievaleriebach.com
15, rue Veydt - 1060 Bruxelles - T +32 2 533 03 90
info@lapatinoireroyale.com / info@galerievaleriebach.com
Opening hours
Public opening September 7 from 5 to 9 pm.
Exhibition from September 8 to December 23, 2017
Tuesday to Saturday, from 11 am to 6 pm
Artistes exposés : Marcel ARNOULD, Pol BURY, Pierre CAILLE, Gilbert DECOCK, André DEKEIJSER, Yves DE SMET, Reinhoud D'HAESE, Antoine DE VINCK, Jan DRIES, Francis DUSEPULCHRE, André EIJBERG, Vic GENTILS, Jean-Pierre GHYSELS, Jo DELAHAUT, Monique GUEBELS, Pal HORVATH, Oscar JESPERS, Jean-Paul LAENEN, Antonia LAMBELE, Jacques MOESCHAL, Félix ROULIN, Emile SOUPLY, Olivier STREBELLE, TAPTA, Camiel VAN BREEDAM, Jan VAN DEN ABBEEL, Guy VAN DEN BRANDEN, Hilde VAN SUMERE, Marc VERSTOCKT, Ferdinand VONCK, André WILLEQUET
La Patinoire Royale a choisi de rassembler autour du titre « Sculpting Belgium » pas moins d'une trentaine d'artistes belges, majoritairement sculpteurs, des années 45 et suivantes. Ces artistes ont tous, à leur façon, sculpté le visage de la Belgique artistique de l'après-guerre. Si de prime abord, cette sculpture belge dont la sélection s'étend du début des années 50 à la fin des années 80, présente un visage hétérogène car pluriel, difficilement réductible à un mouvement ou à une esthétique, force est cependant de constater que certaines lignes directrices se dégagent : tout d'abord une puissance créatrice absolument phénoménale, liée à la pensée artistique de cette après-guerre, où les recherches formelles explosent, et avec elle l'exploration de nouveaux matériaux, essentiellement l'acier et le plastique.
Ce génie créateur qui prend possession de ces artistes se caractérise ensuite par une immense liberté, un refus de répéter ce qui précède et, à certains égards, une volonté de faire table rase de ce qui précède. La guerre a constitué une rupture dans l'esthétique Art Déco ; par trop apparenté aux régimes fascisants, cette esthétique fait place à l'esthétique moderniste. Se fait jour, alors, une volonté de pousser les recherches vers toujours plus de minimalisme et d'abstraction, recherches déjà annoncées en sculpture, en Belgique, par Oscar Jespers, notamment. Ce père fondateur dont la sublime pièce en bronze «Frieda» figure avec raison en première page de ce dossier, est, bien avant les années 50, la figure de proue de cette école Belge.
Aujourd'hui, alors que la plupart de ces sculpteurs sont décédés, cette grande exposition sonne comme un appel de tous ces noms formant le véritable panthéon belge d'artistes disparus. Voilà qu'enfin, ces artistes reviennent à la lumière, sortant de l'oubli dans lequel les avait plongés une opinion artistique publique belge bien souvent amnésique et ingrate.
Les ayant droits, veufs, veuves, enfants, proches et amis de ces sculpteurs ont vu dans ce projet une ultime manière de réhabiliter, de réintégrer in extremis leurs chers artistes disparus, avec l'amertume d'un retard coupable. Ils y ont mis l'enthousiasme du sentiment du devoir accompli, enfin, de cet hommage finalement rendu à leur talent.
Car, à regarder comment les autres scènes nationales européennes et occidentales ont valorisé leurs artistes de cette époque, il est à s'interroger sur ce silence assourdissant, cette impardonnable indifférence qui qualifient la « promotion par le vide », durant ces années et celles qui suivirent, des artistes belges en général, et des sculpteurs, en particulier.
Tous ces fils et filles du pays, artistes dans l'âme, sont aujourd'hui, par cette exposition, remis en lumière. « Sculpting Belgium » leur doit sa naturelle légitimité, tant il paraît évident que leur soit enfin rendu hommage dans une vaste revue de leurs productions individuelles.
Confrontant la sculpture avec quelques peintres dont la production éclaire par leurs couleurs les recherches esthétiques des sculpteurs, lesquels travaillent majoritairement des matières à la palette peu lumineuse, cette exposition a volontairement pris le parti scénographie d'une mise en valeur fifties / sixties, un peu comme si cet événement avait lieu dans les années où on l'aurait attendu. C'est ainsi donc un juste retour dans le temps et un juste retour, tout court, que de la proposer au public qui, nous l'espérons, réparera par sa visite une absence trop longtemps subie et impardonnable...
08 septembre - 22 octobre
vernissage jeudi 07 septembre de 18h à 21h
Représentant la succession Niki de Saint Phalle depuis 2013, la galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois propose dans ses deux espaces parisiens sa seconde exposition consacrée à l'oeuvre novatrice, féministe et avant-gardiste de Niki de Saint Phalle.
Après En joue ! Assemblages & Tirs (1958-1964), en 2013, c'est autour de la thématique centrale pour l'artiste de la représentation du corps de la femme, dans la société de consommation des années 60-70, que s'articule cette nouvelle exposition monographique. Une sélection d'une vingtaine d'oeuvres parmi les plus emblématiques des années 60 et 70, des plus célèbres Nanas aux singulières sculptures-reliefs, seront montrées.
Dans la continuité de la grande rétrospective itinérante que lui consacra le Grand Palais (septembre 2014-février 2015) sous le commissariat de Camille Morineau, la galerie s'attache à déployer un autre moment-clé du travail de Niki de Saint Phalle, après la période révélatrice des Tirs (1961-1962).
De ces années 60 dont elle pointe la violence politique et sociale, Niki de Saint Phalle dénonce très vite les représentations conventionnelles et les clichés conservateurs à l'encontre des femmes : la femme sorcière, la jeune mariée engoncée dans sa robe de cérémonie étouffante, la femme accouchant dans la douleur... Elle montre et dit la souffrance des femmes dans les rôles ancestraux qui leur sont assignés. Ce sont des oeuvres sombres et profondément critiques auxquelles succède dès 1965, toute violence alors libérée, la série des Nanas. Là, le corps de la femme s'émancipe par la grâce de matériaux ordinaires, de résine, de polyester peints, de vinyles colorés, et l'artiste réalise ces « formes femmes » exubérantes, girondes, monumentales, jubilatoires, ironiques, puissantes, à l'aise en leur majesté glorieuse et démesurée.
Si Niki de Saint Phalle dit enfin que la femme est un corps libre, avec ses jambes, ses bras, son sexe, sa tête, occupant un espace à la fois sien et public, et peut-être utopique, elle laisse, dès le début des années 70, apparaître la figure ambivalente et inquiétante de la femme mère dévorante, dont Madame ou Nana verte au sac est, en 1968, la précurseure.
SEPTEMBER 7 - OCTOBER 21, 2017
OPENING ON THURSDAY, SEPTEMBER 7, 2017 FROM 5.30 PM TO 8.30 PM
Following the closing of his critically acclaimed retrospective at National Gallery of Modern Art (New Delhi), Indian artist Jitish Kallat presents his first solo exhibition in Belgium at Templon Brussels. With a complex body of works in mixed media (drawing, collage, sculpture, photography), the show brings forth several new dimensions to some of his long-standing artistic inquiries. Covariance delves into ideas of time, sustenance, sleep, vision and perception along with a compelling interplay of scales and proximities, and evocations of the celestial and the cosmological, preoccupations that have recurred across Kallat's wide-ranging work.
Jitish Kallat (born in 1974, Mumbai) currently lives and works in Mumbai. Kallat's work has been exhibited widely across the world. His recent solo exhibitions include mid-career survey exhibition titled Here After Here curated by Catherine David at National Gallery of Modern Art (2017), New Delhi and Covering Letter at the Philadelphia Museum of Art (2016). Other key solo exhibitions include CSMVS Museum, Mumbai (2016); Art Gallery of New South Wales, Sydney (2015); San Jose Museum of Art (2013); the Ian Potter Museum of Art, Melbourne (2012); Bhau Daji Lad Museum, Mumbai (2011); and Art Institute of Chicago (2010). He has also exhibited in numerous group exhibitions at venues including Tate Modern, London (2001); Palais des Beaux-Arts, Brussels (2006), ZKM Museum, Karlsruhe (2007); Art Gallery of Ontario, Toronto (2007); Martin Gropius Bau, Berlin (2008); Mori Art Museum, Tokyo (2008); Jean Tinguely Museum, Basel and Musée national d'art moderne-Centre Pompidou in Paris (2011); and the Museum of Contemporary Art Australia, Sydney (2016). He has participated in a number of international biennale exhibitions including the Havana Biennale (2000) and the Gwangju Biennale (2006).
Jitish Kallat was the curator and artistic director of the Kochi-Muziris Biennale (2014).
Orangerie du Sénat Orangerie du Jardin du Luxembourg 19 bis, rue de Vaugirard Jardin du Luxembourg Accès porte Férou 75006 Paris M° RER B Luxembourg, Saint-Sulpice, Rennes, Mabillon, Odéon France Phone : +33 (0)1 42 64 33 99 Internet Site : www.senat.fr
Description:
du 7 septembre au 19 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h
Constantin Andreou - Manolis Calliyannis - John Christoforou Yannis Gaïtis - Constantin Macris - Alkis Pierrakos - Philolaos - Takis - Thanos Tsingos
Au sortir de la seconde Guerre mondiale, Paris jouit de son aura de capitale mondiale des arts, attirant une nouvelle génération de créateurs venus des quatre coins du monde. Et les jeunes Grecs n'échappent pas à la règle !
Encouragés par l'octroi de bourses d'études allouées par l'Institut français d'Athènes et l'État grec, les plus francophiles peuvent désormais poursuivre des études supérieures à Paris. Consciente de la vitalité, de la diversité et de l'intérêt du travail des jeunes artistes de cette diaspora particulière, l'École des Beaux-Arts de Paris organise en 1947 une exposition de tous les artistes grecs boursiers du gouvernement français. Puis, au fil des ans, ce sont des centaines de peintres et sculpteurs grecs qui s'installent définitivement à Paris.
Bien qu'arrivant en France déjà diplômés, c'est bien à Paris que ces jeunes créateurs sont nés artistes. Leurs travaux respectifs s'affranchissent rapidement du carcan d'une école parfois vue comme nationale pour devenir partie intégrante de l'École de Paris. Cette exposition en présente dix : Constantin Andreou (1917-2007), Manolis Calliyannis (1923-2010), John Christoforou (1921-2014), Yannis Gaïtis (1923-1984), Constantin Macris (1917-1984), Philolaos (1923-2010), Alkis Pierrakos
(1920-2017), Takis (né en 1925), Thanos Tsingos (1914-1965) et Rena Tzolaki (née en 1935).
Une exposition organisée en partenariat avec le Centre culturel hellénique de Paris (www.cchel.org)
The Hoxton 30-32, rue du Sentier 75002 Paris M° Bonne Nouvelle, Sentier France Phone : +33 (0)1 85 65 75 00 Mail : book.paris@thehox.com Internet Site : thehoxton.com/fr/paris/paris/hotels
Description:
Motorcycles fans, or simply those with a curiosity, should join Fred and Hugo - the founders of Blitz Motorcycles - at The Hoxton, Paris for a full day of immersion into the Blitz lifestyle. There'll be a pop-up cinema playing Blitz shorts, to an exhibition of unique motorcycles created from vintage parts, to a leathers customisation space, and talks by the founders. Join us in the evening for a cocktail night to wind down the day.
Pour les amateurs de motos, ou tout simplement les curieux, rejoignez Fred et Hugo - les fondateurs de Blitz Motorcycles - chez The Hoxton, à Paris pour une journée complète d'immersion dans le style de vie de la marque.
Au programme, présentation de court-métrages, rencontre avec les deux fondateurs, exposition de deux roues uniques fabriqués à partir de vieilles motos et espace accessoires avec possibilité de personnalisation. Rejoignez-nous le soir pour un cocktail pour clore cette journée en beauté.
18:00 - 19:00 - Talk: The History of Blitz
18h - 19h : Rencontre avec les fondateurs de Blitz : Histoire de la marque
19:00 - 23:00 - Blitz cocktail with DJ Nicolas Sorel
19h - 23h: Cocktail Blitz avec le DJ Nicolas Sorel
Galerie Marie-Hélène de La Forest Divonne 12, rue des Beaux-Arts 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés, Mabillon France Phone : +33 (0)1 40 29 97 52 Mobile : +33 (0)6 84 33 98 88 Fax : +33 (0)1 42 71 39 75 Mail : contact@galeriemhlfd.com Internet Site : www.galeriemhlfd.com
Description:
18 mai - 13 juillet, prolongation du mardi 5 au vendredi 8 septembre
Vernissage jeudi 18 mai de 18h à 21h
Nocturnes du Jeudi des Beaux-Arts
jeudi 1er juin & jeudi 6 juillet
Ouverture exceptionnelle dimanche 21 mai 14h-18h
Né en 1954, Jean-Bernard Métais vit et travaille entre la France et la Chine. Il a réalisé ces vingt dernières années de nombreuses sculptures dans l'espace public, en réponse à des concours internationaux. La dernière en date, une grande algue dorée, Phoenix, fait onduler ses pales d'acier sur 70m de hauteur, dans le centre de Tianjin.
Au centre de ses créations : le temps et le mouvement, révélés par la lumière, la matière et les fluides comme un physicien dans son laboratoire.
Depuis sa résidence à la fondation Cartier, sous la direction de Jean de Loisy, en 1990, le sable est au cœur de ses créations.Par l'ancienneté de son apparition, il renvoie au temps qui passe depuis les origines. « Le sable, c'est la poussière du monde», dit-il. En découlent un univers de sabliers, de clepsydres, d'attrapes-temps qui invitent à la contemplation. À la différence du temps disparu, le sable demeure, se renouvelle à chaque retournement et enrichit notre vision à l'infini.
Issu d'une famille de viticulteurs, Jean-Bernard Métais a rencontré très jeune le sable, dans les caves de Touraine, avant de parcourir les déserts tout autour du globe. Il puise dans la cave un autre matériau essentiel : le vin, qui se charge aussi du temps et s'en enrichit. Certaines des œuvres présentées à la galerie donnent à voir la chaude couleur des liqueurs de 1918 ou 1898... Ou à en respirer les arômes : c'est l'odeur du temps.
Sa deuxième exposition à La Galerie La Forest Divonne-Paris présentera un ensemble d'œuvres récentes : des sabliers, des photographies et la nouvelle série de sculptures intitulées « Esprit du Vin ».
Ces œuvres en verre soufflé renferment un précieux vin de Jasnières. Les courbes des pièces en verre forment des mots et créent un écho, une résonance au vin qui y est capturé à jamais ! Cette série est un hommage aux paroles gelées que l'écrivain François Rabelais décrit dans son ouvrage Le Quart Livre, paru en 1552. Les personnages du récit manipulent les mots qui, prononcés dans l'air gelé, se matérialisent dans l'espace. Ici les mots sont en quelque sorte « gelés » par le verre ; le caractère fugace et évanescent de la parole est évoqué par l'alcool. Ces créations poursuivent le travail de néons présenté à Bruxelles en mai 2016, en leur donnant une dimension plus personnelle et singulière encore.
Stade de France rue Jules Rimet 93216 Saint-Denis La Plaine Cedex M° Saint-Denis - Porte de Paris, RER B La Plaine, RER D Stade de France France Phone : +33 (0)1 55 93 00 00 Fax : +33 (0)1 55 93 00 05 Internet Site : www.stadefrance.com
08 septembre - 22 octobre
vernissage jeudi 07 septembre de 18h à 21h
Représentant la succession Niki de Saint Phalle depuis 2013, la galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois propose dans ses deux espaces parisiens sa seconde exposition consacrée à l'oeuvre novatrice, féministe et avant-gardiste de Niki de Saint Phalle.
Après En joue ! Assemblages & Tirs (1958-1964), en 2013, c'est autour de la thématique centrale pour l'artiste de la représentation du corps de la femme, dans la société de consommation des années 60-70, que s'articule cette nouvelle exposition monographique. Une sélection d'une vingtaine d'oeuvres parmi les plus emblématiques des années 60 et 70, des plus célèbres Nanas aux singulières sculptures-reliefs, seront montrées.
Dans la continuité de la grande rétrospective itinérante que lui consacra le Grand Palais (septembre 2014-février 2015) sous le commissariat de Camille Morineau, la galerie s'attache à déployer un autre moment-clé du travail de Niki de Saint Phalle, après la période révélatrice des Tirs (1961-1962).
De ces années 60 dont elle pointe la violence politique et sociale, Niki de Saint Phalle dénonce très vite les représentations conventionnelles et les clichés conservateurs à l'encontre des femmes : la femme sorcière, la jeune mariée engoncée dans sa robe de cérémonie étouffante, la femme accouchant dans la douleur... Elle montre et dit la souffrance des femmes dans les rôles ancestraux qui leur sont assignés. Ce sont des oeuvres sombres et profondément critiques auxquelles succède dès 1965, toute violence alors libérée, la série des Nanas. Là, le corps de la femme s'émancipe par la grâce de matériaux ordinaires, de résine, de polyester peints, de vinyles colorés, et l'artiste réalise ces « formes femmes » exubérantes, girondes, monumentales, jubilatoires, ironiques, puissantes, à l'aise en leur majesté glorieuse et démesurée.
Si Niki de Saint Phalle dit enfin que la femme est un corps libre, avec ses jambes, ses bras, son sexe, sa tête, occupant un espace à la fois sien et public, et peut-être utopique, elle laisse, dès le début des années 70, apparaître la figure ambivalente et inquiétante de la femme mère dévorante, dont Madame ou Nana verte au sac est, en 1968, la précurseure.
Galerie Italienne 15, rue du Louvre 75001 Paris M° Louvre - Rivoli France Phone : +33 (0) 9 84 43 87 3 Mail : info@galerieitalienne.com Internet Site : www.galerieitalienne.com
Description:
Vernissage jeudi 07 Septembre 2017 à 18h
Exposition du 11 Juillet au 23 Septembre 2017
Fermeture estivale du 1er Août au 1er Septembre 2017
La Galerie Italienne est heureuse de vous présenter la nouvelle édition de "Spazio Tattile: Chapitre 2 - Maison d'un Collectionneur". Fort du succès de la première édition, les arts décoratifs italien sont de retour à la Galerie Italienne. Ce nouveau chapitre met en avant une collection de meuble construite par un acteur passionné du design italien réunissant des chefs d'oeuvres produit par les célèbres mouvements de design italien Alchimia et Memphis. Bureau, commode, miroir, cette collection se présente comme un cours d'histoire du design italien de la fin du XXe siècle. Plastique laminé, céramique, bois toutes les matières se mélangent pour former un ensemble d'objet du quotidien hors norme représentatif des manifestes d'Alchimia et de Memphis. Les couleurs font partie intégrante du design de l'objet. C'est un ensemble rare et haut en couleur que la Galerie Italienne est heureuse de présenter cet automne.
Piasa Rive Droite 118, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris M° Miromesnil, Saint-Philippe-du-Roule, Franklin D. Roosevelt France Phone : +33 (0)1 53 34 10 10 Fax : +33 (0)1 53 34 10 11 Mail : contact@piasa.fr Internet Site : www.piasa.fr
Galerie Mitterrand 79, rue du Temple Hôtel de Montmort 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 43 26 12 05 Fax : +33 (0)1 46 33 44 83 Mail : info@galeriemitterrand.com Internet Site : www.galeriemitterrand.com
Description:
08/09 > 28/10 2017
Parallèlement à la rétrospective de l'œuvre photographique d'Anne et Patrick Poirier à la Maison européenne de la photographie, la Galerie Mitterrand est heureuse de présenter la troisième exposition personnelle du duo, dédiée à leurs maquettes qui occupent une place centrale dans leur œuvre.
Depuis la fin des années 60 et leur séjour à la Villa Médicis à Rome, Anne et Patrick Poirier s'intéressent aux sciences humaines, histoire, psychologie, anthropologie, et à l'architecture et l'archéologie. Ils utilisent des médiums très divers pour exprimer, sous formes métaphoriques, l'idée dominante de leur travail : la fragilité des êtres, de la nature et de la culture. L'usage récurrent de la maquette, qui représente toujours une architecture fictive, nourrie des réminiscences de leurs errances, de leurs relevés, empreintes... dans les sites archéologiques, en est un et non des moindres. En 1973, Ostia Antica, une maquette de douze mètres par six mètres en terre cuite, matérialise plus d'un an de leurs recherches sur le site antique éponyme, situé dans les environs de Rome. Avec le cycle Domus Aurea (1974-1982) -un ensemble de six maquettes noires en charbon de bois et fusain dont Ausée (1974-76), aujourd'hui au Musée Ludwig de Cologne-, ils passent de la lumière douce d'Ostia Antica à l'univers nocturne d'un sombre rêve inspiré par leurs fouilles d'architectes-archéologues comme ils se dénomment sur le site de l'ancien palais construit par Néron. Là encore, Anne et Patrick Poirier miniaturisent des ruines antiques pour rendre compte du danger qui pèse sur les cultures et la nature, sans cesse menacées par la violence des hommes et de l'histoire.
Si les maquettes noires des années 70 sont ancrées dans le passé, l'antiquité, les ruines, la mémoire et le chaos, celles des années 90, d'une blancheur immaculée, tentent de représenter sous forme de musées ou de bibliothèques utopiques, l'organisation du savoir, de la psyché humaine et de la mémoire. Avant même de connaître l'œuvre d'Aby Warburg, ils donnent à ces architectures la forme de l'ellipse, figure géométriquement parfaite qui symbolise pour eux la forme du cerveau. Deux d'entre elles du nom de Mnémosyne (1990-92), aussi monumentales qu'envoûtantes, sont emblématiques de cette évolution esthétique d'Anne et Patrick Poirier, qui trouve une de ses sources dans le site solaire de la Villa Adriana et traduit symboliquement le passage de l'ombre à la lumière. Certaines de ces maquettes ovales et blanches, telle Ouranopolis (1995), relèvent du domaine de l'anticipation.
A l'occasion de l'exposition De Memoria Et Reminiscentia, Anne et Patrick Poirier présentent, au sein de l'espace historique de la galerie de la rue du Temple, un ensemble d'une dizaine de maquettes accompagné de dessins préparatoires et de photographies retraçant l'évolution de cette forme dans leur œuvre des années 70 aux années 90.
Anne et Patrick Poirier ont étudié à L'Ecole nationale des Arts décoratifs de Paris et séjourné comme pensionnaires de la Villa Médicis à Rome de 1967 à 1971. Ils ont participé à de nombreuses expositions internationales telles que la Biennale de Venise (1976, 1980 et 1984), la documenta VI à Kassel (1977) et la Biennale de Lyon en 2000. Leur travail a fait l'objet d'expositions dans les institutions les plus prestigieuses, telles que la Neuer Berliner Kunstverein à Berlin (1977), le Centre Georges Pompidou à Paris (1978), le MoMA à New York (1978) et The Getty Research Institute à Los Angeles (1999). Plus récemment, leur travail a été présenté au Couvent de la Tourette (2013) et au Musée des Beaux-Arts de Nantes (2014), au Musée Cocteau à Menton (2015), à la Triennale d'Echigo Tsumari Art Field au Japon (2015), au Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Etienne (2016) et au Skulpturenpark Waldfrieden-Tony Cragg Foundation à Wuppertal (2016).
A l'occasion de l'exposition rétrospective des photographies d'Anne et Patrick Poirier à la Maison européenne de la photographie, les éditions Flammarion publient une monographie dédiée à l'ensemble de leur œuvre.
School Gallery 322, rue Saint-Martin 75003 Paris M° Strasbourg - Saint-Denis, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 71 78 20 Mobile : +33 (0)6 13 50 78 87 Mail : olivier.schoolgallery@gmail.com Internet Site : www.schoolgallery.fr
Description:
Céramiques - Photographies - Installations
Exposition
7 septembre > 28 octobre 2017
Mardi > samedi 14h > 19h et sur RDV
Des femmes en bas résilles, des rousses, et puis des types en cuir ou torses nus se battent avec des hommes en marcel et des hommes en chemise. Certains portent une cravate ou un foulard de casseur des villes. D'autres ont un casque de soldat ou une chapka. Ils manient, gauches, des épées, des sabres, des mitraillettes, du gaz lacrymogène. Ils brandissent des drapeaux au bout de pics ou bien s'écroulent à terre. Coincés là, ils essayent de sauver leur peau. Quelle est leur guerre ? Et ces chevaliers, et ces chevaux qui traversent au galop des zones mouvantes, s'épuisent-ils dans le vide, une mer, le brouillard ? Sont-ils en Russie, dans les campagnes françaises ? Peu importe. Ils sont partout, nulle part, projetés dans une nature devenue théâtre d'illusions.
Et tout bouge, s'agite dedans. Tout déborde, penche, flanche, s'évade, s'empile, couche sur couche, comme un mille-feuilles. Les montagnes sont gelées, les collines floues, les fougères menaçantes. Ça pleure, crie, meurt au pied de ciels rouges et d'une orgie d'œufs mimosa et de mayonnaise. Des tranches de lard, des rangées de côtelettes et des bancs de poissons s'invitent aussi dans le décor : le chant du ventre s'accroche au chant d'honneur.
Les Bachelot Caron inventent des batailles qui ressemblent à des pièces montées, à des farces rabelaisiennes.
Elles sont des dystopies (tragi-comiques), presque des pastiches qui ont la noblesse des grands genres. Elles se dressent, fières, sur des toiles photographiques immenses, avant de glisser dans la matière, le volume : la céramique.
Car de ces guerres hallucinées, jaillissent un tas de choses et d'êtres en grès, en porcelaine : une corne d'abondance, un trop-plein pour tromper l'œil, un festin de gloutons. On dirait qu'une armée de coraux, d'éponges, de vers marins est venue se ficher dessus comme une fragile, une vieille dentelle. Au menu donc, des gâteaux de roses, des fontaines givrées, des têtes de guerriers, des corps coupés en deux, des pieuvres qui mangent des homards, des saladiers plein, des crustacés. Les Bachelot Caron ont fouillé leurs légendes. En archéologues, ils ont plongé dans la terre et lui ont arraché un monde englouti : les restes d'un banquet ou d'une ripaille qui aurait mal tourné. On est chez Gargantua, Pier Paolo Pasolini, Ferreri, Salvador Dalí, on est chez les ogres, dans un opéra de sucre et de faux sang, à des bacchanales. On est dans un dispositif sans cadres ni limites où la peinture, la photographie, la sculpture, la mise en scène se nourrissent, s'avalent et se digèrent entre elles. Dans les œuvres des Bachelot Caron, oui tout déborde, s'emmêle, se déguise : le rire, la violence, les excès, la jouissance. La mort, la vie.
Galerie Hayasaki Atelier MIRE 12-14, rue des Jardins Saint-Paul Village Saint-Paul 75004 Paris M° Saint-Paul, Sully - Morland, Pont Marie France Phone : +33 (0)1 42 71 10 29 Mobile : +33 (0)6 89 38 19 48 Mail : kayokohayasaki@gmail.com Internet Site : www.hayasaki.fr
Description:
Vernissage Jeudi 7 septembre 2017
De 18h00 à 21h00
Exposition du 6 septembre au 10 septembre 2017
14h00-19h00
Fermé le lundi et le mardi
OBJETS ET BIJOUX EN VERRE SOUFFLÉ
Daisuke Takatomi est un artiste souffleur de verre, qui travaille dans son atelier à Hokkaido. Keiko Iwamatsu est une créatrice de bijoux basée à Osaka. Les deux artistes ont commencé à travailler ensemble en 2013, puis ont créé une marque de bijoux en verre soufflé « usapi » en 2016. Leurs bijoux ont déjà du succès à Tokyo et à Paris (Maison & Objet 2017). Takatomi crée des pièces uniques en verre soufflé, comme il compose des poèmes sur la beauté de la nature qui l'inspire (l'eau, la source, la lune...). Ensuite, Iwamatsu reçoit ces éléments et les transforme en bijoux, en les associant avec des métaux précieux. Chaque œuvre, qui est une pièce unique, est le fruit du dialogue entre les deux artistes. La Galerie Hayasaki présente plus de cent bijoux, accessoires, gobelets et vases en verre soufflé.
Laurence Esnol Gallery 7 & 22, rue Bonaparte 75006 Paris M° Saint-Germain des Près France Phone : +33 (0)1 46 33 47 01 Fax : +33 (0)1 43 26 23 14 Mail : info@laurenceesnolgallery.com Internet Site : www.laurenceesnolgallery.com
Description:
Dongni Hou est née en 1987 en Chine dans la province du Liaoning à Fuxin. Elle étudie les arts plastiques dès son plus jeune âge et intègre à 19 ans la célèbre Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg en Russie. A l'occasion de l'obtention de son Master, plusieurs de ses œuvres sont choisies pour rejoindre les collections permanentes du Musée de l'Académie.
Elle vit et réside aujourd'hui en France. Ses oeuvres sont présentées chez Laurence Esnol Gallery.
«âme sensible» dévoile sous les pinceaux de l'artiste toutes les nuances poétiques de l'âme humaine, même dans les recoins les plus sombres, soutenues par des couleurs savamment utilisées. Derrière parfois un aspect sage, une seconde lecture de l'oeuvre de Dongni HOU tort le cou aux mièvreries et nous emporte avec un humour sombre dans son univers aussi singulier que fantastique. Un travail très personnel et résolument à part...
Galerie Jean Fournier 22, rue du Bac 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 97 44 00 Fax : +33 (0)1 42 97 46 00 Mail : info@galerie-jeanfournier.com Internet Site : www.galerie-jeanfournier.com
Description:
7 septembre - 21 octobre 2017
Cette exposition s'inscrit dans un cycle initié en janvier 2017 par le Musée des Beaux-arts de Soleure (Suisse) avec Pencilmania, une rétrospective sur dix ans de dessin et de photographie, suivie de l'exposition Contact au Cabinet des dessins Jean Bonna des Beaux-Arts de Paris. Puis, fin 2017, la Fondation Fernet-Branca à Saint-Louis lui consacrera une grande exposition. Associées à la galerie Jean Fournier, chacune de ces institutions a publié un catalogue spécifique, singularisant ainsi chaque projet.
Un ensemble de dessins de format 140 x 110 cm, présenté à Soleure, constitue le noyau de l'exposition à la galerie. Sur ces œuvres, travaillées à la mine de plomb et/ou au crayon de couleur, la ligne suit des rythmes très différents. Sur tel dessin, elle occupe toute la surface tel un labyrinthe. Le geste est ample et presque gracile. Sur d'autres, le geste plus répétitif se densifie pour créer des masses plutôt que des traits. Certaines lignes sont davantage marquées car Gilgian Gelzer revient à plusieurs reprises sur le trait ou la masse. Il structure ainsi le dessin, entre grâce et pesanteur.
Vers 2008, les œuvres étaient très colorées. Gilgian Gelzer faisait coexister davantage de couleurs, pensées en tant que masses plutôt que traits. Depuis cette période, les lignes se sont allégées et les couleurs se sont fixées dans les variations de bleu et de rouge. Mais ses dessins récents (2015-2016) tendent principalement vers le rouge. Ses superpositions colorées creusent et structurent l'espace différemment. Suivant un mouvement d'expansion, le rouge, avec ses variations de carmin à orangé ou rose, confère une forme d'énergie particulière au tracé.
L'artiste dessine toujours debout (sauf pour certains très grands formats qu'il réalise au sol). Cette configuration lui permet de se mesurer à l'espace de la feuille et d'engager un dialogue direct et physique au moment de la réalisation. Qu'il travaille au mur, sur table ou au sol, l'artiste se laisse porter par son geste. Ce n'est pas seulement la main qui agit, ni le bras mais le corps tout entier. « Gilgian Gelzer dessine sous pression. Comme s'il était, littéralement traversé par une force, un courant d'énergie auquel il lui faut, crayon à la main, trouver une issue ».1
Des dessins plus petits sont également présentés. Quel que soit le format, le geste de l'artiste ne suit aucun programme, il est porté par le désir de découvrir un espace et de parvenir à lui donner corps dans la feuille, immense ou très petite. Sur certains dessins, le regard tente de suivre les lignes tandis que sur d'autres il peut se perdre mais chaque fois, un mouvement se met en marche. Optique, physique et presque musical : « Le dessin de Gelzer ressemble à une marche, un mouvement tournant, une vraie danse, à un tempo variable, tantôt léger et alerte, tantôt harassant et rude, comme s'il fallait vaincre les obstacles les plus difficiles pour trouver la voie ».2
> Fondation Fernet-Branca, Saint-Louis, du 18 novembre 2017 au 21 février 2018
1 Pierre Wat, Être là, catalogue de l'exposition Contact, Beaux-Arts de Paris Éditions, page 11.
2 Christoph Vögele, Cartographe et chasseur de papillons, catalogue de l'exposition Pencilmania, page 16.
Galerie Bertrand Grimont 42-44, rue de Montmorency 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 71 30 87 Mobile : +33 (0)6 85 45 01 30 Mail : info@bertrandgrimont.com Internet Site : www.bertrandgrimont.com
Description:
au 42, rue de Montmorency
9 septembre - 28 octobre 2017
Vernissage le samedi 9 septembre de 18h à 21h
Preview le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
Les peintures semblent nées d'une chambre noire à laquelle on aurait fait subir une exposition courte et violente. Empruntant au champ photographique, Gregory Derenne procède par négatif. La couleur vient se fondre dans le noir de la toile satinée pour faire apparaître l'image. Cette économie proprement interne de la lumière donne un éclat particulier au motif. Il devient impossible de distinguer l'artificiel du naturel ou d'identifier un moment précis de la journée ou
de la nuit.
En regardant la beauté inerte de ces lieux sans qualités, les célèbres mots de Baudelaire sur le peintre de la vie moderne, Constantin Guys, revêtent une étonnante actualité : « Il s'agit, pour lui, de dégager de la mode ce qu'elle peut contenir de poétique dans l'historique, de tirer l'éternel du transitoire. » Peintre de la vie postmoderne, des plateaux télé et des escalators en acier brossé, Derenne recadre jusqu'au vertige; il s'intéresse à l'anodin pour le hisser vers le mystérieux. De ces lieux de passage désertés se dégage une inquiétante étrangeté, au seuil de l'irréalité. Ce n'est donc pas un hasard si ses peintures font penser aux scènes de crime que Walter Benjamin voyait dans les clichés d'Eugène Atget, ces « images qui inquiètent celui qui les regarde ; [et pour lesquelles] le spectateur devine qu'il lui faut chercher un chemin d'accès. » Ou peut-être une voie de sortie par un escalier qui semble infini. Autrefois symbole d'élévation spirituelle dans la clarté obscure d'un Rembrandt, de désir sexuel dans les pans de bruns de Duchamp et les couches de gris de Richter, l'escalier d'aujourd'hui ne reflète plus que la vanité des néons restés allumés alors que l'activité a cessé.
Pierre-Henri Foulon, 2016
«Je veux bien que Derenne se fiche de son sujet, je veux bien que ses peintures de métro ne portent pas plus la marque d'un message social que ses peintures d'églises ne portent celle d'une ferveur religieuse. Mais il reste que son tableau du métro Madeleine a autant de grandeur que ses intérieurs d'église : une grandeur sans ironie, sans pathos, sans froideur - et d'où se dégage le paradoxe bien sincère de la vue contemporaine d'une église d'hier et celui de la vision quasi religieuse d'un escalator de métropolitain - que j'apprécie tant. (...)»
Hector Obalk («Le subtil ignorant», Le Cahier dessiné, mars 2014)
Grégory Derenne, Fenêtre, 2017, huile sur toile noire, 130 x 89 cm
Galerie Paris-Beijing 62, rue de Turbigo 75003 Paris M° Temple, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 74 32 36 Mail : paris@galerieparisbeijing.com Internet Site : www.galerieparisbeijing.com
Description:
Exposition du 7 septembre au 28 octobre 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre 2017, de 18h00 à 21h00
L'exposition Revealing Disappearance dévoilera les toutes dernières réalisations de l'artiste chinois Liu Bolin, profondément engagé sur les questions environnementales.
Très tôt dans sa carrière, l'écologie devient un sujet majeur de sa production artistique. En 2011, il brave les eaux polluées du fleuve Jaune, situé dans l'une des régions les plus industrialisées de son pays. En 2015, il organise une performance collective au bord d'une grande forêt artificielle destinée à empêcher la propagation du désert de Gobi dans les Territoires de la Chine septentrionale. En 2016, il pose parmi des montagnes d'ordures dans un centre de collecte à Bangalore, en Inde. En juin 2017, l'artiste s'est rendu sur la Côte Atlantique Française pour réaliser deux nouvelles performances en collaboration avec Surfrider Foundation Europe. Son objectif: contribuer à alerter l'opinion publique sur la problématique des déchets aquatiques. L'ONG Surfrider mène des campagnes de sensibilisation et multiplie les actions contre la pollution causée par les déchets plastiques et oeuvre ainsi en faveur de la protection de l'océan.
Les photographies liées à sa plus récente intervention en France figureront dans l'exposition, à côté de ses précédentes performances réalisées en Chine et en Inde, où l'industrialisation fulgurante et la croissance vertigineuse de la population ont affecté les climats urbains, en particulier la qualité de l'air. Selon le rapport du State of Global Air 2017, en 2015, les deux pays ont connu environ 1.1 million de décès prématurés en raison de la pollution atmosphérique.
En même temps que son travail photographique, une installation in situ de la série VISA Portrait, composée d'une douzaine de filtres à air de voiture, sera également exposée à la galerie. La différence chromatique due au degré de pollution de ses composants attire immédiatement l'attention du spectateur. Une deuxième lecture révèle le portrait d'un inconnu. L'installation joue avec le concept d'individualité et la notion de cause à effet.
La vidéo de 28 minutes Winter Solstice (2016) sera également présentée au public pour la première fois à Paris. Sur les notes de Musical Erratum de Marcel Duchamp des danseurs camouflés luttent en disparaissant dans le smog de Pékin. Le titre fait référence à la date du 20 décembre, précédant de deux jours le solstice d'hiver, une festivité importante dans le calendrier chinois traditionnel. La chorégraphie s'inspire des mouvements que l'homme fait instinctivement avant de rendre son dernier souffle. Cet ensemble de travaux représente une réflexion sur les conséquences délétères des actions humaines sur notre propre habitat. Nous sommes désormais bien loin des principes taoïstes au coeur de la tradition chinoise, évoquant une relation harmonieuse et durable entre les humains et la nature.
Liu Bolin, The Winter Solstice, 2016, video, 28m (video still)
Pour Liu Bolin, «l'homme se développe en détruisant son propre environnement. Le prix qu'il doit payer pour la splendide civilisation est la perte de conscience de son appartenance au règne animal. En profitant du développement qu'il a accompli, l'homme est en train de creuser sa tombe par sa propre cupidité. Les gens exigent trop de la nature et de l'environnement. Nous réaliserons bientôt combien nous sommes minuscules. Notre désir domine notre comportement. Nous allons faire face à beaucoup de problèmes à l'avenir « .
En disparaissant dans un décor hautement symbolique, Liu Bolin continue de dénoncer avec finesse certaines questions importantes de notre temps en questionnant la place de l'individu dans son propre environnement.
Sa disparition stimule les spectateurs à la fois intellectuellement et émotionnellement, juste le temps pour eux de découvrir la silhouette cachée dans la photo. « J'espère que mes travaux seront un avertissement pour ma génération et pour les générations à venir ».
L'exposition se déroulera simultanément avec la rétrospective de l'artiste qui aura lieu à la MEP, Maison Européenne de la Photographie du 6 au 29 octobre. Cette première monographie institutionnelle de l'artiste en France couvrira dix ans de sa production artistique axée sur quatre thèmes principaux: la politique et la censure, la tradition et la culture chinoise, la société de consommation et la liberté de la presse.
Du 9 septembre au 8 janvier, Liu Bolin investira la Galerie des Enfants du Centre Pompidou dans le cadre de l'événement Galerie Party pour célébrer le 40ème anniversaire du Musée. À cette occasion, il réalisera une performance publique en disparaissant devant une installation conçue par Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard du studio GGSV .
Liu Bolin est né à Binzhou (province de Shandong), en 1973, en Chine, et a étudié la sculpture à CAFA, Central Academy of Fine Arts, diplômé d'un MFA en 2001. Au cours de cette dernière décennie, son travail a été largement exposé dans de nombreux musées et institutions à travers le monde. Il vit et travaille à Pékin.
Galerie Thomé anciennement Galerie Feuillantine 19, rue Mazarine 75006 Paris France Mobile : +33 (0)6 37 23 84 88 Mail : contact@galerie-thome.com Internet Site : www.galerie-thome.com
Description:
Exposition du 7 au 30 septembre 2017
Vernissage le 7 septembre de 18h à 21h
Galerie Paris-Beijing 62, rue de Turbigo 75003 Paris M° Temple, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 74 32 36 Mail : paris@galerieparisbeijing.com Internet Site : www.galerieparisbeijing.com
Description:
Exposition du 7 septembre au 28 octobre 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre 2017, de 18h00 à 21h00
Création d'une project room au sein de la galerie : Le PBProject
Une galerie grandit au fil des années et parallèlement, ses artistes développent leurs carrières. Il devient alors de plus en plus difficile pour le galeriste d'exercer son rôle de défricheur, voir de découvreur. Pourtant, comme le démontre sa programmation depuis 2014, la Galerie Paris-Beijing reste désireuse de continuer à faire découvrir toute une nouvelle génération de jeunes artistes et de continuer de les accompagner dans leur développement.
C'est pourquoi, dès la rentrée 2017, la galerie consacrera un espace d'exposition de 50 m2 exclusivement dédié à la programmation, au soutien et à l'accompagnement de la jeune création. Cet espace, ouvert à toutes les pratiques plasticiennes, offrira carte blanche, au rythme de six expositions annuelles, à de jeunes artistes désireux d'exposer à Paris.
Pour inaugurer le PBProject, Léa Belooussovitch présentera sa dernière série de dessins sur feutre. Basés sur un profond questionnement sur le statut de l'image, elle interprète des images de presse qu'elle glane puis transforme questionnant ainsi la perception et la compréhension de l'information au travers de son illustration.
Les photographes de guerre ou les journalistes de terrain nous renvoient quotidiennement des preuves tangibles des drames qui surviennent aux quatre coins du monde. Sans parfois chercher à comprendre précisément ce que ces images racontent, où elles ont été prises et quand, nos yeux, devenus quasi insensibles, semblent s'être égarés dans une habitude visuelle.
Nos rapports aux moyens de communication, à l'Histoire vue par les médias, les faits divers, l'archive, et l'information sont au coeur du travail de Léa Belooussovitch. Dans la série de dessins sur feutre présentée à la Galerie Paris-Beijing, elle transpose de manière voilée diverses images diffusées sur internet ou publiées dans la presse écrite, d'évènements dramatiques de notre histoire contemporaine, comme l'explosion d'un bus piégé en Somalie, une fusillade au Bangladesh, un attentat au Pakistan ou une boîte de nuit devenue cible d'une attaque à Istanbul.
Les silhouettes d'hommes et de femmes, dans une situation précaire, sont délicatement reconstituées par un travail aux crayons de couleurs directement appliqués sur la surface blanche, lisse et rassurante d'une large pièce de feutre. Le dessin généré crée un flou qui atténue les formes, par le mélange des pigments à la fibre textile. La mise au point est ainsi rendue impossible par la propriété du feutre d'emprisonner les couleurs des crayons.
Un travail préalable de recadrage sur la partie centrale de l'action de la photographie d'origine brouille d'autant plus les pistes, laissant sa composition originelle à peine reconnaissable. Certains indices aident cependant le regard à rétablir une scène narrative à partir de l'abstraction, encourageant l'oeil et le cerveau à tenter de reconstituer une image. Le support, transformé par le passage du crayon, acquiert du volume et permet au dessin de prendre une dimension sculpturale.
Rémanences évoque le phénomène par lequel une empreinte visuelle subsiste après disparition de l'excitation objective d'origine. En psychologie, on utilise ce terme de persistance rétinienne pour décrire le fonctionnement de la vision attribuant à l'oeil une image rémanente durant 1⁄25ème de seconde sur la rétine: «Si après avoir regardé pendant un certain temps un objet coloré, on ferme les yeux en les couvrant aussitôt d'un mouchoir sur lequel on applique les deux mains, on verra bientôt apparaître une image d'une couleur complémentaire de celle de l'objet ».*
De la même façon, dans le processus de création de Léa Belooussovitch la vue s'imprègne du cliché et au moment où le regard se tourne vers le feutre vierge, le geste est porté par la mémoire persistante des formes, de la composition et des couleurs.
Le dessin reprend l'image journalistique nette, aux couleurs vives capturant sur le champ et sans aucun détour la souffrance extrême des individus. L'information visuelle provenant du médium photographique est ainsi rendue plus tolérable par le biais de sa transcription manuelle. L'image apparaît comme évanescente, tel un fantôme, devenant l'empreinte de sa source dans nos mémoires. Son pouvoir est pourtant là, dans cette retranscription intime d'un récit d'une brutalité telle qu'elle empêcherait le regard de s'attarder. C'est justement cet écart entre le référent et le référé que met en avant le travail, cette distance qui nous en éloigne tout en étant proche physiquement de l'oeuvre.
Pour reprendre les mots du critique Yoann Van Parys « Touchant à une esthétique de la disparition, les oeuvres de Léa Belooussovitch nous interrogent sur notre rapport à la violence, notamment des images, liées aux faits de société et mettent en lumière la vulnérabilité d'un moment précis, rendant compte d'une forte humanité ».
Joseph Beuys avait utilisé le feutre comme matériau symbolisant la sécurité et le refuge. Pour Léa, le choix de ce textile qui isole du froid et du bruit, rappelant l'enveloppement des couvertures de survie, sert le propos: il suggère une empathie de l'artiste avec ses sujets comme si elle était portée par un instinct de protection.
*Pierre Auguste Adet, Annales de Chimie, 1835
Plasticienne née à Paris en 1989, Léa Belooussovitch vit et travaille à Bruxelles. Après l'obtention d'un master en dessin à l'ENSAV La Cambre en 2014, elle décroche la même année le Prix et la résidence Moonens, suivi en 2015-2016 d'une résidence à la Fondation du Carrefour des Arts à Bruxelles. Elle est nommée pour l'édition 2016 du Prix Révélations Emerige et remporte le prix COCOF à la Médiatine à Bruxelles début 2017. Elle est lauréate de la bourse COCOF de la Maac de Bruxelles en 2017, lui permettant de bénéficier d'une résidence et d'une exposition personnelle. Au mois de Novembre prochain elle sera en résidence à Bandjoun Station, un projet artistique crée par l'artiste Barthelemy Toguo au Cameroun. Elle est membre du collectif FRICHE basé à Bruxelles, qui organise des résidences et des expositions dans des lieux abandonnés.
Galerie NeC - Nilsson et Chiglien 20, rue des Coutures Saint-Gervais 117, rue Vieille du Temple 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)9 54 74 78 51 Fax : +33 (0)1 42 77 88 83 Mail : galerienec@gmail.com, necdesignparis@gmail.com Internet Site : www.galerienec.com
Description:
En collaboration avec la Speerstra Gallery, la Galerie NeC est heureuse de vous présenter dans ses deux espaces parisiens l'artiste MAMBO.
Quand : le jeudi 7 septembre 2017 à partir de 18h.
Où : Galerie NeC nilsson et chiglien
117 rue Vieille du Temple
75003 Paris
Tiny Café 11, rue Daval 75011 Paris M° Bastille, Bréguet - Sabin France Mobile : +33 (0)6 22 10 82 09 Internet Site : www.tinycafe.fr
Description:
Exposition : du mardi 5 septembre au mardi 3 octobre 2017
Horaires : lundi au samedi 13h00-2h00
"Grains de Beauté", c'est le thème de ma prochaine exposition de dessins originaux et affiches imprimées au super-bar Le Tiny Café. Elle aura lieu à la fin de cet Été caniculaire, du mardi 5 septembre (jour de l'accrochage) jusqu'au 3 octobre 2017. Le vernissage aura lieu le jeudi 7 septembre à partir de 18h où vous êtes tous plus que joyeusement conviés à ce grand évènement !
Pour ceux qui on assisté à ma première exposition "Scènes de Cinéma" en janvier dernier, il s'agira ici d'un tout autre point de vue. Bien loin de l'industrie du cinéma, nous aurons ici des scènes très personnelles avec des images qui me sont propre, mettant en scènes les méandres d'un corps couvert de grains de beauté.
Galerie Gadcollection 4, rue du Pont Louis-Philippe 75004 Paris M° Pont Marie - Cité des Arts, Hôtel de Ville, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 43 70 72 59 Mobile : +33 (0)6 86 08 32 20 Mail : info@gadcollection.com Internet Site : www.gadcollection.com
Description:
4 rue du pont Louis-Philippe
75004 PARIS
Ambrotypes
Vernissage / Opening : 7 septembre 2017
7 - 20 Septembre 2017
Matthias Olmeta, Ines et Grego, Ambrotype, 70 x 140 cm. Pièce Unique
VNH Gallery 108, rue Vieille du Temple 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 85 09 43 21 Mail : gallery@vnhgallery.com Internet Site : www.vnhgallery.com
Description:
Matthieu Ronsse "Quand je suis venu au monde, j'étais ton oeuf"
VNH GALLERY
IS DELIGHTED TO ANNOUNCE THE TWO-CHAPTERED EXHIBITION
MATTHIEU RONSSE
CHAPTER ONE / JULY 7 - 29, 2017
OPENING FROM 6:00 TO 9:00PM
"L'AMOUR DANS LES CORDES, DANS UN CADRE PLUS OU MOINS ÉROTIQUE"
CHAPTER TWO / SEPTEMBER 7 - 20, 2017
OPENING FROM 6:00 TO 8:00PM
"QUAND JE SUIS VENU AU MONDE, J'ÉTAIS TON OEUF"
Matthieu Ronsse lived in the gallery the whole month of August. In this temporary "studio", he revisited his July's exhibition offering and devising new works while bathing in the influences of the French capital and its abundant sources of inspiration.
Galerie MFC Michèle Didier 66, rue Notre Dame de Nazareth 75003 Paris M° Temple, Strasbourg - Saint-Denis, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 71 27 34 41 Mail : info@micheledidier.com Internet Site : www.micheledidier.com
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VERNISSAGE: Jeudi 7 septembre 2017 de 18h à 21h, en présence de l'artiste
EXPOSITION : du 8 septembre au 10 novembre 2017
mfc-michèle didier a le plaisir de présenter "Singer Notes, 1968" une publication et "Singer Notes" une exposition de Mel Boch- ner à la galerie mfc-michèle didier
"Singer Notes" est une œuvre déterminante et pourtant étrangement inconnue de l'artiste américain Mel Bochner. Bien qu'elle contienne les premières expressions d'idées qui se révélèrent fondamentales pour le travail extrêmement influent que Bochner a produit depuis la fin des années 1960, les "Singer Notes" sont restées largement négligées.
Galerie Chez Valentin 9, rue Saint-Gilles 75003 Paris M° Chemin Vert France Phone : +33 (0)1 48 87 42 55 Fax : +33 (0)1 48 87 44 35 Mail : galerie@galeriechezvalentin.com Internet Site : www.galeriechezvalentin.com
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Du 7 septembre au 7 octobre 2017.
Vernissage le 7 jeudi 7 septembre de 18 à 21h
1. Imaginez-vous pénétrant dans le décor abandonné d'un film de science-fiction de série B. On y voit, à l'intérieur d'un centre commercial sous saisie, un magasin appelé The Silk Road où des antiquités rares, importées illégalement depuis des zones de guerre, franchissent l'au-delà pour y rencontrer leurs doubles de contrefaçon, produits industriellement. Et bien qu'il y ait assez de preuves sur le tournage pour permettre une analyse médico-légale, il n'est pas simple de déterminer immédiatement la cause de la faillite ou ce pourquoi le tournage du film a brusquement cessé.
2. Qu'est-ce qui incite les petits entrepreneurs immigrés à décorer leur commerce de fortune avec des posters aux couleurs vives représentant des monuments historiques de leur pays d'origine ? La réponse à cette question n'est peut-être pas tant liée à la fierté nationale ou à la conservation du patrimoine mais davantage à un désir de minimiser le coût élevé de la vie sur le marché libre des migrations géopolitiques. La vraie fonction de ces images de monuments en tant que piètres moyens de survie est sans doute la même que celle d'autres éléments plus communs du restaurant, comme les meubles dont les répliques exactes se trouvent dans d'autres restaurants étrangers où l'on mange pour moins de 10€. On imagine habituellement que ce n'est qu'avec l'avènement de la modernité et le début du commerce international que les pays du sud ont commencé à produire, de façon industrielle, des artéfacts culturels destinés à la consommation occidentale. L'anthropologie montre pourtant que l'histoire de l'exportation illégale d'objets exotiques vers les pays occidentaux remonte bien avant l'arrivée des premiers Européens aux Amériques ou en Afrique. Il n'a pas fallu longtemps aux autochtones pour comprendre qu'ils pouvaient tirer profit de leurs cultures et traditions, et créer une industrie artisanale basée sur ce qui intéressait les Européens. Ce qui a peut-être changé aujourd'hui est le fait que ce commerce n'a plus une seule destination géographique ou culturelle évidente, mais une multitudes de points de production, de trafic et d'échange répartis partout sur terre sous la forme d'une nébuleuse semblable à la carte du réseau Internet. Dès lors, pourquoi s'étonner quand Hobby Lobby, l'un des plus gros fournisseurs de matériel de travaux pratiques et d'accessoires de décoration à bas prix aux Etats-Unis, est accusé de trafic d'objets anciens en provenance du Moyen-Orient ? Ne devrait-il pas être évident que les deux économies de production d'authenticité, de haute et basse gammes, qui sont en apparence distinctes possèdent la même base métaphysique ? À cet égard les objets authentiques, qu'ils soient ou non de qualité, fonctionnent comme les technologies de transport qui nous connectent à des lieux lointains inconnus et à leur temporalité.
3.L'un des leitmotivs du cinéma de science-fiction est la manière dont les différents développements souvent réalistes de l'intrigue sont soudain interrompus par un événement beaucoup plus important qui force la narration à abandonner ou à modifier son cours, révélant ainsi le thème principal ou la dynamique véritable du film. Dans le cas de Pier 1, ce brusque revirement se manifeste par l'arrivée du changement climatique et son rapport crucial à l'ornemental et au représentatif. Les lampes en cuivre récupérées, qui façonnent simultanément différents arrangements floraux et des molécules de gaz à effet de serre, servent aussi de décorations d'intérieur en filigrane. Tout comme l'environnement, lui-même substrat naturel de la verve planétaire, détermine nos modes de vie politiques, culturels et technologiques, la crise du climat est progressivement devenue la cause de tous les autres désastres humains qui sont présentés dans Pier 1. Ainsi le nom Pier 1 évoque-t-il un espace générique servant à l'échange d'objets inutiles entre le commun des habitants de la planète ainsi que le point naval de sortie et d'entrée au coeur du commerce comme de l'immigration de masse.
4. "Si l'on considère que la mondialisation signifie l'effacement des frontières et la libre circulation des personnes, des biens et des idées, il devient alors assez clair que le mouvement lui-même[anarchisme] est un produit de la mondialisation, mais aussi que la majorité des groupes qui y participent - les plus radicaux en particulier - contribuent à cette mondialisation généralement bien plus que ne le font le FMI ou l'OMC."
David Graeber, The New Anarchists, New Left Review, 2002
Pier 1 réimagine l'ambiance de la production, du trafic et de l'échange au sein de la culture matérielle mondiale. Des cadres en bois sculptés représentant des statues impériales, des oreillers en soie sur lesquels sont tracées des routes commerciales éblouissantes et pailletées de fleurs invasives, des meubles bon marché et des peintures murales représentant des Sites du patrimoine mondial à Palmyre accrochées sur les murs d'un petit restaurant de cuisine exotique comptent parmi les éléments composant Pier 1. L'humour masque à peine l'angoisse d'avoir à faire face à un monde agité et sans ancrage. Sous une apparence ludique, Pier 1 répertorie les manières dont les conséquences déplaisantes de la mondialisation deviennent de plus en plus horribles, avec des guerres sans fin, une immigration de masse, un climat bouleversé et une exploitation sans limites. Pier 1 met en scène le clash esthétique entre l'optimisme des années 90 envers la mondialisation et le multiculturalisme et la manière dont ceux-ci se manifestent aujourd'hui au travers du nationalisme réactionnaire, du chauvinisme et des idéologies identitaires, montrant comment ces deux aspects ont peut-être toujours été les deux faces du même phénomène. Cette ligne de partage n'est peut-être pas très différente du rapport dialectique qui existe entre la mondialisation et son opposition anarchiste.
Pier 1 présente les crises environnementale, politique et technologique de notre temps comme les fines couches superposées d'une pile renversée par la brusque modification cosmique de sa logique d'organisation interne. Des éléments provenant de lieux lointains et d'époques révolues qui, normalement, sont liés de façon proportionnelle selon l'évolution du temps et de l'espace semblent isolés les uns des autres. Les petites choses sont à présent gigantesques et inversement. Le champ de la gravité n'exerce plus son attraction habituelle.
Soumis aux pressions émotionnelles et psychologiques de la vie, il peut nous arriver d'avoir des rêves qui contiennent leur propre interprétation ou sont si cohérents qu'il ne leur en faut aucune. Enfermé dans l'espace sans cesse plus réduit de la valeur symbolique et écrasé par le poids de la substance métaphorique, l'art actuel a désespérément besoin de confronter notre monde tumultueux, débarrassé de son attirance pour un excès de références. À cet égard, Pier 1, comme répondant à une surenchère contemporaine de sens, prend en otage l'espace et les interprétations normatives de l'art afin d'en renouveler la fonction.
Ecrit par Mohammad Salemy
Galerie BSL Rive Gauche 10, rue Bonaparte 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés, Mabillon France Phone : +33 (0)1 56 81 61 52 Mail : info@galeriebsl.com Internet Site : www.galeriebsl.com
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7 septembre - 18 novembre 2017
Cocktail | Le jeudi 7 septembre 2017 | 18h - 21h
Elu Designer du Futur à Bâle en 2009 à l'âge de 28 ans, Nacho Carbonell est né en 1980 à Valence en Espagne et est diplômé avec félicitations de la Design Academy d'Eindhoven en 2007. Son travail fait partie notamment des collections permanentes du Fnac-Fonds national d'art contemporain, France, du Groninger Museum, Pays-Bas, et aux Etats-Unis du MoMA San Francisco, de l'Art Institute of Chicago et du Mint Museum.
'LUCIFERASE' et 'TIME IS A TREASURE' sont deux collections produites en exclusivité pour Galerie BSL. Chaque œuvre est une pièce unique, réalisée à la main. Nacho Carbonell rompt avec toutes les conventions pour inventer des créatures à la présence communicative qui sont immédiatement identifiables comme siennes. Fruits des expérimentations de Nacho sur les matériaux et de ses intentions narratives, ces œuvres dont émanent tendresse et poésie font appel à l'imagination, à la sensibilité et à la capacité de rêver de chacun.
'LUCIFERASE' est le premier travail de Nacho Carbonell à inclure de la lumière. Née en 2011 et agrandie depuis, 'LUCIFERASE' est une famille d'organismes lumineux qui surprennent par leurs couleurs et leurs textures intrigantes. « La racine de ce mot est "porteur de lumière" * et renvoie au système utilisé par la flore et la faune vivant dans les abysses, dans l'obscurité totale des grandes profondeurs des océans. Bien plus que des luminaires, je considère ces pièces comme des créatures qui émettent de la lumière. »
Galerie Joyce 168-173, galerie de Valois Jardins du Palais Royal 75001 Paris M° Palais Royal France Phone : +33 (0)1 40 15 03 72 Mail : ParisGallery@joyce.com Internet Site : www.joyce.com/art/
Description:
installation vidéos
Vernissage Jeudi 7 septembre 2017 de 18h à 20h30
* QUIZ * TOMBOLA * SURPRISES *
LE DÉTAIL QUI TUE est un théâtre d'images qui a la simplicité des cirques à l'ancienne, où l'on sait encore s'émerveiller de bulles de savonet se régaler du vide coloré d'une barbe-à-papa. Un héritage de la magie d'un Méliès, de la fantaisie d'un Averty, de la précision d'un Tati. La modernité de ce regard singulier posé sur la mode, nos comportements, nos attitudes et nos corpus d'images nous détourne de l'anecdote pour observer avec sincérité et humour notre quotidien.
Dans le regard unique que Nathalie Croquet pose sur les êtres et les choses, il y a beaucoup de poésie et une joyeuse confiance en l'humanité. Son point de vue d'artiste maîtrise l'art du décalage : d'un battement d'aile de papillon, le petit monde des apparences se détache de son axe et s'envole, comme une mappemonde gonflée à l'hélium.
La mode, légère et subtile n'aurait-elle jamais dû être autre chose que ces gracieuses illusions?
Dans le torrent d'images qui passent chaque jour sous nos yeux, ces histoires brèves scintillent dans l'uniformité des écrans.
Chaque nouvelle facétie du DÉTAIL QUI TUE est une gourmandise, façon grain de sel dans un bonbon. La surprise passée, le goût n'en est que meilleur.
Contact presse Jean-Albert Herman 0609144816 jeanalbert@noos.fr
Exposition du 30 août au 7 octobre 2017
Vernissage jeudi 7 septembre de 18h à 21h, en présence de l'artiste
Née en 1983, diplômée de Sciences Po puis de Hec, Nushka a appris la peinture au contact de trois artistes : deux peintres américains, Zawacky, pour le dessin et Maggie Siner, pour la couleur, et un peintre tchèque, Hashpa, pour la composition. Nushka vit aujourd'hui à Marseille.
Sa peinture allie la maîtrise technique classique et un style contemporain, où se mêlent influences américaines et européennes. Son sujet de prédilection, qu'elle traite avec une grande sensibilité, est la femme, sa beauté idéalisée, distante. Les lumières sont douces, le trait délicat, les couleurs tendres et harmonieuses. Les visages apparaissent simplement esquissés, les fonds tendent vers l'abstraction et la sensualité féminine sourd des toiles.
Dès ses premières expositions elle a rencontré le succès, aux Etats-Unis (Detroit, Miami, Los Angeles, New-York), en Belgique (Gand, Beloeil), en Italie (Venise) et en France (Paris, Neuilly).
Galerie Metropolis 16, rue de Montmorency 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 74 64 17 Mail : contact@galeriemetropolis.com Internet Site : www.galeriemetropolis.com
Incognito Art Club 24h/24 16, rue Guénégaud 75006 Paris M° Odéon, Mabillon, Pont Neuf, Saint-Michel France Mobile : +33 (0)6 51 80 33 94 Mail : artclub@incognito.vu Internet Site : www.incognito.vu
Description:
Exposition du 7 au 30 Septembre 2017
Vernissage Jeudi 7 septembre à 18h
The main story
In mathematics Null and void makes reference to quatitively zero, being empty. Within the shell, empty of their prior life lies the spiral of the golden ratio, with it's perfect dementions is used to define beauty and balance. This spiral, that starts from the void and continues into infinity appears in many renaissance artist's work to illistrate a perfect figure or landscape.
The unusualy large portortioned shells found in this installation by the artist Rachel Marks were inhabited by snails found behind her family home in Florida. The shell, now empty once carried the story of a creature is brought again life through the contact with viewers. It is their movement that brings music, harmony and life continuing the story of their infinite golden ratio within. A book, sceleton like the shells lies at the end of their path, the words evacuated, waiting to be rewritten by anyone who passes through, the empty boxes where the words once lived referencing the divided proportions that make up the golden ratio spiral within the shells.
Galerie Alain Margaron 5, rue du Perche 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Rambuteau, Saint-Paul France Phone : +33 (0)1 42 74 20 52 Fax : +33 (0)1 42 74 20 89 Mail : amargaron@wanadoo.fr Internet Site : www.galeriealainmargaron.com
Description:
sculptures et dessins
Autre salle : Jean Hélion, Bernard Réquichot, Fred Deux
Nous montrons à la galerie, du 7 septembre au 7 octobre, un ensemble de 35 sculptures et 10 dessins de Robert Groborne réalisés en 1986 et 2015. Il s'agit de l'ensemble des sculptures de Groborne qui restent disponibles, auxquelles s'ajoutent trois sculptures créées en 2017.
Si ces sculptures sont devenues rares, c'est qu'elles ne sont tirées qu'à un seul exemplaire, en raison du temps que l'artiste consacre à leur patine.
L'affleurement subtil et nuancé de couleurs à la surface du bronze contribue, comme une peau qui respire, à leur poésie et à leur mystère. Vivantes, elles interpellent le regard, non pas en dépit mais peut-être bien en raison de leur taille modeste. Elles ne s'imposent pas à nous mais exigent que nous allions vers elles, en prenant notre temps et avec beaucoup d'attention. C'est alors que surgissent leur monumentalité et leur puissance existentielle.
La rigueur des lignes, manifeste aussi dans la série des importants dessins de 1986 et 1991 qui accompagnent l'exposition, ne reste pas cloisonnée dans un monde idéal. Elle est transcendée par ce qui pourrait l'annuler : le passage du temps et l'érosion des formes. Peut-être, pour exprimer la fragilité de l'éternité.
Robert Groborne, Bronze n°04614, 2015, D 23 x 38 x 3.2 cm
Galerie Mitterrand 79, rue du Temple Hôtel de Montmort 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 43 26 12 05 Fax : +33 (0)1 46 33 44 83 Mail : info@galeriemitterrand.com Internet Site : www.galeriemitterrand.com
Description:
08/09 > 28/10 2017
Tony Oursler appartient à la génération qui a renouvelé l'utilisation de la vidéo en s'affranchissant des limites propres aux écrans de télévision. Ses œuvres ne se limitent pas à l'image vidéo proprement dite, elles constituent des dispositifs complexes investissant la sculpture, le dessin, l'installation et la performance.
Oursler est une figure incontournable de l'histoire récente de l'art vidéo et s'intéresse, depuis les années 70, à des projets combinant arts visuels et musique. Il a notamment composé de nombreuses bandes-son pour ses vidéos et installations qui ont été éditées sur différents supports. Il a également fondé avec l'artiste Mike Kelley le groupe de Rock-Punk expérimental The Poetics et a collaboré avec de nombreux musiciens tels que Tony Conrad, Kim Gordon, Glenn Branca, David Bowie, Thurston Moore, Jim Shaw, Arto Lindsay et Beck.
Durant ses études au California Institute of the Arts, Oursler a travaillé avec John Cage et découvert le synthétiseur Abe-Paik. Ces expériences ont façonné son travail multimedia généralement basé sur des protocoles aléatoires qui rythment ses installations. Avec la série Sound Digressions, Oursler continue son expérimentation. Il travaille à partir des performances de sept musiciens reconnus dont il combine les enregistrements dans un mode de lecture en perpétuel renouvellement. Les installations qui en résultent font l'effet d'une composition vivante et toujours changeante pour le spectateur. Les performances musicales des sept protagonistes, enregistrées en 2005, ont été pensées comme la matière première d'une série en 7 temps, basée de façon très libre sur la relation entre le son et le spectre chromatique. Sound Digressions: Spectrum sera présentée pour la toute première fois à la Galerie Mitterrand à Paris. Cette 2e version suit Sound Digressions in Seven Colors qui avait été montrée à la NYEHAUS à New York en 2005, puis largement exposée en Europe et en Amérique et qui fait dorénavant partie de la collection du Musée d'Art Contemporain de Chicago. Sept peintures vidéos (une par performers) qui avaient été produites et présentées à New York seront exposées à la Galerie Mitterrand cet automne.
Tony Oursler est né à New York en 1957. Il vit et travaille à New York. Tony Oursler a bénéficié de nombreuses expositions et rétrospectives dans les musées du monde entier et récemment au MOMA à New York (2016-2017) ou encore au Stedelijk Museum, Amsterdam (2014) et à la Tate Modern à Londres (2013). Ses œuvres sont présentes dans les plus prestigieuses collections telles que la Eli Broad Family Foundation, Los Angeles; le CAPC de Bordeaux, France; la Fondation Cartier à Paris; le Hirshhorn Museum and Sculpture Garden à Washington; le Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou à Paris; le MoMA à New York; le National Museum of Osaka au Japon; la Tate Gallery à London...
Galerie Bertrand Grimont 42-44, rue de Montmorency 75003 Paris M° Rambuteau, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)1 42 71 30 87 Mobile : +33 (0)6 85 45 01 30 Mail : info@bertrandgrimont.com Internet Site : www.bertrandgrimont.com
Description:
au 44, rue de Montmorency
9 septembre - 28 octobre 2017
Vernissage le samedi 9 septembre de 18h à 21h
Preview le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
sur une invitation de Bertrand Grimont et Gwenaël Billaud
« Il n'y a dans l'âme aucune volonté absolue ou libre ; mais l'âme est déterminée à vouloir ceci ou cela par une cause qui est aussi déterminée par une autre, et cette autre l'est à son tour par une autre, et ainsi à l'infini. »
Ethique, Spinoza, De la nature et de l'origine de l'âme
La grande thèse théorique de Spinoza est qu'il n'y a qu'une seule substance, infinie et unique, Dieu, qui se confond donc avec le monde, l'univers lui-même. (Dieu, c'est-à-dire la Nature).
Procédant par analogies, Vincent Corpet crée de grandes fresques mythologiques invitant à poser un regard neuf sur l'image peinte, un regard n'impliquant pas un sens de lecture préétabli. La peinture de Vincent Corpet fait référence par son procédé analogique à ce qui constitue un artiste et rend possible l'infini. L'artiste demeure immuable dans l'éternité.
Dans les Fuck Maîtres, Corpet convoque les maîtres de l'art, ancien ou contemporain et entretient le rapport physique avec le geste du passé, le transforme, l'efface. L'artiste effectue des retours sur sa mémoire.
« Grâce à l'art, au lieu de voir un seul monde, le nôtre, nous le voyons se multiplier, et autant qu'il y a d'artistes originaux, autant nous avons de mondes à notre disposition, plus différents les uns des autres que ceux qui roulent dans l'infini et, bien des siècles après qu'est éteint le foyer dont il émanait, qu'il s'appelât Rembrandt, ou Vermeer, nous envoient encore leur rayon spécial. »
Le Temps Retrouvé, Marcel Proust, p 202, Gallimard
Le process même de l'analogie est un moyen de se souvenir et de retracer le passé comme un cheminement vers l'infini. L'œil de Corpet enregistre et mêle des fragments de corps, des animaux, des végétaux ou bien même des objets du quotidien, des architectures voire des paysages à de nouvelles compositions. Comme de l'utilité de ce qui précède, les œuvres de Corpet semblent rejoindre le souffle de Spinoza. L'universel de la peinture et la substance infinie de l'art.
L'être recréé par les analogies devient une nature naturée touchant immédiatement à Dieu. La Nature naturée se transforme par des combinaisons nouvelles.
« Que nous avons déjà trouvé précédemment qu'il doit exister un être infini et parfait, par quoi on ne peut entendre autre chose qu'un être duquel tout doit être affirmé du tout. Car, à un être qui a une certaine essence, des attributs doivent appartenir et, plus on lui reconnaît d'essence, plus on doit lui reconnaître d'attributs, et par suite, si cet être est infini, ces attributs aussi doivent être infinis et c'est précisément là ce que nous appelons un être parfait (Infini) »
Traité de la réforme de l'entendement, Spinoza, chapitre I
Le Corps est son âme. Le Sexe aussi, tout se mélange dans l'éternel. Tout chez Corpet évoque l'infini. Il n'existe qu'une substance illimitée. L'exposition se dessine comme une rétrospective d'éternité.
Gwenaël Billaud
Vincent Corpet, série Dessais, 3755 P 18, 19, 20 X 14 h/t 130x97, 2014, 130 x 97 cm
Galerie Dix9 19, rue des Filles du Calvaire 75003 Paris M° Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 42 78 91 77 Mobile : +33 (0)6 33 62 94 07 Fax : +33 (0)1 42 78 91 77 Mail : info@galeriedix9.com, hlacharmoise@yahoo.fr Internet Site : www.galeriedix9.com
Description:
07.09 - 24.09 2017
Vernissage Jeudi 7 septembre 18h-21h
en partenariat avec le Festival JerkOff au Carreau du Temple, Paris
De ses origines de «presque bûcheron» et de ses balades dans les paysages de son enfance, Vincent Voillat garde un goût de la découverte, mais aussi un rapport trés tactile à la matière. Grand collecteur de pierres et minéraux, il crée des associations trés simples, sorte d'abérrations géologiques mais toutes empreintes de spiritualité.
Pour sa première exposition personnelle en galerie, Vincent Voillat propose une traversée dans son univers, où des travaux anciens côtoient ses créations les plus récentes. Rythmée par un texte qui sera lu pendant toute sa durée, l'exposition est construite comme un parcours où chaque élément (vidéo, sculpture, dessin, photographie, bande son...) vient étoffer une narration complexe et sensible.
LAYERS (L'empreinte), 2014
impression pigmentaire, 100x80 cm
Galerie Charlot 47, rue Charlot 75003 Paris M° Filles du Calvaire, Temple, République France Phone : +33 (0)1 42 76 02 67 Mail : info@galeriecharlot.com Internet Site : www.galeriecharlot.com
Description:
VERNISSAGE le jeudi 7 septembre à partir de 18h
Exposition du 8 septembre au 7 octobre 2017
La Galerie Charlot présente l'exposition collective "Dadaclub.online Paris".
Commissaire d'exposition : Fabio Paris avec Link Art Center, Brescia, It
Dadaclub.online est un projet collaboratif conçu pour célébrer les 100 ans du dadaïsme. Pendant un an, Dadaclub.online publia des copies numériques haute définition d'une sélection d'oeuvres Dada, et invita des artistes du monde entier à les télécharger et les utiliser dans leurs travaux : dadaclub.online
Une sélection d'oeuvres originales Dada de la collection Campiani et leurs remixages par des artistes contemporains seront présentés à la Galerie Charlot.
Oeuvres Dada de : Marcel Duchamp, Man Ray, Paul Citroën, Lazlo Moholy-Nagy
Avec les oeuvres de : Andreas Agam, Domenico Barra, Aram Bartholl, Vasiliki Biska, Camilla Bassani, Marco Cadioli, Vuk Cosic, Ludovic Coutinho, Giovanni Fredi, Emilie Gervais, Fausto Gilberti, Thomas Israel, JODI, Inhye Lee, Jan Robert Leegte, Raquel Meyers, Esther Miquel, Rick Niebe, Zaven Paré, Leonardo Petrucci, Giulia Ravi Ravasi, Intimidad Romero, Evan Roth, Heinz Kralle Schielmann, UBERMORGEN, Eric Vernhes, Paolo Visentini
Dadaclub.online
Dadaclub.online est un projet collaboratif conçu pour célébrer les 100 ans du dadaïsme à la lumière des deux concepts fondamentaux de l'art du 21ème siècle que le mouvement Dada avait anticipé : le partage et le recyclage de matériaux pré-existants. Pendant un an, du 5 février 2016 (date anniversaire du début du mouvement dada à Zurich) au 5 février 2017, Dadaclub.online publia des copies numériques haute définitions (scans 2D et modèles 3D) d'une sélection d'oeuvres Dada et de couvertures de magazines, et invita artistes, designers et étudiants du monde entier à les télécharger et les utiliser dans leurs travaux afin d'en partager les résultats dans une galerie dédiée. La numérisation et la publication d'oeuvres Dada originales a été rendue possible par la Collection Campiani, l'une des collections d'oeuvres Dada les plus complètes d'Italie.
Au cours de l'année, le projet a collecté plus de 120 remixes d'oeuvres Dada : images fixes, courtes animations, vidéos, pages web, modèles 3D et documentation d'objets. En plus des nombreux travaux envoyés par les artistes eux-mêmes, une sélection d'oeuvres commissionnées a été publiée en tant que « Monthly Feature ». Tous les travaux ont été mis en ligne suivant les même conditions de circulation et d'utilisation que les oeuvres originales qui leur servent de base (license Creative Commons 4.0: licence d'attribution non commerciale-partage à l'identique).
Cette exposition présente une sélection des oeuvres publiées sur le site Dadaclub.online, et les oeuvres originales correspondantes montrant ainsi l'énergie vitale qu'elles possèdent, même après un siècle.
Lille Lille 59000 Lille M° Gare SNCF de Lille Flandres France Internet Site : www.lille.fr
Description:
Gare Saint-Sauveur
Boulevard Jean-Baptiste Lebas
59800 Lille
EXPOSITION, HOTEL EUROPA, FERME URBAINE, COCKTAIL & DJ SET
Entrée libre
DÈS 18H30
VERNISSAGE DE L'EXPOSITION
« Jeux - Rituels & Récréations »
Du 7 septembre au 5 novembre 2017.
Une exposition du 40e anniversaire du Centre Pompidou
Le Centre Pompidou fête ses 40 ans en 2017 partout en France. Pour partager cette célébration avec les plus larges publics, il propose un programme inédit d'expositions, de prêts exceptionnels, de manifestations et d'événements pendant toute l'année.
À la Gare Saint-Sauveur, sur le plateau laissé à nu se déroule une topographie labyrinthique d'images animées. La performance apparaît ici sous son angle de jeu : jeux de l'enfance et jeux sérieux sont chargés d'un même risque vital, d'une exploration dont on ne connaît pas l'issue et qui pourtant nous constitue.
Commissariat : Bernard BLISTÈNE, Marcella LISTA
ARTISTES : Francis Alÿs, MARWA ARSANIOS, ED ATKINS, YTO BARRADA, NEIL BELOUFA, PETER FISCHLI & DAVID WEISS, MAÏDER FORTUNÉ, LATOYA RUBY FRAZIER, CAMERON JAMIE, MIREILLE KASSAR, MARK LECKEY, CHRISTELLE LHEUREUX, CILDO MEIRELES, NATACHA NISIC, PIPILOTTI RIST, BEAT STREULI, CLAUDIA TRIOZZI, ROSEMARIE TROCKEL, Salla Tykkä, APICHATPONG WEERASETHAKUL ET Raphaël Zarka.
Le vernissage sera suivi d'un DJ set à 4 mains par les DJs de Six heures avant minuit ainsi que de Matthieu Faubourg, DJ house/groove/deep, fondateur de STRCTR records, issu du crew Imported Paris.
(more infos soon)
Tools Galerie 119, rue Vieille du Temple 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 42 77 35 80 Fax : +33 (0)1 42 77 37 62 Mail : Ib@toolsgalerie.com Internet Site : www.toolsgalerie.com
Galerie Maeght 42, rue du Bac 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 45 48 45 15 Fax : +33 (0)1 42 22 22 83 Mail : galerie.maeght@maeght.com Internet Site : www.maeght.com
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Exposition du 7 septembre au 7 octobre 2017
Mardi au samedi 10h à 19h
Pour cette rentrée 2017, la Galerie Maeght met à l'honneur les métiers de l'imprimerie. Le parcours de l'exposition s'articule autour de rares ouvrages de bibliophilie : les éditions luxe de l'incontournable collection Derrière Le Miroir, la collection Duos et des livres de bibliophilie historiques ou contemporains tels que Braque-Reverdy, La liberté des mers / Calder-Prévert, Fêtes / Chagall-Malraux, Et sur la terre / Miró-Prévert, Adonides / Del Re-Alechine, Poème Maltais / Safirstein-Blake, Ah! Sunflower...
En 1964, Adrien Maeght crée l'imprimerie ARTE à Paris où se retrouvent depuis artistes, poètes et artisans d'art autour d'une même passion : l'imprimerie sous toutes ses formes, de la plus classique à la plus innovante. Aujourd'hui, Maeght éditeur est reconnu dans le monde entier pour la liberté de création, la variété et la haute qualité des procédés d'impression : eau-forte, linogravure, lithographie...
Avec plus de 12 000 titres édités, Maeght est un des plus importants éditeurs d'art et s'attache à la tradition notamment en développant des collaborations entre artistes, designers et poètes contemporains tels qu'Ivan Alechine, Marco Del Re, Patrick Depin, Olivier Gagnère, Vénus Khoury-Ghata, Ra'anan Levy, Pierre Roy-camille ou Julie Safirstein.
L'exposition « Maeght, imprimeur et éditeur d'art » est accompagnée de la diffusion du film Miró Lithographe.
Adonides, Miró-Prévert, 1975, 40.5 x 33.5 cm, 68 pages
Galerie Convergences 22, rue des Coutures Saint-Gervais 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Saint-Paul, Chemin Vert France Phone : +33 (0)1 48 87 77 20 Mobile : +33 (0)6 24 54 03 09 Mail : graisvalerie@yahoo.fr Internet Site : www.galerieconvergences.com
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Vernissage jeudi 7 septembre à partir de 18 heures
Exposition du 8 au 28 septembre, prolongée du 5 au 14 octobre 2017
Mind's Eye Galerie Adrian Bondy 221, rue Saint-Jacques 75005 Paris M° RER B Luxembourg France Phone : +33 (0)6 85 93 41 92 Mail : adrian.bondy@mindseye.fr Internet Site : www.mindseye.fr
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Mind's Eye fête ses cinq ans
Une rétrospective
5 - 30 septembre 2017
du mardi au samedi, de 15h à 19h30
vernissage jeudi 7 septembre de 18h à 22h
rétrospective réunissant les 18 photographes qui ont présenté leurs travaux à la galerie
Mind's Eye / Galerie Adrian Bondy a ouvert ses portes en septembre 2012 avec l'exposition Visages/Paysages de Ray Renolds. En cinq ans nous avons accueilli 18 artistes pour 20 expositions personnelles ainsi que deux expositions collectives.
Nous fêtons les cinq ans de la galerie par une rétrospective rassemblant une bonne trentaine des œuvres les plus marquantes qui ont été présentées à la galerie.
JÉRÔME BARBOSA RÉGIS BODINIER
ADRIAN BONDY ANTON BULYONOV
JOHN CLARIDGE MICHEL DAMBRINE
DIRK DE HERDER JEAN DRÉVILLE
PHILIPPE GABEL SHŌKŌ HASHIMOTO
TAKEHIKO NAKAFUJI TAMIKO NISHIMURA
CLAUDE PAVY COLETTE POURROY
RAY RENOLDS BENOIT SABOURDY
CHIEKO SHIRAISHI MARIANNE TOUCHARD-HEYMAN
Instituto Cultural de México à Paris Institut Culturel du Mexique 119, rue Vieille du Temple 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 44 61 84 44 Fax : +33 (0)1 44 61 84 45 Mail : idemexfra@sre.gob.mx Internet Site : icm.sre.gob.mx/francia/index.php/fr/
Description:
Juan Manuel Gómez Robledo
AMBASSADEUR DU MEXIQUE EN FRANCE
Ana Lara
DIRECTRICE DE L'INSTITUTO CULTURAL DE MÉXICO
vous prient de bien vouloir assister
au vernissage de l'exposition
Mé-tissages
JEUDI 7 SEPTEMBRE, DE 18H À 20H
Exposition du 8 septembre au 14 octobre 2017
Entrée libre, du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h,
le samedi de 15h à 19h. Fermé le dimanche et les jours fériés
Galerie Claire Corcia 323, rue Saint-Martin 75003 Paris M° Arts et Métiers, Réaumur - Sebastopol, Strasbourg - Saint-Denis France Phone : +33 (0)9 52 06 65 88 Mobile : +33 (0)6 62 84 03 74 Mail : contact@galeriecorcia.com Internet Site : www.galeriecorcia.com
Description:
Exposition du 7 au 30 septembre 2017
Lundi-vendredi 11h30-19h / Samedi 14h-19h
Vernissage le 7 septembre 18h - 21h
1ère exposition conjointement organisée par la Galerie Claire Corcia (Paris) et la Galerie Polysémie (Marseille).
art brut
avec Philippe Azema, Davood Koochaki, Koffjca Cozma
Galerie Vallois 35&41, rue de Seine 75006 Paris M° Odéon, Saint-Germain-des-Prés, Mabillon France Phone : +33 (0)1 43 25 17 34 Fax : +33 (0)1 43 29 06 42 Mail : vallois35@vallois.com, vallois41@vallois.com Internet Site : www.vallois.com
Description:
L'exposition Paris-Cotonou-Paris 2017 de la rentrée s'inscrit dans le cadre du Parcours des Mondes, événement incontournable dans la vie de Saint-Germain-des-Prés. Alors que l'art contemporain africain atteint à l'heure actuelle un degré de reconnaissance inédit, la Galerie Vallois est fière d'y représenter comme chaque année la scène artistique contemporaine du Bénin.
A la galerie du 35 rue de Seine s'instaurera un dialogue fécond entre les masques gélédés réalisés par le béninois Kifouli Dossou, héritier d'une tradition ancestrale qu'il transmet lui même aujourd'hui à ses neveux, et les photographies anciennes chinées aux puces et retravaillées par l'artiste française Coco Fronsac. Comme un jeu de miroir, certains des masques de Kifouli apparaissent sous la plume de Coco comme autant de couvre-chefs d'anonymes occidentaux du siècle passé.
Au 41 rue de Seine, deux artistes béninois se partageront l'espace. Charly d'Almeida présentera ses récentes sculptures en métal, oeuvres puissantes, aux résonances tout autant mystiques que politiques, teintées d'humour et de tendresse. Edwige Aplogan accrochera quant à elle les oeuvres lyriques et colorées qui sont le fruit de sa résidence au Centre Arts et Cultures de Cotonou l'année dernière. Elle créera également la surprise en réalisant un habillage de la galerie...
Le vernissage aura lieu dans les deux galeries le jeudi 7 septembre à partir de 18h, au 35 et au 41 rue de Seine 75006 Paris.
Le Parcours des Mondes (du 12 au 17 septembre) sera inauguré le mardi 12 septembre, de 15h à 21h.
Nocturne jeudi 14 septembre jusqu'à 21h.
Ouverture exceptionnelle dimanche 17 septembre de 11h à 18h.
Triode Showroom 28, rue Jacob 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés, Mabillon France Phone : +33 (0)1 43 29 40 05 Fax : +33 (0)1 44 49 97 66 Mail : contact@triodedesign.com Internet Site : www.triodedesign.com
Description:
Triode Goes West avec Rudolph Schindler, Atelier de Troupe, Pamela Shamshiri et Brendan Ravenhill
Galerie Dominique Fiat 16, rue des Coutures Saint-Gervais 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Saint-Paul, Chemin Vert France Phone : +33 (0)1 40 29 98 80 Fax : +33 (0)1 40 29 07 19 Mail : info@dominiquefiat.com Internet Site : www.dominiquefiat.com
Description:
avec Laddie John DILL, Safâa ERRUAS, Laurent SAKSIK
5 - 25 septembre 2017
vernissage jeudi 7 septembre 2017
Galerie Les filles du calvaire 17, rue des Filles du Calvaire 75003 Paris M° Filles du Calvaire France Phone : +33 (0)1 42 74 47 05 Fax : +33 (0)1 42 74 47 06 Mail : paris@fillesducalvaire.com Internet Site : www.fillesducalvaire.com
Description:
Vernissage Jeudi 07 septembre (18h à 21h)
Exposition du 08 sept. au 21 oct. 2017
(Interruption du 25 sept. au 06 oct.)
La galerie Les filles du calvaire présente « Métamorphose de l'ordinaire », une exposition collective réunissant les œuvres de Téo Bétin, Isabelle Ferreira, Loïc Pantaly, Zhuo Qi, Alexander Raczka, Matthieu Raffard & Linda Sanchez.
Pour cette rentrée de septembre, sept artistes sculpteurs investissent en volume l'espace de la galerie. Tous métamorphosent les formes de l'ordinaire et interrogent le concept d'habileté, cette capacité virtuose à concevoir et bricoler. A leur manière, ils ont cherché à repenser notre art de vivre, avec ses sciences et ses traditions. Rien ne leur échappe : ils sondent pour transformer.
« Tout le monde sait que l'artiste tient à la fois du savant et du bricoleur : avec des moyens artisanaux, il confectionne un objet matériel qui est en même temps objet de connaissance ». La métaphore du bricolage de Lévi-Strauss situe l'œuvre sculpturale entre la connaissance scientifique et la pensée magique de l'artiste. L'exposition tente ici de rendre compte matériellement des arrangements qu'il est possible de faire avec notre culture, d'en revoir les formes. Cette révision s'opère tant sur le plan de la récupération des idées que sur celui de la revalorisation des matériaux.
Avec Le service de table chaleureux, la maîtrise de la porcelaine et l'humour de Zhuo Qi nous invitent au festin, dans une reprise contemporaine et taquine des grandes tables d'apparat du XIXème siècle. En mettant en scène la tradition française et son art de la table, Zhuo Qi se saisit des codes pour les défaire tout en soignant l'élégance de la présentation. Les biscuits sont troqués contre des peluches noyées dans la porcelaine ; les couverts fondent et s'étalent sur le blanc émaillé des assiettes de Limoges.
Dans un jeu d'équilibre entre matières et formes, l'Athanor de Matthieu Raffard invoque la quête insensée, mais sérieuse, des alchimistes du XVIIème siècle. Quel remède peut-on espérer de cette machine où circulent les fluides ? L'installation, à la manière des fourneaux cosmiques originels, réactive avec ingénierie et poésie les tentatives d'antan : purifier et transformer.
Au côté des fours et alambics de Matthieu Raffard, la métamorphose des éléments s'opère également par le geste de Linda Sanchez. En naturaliste, elle emprunte et arrache la terre à son état originel pour en faire un Tissu de sable. Elle donne du drapé à la terre, et réduit la matière à une fine pellicule. L'alchimiste et la naturaliste font du rez-de-chaussée un nouveau laboratoire expérimental.
A l'étage, la Villa I de Téo Bétin, inspirée de la célèbre villa Tugendhat, étudie quant à elle notre mode d'habitat et son caractère mémoriel. La sculpture architecturée, presque habitable, évoque une cabane mais elle est avant tout une expérimentation plastique de l'espace. L'artiste, interrogeant l'interaction fonctionnaliste du dedans et du dehors, incruste au bois de la structure des photographies de paysages fixées sur verre.
Les Potentielle(s) de Loic Pantaly se déploient sur la longueur du mur et engendrent une succession d'effets mécaniques et parfois sonores. Là encore il est question d'un bricolage empirique où les composants de l'œuvre, souvent soustraits à des sculptures antérieures, s'associent en une machinerie aussi ingénieuse qu'absurde. Des apports de la pataphysique, Loic Pantaly retient le symbolisme et le non-sens, mais donne à l'ordre une importance considérable. Par le moteur et la technique, il tente de contrôler le hasard en le mettant en équation.
Les Armes & Outils d'Alexander Raczka ne rendent pas hommage à la violence guerrière de l'homme mais font l'éloge de son habile inventivité. L'œuvre se compose d'objets hétéroclites trouvés : les pièces d'aiguillage de chemin de fer, les lames, les spirales, les haches et pointes viennent se greffer au bout de cannes à pêche. Elles surgissent du mur, sectionnent l'espace et citent cette même métaphore du bricolage. En effet, c'est dans l'art de la guerre du Moyen Age qu'il faut chercher l'étymologie du mot bricole, désignant alors une catapulte. Les significations du verbe bricoler évolueront progressivement pour évoquer une tromperie, mais aussi l'idée d'une manœuvre détournée, avant de devenir cette activité individuelle du « faire ».
Isabelle Ferreira est passée maître dans l'appréciation et l'évaluation du potentiel des matériaux souvent jugés pauvres. C'est par le geste, au cœur même de sa pratique, qu'elle parvient à révéler cet intérêt caché. Ses Substractions synthétisent à merveille l'action du sculpteur et du peintre. Ces planches de bois, peintes à l'acrylique et sculptées par soustraction, établissent le langage d'une nouvelle matérialité. L'acte est bien radical mais tout en finesse mesurée.
« Quelle sculpture se renversera sur nous comme une jarre d'huile ? Quelle sculpture s'étalera sur ce parquet comme les cheveux que coupe le coiffeur ? Ou sont vos sculptures transparentes comme des carafes ? »
A ces questions posées par Apollinaire en 1913, nos sept artistes répondent avec toute l'audace créative et l'inventivité que le poète pouvait espérer. Justement parce qu'eux-mêmes le sont, poètes.
La galerie Les filles du calvaire remercie les artistes, Pascaline Mulliez, la galerie Maubert, la Progress Gallery, et la galerie Nadine Feront.
« Tout le monde sait que l'artiste tient à la fois du savant et du bricoleur : avec des moyens artisanaux, il confectionne un objet matériel qui est en même temps objet de connaissance » [1]. La métaphore du bricolage de Lévi-Strauss situe l'œuvre sculpturale entre la connaissance scientifique et la pensée magique de l'artiste. L'exposition tente ici de rendre compte matériellement des arrangements qu'il est possible de faire avec notre culture, d'en revoir les formes. Cette révision s'opère tant sur le plan de la récupération des idées que sur celui de la revalorisation des matériaux.
Galerie du Colombier 91, rue Saint-Honoré Village Saint-Honoré 75001 Paris M° Louvre - Rivoli, Les Halles, Châtelet France Phone : +33 (0)1 42 36 03 46 Mobile : +33 (0)6 08 14 46 50 Mail : galerieducolombier@gmail.com Internet Site : www.galerieducolombier.eu
Galerie Monod 16, rue d'Ouessant 75015 Paris M° La Motte-Picquet - Grenelle France Phone : +33 (0)1 56 58 24 72 Mail : artgaleriemonodparis@gmail.com Internet Site : www.artgaleriemonodparis.com
Description:
Du 04 au 16 septembre 2017
La Galerie Monod expose de l'art 3D, photographies et de la sculpture surréaliste fantastique.
Peinture
Patrice Peyronnet
Patricia Mangin Francis
Tiana Guénant
Keinaz
Chery Hermann
Enrique Etievan
Galerie Argentic 43, rue Daubenton 75005 Paris M° Censier - Daubenton France Mobile : +33 (0)6 08 90 51 33 Mail : argentic@argentic.fr Internet Site : www.argentic.fr
Description:
Pour bien démarrer la rentrée, venez découvrir nos photographies ZEN exposées à la galerie ARGENTIC du 7 septembre au 7 octobre 2017.
Une cinquantaine de tirages seront présentés, dont des oeuvres de Claude Batho, Sébastien Beghin, Edouard Boubat, Brassaï, Jean-Yves Bregand, Philippe Bréson, Denis Brihat, Paul Caponigro, Jean-Philippe Charbonnier, Lucien Clergue, Stéphane Cormier, Michel Giniès, Jacques Dubois, Laurent Gudin, Jean-Baptiste Huynh, Kasra, Aramy Machry, Laurent Marois, Max Pam, Minor White, Ian Patrick, Bernard Plossu, René-Jacques, Marc Riboud, Jean-François Robert, Willy Ronis, Philippe Salaün, Roger Schall, Hans Silvester, Emmanuel Sougez, Patricia Van, Huntington Witherill...
"Montée de la marée, Sangatte, 2017"
Photographie de Kasra
Espace Tajan 37, rue des Mathurins 75008 Paris M° Saint-Augustin, Saint-Lazare, Havre - Caumartin, Madeleine France Phone : +33 (0)1 53 30 30 30 Mail : webmaster@tajan.com Internet Site : www.tajan.com
Description:
du 7 au 10 septembre 2017
VERNISSAGE JEUDI 7 SEPTEMBRE : DE 18H00 À MINUIT
Vendredi 8 septembre : de 11h à 20h - nocturne jusqu'à 22h
Samedi 9 et dimanche 10 septembre : 11h à 20h
Un évènement unique où de jeunes marchands d'art ancien se mêlent aux jeunes galeristes d'art moderne et contemporain, dans un lieu atypique qui se situe dans le triangle d'or, au moment où Paris devient capitale de l'art !
Fantin-Latour Henri-Théodore
(1836-1904)
Baigneuses, 1895
Huile sur toile. Signée en bas à droite
73x92 cm.
Collection privée
Provenance : collection Paul Gallimard
présenté par Damien Forest
L'univers coloré de Scholten & Baijings à la Galerie de Sèvres, à Paris
Du 9 septembre au 10 novembre 2017
Vernissage presse : jeudi 7 septembre à 18h
Vernissage : vendredi 8 septembre à 19h
Sèvres expose les créations inédites et colorées du duo de designers néerlandais
Scholten & Baijings
Sèvres poursuit sa thématique autour de la couleur, fil d'Ariane de l'année 2017. Carole Baijings et Stefan Scholten ont été invités à collaborer avec les artisans de la Manufacture de Sèvres. Leurs travaux de recherche ont conduit à la création d'une série de compositions colorées sur des tondi et de nouvelles formes de vases en porcelaine.
En référence aux peintures anciennes sur disques ronds, ces tondi s'inspirent des couleurs éclatantes de l'époque. Ils évoquent de manière abstraite des paysages. Accrochés au mur, ils sont comme des panoramas tout droit sortis de l'imagination des deux créateurs. Découlant des études chromatiques réalisées par les artisans de Sèvres, ils forment d'innombrables variations possibles de palettes, aussi éblouissantes tant dans la matité ou dans la brillance. Revisiter des formes anciennes de vases permet de renouveler le genre. Cette démarche se complète de recherches autour des couleurs en collaboration avec les artisans - experts en émaux - pendant le séjour des designers à la Manufacture de Sèvres.
Le résultat de cette collaboration est une parfaite symbiose entre forme et couleur qui sont à la fois mystérieuses, éthérées et profondes. Un univers chromatique propre à Scholten & Baijings parfaitement reconnaissable - pastels dilués à l'intensité quasi fluorescente, superposition et juxtaposition de couleurs - mêlé à l'excellence de Sèvres.
À l'occasion de la Paris Design Week, la Galerie de Sèvres à Paris expose les deux séries de vases et une série de disques de porcelaine dans une scénographie épurée pensée par les designers eux-mêmes.
Leurs créations sont également présentées au Musée national de céramique à Sèvres à partir du 12 octobre 2017, dans le cadre de l'exposition-événement L'Expérience de la couleur.
Pour les designers néerlandais Stefan Scholten et Carole Baijings, la tension créatrice entre la couleur et le motif, la surface et la forme, le design et la production définit tous les projets que leur studio entreprend. Ils puisent leur inspiration dans l'histoire de l'art et du design, tout en inventant de nouveaux modes de vie, de travail et de création.
Partenaires au travail et dans la vie, ils fondent le studio Scholten & Baijings en 2000. Depuis lors, une division des tâches s'est naturellement opérée, Stefan se concentrant sur l'idéologie et Carole sur les détails et sur la production.
Leur foyer et leur famille constituent le terrain d'essai de chaque objet qu'ils produisent.
Le studio basé à Amsterdam a produit des objets hautement convoités, tissu, tapis, verre et céramique. Leurs créations, art de la table et textile, se marient heureusement avec leur mobilier et de leur collections de luminaires. Ils ont imaginé le design de décors d'intérieur, d'expositions muséales, d'installations et même d'un concept-car pour MINI.
Leurs clients comprennent notamment l'Art Institute of Chicago, le Victoria & Albert Museum, le Cooper Hewitt Smithsonian Design Museum, le Rijksmuseum, le Museum Boijmans Van Beuningen, 1616 / arita japan, Georg Jensen, Herman Miller, MINI, Maharam, Thomas Eyck, Karimoku New Standard et HAY. Le travail du studio a été reconnu par trois Design Awards de ELLE Décoration et quatre Dutch Design Awards. La première monographie du studio, « Reproducing Scholten & Baijings » a été publiée par Phaidon en 2015.
www.scholtenbaijings.com
Cergy Cergy 95000 Cergy M° RER A Cergy - Préfecture, Cergy - Saint-Christophe, Cergy - Le Haut France Internet Site : www.ville-cergy.fr
Description:
Parking Verger
Rue de la Gare 95000 Cergy
(à 1mn de la gare Cergy Préfecture - RER A)
La Communauté d'Agglomération de Cergy-Pontoise et la Manufacture 111 invitent 24 street-artists à investir un parking sur le thème 'La Ville de Demain'
7 SEPTEMBRE - 30 NOVEMBRE 2017
VERNISSAGE JEUDI 7 SEPTEMBRE - 18H15
UNE GALERIE D'ART A CIEL OUVERT
Avec le projet Street-Art Park, la Manufacture 111, en partenariat avec la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, investit le Parking Verger situé dans le Grand Centre de Cergy-Pontoise pour créer un parcours dédié au graffiti et au street-art.
24 artistes aux esthétiques, sensibilités et techniques différentes ont été invités à investir 260m linéaires de palissades.
Street-Art Park a été conçu comme un parcours initiatique à travers différents courants du graffiti : un panorama de l'évolution picturale, graphique et technique de ce courant artistique.
Si ce n'est pas une surprise de retrouver du graffiti sur un parking, le parti pris a été de construire un parcours en forme de déambulation muséale, où chaque artiste intervient sur une surface de 5m ou 10m de long sur 2m de haut.
24 ARTISTES FRANÇAIS ET BELGES :
2FLUI - ARNAUD KATSET - ARNAUD KOOL - BEBAR - CLAIRE COURDAVAULT
DIZE - DJAMEL OULKADI - EvazéSir - GILBERT MAZOUT - GREMS
JOACHIM ROMAIN - KATRE - MYRE - NIARK1 - OGRE - OPERA
PAPA MESK - PARIS SKETCH CULTURE - SERTY31 - SKIO - SOLO CINK
STEW - TAROE - Théo Lopez
Flagship Store Molteni & C Dada 6, rue des Saints-Pères 75007 Paris M° Saint-Germain-des-Prés, Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 60 29 42 Mail : info@moltenidada.fr Internet Site : www.molteni.it
ESPGG - ESPCI Paris - 10 rue Vauquelin
75005 Paris
À l'invitation de l'équipe de l'Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes.
> Inauguration de Science Frugale, l'exposition en ligne
La clôture de l'exposition marque le lancement de l'exposition virtuelle Science Frugale sur le site PSL Explore.
> Regards croisés sur le devenir des expositions
Le recyclage et le réemploi sont-ils applicables aux expositions ? Que pourrions-nous faire des objets de l'exposition Science Frugale ? Que va-t-elle devenir ?
> Cocktail
Science Frugale a obtenu le prix ECSITE Mariano Gago « Smart and Simple » qui récompense l'innovation que nous avons mis au coeur de l'exposition. Notamment par l'idée d'une exposition-exploration, qui se veut instrument d'investigation plutôt que de la monstration d'une thématique. Mais également par l'idée d'une phase d'incubation ouverte, pendant laquelle les visiteurs participent à des tables rondes, rencontres et ateliers de fabrication des objets de l'exposition. Nous avons également exploré le concept d'exposition évolutive, par lequel l'exposition change en permanence et enrichi son contenu au fil des rencontres et des échanges qu'elle génère. Nous avons également expérimenté une nouvelle figure professionnelle, celle de la narratrice/biographe qui raconte avec des textes, des dessins, des films... la vie de l'exposition.
> Chacune de ces innovations amorce des réponses aux défis de la muséographie scientifique contemporaine, et en conséquence, ouvre de nouvelles questions. Pendant le séminaire, l'équipe de TRACES - ESPGG développera brièvement ces innovations, pour ensuite lancer une phase de discussion collective.
Dans l'esprit de l'exposition, le résultat de cette discussion ira nourrir le blog, l'archive, et la version en ligne de "Science Frugale".
Visitez l'exposition jusqu'au 29 juillet, puis du 5 au 9 septembre
Du mardi au samedi, de 14h à 17h
Entrée libre et gratuite
Galerie JPHT Jean-Philippe Thérond 4, rue de Saintonge 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Filles du Calvaire France Mobile : +33 (0)6 08 25 45 97 Mail : contact@galeriejpht.com Internet Site : www.galeriejpht.com
Description:
Pour fêter joyeusement la rentrée et la nouvelle saison 2017-2018, et afin de prolonger le brillant vernissage de samedi auquel vous n'auriez pas pu assister, la galerie JPHT organise un événement spectacle interprété par deux artistes étonnants
le jeudi 7 septembre
de 18h30 à 22h30
Spectacle à 20h30
Performance Danse Butô
Juju ALISHINA 有科珠々
Poésie lecture Francis COFFINET
«Je suis allé au soufre natif»
dans le cadre de l'exposition L'Osmose-Kiraméki Transfiguré ! "Un imaginaire contemporain"
Bruno Baratier - Yo Coquelin
Francis Coffinet - Michel Dubré
Hugues Gillet - Marc Halingre
Yoshifumi Hayashi 林良文
Miyako Ito 伊藤 美也子 - Jean-Pierre Monnot
Thierry Van Quinckenborne - Santiago Ribeiro
Rik-Art - Roku Sasaki 佐々木 六介
Hiroya Yasukoshi 安河内裕也
L'Osmose-Kiraméki Transfiguré, une exposition collective des artistes de l'association :
Artis Fictae Turma*
avec l'aimable parrainage d'Amélie Nothomb
Peintures, sculptures, dessins, gravures, photos
EXPOSITION
du Samedi 2 au Samedi 23 Septembre 2017
VERNISSAGE le Samedi 2 Septembre 2017 de 18h30 à 22h30
FINISSAGE le Samedi 23 Septembre 2017 de 18h30 à 22h30
en présence des artistes
Ses artistes singuliers, internationaux, transgénérationnels et pluridisciplinaires (plasticiens, peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, poète et photographes) à travers leurs imaginaires nous proposent un questionnement sur leur vision du réel pour nous conduire et nous projeter vers une mise en abyme de nos perceptions.
De la relation de notre matérialité à celle du monde de nos affects, de la nature de notre humanité à «l'infinitude du désir face à la finitude de nos existences».
La construction, la conception d'une introspection et une confrontation des tensions intimes dans les espaces de notre contemporanéité témoignent de ces mutations.
Osmose Kirameki-Genso Turma* donnent un sens ainsi que sa place à l'expression sensible et naturelle de la figuration.
Artis Fictae Turma* fondée en 2012 sous l'impulsion de Bruno Baratier, Kunihiko Kanoh et Hugues Gillet.
Rare et précieuse, la TURMA nous a offert, un regard intense, aiguisé et profond à travers les œuvres de Bruno Baratier, Zdzislaw Beksinski 1929-2005, Roland Cat, Jean-Pierre Ceytaire, Francis Coffinet, Michel Dubré, HR Giger 1940-2014, Hugues Gillet, Marc Halingre, Michel Henricot, Yoshifumi Hayashi, Satomi Kuwahara, Jean-Michel Mathieux.
*Artis Fictae Turma veut dire en latin : groupe de l'art imaginaire.
Fictae recouvre pour les Latins, la notion d'imaginaire et de fantastique.
Artis (nom féminin au génétif c.a.d. complément de nom)
Turma groupe humain avec peut être une notion de guerrière.
Kai : Groupe en japonais
Genso : recouvre la notion d'imaginaire dans la culture japonaise.
Kiraméki : un scintillement, flash...
Silvera Université 47, rue de l'Université 75007 Paris M° Solférino, RER C Musée d'Orsay France Phone : +33 (0)1 45 48 21 06 Fax : +33 (0)1 45 48 21 13 Mail : universite@silvera.fr Internet Site : www.silvera.fr
Cassina 236, boulevard Saint-Germain 75007 M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 84 92 92 Fax : +33 (0)1 45 44 68 90 Mail : cassina@cassina.fr Internet Site : www.cassina.com
Description:
Cassina invite le grand public à célébrer les 90 ans de l'entreprise, à découvrir la nouvelle collection 2017 et le livre « This Will Be The Place » en présence de sa directrice artistique Patricia Urquiola.
sometimeStudio hub créatif: conseille, conçoit, produit, édite, diffuse, expose 26, rue Saint-Claude 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Saint-Paul France Phone : +33 (0)9 51 07 13 74 Mail : contact@sometimestudio.org Internet Site : www.sometimestudio.org
Description:
La galerie SometimeStudio est heureuse de débuter cette nouvelle saison avec l'exposition personnelle d'Ulysse Bordarias, du 8 septembre au 28 septembre 2017.
Vernissage le Jeudi 7 septembre de 18h30 a 22h
Entrée libre
Né en 1988, Ulysse Bordarias entre en 2009 aux Beaux-arts de Paris et pratique majoritairement la peinture, mais aussi la photographie et la sculpture, et aborde le dessin dans l'espace sous plusieurs angles. Il s'intéresse aux rapports entre image et poésie, au travail de composition, à l'imaginaire biographique et au propos documentaire. Il obtient son diplôme DNSAP en 2014 et poursuit depuis son activité artistique en abordant par des techniques diverses la dimension spatiale de l'image plastique.
"L'exposition Analogies veut profiter d'une confusion. Les peintures qu'elle présente mêle objets, gestes du corps et les signes sur un mode qui tend à les confondre, à les entremêler. Proche du rêve et de la remémoration, le processus à l'œuvre assemble et défait des éléments récurrents pour faire surgir des histoires, dans un espace mobile". Ulysse Bordarias.
Sa sensibilité asiatique mélangée à une vision occidentale donnent aux créations sculpturales ou picturales de Jean-Pierre Vong des vibrations visibles et invisibles faites de tensions spirituelles aux couleurs éclatantes. L'artiste sera présent durant toute la durée de l'exposition.
Jeudi 21 septembre à 15h : Visite guidée de l'exposition
Du 6 au 23 septembre
Mairie du 6e > Salon du Vieux Colombier > Entrée libre
Du lundi au vendredi 10h30 > 17h, jeudi jusqu'à 19h, samedi 10h > 12h
Ouverture exceptionnelle samedi 16 septembre 10h > 17h
Galerie Arludik 12/14, rue Saint-Louis-en-l'Île 75004 Paris M° Pont Marie, Sully - Morland France Phone : +33 (0)1 43 26 19 22 Mail : contacts@arludik.com Internet Site : www.arludik.com
Description:
La galerie Arludik est particulièrement fière de réunir deux artistes majeurs de l'Art Ludique pour son exposition évènement de la rentrée 2017: Karla Ortiz et Iain McCaig.
L'exposition « Amour & Légende » dont ils ont défini le thème et pour laquelle ils ont réalisé une série d'œuvres magnifiques, vient parapher leur complicité, née lorsque le « maître » Iain Mc Caig découvrit le talent hors norme de Karla Ortiz, alors encore étudiante.
Karla est depuis devenue une artiste de notoriété internationale, primée notamment aux British Fantasy Awards en 2015, et membre de l'Illustration Academy. Son style réaliste, dense et percutant, allié à sa passion des créatures mythiques lui a rapidement valu d'être sollicitée par les plus grands studios américains pour collaborer à la création des personnages et des univers de leurs productions majeures.
Karla Ortiz contribue ainsi artistiquement au design de blockbusters tels que « Jurassic World », « World of Warcraft », « Rogue One: A Starwars Story », ou encore « Docteur Strange » pour le studio Marvel. Elle signe également pour Marvel le design de Thor 3 - Ragnarok, qui sortira en France le 3 novembre 2017.
Iain McCaig, qui expose pour la seconde fois à la galerie Arludik, est l'un des artistes concepteurs les plus marquants de sa génération: on lui doit notamment les designs et costumes de personnages de la prélogie « Star Wars » tels que la princesse Amidala et Darth Maul. Il est également connu pour la couverture de l'album de «Broadsword and the Beast» du groupe Jethro Tull.
Il reçoit en 2014 le prestigieux Grand Master Award Spectrum Fantastic Art pour l'intégralité de son travail. Il a récemment signé la direction artistique de « Star Wars: Le Réveil de la Force», ainsi que le design du film « Le Livre de la Jungle » réalisé par Jon Favreau.
Les deux artistes cosignent cette exposition d'exception, pour laquelle ils ont tout spécialement réalisés près d'une trentaine de fantastiques dessins au crayon, aquarelles et acryliques, qui émerveilleront aussi bien les fans des grandes productions des studios américains que les amateurs d'art, passionnés de dessin et de peinture.
Marc Figueras est originaire de Barcelone où il a fait ses études (Llotja School, section peinture murale), son apprentissage (chez J. Bonet, grand maître verrier), où il a travaillé (restauration des vitraux de la Sagrada Familia) et où il habite et pratique son art aujourd'hui.
Marc Figueras est un artiste humble et discret, touchant et tendre, respectueux des autres et doté d'un talent remarquable pour donner vie à des silhouettes captées dans Barcelone. Membre de la célèbre école de l'hyper-réalisme catalane, il en est un des plus prestigieux représentant par la singularité des œuvres qu'il réalise, toutes reconnaissables par ces jeunes femmes anonymes devant des immeubles au style art nouveau catalan immortalisé par Antoni Gaudí.
C'est avec l'objectif de son appareil photo qu'il commence son travail, en partant au moment de la journée où la lumière est la plus belle, dans la ville qu'il connaît comme sa poche, chasser l'attitude gracieuse et la silhouette élégante de jeunes femmes anonymes. Les photos, une fois mises en image, deviennent le modèle ; mais, en aucun cas, l'image n'est rétro-projetée pour être dupliquée et coloriée ensuite : il réalise un véritable travail de dessinateur dans lequel il excelle et qui fait son talent, celui d'un artiste expérimenté avec la jeunesse d'esprit de ses trente ans ; après quoi, les couches de couleur à l'huile sont posées, à commencer par une première couche blanche pour marquer le tressage de la toile, puis celles de couleurs. Comme les maîtres anciens, ou plus récemment son génie, Balthus.
C'est alors qu'il arrive à redonner, de façon hallucinante, la vie aux matières au point que l'on les croirait posées sur la toile, ici, le cuir d'un sac ou le plastique avec son monogram, là, la texture du pantalon ou la fillasse d'une chevelure, tout cela plus vrai que nature. Exceptionnel.
Le résultat n'est pas froid, au contraire, il est ampli de chaleur, de celle qui illumine Barcelone et ses immeubles art nouveau catalan. 20 toiles sont actuellement exposées chez Prince & Princess Art Gallery jusqu'au 7 octobre 2017.
Galerie Gratadou-Intuiti Galerie Intuiti 16, rue des Coutures Saint-Gervais 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart, Saint-Paul France Mobile : +33 (0)6 82 83 26 29 Mail : cg@galerie-intuiti.com Internet Site : www.galerie-intuiti.com
Description:
Vernissage le jeudi 7 septembre à partir de 18h30
Exposition du 7 septembre au 23 septembre
Dans le silence de l'atelier, une mouche ordinaire, aux grands yeux orange, semble être tombée dans une épaisse couche de ces pigments bleus dont Natalia Jaime-Cortez use pour ses dessins. Dans la vidéo que cette dernière a tournée, ladite mouche, sans hâte, frotte ses pattes et fait frissonner ses ailes devenues opaques pour se débarrasser de cette pulvérulence inattendue. Le procédé de la mouche rappelle celui de l'artiste dessinant ou peignant, agissant par jeux d'aller-retour entre ce qui doit être recouvert et ce qui doit être ôté. Georges Braque, dans les années 1950, le dit joliment à propos de son travail pictural : « Quand je commence, il me semble que mon tableau est de l'autre côté, seulement couvert de cette poussière blanche, la toile. Il me su t d'épousseter. (...) Lorsque tout est nettoyé, le tableau est ni. » La mouche bleue de Natalia Jaime Cortez, qui paraît sortie d'une rêverie d'Alice au pays des merveilles, pourrait donc éclairer avec nesse la production de l'artiste.
Ses dessins, légers sans pour autant être fragiles, relèvent de gestes premiers : plier puis déplier, pigmenter, tremper... Autant d'actions révélées par les papiers, tout autant supports qu'acteurs du dessin. Pour la plupart, ces papiers ont déjà vécu auparavant, ont connu des sédimentations avant d'être repris par Natalia Jaime-Cortez, qui en a modifié la matière : elle a transformé ces papiers japonais qu'elle a sectionnés, unis et souples, en des surfaces crayeuses et strati ées. Leur délicate translucidité dévoile parfois l'ancien trait d'encre qui venait s'y épanouir.
On ne s'étonnera pas d'apprendre que l'artiste réalise également des performances, au cours desquelles, comme la mouche de tout à l'heure, elle n'hésite pas à entrer dans la couleur, à se laisser recouvrir de pigments purs bien volatiles. Son travail de dessin ne se situe pas à côté de cet intérêt pour le geste, pour la danse, mais bien tout contre : ses pliages qui retiennent dans leurs lignes de crête de minces liserés aux teintes variées ne manquent de faire penser aux chorégraphies lentes de Marie Cool, venant manipuler des feuilles de papier immaculées.
J'espère que Natalia Jaime-Cortez me pardonnera de conclure ce texte sur une autre métaphore animale, mais ses dessins à l'encre, dans lesquels les gestes précis viennent former des sillons colorés qui bien souvent dépassent le champ du papier, me renvoient inévitablement au texte de Francis Ponge, « Escargots » (1936). L'écrivain évoque, loin des clichés habituellement liés au gastéropode, le « sillage argenté » de ces « êtres dont l'existence même est oeuvre d'art » grâce à leurs sécrétions perçues comme miraculeuses. « Quel bonheur, quelle joie donc d'être un escargot » se réjouit même l'auteur. Et en effet, que rêver de plus gracieux que cet éloge du peu, de la lenteur et de la discrétion qui conduit à une contemplation des usures, froissures et autres craquèlements de surface.
Galerie Nikki Diana Marquardt 9, place des Vosges 10, rue de Turenne 75004 Paris M° Saint-Paul, Chemin Vert, Bastille France Phone : +33 (0)1 42 78 21 00 Fax : +33 (0)1 42 78 86 73 Mail : galerie@galeriemarquardt.com Internet Site : www.galerienikkidianamarquardt.com
Description:
par Ellia Art Gallery
Vernissage le 7 septembre de 18h30 à 22h en compagnie des deux artistes
Ellia Art Gallery vous présente son coup de coeur de la rentrée:
le binôme d'exception Philippe Frisée & Paul Kuseni.
Le photographe et l'artiste plasticien investissent ce magnifique espace près de la Place des Vosges (anciennement Galerie Nikki Diana Marquardt) pour une exposition qui célèbre leur talent et leur amitié confirmés, et qui saura mettre en avant leurs regards à la croisée de deux univers, à la fois différents et complémentaires.
Galerie HEGOA 16, rue de Beaune 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 61 11 33 Mobile : +33 (0)6 80 15 33 12 Mail : contact@galeriehegoa.com Internet Site : www.galeriehegoa.com
Description:
Vous rencontrerez Sophie Le Roux, photographe de musiciens et auteure photographe.
Elle vous présentera sa série "Le Jazz au bout des doigts" réalisée sur scène auprès des plus grands jazzmen d'aujourd'hui !
Rencontrée à Arles en 2016, Sophie Le Roux a exposé ses photographies au Théâtre de Chaillot, au New Morning, à La Villette, à la Maison de la Photographie et de l'image, à l'Ambassade de France en Andorre, mais aussi à Madagascar ou au Qatar....
Cette exposition est réalisée avec le soutien du festival "Jazz à la Villette" qui vous offrira 4 places de concert à gagner le soir du vernissage.
Galerie Grand E'terna ギャラリーグランエターナ 3, rue de Miromesnil 75008 Paris M° Miromesnil, Champs-Elysées - Clemenceau France Phone : +33 (0)1 42 65 14 46 Fax : +33 (0)1 42 65 20 50 Mail : eterna008@gmail.com Internet Site : www.gallery-grand-eterna.com
Description:
Galerie Grand E'terna a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition de "Yoshitaka NANJYO ; Overlay"
le jeudi 7 septembre de 18h30 à 21h
Exposition du 1er septembre au 30 septembre 2017
Collection la galerie d'Ateliers d'Art de France 4, rue de Thorigny 75003 Paris M° Saint-Sébastien - Froissart France Phone : +33 (0)1 42 78 67 74 Fax : +33 (0)1 42 77 42 01 Mail : collection@ateliersdart.com Internet Site : www.ateliersdart.com
Description:
Aude Tahon,
Présidente d'Ateliers d'Art de France
a le plaisir de vous inviter
à la galerie Collection
JEUDI 7 SEPTEMBRE 2017
à 18h30 au vernissage de l'exposition :
ATMOSPHÉRIQUE
du 8 septembre au 21 octobre
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h
La galerie Collection invite neuf artistes de la matière à exposer leurs pièces autour du thème Atmosphérique.
Si certains s'intéressent à l'évocation d'éléments directement reliés à l'atmosphère et à des phénomènes météorologiques ou climatiques, d'autres interprètent les effets et les sensations provoqués par ces manifestations : mouvements, tourments, ou encore vibrations montrant la puissance de la nature.
Halle Saint-Pierre 2, rue Ronsard 75018 Paris M° Anvers, Abbesses, Château Rouge, Barbès - Rochechouart France Phone : +33 (0)1 42 58 72 89 Fax : +33 (0)1 42 64 39 78 Mail : info@hallesaintpierre.org Internet Site : www.hallesaintpierre.org
Description:
Rez-de-chaussée de la Halle Saint-Pierre
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
L'exposition CARO/JEUNET est une invitation dans le monde singulier des réalisateurs Jean-Pierre JEUNET et Marc CARO.
Le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et autres documents viendra dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d'art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.
MARC CARO
« Si singulier il y a, il me semble que l'association bicéphale que nous avons constituée avec Jean-Pierre Jeunet fut l'une des choses les plus singulières du paysage cinématographique français. Deux cinéastes visuels qui renouent avec les origines du cinématographe... Pour ma part, notre filiation revendiquée avec Meliès et l'art forain, trouve naturellement sa place à la Halle Saint Pierre qui a toujours su accueillir ceux qui marchent en dehors des clous... »
Marc CARO
Né en 1956 à Nantes, MARC CARO est un auteur de bandes dessinées qui a débuté dans la revue Metal Hurlant à la fin des années 70. Il publie également ses planches dans les magazines Fluide Glacial, Charlie Mensuel et L'Echo des Savanes). C'est aussi un musicien électronique (le groupe Parazite) et un cinéaste issu du cinéma d'animation et de la vidéo expérimentale. Il est connu pour avoir co-réalisé avec Jean-Pierre Jeunet (qu'il rencontre au Festival du Film d'animation d'Annecy en 1974) plusieurs courts-métrages, et les longs-métrages Delicatessen (1991, qui a obtenu de nombreux césars) et La Cité des enfants perdus (1995, présenté en ouverture du festival de Cannes).
Il a réalisé plusieurs courts métrages en solo (Rude Raid, 1985, La Concierge est dans l'escalier (1987)...), le long métrage Dante 01 (2008) ainsi qu'un documentaire sur les robots au Japon (Astroboy à Roboland, 2008).
On lui doit aussi affiches, musiques et décors pour les chorégraphes Régine Chopinot et Philippe Decouflé, ainsi que la direction artistique de nombreux films, parmi lesquels Alien Resurection (1997) de Jean-Pierre Jeunet, Blueberry (2004) de Jan Kounen, et Enter the Void (2009) de Gaspar Noé.
Marc Caro
JEAN-PIERRE JEUNET
« Dans tous les films que nous avons faits ensemble ou séparément, Marc Caro et moi-même, les objets ont toujours eu une place prépondérante. Marionnettes articulées pour les films d'animation, Machines Steampunk, costumes baroques, Aliens géants, objets emblématiques comme le cahier de photomaton d'Amélie, sans compter les storyboards, dessins de décors, BD et illustrations de Marc Caro... Tant d'objets qui traînaient dans mon bureau que je décidai de les partager. Le choix de la Halle Saint Pierre a été comme une évidence. Musée d'un art populaire non prétentieux... Situé à quelques mètres de là où Nino Quincampoix pourchassait Amélie dans les jardins du Sacré Cœur... C'est à la Halle Saint Pierre que j'ai découvert Jephan de Villiers, Ronan-Jim Sévellec, Charles Matton, Gilbert Peyre, que j'ai admiré les œuvres de Giger, guide spirituel de mon « Alien »... artistes que je collectionne, et qui font le pont entre l'art « singulier » et nos films, qui ne sont pas moins, du moins je l'espère... singuliers. »
Jean-Pierre JEUNET
Jean-Pierre est né le 3 septembre 1953, à Roanne. Longtemps enfant unique, il développe très vite son propre univers et c'est la caméra Super 8 apportée un jour par un ami de ses parents qui lui montre une voie qui pourrait être la sienne. Véritable autodidacte, il commence par réaliser des films d'animation L'Evasion, Le Manège, avec des personnages sculptés par Marc Caro, puis Pas de Repos pour Billy Brakko d'après une BD du même Caro. Ces films de court métrage commencent à faire parler de lui et à glaner de multiples récompenses en France et à l'étranger. Ensemble, toujours, ils réalisent Le Bunker de La Dernière Rafale, court métrage culte de science-fiction, qui passera en première partie d'Eraserhead de David Lynch dans une salle parisienne durant six années. En 1989, il réalise seul Foutaises avec, déjà, son acteur fétiche Dominique Pinon, et gagnera une cinquantaine de prix dont le César du meilleur court métrage.
Le succès commercial et les nombreux prix de Délicatessen (1991) permettent à Jeunet & Caro de mettre en chantier un projet ambitieux : La Cité des Enfants perdus, une fable sombre, tellement innovante sur le plan technique qu'elle nécessite la création de nouveaux logiciels et une très longue préparation. Le film est superbe, infiniment poétique. Il est présenté en Ouverture du Festival de Cannes 1995. C'est ce film qui attire l'attention de la Fox qui décide de confier à Jean-Pierre Jeunet la réalisation du 4ème opus de la franchise « Alien Résurrection ».
A l'issue de son séjour hollywoodien, Jean-Pierre Jeunet a la nostalgie des pavés de Montmartre et surtout, après la « grosse machine » d'Alien, il a envie de réaliser un « petit film personnel avec des copains ». Depuis des années, il collectionne des bouts d'idées étonnantes et des fragments d'histoires qui le touchent. Tout prend forme lorsqu'il invente le dénominateur commun à ces histoires : une jeune femme timide mais imaginative et déterminée à enjoliver la vie des autres. Ainsi est née Amélie Poulain, héroïne d'un film qui rend heureux et donne envie d'aimer, car Jean-Pierre Jeunet réussit avec ce film ce qui est considéré comme l'exercice le plus périlleux du cinéma : filmer le bonheur. Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain est le plus grand succès en langue française dans le monde.
Le triomphe du film et l'osmose avec Audrey Tautou lui permet d'envisager un projet qui lui tient à cœur depuis 10 ans : Un Long Dimanche de Fiançailles, l'adaptation du roman de Sebastien Japrisot. Avec Audrey Tautou, Jean-Pierre Jeunet sait qu'il tient sa « Mathilde », jeune femme obstinée à la recherche de son fiancé dans les méandres de la Grande Guerre. Le succès est au rendez-vous, tant sur un plan critique que sur un plan commercial.
Le 28 octobre 2009, sortie du film Micmacs à Tire-Larigot, une fable humaniste où Dany Boon interprète un David luttant contre Goliath, en l'occurrence deux marchands d'armes.
En 2013, L'extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet avec Kyle Catlett et Héléna Bonham Carter est une adaptation du livre-objet de Reif Larsen. Cette adaptation a été écrite en collaboration avec Guillaume Laurant. Le film a été tourné en anglais au Canada, en 3D. La sortie en France le 16 octobre 2014 sera suivie par une sortie Européenne, puis américaine. Thomas Hardmeier a été récompensé du César de la photographie en 2015. Et le film remporte tous les prestigieux 3D society Awards.
En 2015 Jean-Pierre réalise un pilote de série intitulée Casanova avec Diego Luna, Bojana Novakovic, Miranda Richardson et Ben Daniels pour Amazon. Le film sera diffusé sur leur site à l'été 2015, et son chef opérateur Pierre Gill récompensé du prix américain ASC attribué à la photographie.
Jean-Pierre vient de réaliser avec Romain Segaud un court métrage d'animation, mettant en scène ses bestioles, bricolées avec des débris trouvés dans la nature, sur un texte de Jacques Prévert et intitulé Deux escargots s'en vont.
Jean-Pierre Jeunet est le cinéaste français le plus récompensé. Son tour de force est de parvenir à être considéré comme un véritable auteur tout en parvenant à toucher un public large.
halles saint-Géry
1 place Saint Géry
Région de Bruxelles-Capitale
La nouvelle année scolaire démarre avec l'exposition "PAUL ET SES FRÈRES", imaginée par l'Association pour l'Étude du Bâti.
Paul Hamesse et ses frères, Georges et Léon, sont les auteurs à Bruxelles, dès 1898, de plus de 200 maisons de commerces chics et vitrines éphémères, villas luxueuses, maisons bourgeoises et immeubles modernes, ateliers d'artistes et temples cinématographiques.
Cette exposition destinée à un public familial se tiendra du 8 septembre au 22 novembre 2017 aux Halles Saint-Géry.
À 19h30, concert de Paul Hamesse et Mister'n'Missis
RSVP expo@sprb.brussels
26 artistes majeurs. 200 oeuvres : L'exposition TURBULENCES DANS LES BALKANS poursuit les prospections que la Halle Saint Pierre mène depuis plus de vingt ans aux frontières de l'art brut. La scène artistique des Balkans donne à voir ses territoires alternatifs riches de leur complexité et leur diversité. Gardiens du grand héritage de l'art populaire, icône de la pop culture, explorateurs de langages archaïques ou magiciens du matériau brut, tous ces artistes inventent des mondes singuliers travaillés par une Histoire déchaînée autant que par les sentiments et les instincts excessifs qui enflamment leur relation au monde. TURBULENCES, est la métaphore de ces expériences intimes mises en images, en émotions et en réflexions.
La rencontre de l'art brut et des Balkans n'en est cependant qu'à ses premiers développements, loin de la vulgarisation en cours en Europe occidentale et aux Etats-Unis. Autrefois poudrière, aujourd'hui morcelés et en quête de stabilité, les Balkans tentent d'exister ailleurs que dans le poids du passé, que ce soit un passé lointain marqué par la domination des Empires, les mythes nationaux, ou un passé proche fait de conflits armés. En marge des institutions une scène artistique alternative voit le jour. Tournant le dos aux performances trop artificielles et intellectualisées d'un certain art contemporain, des artistes veulent renouer avec des formes d'expression plus authentiques, ouvertes sur la vie intérieure jusqu'aux confins de l'obsession et du délire. Entre caractère alternatif et effervescence artistique, des initiatives ont vu le jour qui donnent une visibilité à l'art des marges. Turbulences dans les Balkans met en acte le besoin existentiel de ces artistes de penser le monde en le poétisant, de faire résonner un langage qui ne raisonnerait plus.
La galerie Nelly WANDJI est heureuse de vous annoncer sa nouvelle exposition
WEAVING, ART, OBJECTS by Aissa Dione
VERNISSAGE (sur invitation uniquement)
Le 7 Septembre à partir de 18H30
Exposition-vente du 8 au 24 septembre 2017
L'exposition est consacrée à la mise en valeur des talents au sein des ateliers d'Aissa Dione et de créateurs, designers, artisans du Sénégal avec qui elle collabore comme Balla Sidibe, Pape Ahmadou Ndoye et Amsa Cisse.
Le focus sera porté sur les arts textiles. Ces créations textiles d'Aissa Dione sont produites en partie suivant les techniques de tissage des Mandjaques, originaires du Sud du Sénégal et de Guinée Bissau. Le focus de l'exposition permet de leur rendre hommage.
En outre, cette carte blanche à Aissa Dione sera l'occasion pour cette passionnée d'art et galeriste à Dakar, d'adjoindre à la présentation une sélection d'oeuvres de Camara Guèye
Aissa Dione, designer, décoratrice, découvreur de talents et d'artistes et Nelly Wandji, galeriste, consultante pour les métiers créatifs sont heureuses de faire découvrir la collection éphémère de créations d'exception rassemblée en exclusivité pour l'évènement.
La sélection pour l'exposition comprendra des textiles, des objets de design, du petit mobilier, entièrement manufacturés au Sénégal, des accessoires de mode et de décoration ainsi qu'une capsule de la styliste Sophie ZINGA.
Ces pièces en éditions exclusives seront disponibles à la vente tout au long de l'exposition.
Espace Christiane Peugeot Centre Culturel Christiane Peugeot - Atelier Z 62, avenue de la Grande Armée 75017 Paris M° Porte Maillot, Argentine France Phone : +33 (0)1 45 74 32 53 Fax : +33 (0)1 45 72 67 56 Mail : contact@espacechristianepeugeot.org Internet Site : www.espacechristianepeugeot.org
Description:
5 au 18 septembre 2017
tous les jours de 12h à 19h30
Jeudi 7 septembre, vernissage soirée de 18h30 à 21h
Jeudi 14 septembre,
Défilé de mode de Xu Ming
après-midi de 16h à 21h
Cinq artistes exposent leur travail de collagiste
André-Didier Dana
Laetitia de Gaulle
Micheline Lada
Christiane Peugeot
Thierry Prouvost
ainsi que Xu Ming, styliste qui présente ses sculptures mobiles
Vitrine - 65 65, rue Notre Dame de Nazareth 75003 Paris M° Strasbourg - Saint-Denis, Réaumur - Sébastopol, Arts et Métiers France Phone : +33 (0)7 83 20 26 20 Mobile : +33 (0)6 72 70 13 34 Mail : contact@vitrine-65.gallery Internet Site : www.vitrine-65.gallery
Description:
du 28 août au 10 septembre
Cette exposition est née de la volonté de réunir les univers de trois artistes Isabelle Malin, Julie Quintard et Jules Viera le temps d'un accrochage collectif à la galerie Vitrine 65.
Mains d'Œuvres Lieu pour l'imagination artistique et citoyenne 1, rue Charles Garnier 93400 Saint-Ouen M° Garbaldi, Porte de Clignancourt France Phone : +33 (0)1 40 11 25 25 Fax : +33 (0)1 40 11 25 24 Mail : info@mainsdoeuvres.org Internet Site : www.mainsdoeuvres.org
Description:
du 7 septembre au 15 octobre
du jeudi au dimanche, de 14h à 19h
Avec : Pawel Althamer (PL), Anna Baumgart (PL), Enrico Floriddia (IT), Eric Giraudet de Boudemange (FR), Laura Gozlan (FR), Nikita Kadan (UKR), Zhanna Kadyrova (UKR), Marwan Moujaes (LB), Artur Zmijewski (PL).
Commissariat : Malgorzata Grygielewicz et Ann Stouvenel
> Jeudi 7 septembre 2017, à partir de 18h30 :
*Vernissage
Avec l'aimable soutien de l'Institut Polonais à Paris !
NOCTURNES :
Ouverture de l'exposition jusqu'à 20h30, lors d'autres événements à Mains d'Œuvres :
> Samedi 30 Septembre - THÉÂTRE : "Violences conjuguées", Cie Alaska
> Mercredi 11 Octobre - THÉÂTRE : "Cie LTDH - Cie You'll Never Walk Alone" - Fragments #5 - Mains d'Œuvres & La Loge
> Samedi 14 octobre - CONFÉRENCE : Bernard Stiegler, sur le travail dans le cadre du spectacle To Burn or Not ? / Suivie de la pièce To Burn or Not ? dans le cadre de "Fragments #5" - Mains d'Œuvres & La Loge
« Urbs sacra »
Au commencement, il y a une question : pourquoi certaines villes devraient-elles périr ? La synergie entre la ville et la vie nous interroge. La ville, que nous tenons pour la forme du cours universel des choses, objective nos pensées.
Oublions alors les murs de nos villes, leur place bien établie et ce qui sommeille dans leur usage. Il nous paraît nécessaire d'opérer à nouveau un mouvement vers le dehors, pour sortir, sortir dans le jardin. La notion de frontière du jardin doit être pensée comme n'étant pas une ligne de séparation, mais un horizon mobile, une perspective changeante, la limite qui n'est pas l'endroit où s'arrête quelque chose. C'est au contraire, à partir de là, que quelque chose commence à être.
Au cours de cette exposition, nous tâcherons de répondre à ce questionnement à travers l'idée de destruction et de création. L'urgence vitale des esthétiques contemporaines face à la ville et au jardin, qui se dégradent et périssent dans des espaces sociaux urbains, politiques et économiques, sera prise en compte.
Les œuvres exposées retracent des expériences d'artistes venus de différents endroits et nous offrent un regard sur notre d'histoire.
Exposition réalisée en partenariat avec :
- l'Institut Polonais à Paris
- GALLERIA CONTINUA, San Gimignano / Beijing / Les Moulins / Habana
Zhanna Kadyrova, "Experiments" (détail), 2014, impression jet d'encre, acide. Courtesy GALLERIA CONTINUA, San Gimignano / Beijing / Les Moulins / Habana. Ph. Christian Vorhofer
Hôtel Salomon de Rothschild Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques 11, rue Berryer 75008 Paris M° George V, Ternes, Charles de Gaulle - Etoile France Phone : +33 (0)1 71 93 75 37 Fax : +33 (0)1 71 93 75 38 Mail : contact@HotelSalomondeRothschild.com Internet Site : www.hotelsalomonderothschild.com
Galerie Valérie Delaunay 22, rue du Cloître Saint-Merri 75004 Paris M° Châtelet, Hôtel de Ville France Mobile : +33 (0)6 63 79 93 34 Mail : contact@valeriedelaunay.com Internet Site : www.valeriedelaunay.com
Description:
Valérie Delaunay a donné carte blanche à Hélène Muheim pendant la période estivale pour investir l'espace de la galerie.
Du 1er août au 7 septembre, ses derniers travaux seront visibles à la galerie sur rendez-vous.
Une soirée de finissage le jeudi 7 septembre clôturera cette exposition.
Exposition du 1er août au 7 septembre 2017
Finissage le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
Un paysage est avant tout une construction, une position, face à un assemblage d'éléments naturels ; de même que le portrait, avant d'être portrait, est un visage.
C'est de cette manière qu'il nous revient de découvrir les paysages raffinés d'Hélène Muheim, ses Lignes d'horizon dans lesquelles elle n'investit la page que pour mieux souligner la cohabitation du paysage et de son absence : quelques lignes de crêtes et des sommets enneigés sont coupés horizontalement par une ligne floue et volontaire à la fois, laissant deviner, dans la surface immaculée de la page blanche, d'autres beautés naturelles.
Un paysage est donc construction, mais, ici, il est aussi fondamentalement émotion, comme peuvent l'être une mer de nuages ou une épaisse forêt pour les romantiques allemands.
« Le cœur de la montagne s'est arrêté de battre », dit un titre évocateur qui suggère un effacement, une disparition, une fin universelle. Pour autant, avec une douce résignation, le monde continue à vivre lentement, à un rythme amoindri, comme dans un coma : Hélène Muheim représente ainsi, « inlassablement, ce qui n'est plus », et c'est avec patience qu'elle préserve ce qui reste néanmoins, sous les strates de la conscience, dans le souvenir d'un bruissement du vent dans des feuilles d'arbre ou dans celui d'un drame lointain.
Pour cela, elle « maquille » ses paysages comme on maquille des paupières, délicatement, en estompant tellement que les pigments ne font plus qu'un avec la finesse de la peau ou celle du papier : « je maquille les reliquats du monde », dit-elle. Ces reliquats, reliques et traces, l'artiste les trouve aussi dans l'histoire de l'art, dans les sources qu'elle utilise pour réaliser ses dessins, que ce soit l'œuvre d'un sombre graveur suisse du 19ème siècle représentant la Vallée de Chamonix, celle du renaissant Joachim Patinir ou encore les paysages à l'arrière plan des tableaux de Léonard de Vinci.
Que l'on pense justement aux arrêtes des montagnes bleues de sa Sainte Anne pour saisir la complexité d'un paysage à la fois acéré et léger, violent et mystérieux, en surface et en méandre.
Hélène Muheim dessine aussi des Chimères, les miroirs déformants d'un monde mental dans lequel les formes - pas vraiment organiques, mais plutôt minérales - s'assouplissent se contorsionnent, faisant étrangement penser aux circonvolutions tentaculaires et végétales de l'Art Nouveau.
Dans les plis et les strates se cachent des formes : une femme au bonnet d'âne rappelle d'ailleurs qu'il y a de l'humour aussi dans ce travail, du moins une distance sereine face à certaines terreurs.
L'une de ces chimères, one more breath, est un souffle : est-ce là un dernier souffle vital ; ou plutôt un souffle créateur, de communication avec les forces cosmiques de l'univers, à l'instar des Bubbles de Roland Flexner ?
Léa Bismuth
Critique d'art et Commissaire d'exposition
Son âme est restée collée sous ma langue, poudre de graphite et ombres à paupière sur papier, 200 x 210 cm
Port des Champs-Elysées Pont Alexandre III Port des Champs-Elysées 75008 Paris M° Champs-Elysées - Clemenceau, Invalides France
Description:
Bruno Julliard, Premier adjoint en charge de la culture, inaugure le centre culturel éphémère, le Génie d'Alex, sous le pont Alexandre III, le jeudi 7 septembre à partir de 19h.
La Ville de Paris est engagée depuis plusieurs années dans une dynamique d'occupation temporaire de sites municipaux ponctuellement vacants. Ces sites ont vocation à accueillir de l'hébergement d'urgence, des activités d'économie sociale et solidaire et des activités de création culturelle. L'occupation temporaire est une occasion unique de proposer une programmation innovante, responsable et durable pour ces lieux, en future reconversion, qui ont vocation à être largement ouverts au public.
La culée droite du Pont Alexandre III accueillait jusque début 2017 le Showcase, boîte de nuit parisienne très repérée. Le renouvellement de cette concession a été intégré à l'appel à projet urbain innovant Réinventer la Seine. Le groupe Noctis, avec son projet de « Cabaret électro » a remporté cet appel à projets et entrera dans les lieux à la fin de l'année 2017. Entretemps, la Ville de Paris a souhaité permettre à des acteurs culturels alternatifs parisiens d'investir ce site patrimonial bénéficiant d'un ancrage fort le long de l'axe Seine, désormais grande balade urbaine pour les Parisiens et les touristes.
La SCOP Plateau Urbain, notamment connue pour ses projets comme celui des Grands Voisins (14e) ou Le Python (20e), a été choisie à l'issue d'un appel à projet pour organiser l'ouverture, la programmation et l'animation du site. Un collectif a été formé avec plusieurs acteurs spécialisés pour assurer la diversité de programmation du lieu : restauration, réalisation du mobilier, création artistique, organisation d'ateliers et programmation festive.
« L'intérêt d'un tel projet, hybride et éphémère, est d'offrir un espace de création et d'expérimentation alternatif dans un site patrimonial exceptionnel au cœur de Paris. Nous avons à cœur de soutenir l'ouverture de lieux de cette nature, qui permettent, en sortant la création et la pratique artistiques des institutions plus traditionnelles, de les rendre accessibles à tous » a expliqué Bruno Julliard.
« L'ouverture du Génie d'Alex dans un ancien night-club démontre la vitalité des nuits parisiennes qui se développent en dépassant même leur stricte dimension nocturne. La Ville de Paris soutient ces projets culturels et festifs dont la diversité permet à chacun de trouver son bonheur, selon ses goûts » s'est réjoui Frédéric Hocquard.
Retrouvez toute la programmation sur www.legeniedalex.com
Personnalités présentes :
- Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire chargé de la culture et du patrimoine
- Jeanne d'Hauteserre, Maire du 8e arrondissement de Paris
- Frédéric Hocquard, Conseiller Délégué auprès du Premier Adjoint, chargé des questions relatives à la "Nuit".
En attendant de découvrir Le Cabaret Electro en 2018, l'ancien espace qui a abrité le Showcase pendant 11 ans, ouvre ses portes dès ce mercredi 30 août au Génie d'Alex; un lieu culturel et éphémère imaginé par Plateau urbain aux multiples animations.
Certains ont été déçus de voir le Showcase fermer ses portes en février dernier. Concession oblige, le lieu dévoilera en 2018 Le Cabaret Electro, nouveau lieu de vie du groupe Noctis, lauréat de l'Appel à Projets Innovants "Réinventer La Seine" sur la Culée Droite du Pont Alexandre III...
En attendant donc, la Ville de Paris a cédé le lieu à Plateau urbain (accompagné de Freegan Pony, La Belle Friche, La Ressourcerie du Spectacle et le Collectif-Yaplusk) qui a imaginé un centre culturel éphémère baptisé Le Génie d'Alex.
La Préfecture de police vient de donner son aval, le Génie d'Alex, qu'on attendait plus tôt, va pouvoir enfin ouvreir ses portes. Dès ce mercredi 30 août et jusqu'au 4 décembre, le lieu va pouvoir prendre vie du mercredi au dimanche.
On va de nouveau réinvestir ce mythique espace, niché sous le Pont Alexandre III, côté rive droite, et découvrir un nouveau lieu unique mêlant concerts, expos, ateliers, jeux, agriculture urbaine, bar et espace de restauration solidaire, sans oublier deux coins terrasses pour bronzer à côté de l'un des plus beaux ponts de la capitale !
Berges sur Seine Ports de Solférino, Invalides et Gros Caillou 75007 Paris M° Invalides, Assemblée Nationale, Alma - Marceau France Internet Site : lesberges.paris.fr
Description:
Le 7 septembre, 500 Parisiens vont se serrer les coudes sur la plus grande table de Paris.
Une table de 183 mètres de long, dans un décor féerique. 500 Parisiens et banlieusards qui avaient toujours rêvé de se donner la sensation de faire partie de la jet-set le temps d'une nuit, ont participé ce jeudi soir à « la grande tablée de Coca-Cola », organisée par l'enseigne du même nom, sur les quais de Seine à Paris (VIIe).
Sans débourser un seul centime, les convives qui s'étaient au préalable simplement inscrits sur Internet à cet événement insolite, ont pu s'installer face à la Tour Eiffel et au Grand-Palais. Ils ont dégusté des plats soigneusement préparés par trois noms de la « street food » parisienne. Le chef du restaurant Pressing-Pressing pour l'entrée, celui de Melt pour le plat et Guillaume Sanchez, ex-candidat de top-chef et gérant du Nomos, a conclu le repas d'une touche sucrée avec un dessert inspiré du Coca-Cola Cherry.
Emaillé de surprises et de concerts, le dîner s'est terminé par des dégustations de cocktails sur la musique de DJ Sofiane de Radio Nova. «C'est top, une sorte de guinguette éphémère», savoure Mathieu, quadragénaire parisien, venu avec sa compagne. Un pari réussi pour la marque: «Nous avons voulu proposer un événement inédit et festif pour la rentrée afin de marquer les esprits», indique Nathalie Massé, chef de groupe Marketing Coca-Cola France.
Carré Rive Gauche Quai Voltaire, rue des Saints-Pères, rue de l'Université, rue du Bac, rue de Lille rue de Beaune, rue de Verneuil, rue Allent 75007 Paris M° Rue du Bac, Saint-Germain-des-Prés, RER C Musée d'Orsay France Phone : +33 (0)1 42 60 70 10 Mail : info@carrerivegauche.com Internet Site : www.carrerivegauche.com
Boffi Studio Paris 234, boulevard Saint-Germain 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 42 84 11 02 Fax : +33 (0)1 42 84 11 02 Mail : info@boffiparis.com Internet Site : www.boffi-cuisines.com
Description:
A l'occasion de la Paris Design Week,
Boffi Paris dévoile pour la première fois en France, COVE Kitchen.
Des lignes fuselées, des matières d'exception, un travail sur les pleins et les vides... donnent vie à un projet d'envergure
signé Zaha Hadid, Prix Pritzker 2004.
Journée Presse Jeudi 7 septembre 2017 de 10h à 18h
Cocktail à partir de 19h
Edifice 27 bis, boulevard Raspail 75007 Paris M° Rue du Bac France Phone : +33 (0)1 45 48 53 60 Fax : +33 (0)1 45 48 53 60 Mail : contact@edifice-design.com Internet Site : www.edifice-design.com
Description:
Officina de Roman & Erwan Bouroullec, Brut de Konstantin Grcic, Sequoia de Anderssen & Voll, Leaves de Blaise Drummond... Magis présente pour la première fois en France ses nouveautés 2017, à Paris, chez Édifice, au coeur du 7ème arrondissement.
Maison du Danemark 142, avenue des Champs-Elysées 2ème étage 75008 Paris M° George V, Charles de Gaulle - Etoile France Phone : +33 (0)1 56 59 17 40 Fax : +33 (0)1 56 59 17 41 Mail : mdd@maisondudanemark.dk Internet Site : www.maisondudanemark.dk
Description:
Rencontre avec Peter Martensen et sa galeriste parisienne, Maria Lund, à l'occasion de son exposition RAVAGE du 06 septembre au 29 octobre 2017 à la Maison du Danemark.
Peter Martensen est né en 1953 à Odense au Danemark. Sans cesse en quête d'une vérité artistique et existentielle, il trace,à travers la peinture, son propre chemin et nous confronte à une imagerie forte, décalée et ambiguë qui touche par son acuité non démonstrative.
Vente et signature du catalogue de l'exposition
dans le cadre de l'exposition de Peter Martensen "Ravage"
6 septembre - 29 octobre 2017
La Maison du Danemark et le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole s'engagent en 2017 dans un partenariat autour d'une figure majeure de la scène artistique contemporaine danoise. Peter Martensen est un artiste singulier. Sans cesse en quête d'une vérité artistique et existentielle, il trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l'art.
Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français et sur la scène institutionnelle parisienne. À la présentation au Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne jusqu'au 27 août succédera celle de la Maison du Danemark à partir du 6 septembre.
Mélancolie, distance, indifférence, recul, absence, silence sont les qualificatifs qui pourraient accompagner une première appréhension de l'œuvre de Peter Martensen, pourtant cela en réduirait la portée, l'énergie et l'actualité. Quelques similitudes avec l'atmosphère du peintre danois Vilhelm Hammershøi pourraient être avancées ; cependant si Martensen admire son compatriote, son travail n'en est pas moins résolument contemporain et très personnel. Plutôt qu'artiste engagé, il préfère se positionner comme « un réaliste mental ». Il s'agit de traduire cette expression comme celle d'une éthique toute personnelle, celle qui traverse ses choix de vie comme ses engagements tournés vers l'autre, les autres. « Je travaille beaucoup avec ce qui relève du général, des généralités ; mes œuvres parlent d'êtres humains. »
Dans Ravage, peintures, dessins, sculpture et vidéos témoigneront de la cohérence de la démarche de cet artiste né en 1953 à Odense (Danemark). Loin d'une rétrospective de l'œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans la carrière de l'artiste dont elle se veut l'écho.
Catalogue : Peter Martensen, Ravage Le catalogue de l'exposition est enrichi par un texte de l'écrivain danois bien connu en France, Jens Christian Grøndahl. Merete Sanderhoff, conservateur au Statens Museum for Kunst (Copenhague) y pose la question de la place de Martensen sur la scène contemporaine et dans le contexte danois. Lorand Hegyi, directeur émérite du Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, s'intéresse à la figure de Martensen sur la scène internationale. Enfin, une interview de Martine Dancer-Mourès, commissaire de l'exposition et directeur général du Musée d'art moderne et contemporain Saint-Étienne Métropole, donne la parole à Peter Martensen. Bilingue français-anglais de 168 pages, Editions Kerber Verlag, Bielefeld (Allemagne) isbn 978-3-7356-0374-6, 38 €
French Paper Gallery French Paper Art Club 51, rue Volta 75003 Paris M° Temple, Arts et Métiers, République France Mail : contact@frenchpaperartclub.com Internet Site : www.frenchpaperartclub.com
Description:
Du 7 au 24 spetembre 2017, la French Paper Gallery présente un Rock Posters Rendez-Vous spécial Metallica !
Un événement dédié aux sérigraphies officielles de la tournée WorldWired Tour 2016-17. Des éditions numérotées et signées, bref du Collector !
Nous vous proposons une exposition-vente de pièces uniques !
Sur chaque date de la tournée WorldWired Tour, le groupe à demandé à un artiste un design/une illustration/une oeuvre afin d'en tirer une sérigraphie exclusive. Sur chaque concert (et uniquement là!) vous pouvez donc retrouver à la vente une sérigraphie en édition très limitée, numérotée et signée.
Ce sont toutes ces oeuvres que nous vous proposerons lors de cette exposition exclusive en septembre, pendant la tournée française du groupe.
Parmi les artistes et sérigraphes que vous retrouverez: Ames Bros., Tim Doyle, Joshua Budich, Matt Dye, Angryblue, F4D Studios, Tyler Sharp, Laurie Greasley, Jesse Philips, Florey et beaucoup d'autres.
Musée de la Chasse et de la Nature Hôtel de Mongelas 62, rue des Archives 75003 Paris M° Rambuteau, Hôtel de Ville France Phone : +33 (0)1 53 01 92 40 Fax : +33 (0)1 42 77 45 70 Mail : musee@chassenature.org Internet Site : www.chassenature.org
Le Monte-en-l'air 71, rue de Ménilmontant 2, rue de la Mare 75020 Paris M° Ménilmontant, Gambetta France Phone : +33 (0)1 40 33 04 54 Mail : lemontenlair@free.fr Internet Site : montenlair.wordpress.com
Description:
Jeudi 7 septembre à partir de 19h, soirée avec Erwan Larher et les éditions Quidam pour fêter la sortie Du livre que je ne voulais pas écrire.
Je suis romancier. J'invente des histoires. Des intrigues. Des personnages. Et, j'espère, une langue. Pour dire et questionner le monde, l'humain.
Il m'est arrivé une mésaventure, devenue une tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.
Pavillon Wagram 47, Avenue de Wagram 75017 Paris M° Ternes France Phone : +33 (0)1 49 29 50 50 Mail : info@pavillonwagram.com Internet Site : www.pavillonwagram.com
Maison de l'Argentine Fondation Argentine 27 A, boulevard Jourdan Cité Internationale Universitaire de Paris 75014 Paris M° RER B Cité Universitaire, Tram T3a Cité Universitaire France Phone : +33 (0)1 44 16 29 00 Mail : culture.arg1@gmail.com Internet Site : www.casaargentinaenparis.com
Description:
Vernissage jeudi 7 septembre à 19h
Exposition du 7 au 29 septembre 2017
Du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 19h
Exposition photographique
Migrants : trois générations à la recherche de leurs identités.
La Suisse - l'Argentine 1920-2017.
Eduardo Burry - Helen Zout - Lisando Pérez Aznar
Commissaire de l'exposition : Gabriel Diaz
"Depuis des temps immémoriaux, l'humanité a émigré en cherchant un lieu pour développer son bien-être.
Nos origines ne sont pas différentes de cette réalité.
Cette exposition consiste à montrer un travail représentatif de l'immigration et de l'enracinement, documentée par trois générations de photographes, durant un siècle dans un même lieu en Argentine.
Eduardo Burry, qui a fait partie de l'immigration du début du XXe siècle, est arrivé de Suisse en Argentine en 1920. Il a photographié une grande partie de ses voyages.
Nous, son arrière-petit-fils, Lisandro Pérez Aznar, et sa petite fille, Helen Zout, également photographes, avons pris des clichés du même endroit que Burry, ainsi que de ses habitants, depuis l'année 2000 jusqu'à maintenant.
Ces images représentent la documentation de tout un siècle du même endroit en Argentine où la tradition ancestrale contraste avec la modernité."
La Galerie Stardust / MOOD Photographies musicales 37, rue de Stalingrad 93310 Le Pré-Saint-Gervais M° Hoche, T3b Porte de Pantin / Parc de la Villette France Mobile : +33 (0)6 30 72 86 16 Mail : contact@lagaleriestardust.paris Internet Site : www.lagaleriestardust.paris
Description:
Lemmy voulait qu'elle s'assoie sur ses genoux... Lemmy ? Lemmy Kilmister de Motörhead ! «Elle», c'est Carole Epinette, photographe depuis 1994.
Si elle a poliment décliné l'invitation un après-midi orageux de 2004, il a, de son côté, fini sur la pellicule... Pour un des clichés les plus légendaires du bassiste le plus destroy du bestiaire rock. Rock & Folk s'en est emparé et plus récemment, Libération en a fait sa couv' en hommage au leader du groupe anglais.
Mais cette photo et cette anecdote ne sont qu'une infime partie du travail de Carole qui depuis plus de vingt ans trace un sillon profond et durable dans l'univers select des photographes de rock. Le Monde, Rolling Stone, Hard N'Heavy, Guitar Part mais aussi outre-manche avec Kerrang, Metal Hammer ou Classic Rock, tous se sont attachés ses services et son talent.
Son exposition Rock is Dead qui comprend des photos et des anecdotes, retrace son parcours, fait de rencontres, de coups de cœurs et de flashs. Un regard et même une vision d'un monde que Carole a fixé pour l'éternité. Rock is dead, vraiment ?
GALERIE CHAMPAKA BRUXELLES
Rue Ernest Allardstraat, 27
Bruxelles 1000 Brussel
Tel : +32 2 514 91 52
Fax : +32 2 346 16 09
sablon@galeriechampaka.com
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017
Exposition du 08/09 au 30/09/2017
Chez Claude Renard, on ne sait qui, de l'œil ou de la main, a le plus de talent. Les deux, sans doute. Les cadrages de ses Vents Salins sont d'une beauté stupéfiante. Saisies sur le vif, ses carcasses de bateaux apparaissent dans leur semblant d'éternité comme des visions hallucinées. Hachures, droites, courbes s'épousent et se chassent. Tout est musique dans cette série d'images à l'équilibre instable, célébrant la transformation et l'oubli. Avec une précision presque chirurgicale, Renard ausculte le réel, le découpe au scalpel de son regard, le réinvente de la pointe de son crayon. Saisissant, vibrant, profondément esthétique, son travail sur les cimetières marins bretons sent le sel, l'iode, le bois en décomposition et les embruns. Il sent la vie, plus que jamais ! Cette exposition exclusive est accompagnée d'un superbe livre dont le tirage est limité, numéroté et signé.
Les Grands Voisins Ancien hôpital Saint-Vincent-de-Paul 82, avenue Denfert-Rochereau 75014 Paris M° Denfert-Rochereau France Mail : bonjour@lesgrandsvoisins.org Internet Site : www.lesgrandsvoisins.org
Galerie Gare de Marlon Gare de Marlon Gallery 28, rue du Pont Louis-Philippe 75004 Paris M° Hôtel de Ville, Saint-Paul France Mobile : +33 (0)6 63 15 56 97 Mail : pablo@garedemarlon.com Internet Site : www.garedemarlon.com
Dans la cadre de la 39ème édition du programme culturel "Evidencias, l'Ambassade de l'Équateur en France a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition "The Nameless City" de l'artiste équatorien Luis Chenche, aussi lauréat du programme cité internationale des arts 2017.
Vous pouvez d'ores et déjà visiter le blog de l'artiste :
https://luischencheblog.wordpress.com
L'événement est d'entrée libre et sera suivi d'un vin d'honneur en présence de l'artiste.
Le Paname - Art Café Art Café - Restaurant - Lounge 14, rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris M° République, Goncourt France Phone : +33 (0)1 48 06 31 27 Mail : contact@panamerepublique.com Internet Site : www.panamerepublique.com
Description:
du 7 au 20 septembre
Vernissage jeudi 7 septembre à partir de 19h
Hôtel de l'Industrie Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale 4, place Saint-Germain-des-Prés 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés France Phone : +33 (0)1 44 39 20 50 Mail : hoteldelindustrie@industrienationale.fr Internet Site : www.industrienationale.fr
Description:
du 7 au 11 septembre
L'Union des Artistes d'Asie en France a le plaisir de vous inviter à la première exposition de WU KE à Paris.
WU KE est né à Shanghai 1969. Il utilise les quatre trésors du peintre traditionnel. Le papier, le pinceau, l'encre et l'encrier ont donné le caractère exclusif à la peinture du pays du milieu. WU KE utilise en virtuose le pinceau, ce merveilleux instrument de toutes les gammes de traits et de toutes les variantes de taches. Le geste du pinceau tantôt léger ou appuyé, souple ou rigide compose l'harmonie des œuvres de WU KE.
Une peinture est un poème enveloppé de formes
Un poème c'est une peinture dénuée de formes(LAO TSEU)
Appétit librairie culinaire pas ordinaire 12, rue Jean Ferrandi 75006 Paris M° Saint-Placide, Vaneau France Mobile : +33 (0)6 17 36 45 35 Mail : contact@appetit.paris Internet Site : www.appetit.paris
Description:
ÊTRE(S) SINGULIER(S), une exposition de 12 portraits de personnalités liées à la gastronomie, réalisés par la journaliste Anne Eveillard et le photographe Bruno Comtesse.
Pierre Gagnaire, Apollonia Poilâne, Cyril Aouizerate... ils ont tous pour point commun d'éviter les chemins déjà tracés. Vernissage le jeudi 7 septembre autour d'un verre. Vous allez aimer la rentrée !
PHOPHÈTE EN SON PAYS
Pour certains, c'est un hippie. Pour d'autres, un anar chic. Pour d'autres encore, un business man. CYRIL AOUIZERATE est un peu de tout ça à la fois. Au terme de ses études, il aurait dû être prof. De philo. Mais il a soudain bifurqué. Penser, c'est bien. Faire, c'est mieux. De 1995 à 2000, il va réinventer la ville, les territoires urbains, les centres commerciaux. Une immersion au cœur du béton, à même le bitume, qui lui donne des envies. Dont celle de créer des hôtels, des restos, des lieux de vie. L'esprit du Mama Shelter et aujourd'hui du MOB, c'est lui...Photographie Bruno Comtesse
LE GOÛT DU PAIN
APOLLONIA POILÂNE passait des heures sur les genoux de son grand-père dans l'arrière-boutique du 8, rue du Cherche-Midi, à Paris. «J'ai appris à compter en rendant la monnaie. Je passais le mercredi et le samedi dans le fournil et quand je dérangeais trop les boulangers, à vouloir faire des personnages en pâte sablée, ils me faisaient croire que le fantôme de Leonardo, des Tortues ninja, allait venir. Ils ne savaient plus quoi inventer pour se débarrasser de moi ! » Photographie Bruno Comtesse.
POP CHEF
JUAN ARBELAEZ vit dans l'instant et fonctionne à l'instinct. Son tatouage dans le dos le prouve : « En arrivant à Paris, je noircissais des pages entières, chaque soir dans mes 12m2 sous les toits. Je racontais tout ce qui m'arrivait. C'est comme ça que j'ai écrit le mot adicto. Car je suis addict à la cuisine. Le lendemain, en me réveillant, je suis retombé sur le bout de papier où était inscrit ce mot. Je suis parti chez un tatoueur et je lui ai dit : je veux la même chose sur le dos. »
Espace des Femmes Antoinette Fouque 35, rue Jacob 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés France Phone : +33 (0)1 42 22 60 74 Mail : contact@desfemmes.fr, espace@desfemmes.fr Internet Site : www.desfemmes.fr
Description:
L'Espace des femmes-Antoinette Fouque
et
HIJOS-Paris
vous invitent jeudi 7 septembre 2017 à partir de 19 heures au vernissage de l'exposition
Grands-mères de la Place de Mai
1977-2017
40 ans de lutte pour la mémoire,
la vérité et la justice en Argentine
Photos réunies par Alejandro Reynoso
Du 8 au 30 septembre 2017
du mardi au samedi de 14 à 19 heures
Rencontre exceptionnelle avec Estela de Carlotto,
présidente des Grands-mères de la Place de Mai,
samedi 30 septembre à 18 heures.
Galerie Daniel Maghen Société Arts Graphiques 36, rue du Louvre 75001 Paris M° Louvre - Rivoli, Châtelet - Les Halles France Phone : +33 (0)1 42 84 37 39 Mobile : +33 (0)6 07 30 31 66 Fax : +33 (0)1 42 22 77 86 Mail : info@danielmaghen.com Internet Site : www.danielmaghen.com
Description:
DU 1ER AU 30 SEPTEMBRE 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre à 19h
La Galerie Daniel Maghen a l'honneur d'accueillir Hermann à l'occasion de sa première exposition-vente.
Primé Grand Prix d'Angoulême en 2016, Hermann est sans conteste l'un des meilleurs dessinateurs de sa génération. Son style unique et audacieux, au réalisme exacerbé, marque un tournant dans l'histoire du 9ème Art. En s'éloignant des stéréotypes du héros, Hermann contribue à développer une forme de bande dessinée contemporaine à l'approche pragmatique, plus mature.
Cette rétrospective retrace près de 50 ans de carrière à travers 75 œuvres issues de ses séries phares : Comanche, Jeremiah, Bernard Prince, Les Tours de Bois-Maury. Ses albums plus personnels -Caatinga, On a tué Wild Bill- seront également mis à l'honneur. Les planches, illustrations et couvertures présentées lors de cette exposition-vente témoignent de la volonté de Hermann de se renouveler en permanence.
Daniel Maghen, Hermann, les éditions du Lombard et les éditions Dupuis sont heureux de vous convier au vernissage de l'exposition, le jeudi 7 septembre à partir de 19h.
Herman Huppen naît le 17 juillet 1938 à Bévercé (Ardennes). Ce n'est qu'en 1964 qu'il se rapproche du 9e Art. Alternant à mi-temps entre son travail d'architecte et le dessin, Hermann signe de courts récits didactiques dont une Histoire de l'Oncle Paul, publiée en 1965 dans Le Journal de Spirou. Remarqué par Greg, il œuvre dès 1966 sur la série qui établit son talent : Bernard Prince. Après un détour par Jugurtha, le duo Greg/Hermann donne vie au western Comanche. Huit ans plus tard, Hermann ressent l'envie de créer sa propre histoire : Jeremiah.
En 1984, il s'écarte momentanément des thèmes post-atomiques pour créer Les Tours de Bois-Maury. Toujours en quête de renouveau, il signe en 1991 son premier one-shot, Missié Vandisandi, suivi en 1995 par Sarajevo-Tango, un album dont la teneur historique et sociale lui vaut de recevoir le Prix Oesterheld. Il poursuivra cette thématique avec Caatinga en 1997. En 2016, il est enfin sacré Grand prix d'Angoulême.
La galerie LA Joaillerie par Mazlo et l'association ARKETIP vous convient le jeudi 7 septembre 2017, de 19 à 21 heures, au vernissage de l'exposition de bijoux contemporains
SACRÉS OUTILS !
Conçue comme un hommage, « Sacrés Outils ! » rassemble une sélection exceptionnelle de bijoux contemporains internationaux. Cette exposition collective questionne les rapports étroits entretenus par les artistes avec les outils et les objets du quotidien.
Quel regard portent-ils sur ces objets universels, dont les formes, le design, les usages sont pour la plupart restés inchangés au long des siècles ? De l'initiation à l'hybridation en passant par la fétichisation et le recyclage, chaque artiste invite à repenser l'outil à la lumière de sa pratique personnelle mais toujours comme un instrument de libération et de médiation entre l'humain et son environnement.
Artistes invités : Lisa & Scott Cylinder - Guillaume Delaperriere - Juanjo Garcia Martin - Robert Mazlo - Xavier Monclùs - Jo Pond - Katja Prins - Quars d'una (Sandra Llùisa - Clara Niùbo - Carla Garcia Durlan - Maria Diez Serrat) - Fabrizio Tridenti - Gabi Veit
Sacrés Outils ! est un évènement de la Paris Design Week #2017
Le photographe et réalisateur Kevin Couliau célèbre la culture et l'esthétique du basketball avec sa première exposition photo « Sphère d'influence » du 8 au 30 septembre, à la Mairie du 9e, Paris.
Joueur et passionné de basketball depuis plus de 30 ans, Kevin Couliau dévoile une sélection de 50 clichés mettant en relief l'esthétique et la créativité qui entourent ce sport. Conçue comme un voyage, de New York à Manille en passant par les terrains parisiens, l'exposition « Sphère d'influence » plongera les visiteurs dans la spontanéité et nature artistique du basketball. Au travers de ses photographies, l'artiste révèle et magnifie la culture de toute une communauté qui s'épanouit sur les playgrounds du monde entier et partage un amour inconditionnel pour cette sphère orange. Le basketball parisien sera à l'honneur dans l'exposition et fera l'objet d'un numéro spécial Paris de « Asphalt Chronicles », le magazine indépendant de Kevin Couliau.
Kevin Couliau, photographe et curateur de l'exposition et Delphine Bürkli, Maire du Neuvième arrondissement de Paris
Ont le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition « Sphère d'influence »
Le jeudi 7 septembre de 19h à 22h
RSVP avant le 5 septembre : contact@frenchcancans.com
Découvrez le travail de l'artiste sur son site www.kevincouliau.com ou sur www.asphalt-chronicles.com
A propos de Kevin Couliau :
Dévoué à l'art du basketball, Kevin Couliau a pris son premier appareil photo en main en 2004. Au travers de son objectif il a commencé à souligner l'esthétique du jeu pour plusieurs publications internationales. Sa passion s'est vite transformée en pèlerinage créatif dans les profondeurs de la culture basket. Kevin a poursuivi ses rêves pour explorer et révéler cette communauté internationale avec ses photos et son magazine indépendant Asphalt Chronicles. En 2013, il co-réalise et filme le documentaire primé « Doin' It In The Park : Pick-Up Basketball, NYC. ». Une vision unique qui l'a amené à présenter son travail à travers le monde et à collaborer avec des marques de sport telles que la NBA, Nike et la FIBA. Kevin travaille actuellement sur un livre photo qui révélera 15 ans de travail et de documentation sur le basketball, qui sera publié fin 2018.
Au moment où tous les regards seront braqués sur le possible choix de Paris comme capitale hôte des Jeux olympiques de 2024, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé fait évènement en redonnant vie aux amours précoces du cinéma et du sport au travers d'une exposition d'images rares et d'une programmation de films uniques des premiers temps du cinéma.
La gémellité entre le sport et le cinéma est d'ailleurs marquée au coin de l'étymologie : Kinéma « mouvement » et Desport « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit ». Mouvement et plaisir, n'est-ce pas la définition même du cinéma et du sport ?
Force est de constater que ce jeune couple a très rapidement su faire cause commune. Le sport constituant très tôt un sujet porteur, permettant d'attirer un large public dans les salles obscures. Le cinéma offrant de son côté un outil d'étude, d'instruction et de propagande sans précédent. Les années 10 et 20 leur donneront raison. Le sport et le cinéma y acquiert, de façon concomitante, une expansion fulgurante doublée d'une popularité extraordinaire.
A travers une sélection de films d'instruction, d'actualités, de captations d'évènements sportifs et de fictions, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé proposera, en partenariat avec l'INSEP* et avec la collaboration de l'ECPAD**, le Comité international olympique (CIO), le Musée départemental Albert Kahn, Gaumont-Pathé Archives, le British Film Institute (BFI), Carlotta Films, la Cinémathèque Royale de Belgique, les Archives françaises du film du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) et la Cinémathèque Française, une quinzaine de programmes offrant un panorama éclectique sur l'omniprésence de la thématique sportive dans les premières décennies du cinéma.
L'exposition, quant à elle, durera jusqu'à la fin du mois de novembre. Elle présentera une centaine de documents inédits - photographies scrutant les gestes du sportif, affiches évoquant les exploits de l'homme moderne, reportages de presse présentant les relations des sportifs avec le monde du spectacle...- issus principalement des collections de l'INSEP et de la Fondation.
Sport et cinéma, une enfance partagée est parrainé par Gauthier Grumier,
escrimeur français pratiquant l'épée, champion olympique par équipe et médaillé de bronze en individuel aux Jeux Olympiques d'été en 2016.
* Institut national du sport de l'expertise et de la performance
** Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense
Du 8 au vendredi 29 septembre 2017
Rendez-vous désormais incontournable de la rentrée, Levall'Art marque le début de l'année en présentant plus de soixante artistes levalloisiens et autant d'univers différents.
Ainsi, peintres, sculpteurs, photographes, dessinateurs ou encore céramistes exposent leurs œuvres, réunis autour d'une même passion pour l'Art.
Accueillant chaque année de nouveaux talents, ce salon est l'occasion de belles rencontres et démontre tout le dynamisme de la création artistique à Levallois.
Entrée libre
Portes ouvertes des ateliers d'artistes
Samedi 9 septembre 2017 de 14h à 19h
Dimanche 10 septembre 2017 de 11h à 19h
Les Furieux 74, rue de la Roquette 75011 Paris M° Voltaire, Bastille France Phone : +33 (0)1 47 00 78 44 Fax : +33 (0)1 47 00 03 57 Mail : lesfurieux@noos.fr Internet Site : www.lesfurieux.fr
Description:
expo du 05 au 30 septembre 2017
Nouvel hommage à la beauté de Paris et celle des femmes...
Centre Culturel Tchèque 18, rue Bonaparte 75006 Paris M° Saint-Germain-des-Prés France Phone : +33 (0)1 53 73 00 22 Fax : +33 (0)1 53 73 00 27 Mail : ccparis@czech.cz Internet Site : www.czechcentres.cz/paris
Description:
Dans le cadre du festival Paris Design Week et de la Semaine des cultures étrangères, le Centre tchèque de Paris organise l'exposition du design funéraire. L'exposition se déroulera du 7 au 30 septembre et rassemble les œuvres des jeunes designers tchèques.
en collaboration avec la galerie tchèque KVALITAR
artistes : Roman Kvita / Linda Vávrová / Sebastian Sticzay / Zuzana Knapková / Martin Chmelař / et Urnes aux racines
Le design funéraire est en train de vivre une vraie renaissance. De plus en plus souvent, les gens s'intéressent aux lieux où reposeront leurs cendres après la mort. En même temps, la gamme d'urnes funéraires s'est beaucoup élargie dans les dernières années. C'est dans ce contexte que le Centre tchèque de Paris en collaboration avec la galerie Kvalitář organisent l'exposition ACHERON qui présente des urnes funéraires des jeunes designers tchèques.
Aujourd'hui, tout le monde cherche à adapter leur environnement à leur goût. Allant de l'apparence jusqu'aux intérieurs de nos appartements, en passant par les vêtements, on préfère un style personnalisé de chaque produit. Pourtant, lorsqu'il s'agit de notre dernier voyage, on doit laisser de côté toute individualité et se contenter de produits stéréotypés et impersonnels qui sont aujourd'hui à l'offre. Mais est-ce nécessaire ? N'avons-nous pas le droit à des choix élégants même après la mort? Il est à noter, d'ailleurs, qu'une urne funéraire nous servira beaucoup plus longtemps qu'un sofa dans notre appartement. L'exposition ACHERON alors découvre un domaine largement inexploré, mais qui mérite sans aucun doute notre attention : le design funéraire. L'exposition est le résultat d'un rencontre de jeunes designers tchèques qui s'intéressent au sujet et qui ont déjà à leur actif un grand nombre de projets réussis. Ayant tous des approches artistiques distinctes, ils travaillent avec des formes et matériaux différents. Ainsi, l'exposition ACHERON propose plusieurs façons de s'assurer un lieu de repos éternel élégant et esthétique.
Voilà la preuve que le design tchèque a franchi même les murs de cimetières !
Produits présentés :
Roman Kvita et Pavlína Kvitová : « URNYY »
Zuzana Knapková : « Ensemble »
Sebestian Sticzay : « Family Chapel »
Monika Suchánská, Tomáš Rybníček, Kateřina Pěkná : « Urnes aux racines »
Linda Vránová : « Urne en basalte »
Martin Chmelař : « Je te tiens »
Exposition est organisée en collaboration avec la Galerie Kvalitář
www.kvalitar.cz/en
L'exposition se tiendra du 30 mai au 24 septembre 2017 au Grand Trianon, ouvert de 12h à 18h30.
Dernière admission : 18h
Fermeture des caisses : 17h50
Consacrée au séjour de Pierre le Grand à Paris et en particulier au château de Versailles, en mai et juin 1717, cette exposition commémorera du 30 mai au 24 septembre 2017 le tricentenaire de la visite du tsar en France.
Fruit d'un partenariat privilégié entre le musée national des châteaux de Versailles et de Trianon et le musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg, l'exposition présentera, à travers plus de cent-trente œuvres, ce qui fut, sous la Régence, deux ans seulement après la mort de Louis XIV, l'un des événements diplomatiques et culturels les plus marquants du début du règne de Louis XV.
Le parcours
Le parcours permettra de suivre pas à pas cette visite qui, pour être officielle, n'en fut pas moins libre. Héritier de la dynastie des Romanov et premier empereur de toutes les Russies, Pierre Ier cherchait l'inspiration dans les modèles français. Cet esprit curieux, passionné d'art, de sciences et de techniques, visita les résidences royales, les manufactures et les académies parisiennes, rencontra les plus éminents savants et artistes de son temps pour en attirer certains à la cour de Saint-Pétersbourg. Peintures, sculptures, pièces de mobilier et d'arts décoratifs, gravures et dessins, livres provenant de la bibliothèque du tsar ainsi qu'objets de son cabinet de curiosités dessineront le portrait de ce grand réformateur de la Russie, tourné vers l'Occident et en particulier vers une France héritière du Grand Siècle.
Commissariat
- Gwenola Firmin Conservateur en charge des peintures du XVIIIe siècle au musée national des châteaux de Versailles et de Trianon
- Thierry Sarmant Conservateur en chef, chef du Centre historique des archives, Service historique de la Défense
- George Vilinbakhov Vice-directeur du musée d'État de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg
Le voyage sur twitter
Découvrez sur le compte Twitter @CVersailles toutes les étapes du séjour de Pierre Ier dans le Paris du jeune Louis XV de mai à juin 1717. 300 ans presque jour pour jour après cette visite diplomatique mémorable, le hashtag #PierreLeGrandVoyage permet, au fil des jours, de revivre le voyage d'un tsar puissant et réformateur en quête d'inspiration autant politique et économique qu'artistique ou scientifique.
Fêtes galantes
Dans votre costume identique à ceux des plus belles époques de Versailles, vous êtes invités à retrouver l'ambiance raffinée et artistique des soirées d'appartement, un moment hors du temps, inoubliable. Cette année, le thème de ces fêtes sera bien sûr la venue de Pierre le Grand au château de Versailles pour qui fut organisé l'une des plus fastueuses réceptions officielles lors de son séjour.
Soirée costumée : 29 mai 2017 - 19h30 >> RSVP
L'exposition
Consacrée au séjour du tsar Pierre le Grand en France, à Paris et dans ses environs, en mai et juin 1717, l'exposition Pierre le Grand, un tsar en France. 1717, qui se tiendra au Grand Trianon du 30 mai au 24 septembre 2017, commémorera le tricentenaire de cette visite diplomatique. Fruit d'une collaboration exceptionnelle entre le château de Versailles et le musée d'État de l'Ermitage, elle présentera plus de 150 œuvres - peintures, sculptures, arts décoratifs, tapisseries, mais aussi plans, médailles, instruments scientifiques, livres et manuscrits - dont les deux tiers appartiennent aux collections du prestigieux musée de Saint-Pétersbourg.
Issu de la dynastie des Romanov, fils du tsar Alexis Mikhaïlovitch (1645-1676) et de Nathalie Narychkine (1651-1694), Pierre Ier (1672-1725), vingt ans après la « Grande Ambassade » qui l'a mené une première fois en Europe en 1697-1698, entreprend un nouveau voyage en Occident. Il atteint la France le 21 avril 1717 et y demeure jusqu'au 21 juin suivant. À Versailles où il fait étape deux fois, il est logé au Grand Trianon, du 24 au 26 mai puis du 3 au 11 juin 1717.
Le parcours de l'exposition suit pas à pas ce séjour qui, pour être officiel, n'en est pas moins libre car, force de la nature, imprévisible et peu façonné à l'Étiquette, Pierre Ier bouscule le protocole à maintes reprises. Sa rencontre avec Louis XV marque notamment les esprits : faisant fi du cérémonial de cour, il prend dans ses bras, en un geste spontané, l'enfant roi, tout juste âgé de sept ans. De nombreux mémorialistes, parmi lesquels Saint-Simon, le marquis de Dangeau ou Jean Buvat nous ont laissé de précieux témoignages permettant de retracer ce voyage.
Si ce séjour a des visées politiques et économiques - un projet d'alliance avec la France contre la Suède d'une part, la signature d'un traité de commerce de l'autre -, le tsar réformateur, fondateur de la Russie moderne, veut par-dessus tout voir ce que la France possède de plus remarquable afin d'en adapter certains modèles à son empire. Durant les deux mois qu'il passe dans le Paris de la Régence, visites et discussions avec les Français nourrissent sa réflexion et infléchissent les travaux qu'il a entrepris depuis 1703 à Saint-Pétersbourg et dans ses environs.
À Paris, Pierre se rend à l'Académie des Sciences, dont il devient membre honoraire, à l'Observatoire, à l'Hôtel royal des Invalides et à l'Hôtel de la Monnaie où l'on frappe une médaille en son honneur. Le tsar visite également la manufacture des Gobelins qui lui inspire la création d'une fabrique de tapisseries dans sa nouvelle capitale. Découvrant les marchands parisiens tel un simple particulier, il fait provision de livres, d'instruments scientifiques et techniques. Enfin, comme il est d'usage, ce voyage suscite l'échange de prestigieux cadeaux diplomatiques ; à l'image de la tenture du Nouveau Testament offerte à Pierre le Grand, composée de quatre tapisseries d'après Jouvenet et conservée aujourd'hui au musée d'État de l'Ermitage.
L'exposition met aussi en lumière les rapports du tsar avec les artistes français. En effet, dès 1716, il attire à la cour de Saint-Pétersbourg plusieurs maîtres, parmi lesquels Louis Caravaque (1684-1754), l'architecte Jean-Baptiste Le Blond (1679-1719) et le sculpteur ornemaniste Nicolas Pineau. Lors de son séjour en France en 1717, il est portraituré par deux peintres de renom, Jean-Marc Nattier (1685-1766) et Jean-Baptiste Oudry (1686-1755).
Souverain guerrier et voyageur, Pierre le Grand parcourt le monde pendant près de quatre décennies, de la mer Blanche à la mer Caspienne, de la Hollande à la Moldavie et de l'Angleterre à la Perse. Cette personnalité hors du commun a su s'imposer, au regard de la postérité, comme l'un des monarques les plus marquants de son pays, initiateur d'une nouvelle Russie.
Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Cassette de Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Cadran Solaire
Musée de l'Ermitage
Veste de costume d'été de Pierre Ier
Musée de l'Ermitage
Louis XV visite Pierre le Grand à l'hôtel de Lesdiguières
Château de Versailles
Time:
09:00-15:00
Description:
Officina de Roman & Erwan Bouroullec, Brut de Konstantin Grcic, Sequoia de Anderssen & Voll, Leaves de Blaise Drummond... Magis présente pour la première fois en France ses nouveautés 2017, à Paris, chez Édifice, au coeur du 7ème arrondissement.
Time:
09:00-17:00
Description:
PRÉSENTATION PRESSE NOUVELLE SAISON :
900 OBJETS SENSIBLES FAÇONNÉS PAR 160 NOUVEAUX CRÉATEURS !
EMPREINTES révèle de nouveaux artisans d'art pour la rentrée. Céramistes, souffleurs de verre, créateurs de mobilier et luminaires, couteliers, créateurs de bijoux... venus de toute la France, investissent le 5 rue de Picardie à Paris, avec 900 nouvelles créations pour cette 4ème saison.
Time:
09:00-11:00
Description:
Une exposition collective d'artistes latino-américains et espagnols
avec Greta Alfaro, Nancy Friedemann-Sánchez, Dulce Pinzón, Lina Puerta, Ritual Inhabitual
Exposition du 6 septembre au 7 octobre 2017
VERNISSAGE, le mardi 5 septembre 2017 de 18h à 21h
CONFÉRENCE / DÉBAT à la galerie en présence de Jodie Dinapoli, Dulce Pinzón et Ritual Inhabitual,
le dimanche 24 septembre 2017 lors de l'événement « Un dimanche à la galerie ».
Le débat sera suivi d'une dégustation de tapas espagnols.
Time:
09:30
Description:
Nous avons le plaisir de vous convier à la conférence de presse Brabantia, afin de vous faire découvrir le produit le plus innovant depuis la création de Brabantia. Ce produit vous sera révélé ce jour-là par le Directeur France de Brabantia, Antoine Reynaud :
Jeudi 7 septembre 2017 à 9h30
Cosy Corner
8 rue Saint-Martin
75004 Paris
RSVP à : emiliestofft@emilie-press.f OU sophie@emilie-press.fr
Time:
09:30-12:00
Description:
Son savoir-faire matière et couleur à travers une installation qui rend hommage à l'un de ses produits star : la Batyline.
Les créations iconiques et les nouveaux produits inédits de marques de mobilier outdoor seront également dévoilés.
L'occasion de découvrir une innovation majeure, un nouvel outil de personnalisation appelé Pénélope, permettant des mix de couleurs inédits et des tissages sur mesure.
Le public pourra apprivoiser ce nouvel outil et effectuer une véritable simulation de dessin et de coloration.
Prise de parole de :
- Isabelle Vidal, Vice President Business Group Marine & Furniture, qui s'exprimera sur les perspectives de Serge Ferrari sur le marché du mobilier.
- Constance Kocher, chef de marché mobilier, qui parlera de l'évolution de l'offre et du développement du service produit.
- Chrystelle Reynaud, R&D - Coloriste, qui présentera le nouveau logiciel "Pénélope".
- Karine Villeneuve & Anne Emery de Aujourd'hui ou Mardi (agence de conseil externe) qui donneront les clés du développement couleur et produit.
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
L'exposition CARO/JEUNET est une invitation dans le monde singulier des réalisateurs Jean-Pierre JEUNET et Marc CARO.
Le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et autres documents viendra dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d'art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.
MARC CARO
« Si singulier il y a, il me semble que l'association bicéphale que nous avons constituée avec Jean-Pierre Jeunet fut l'une des choses les plus singulières du paysage cinématographique français. Deux cinéastes visuels qui renouent avec les origines du cinématographe... Pour ma part, notre filiation revendiquée avec Meliès et l'art forain, trouve naturellement sa place à la Halle Saint Pierre qui a toujours su accueillir ceux qui marchent en dehors des clous... »
Marc CARO
Né en 1956 à Nantes, MARC CARO est un auteur de bandes dessinées qui a débuté dans la revue Metal Hurlant à la fin des années 70. Il publie également ses planches dans les magazines Fluide Glacial, Charlie Mensuel et L'Echo des Savanes). C'est aussi un musicien électronique (le groupe Parazite) et un cinéaste issu du cinéma d'animation et de la vidéo expérimentale. Il est connu pour avoir co-réalisé avec Jean-Pierre Jeunet (qu'il rencontre au Festival du Film d'animation d'Annecy en 1974) plusieurs courts-métrages, et les longs-métrages Delicatessen (1991, qui a obtenu de nombreux césars) et La Cité des enfants perdus (1995, présenté en ouverture du festival de Cannes).
Il a réalisé plusieurs courts métrages en solo (Rude Raid, 1985, La Concierge est dans l'escalier (1987)...), le long métrage Dante 01 (2008) ainsi qu'un documentaire sur les robots au Japon (Astroboy à Roboland, 2008).
On lui doit aussi affiches, musiques et décors pour les chorégraphes Régine Chopinot et Philippe Decouflé, ainsi que la direction artistique de nombreux films, parmi lesquels Alien Resurection (1997) de Jean-Pierre Jeunet, Blueberry (2004) de Jan Kounen, et Enter the Void (2009) de Gaspar Noé.
Marc Caro
JEAN-PIERRE JEUNET
« Dans tous les films que nous avons faits ensemble ou séparément, Marc Caro et moi-même, les objets ont toujours eu une place prépondérante. Marionnettes articulées pour les films d'animation, Machines Steampunk, costumes baroques, Aliens géants, objets emblématiques comme le cahier de photomaton d'Amélie, sans compter les storyboards, dessins de décors, BD et illustrations de Marc Caro... Tant d'objets qui traînaient dans mon bureau que je décidai de les partager. Le choix de la Halle Saint Pierre a été comme une évidence. Musée d'un art populaire non prétentieux... Situé à quelques mètres de là où Nino Quincampoix pourchassait Amélie dans les jardins du Sacré Cœur... C'est à la Halle Saint Pierre que j'ai découvert Jephan de Villiers, Ronan-Jim Sévellec, Charles Matton, Gilbert Peyre, que j'ai admiré les œuvres de Giger, guide spirituel de mon « Alien »... artistes que je collectionne, et qui font le pont entre l'art « singulier » et nos films, qui ne sont pas moins, du moins je l'espère... singuliers. »
Jean-Pierre JEUNET
Jean-Pierre est né le 3 septembre 1953, à Roanne. Longtemps enfant unique, il développe très vite son propre univers et c'est la caméra Super 8 apportée un jour par un ami de ses parents qui lui montre une voie qui pourrait être la sienne. Véritable autodidacte, il commence par réaliser des films d'animation L'Evasion, Le Manège, avec des personnages sculptés par Marc Caro, puis Pas de Repos pour Billy Brakko d'après une BD du même Caro. Ces films de court métrage commencent à faire parler de lui et à glaner de multiples récompenses en France et à l'étranger. Ensemble, toujours, ils réalisent Le Bunker de La Dernière Rafale, court métrage culte de science-fiction, qui passera en première partie d'Eraserhead de David Lynch dans une salle parisienne durant six années. En 1989, il réalise seul Foutaises avec, déjà, son acteur fétiche Dominique Pinon, et gagnera une cinquantaine de prix dont le César du meilleur court métrage.
Le succès commercial et les nombreux prix de Délicatessen (1991) permettent à Jeunet & Caro de mettre en chantier un projet ambitieux : La Cité des Enfants perdus, une fable sombre, tellement innovante sur le plan technique qu'elle nécessite la création de nouveaux logiciels et une très longue préparation. Le film est superbe, infiniment poétique. Il est présenté en Ouverture du Festival de Cannes 1995. C'est ce film qui attire l'attention de la Fox qui décide de confier à Jean-Pierre Jeunet la réalisation du 4ème opus de la franchise « Alien Résurrection ».
A l'issue de son séjour hollywoodien, Jean-Pierre Jeunet a la nostalgie des pavés de Montmartre et surtout, après la « grosse machine » d'Alien, il a envie de réaliser un « petit film personnel avec des copains ». Depuis des années, il collectionne des bouts d'idées étonnantes et des fragments d'histoires qui le touchent. Tout prend forme lorsqu'il invente le dénominateur commun à ces histoires : une jeune femme timide mais imaginative et déterminée à enjoliver la vie des autres. Ainsi est née Amélie Poulain, héroïne d'un film qui rend heureux et donne envie d'aimer, car Jean-Pierre Jeunet réussit avec ce film ce qui est considéré comme l'exercice le plus périlleux du cinéma : filmer le bonheur. Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain est le plus grand succès en langue française dans le monde.
Le triomphe du film et l'osmose avec Audrey Tautou lui permet d'envisager un projet qui lui tient à cœur depuis 10 ans : Un Long Dimanche de Fiançailles, l'adaptation du roman de Sebastien Japrisot. Avec Audrey Tautou, Jean-Pierre Jeunet sait qu'il tient sa « Mathilde », jeune femme obstinée à la recherche de son fiancé dans les méandres de la Grande Guerre. Le succès est au rendez-vous, tant sur un plan critique que sur un plan commercial.
Le 28 octobre 2009, sortie du film Micmacs à Tire-Larigot, une fable humaniste où Dany Boon interprète un David luttant contre Goliath, en l'occurrence deux marchands d'armes.
En 2013, L'extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet avec Kyle Catlett et Héléna Bonham Carter est une adaptation du livre-objet de Reif Larsen. Cette adaptation a été écrite en collaboration avec Guillaume Laurant. Le film a été tourné en anglais au Canada, en 3D. La sortie en France le 16 octobre 2014 sera suivie par une sortie Européenne, puis américaine. Thomas Hardmeier a été récompensé du César de la photographie en 2015. Et le film remporte tous les prestigieux 3D society Awards.
En 2015 Jean-Pierre réalise un pilote de série intitulée Casanova avec Diego Luna, Bojana Novakovic, Miranda Richardson et Ben Daniels pour Amazon. Le film sera diffusé sur leur site à l'été 2015, et son chef opérateur Pierre Gill récompensé du prix américain ASC attribué à la photographie.
Jean-Pierre vient de réaliser avec Romain Segaud un court métrage d'animation, mettant en scène ses bestioles, bricolées avec des débris trouvés dans la nature, sur un texte de Jacques Prévert et intitulé Deux escargots s'en vont.
Jean-Pierre Jeunet est le cinéaste français le plus récompensé. Son tour de force est de parvenir à être considéré comme un véritable auteur tout en parvenant à toucher un public large.
Jean-Pierre Jeunet
Time:
09:30-13:00
Description:
1er étage de la Halle Saint-Pierre
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
26 artistes majeurs. 200 oeuvres : L'exposition TURBULENCES DANS LES BALKANS poursuit les prospections que la Halle Saint Pierre mène depuis plus de vingt ans aux frontières de l'art brut. La scène artistique des Balkans donne à voir ses territoires alternatifs riches de leur complexité et leur diversité. Gardiens du grand héritage de l'art populaire, icône de la pop culture, explorateurs de langages archaïques ou magiciens du matériau brut, tous ces artistes inventent des mondes singuliers travaillés par une Histoire déchaînée autant que par les sentiments et les instincts excessifs qui enflamment leur relation au monde. TURBULENCES, est la métaphore de ces expériences intimes mises en images, en émotions et en réflexions.
La rencontre de l'art brut et des Balkans n'en est cependant qu'à ses premiers développements, loin de la vulgarisation en cours en Europe occidentale et aux Etats-Unis. Autrefois poudrière, aujourd'hui morcelés et en quête de stabilité, les Balkans tentent d'exister ailleurs que dans le poids du passé, que ce soit un passé lointain marqué par la domination des Empires, les mythes nationaux, ou un passé proche fait de conflits armés. En marge des institutions une scène artistique alternative voit le jour. Tournant le dos aux performances trop artificielles et intellectualisées d'un certain art contemporain, des artistes veulent renouer avec des formes d'expression plus authentiques, ouvertes sur la vie intérieure jusqu'aux confins de l'obsession et du délire. Entre caractère alternatif et effervescence artistique, des initiatives ont vu le jour qui donnent une visibilité à l'art des marges. Turbulences dans les Balkans met en acte le besoin existentiel de ces artistes de penser le monde en le poétisant, de faire résonner un langage qui ne raisonnerait plus.
Time:
10:00-18:00
Description:
Moissonnier
52 Rue de l'Université
75007 Paris
Time:
10:00-18:00
Description:
A l'occasion de la Paris Design Week,
Boffi Paris dévoile pour la première fois en France, COVE Kitchen.
Des lignes fuselées, des matières d'exception, un travail sur les pleins et les vides... donnent vie à un projet d'envergure
signé Zaha Hadid, Prix Pritzker 2004.
Journée Presse Jeudi 7 septembre 2017 de 10h à 18h
Cocktail à partir de 19h
Time:
10:00
Description:
Cassina invite le grand public à célébrer les 90 ans de l'entreprise, à découvrir la nouvelle collection 2017 et le livre « This Will Be The Place » en présence de sa directrice artistique Patricia Urquiola.
Time:
13:00-15:00
Description:
PROJECTIONS DE PRESSE, au Club Marbeuf
Mardi 29 août, 18h
Jeudi 7 septembre 13h
Mardi 19 septembre, 13h
Mercredi 4 octobre, 18h
RSVP anne-lise@cinesudpromotion.com
L'Assemblée
de Mariana Otero
(Histoire d'un secret, Entre nos mains, A ciel ouvert)
sortie au cinéma le 18 octobre 2017
Le 31 mars 2016, place de la République à Paris naît le mouvement Nuit debout. Pendant plus de trois mois, des gens venus de tous horizons s'essayent avec passion à l'invention d'une nouvelle forme de démocratie. Comment parler ensemble sans parler d'une seule voix ?
Time:
14:00-20:00
Description:
IN MEMORIAM - HOMMAGE À BERNARD AUBERTIN (1934 - 2015)
EXPOSITION DU 7 SEPTEMBRE AU 21 OCTOBRE 2017
VERNISSAGE LE JEUDI 7 SEPTEMBRE 2017 À PARTIR DE 14H
L'EXPOSITION PRÉSENTERA LES DERNIÈRES ŒUVRES DE BERNARD AUBERTIN ET RENDRA UN VIBRANT HOMMAGE À L'INFATIGABLE CHERCHEUR QU'IL FUT.
Time:
16:00-21:00
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 7 octobre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
La galerie Perrotin Paris est heureuse de présenter «Fine Art» de Chen Fei. Cette première exposition personnelle de l'artiste Chen Fei à Paris fait suite à l'exposition «Flesh and Me» de 2014 à la galerie Perrotin Hong Kong.
Né en 1983 dans la province du Shanxi, Chen Fei fait ses études à la Beijing Film Academy. L'artiste exploite sardoniquement l'histoire de l'art, s'attaquant aux règles pour marquer son altérité. Scavengers (2010), basé sur l'œuvre préraphaélite emblématique de John Everett Millais, Ophelia (1851-52), représente une jeune femme pataugeant dans un étang de forêt et repêchant le corps d'Ophelia / Chen Fei (éventré). Xiao Wu Ji (2012) fait référence au tableau Un Bar Aux Folies Bergères de Manet (1882), représentant une vendeuse s'ennuyant au comptoir d'une boutique de matériel électronique. Dans les nouvelles œuvres de Chen Fei cependant, les recherches -auparavant fortuites- sur l'histoire et la pratique de l'art occidental et oriental deviennent un thème central.
Les dessins animés sont dérivés d'un procédé utilisé pour transposer les motifs d'une surface vers une autre (l'exemple le plus célèbre remontant à Michel-Ange pour la chapelle Sixtine). Aujourd'hui, il est principalement employé pour les films d'animation, domaine dans lequel Chen Fei s'est spécialisé durant ses études. Un film est essentiellement une série cinétique d'images immobiles constituant une narration. La sélection d'une «image immobile » donne métonymiquement la priorité à un moment. Dans «Fine Art», Chen Fei s'empare de moments génériques de l'histoire (de l'art), chinoise comme occidentale, pour critiquer l'histoire (de l'art) contemporaine.
Obscène et très drôle, l'œuvre centrale de l'exposition n'est autre que Traditional Self Portrait (2015), un autoportrait grandeur nature de l'artiste, nu et avec une érection, dans la pose classique d'un peintre occidental (Rembrandt ? Velázquez ? - nous l'ignorons) adoptant une expression hautaine et narcissique. Traditional Self Portrait est à la fois un pastiche et une parodie. Pourtant, si Velázquez considère son autoportrait comme un témoin au sein du portrait royal Les Ménines (1656), dans la peinture de Chen Fei, l'accent est exclusivement mis sur le vrai roi : l'artiste. Dans le tableau, l'autoportrait présumé sur lequel le modèle de Chen Fei travaille n'est pas visible et même l'arrière-plan est d'un noir anonyme. L'autoportrait reflète la circularité du narcissisme (et de l'histoire de l'art également), cooptant le spectateur dans l'une des positions subjectives de l'artiste (observons-nous du point de vue du peintre, du miroir ou de l'œuvre qui est en train d'être peinte ?). La peinture mélange de façon ambigüe art et culture majeurs et mineurs, vie publique et vie privée. L'artifice instinctif du portrait (et de l'autoportrait) est accentué par d'autres doublons : l'avant-bras droit et le sexe sont alignés, tout comme le pinceau dans la main droite et la toile-palette dans la main gauche (la palette/mini-toile est une façon de tourner en dérision la valeur et la place qu'occupe l'art abstrait dans l'histoire de l'art). Les tatouages renferment une autre information diégétique, notamment une représentation physique d'un cœur à l'endroit même où le vrai cœur de l'artiste est censé battre.
Dans Sketch (2016), Saint Barthélémy/Hercule pose dans une jungle. La pose et la tête sont inspirées de l'Hercule Farnèse datant du troisième siècle (env. 216 ap. J.-C.). La peau écorchée de son corps, en lieu et place de celle du Lion de Némée, pend tel un peignoir posé sur une épaule, rappelant la pose originale de la statue dans les thermes de Caracalla à Rome (env. 216 ap. J.-C.). Deux porcelets observent calmement Hercule, référence à l'un des 12 travaux - la capture du Sanglier d'Érymanthe - que le héros a dû accomplir pour l'assassinat de sa famille suite à son ensorcellement par la déesse Héra. Hercule a engendré une nouvelle famille.
Dans Natural History (2016), une femme habillée comme si elle allait en boîte ou à la salle de sport se tient dans un champ idyllique entourée de divers animaux tels qu'un tatou, un écureuil ou encore un manchot. Une autre toile, National Conditions (2017), met en scène une famille chinoise dans un salon américain fictif des années 60: le père lit son journal, la mère sirote un thé, et un enfant afro-américain s'approche de la mère tandis qu'un buste de Chen Fei se trouve au centre du tableau. Une nature morte d'un maître néerlandais met en scène un bol chinois débordant de fruits et légumes très suggestifs, notamment des concombres et des bananes.
Enfin, A Big Event (2016) est une explosion graphique de rayons de lumière, rappelant l'iconographie japonaise du soleil, populaire mais historiquement ambivalente, notamment le lever du soleil impérial, et également utilisée autrefois comme élément d'imprimés populaires par des maîtres tels que Katsushika Hokusai (1760-1849) et Utagawa Hiroshige (1797-1858). Nous pourrions tout aussi aisément regarder une œuvre Spin Art de Damien Hirst, produite semimécaniquement et consistant, entre autres, à projeter de la peinture sur la surface de la toile. Chen Fei ne laisse toutefois rien au hasard et nombreux sont les sous-entendus. Son explosion solaire dévoile un vide réel en son centre, comme sur les levers de soleil stéréotypés représentés sur les tatouages occidentaux et célébrant le design fluide du symbole tout en ignorant apparemment la part d'ombre de son héritage.
Même dans le demi-monde et les scènes alternatives, Chen Fei sort du lot. Dans chaque symbole des sous-cultures et des hautes cultures, occidentales comme chinoises, il trouve matière à plaisanterie et à critique. Un tatouage a beau être superficiellement permanent, les signes sont incertains et leurs histoires ouvertes à interprétation. Chen Fei n'est pas nécessairement contre les hiérarchies - les sous-cultures sont, elles aussi, exclusives - mais il aime les subvertir.
Christopher Moore
Juillet 2017
National Conditions / 國情, 2017. Acrylic on canvas. 200 x 300 cm / 78 3/4 x 118 1/8 in. Photo: Yang Hao / Courtesy Perrotin
Time:
16:00-21:00
Description:
vernissage jeudi 07 septembre 2017 - 16-21h
exposition du 08 septembre au 14 octobre
du lundi au samedi de 14h30 à 18h30
Le désert n'est pas vide. Écosystème traversé de forces géologiques et de flux énergétiques, espace de projection et de création de modes de vie alternatifs, ce territoire peut aussi être colonisé par des machines et des dispositifs invasifs. C'est du moins le cas du désert californien Mojave, lieu de bases militaires, de stockages de déchets nucléaires, de gigantesques centrales solaires mais également de différentes contre-cultures.
Pendant un mois, Jennifer Caubet l'a exploré pour en extraire des lignes de déploiement spatial, réelles et mentales, ensuite matérialisées sous formes de cartographies et de sculptures à la fois concrètes et abstraites. Autant de tentatives d'emprise sur un espace a priori insaisissable, chargées d'un potentiel fictionnel, où l'utopie rejoint la dystopie. « Point Oméga » est le nom de cette rencontre paradoxale.
Sarah Ihler-Meyer
Time:
16:00-21:00
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 7 octobre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
Composante essentielle sans y être littéralement représenté, le paysage occupe l'univers mental et physique de Klara Kristalova, sans être un thème en soit. Il se déduit par bribes de ses dessins, de ses céramiques, de ses bronzes qui peuplent les expositions sombres et mystérieuses qu'elle dévoile ces dernières années. Elle préfère l'évocation, la sensation du paysage à sa représentation littérale. Tirées de nouvelles productions réalisées pour l'exposition, les œuvres ont d'abord habité son entourage immédiat avant de s'installer à Paris. Son atelier se trouve dans la campagne suédoise, dans une forêt près d'un lac, au nord de Stockholm. La scénographie de l'exposition, conçue avec l'expertise du fleuriste Thierry Boutemy, évoque cet environnement prégnant qui infuse l'imaginaire de Kristalova, sans pour autant opérer une reconstitution fidèle.
Dans cette nouvelle exposition à la galerie Perrotin, une salle est dédiée aux dessins ; les autres, aux installations de céramiques peintes et aux bronzes. S'y retrouvent des personnages hybrides à corps féminins et têtes d'oiseaux, des chiens étranges, des humains coiffés de masques animaliers, à moins qu'ils ne soient vus en pleine métamorphose.
L'inspiration de l'artiste n'est pas faite de récits concrets et linéaires, de faits extraordinaires et surréels, il est innervé par une présence plus « normale », d'une normalité certes un peu bizarre mais finalement très commune, faite de ce réel qui recèle une part d'inconscient débridé. Sa communauté de personnages, souvent récurrents d'une exposition à l'autre, l'accompagne suivant un fil narratif qui nous échappe. Assurément, ils sont connectés au monde et touchent notre inconscient ; d'une certaine manière, ils sont rassurants.
Le paysage autour de son atelier, où ces œuvres trouvent parfois place, n'est pas si exceptionnel aux yeux de l'artiste même s'il constitue un enchantement pour ses visiteurs. Accoutumée à cette présence naturelle, Kristalova s'en inspire sans la copier. C'est un paysage qu'elle admire sans l'idéaliser, dont elle en tire une grande inspiration qui va du merveilleux à l'étrange. L'habitude de ces lieux est le meilleur des substrats pour que son imagination vagabonde, fasse fleurir des êtres à la tête de capucine, aux racines branchues, aux corps recouverts de plumes lourdes. L'ennui est d'ailleurs le meilleur des vecteurs pour l'imaginaire. L'étrange qui se faufile et s'échappe du quotidien, rejoint l'esthétique de Klara Kristalova, avec un même style simple, embarquant le spectateur dans des déambulations aux sentiments mêlant effroi et fascination. Chez elle, la nature occupe une très grande place, anxieuse, hantée par sa disparition, par son exposition aux changements climatiques qui entraînent son altération. Ce sentiment de perte est partout dans son travail, infusant les formes d'une certaine mélancolie, le désir d'embrasser cette ressource puissante et fragile.
Les œuvres se suivent, se répondent d'une exposition à une autre, se nourrissent de cette nature qui les construit. Elles sont si proches de l'artiste, peuplant son rapport au monde, jour après jour, elle vit avec elles. Son atelier est rempli de leur présence. Dans le paysage, ces œuvres surgissent de la mousse, des feuilles, de la terre. C'est ce que l'artiste cherche à restituer avec cette exposition, sans tomber dans la transposition. À Paris, réunis autour d'une figure dansante en bronze, elles offriront un nouvel aperçu de la famille disparate et tendre qui émerge de l'argile sous les doigts et les pinceaux de Klara Kristalova.
Bénédicte Ramade
Juillet 2017
To be titled, 2017. Porcelaine émaillée / Glazed porcelain. 70 x 46 x 45 cm / 27 9/16 x 18 1/8 x 17 11/16 in. Courtesy Perrotin
Time:
16:00-20:00
Description:
Exposition organisée en collaboration avec la galerie Bernard Vidal - Nathalie Bertoux art contemporain
VERNISSAGE : le jeudi 7 septembre 2017 - 16h/20h
EXPOSITION : 07.09.17 - 29.09.17
Time:
16:00-21:00
Description:
Galerie Depardieu
6, rue du docteur Jacques Guidoni
(ex passage Gioffredo)
06000 Nice
tél 09 66 89 02 74 - galerie.depardieu@orange.fr www.galerie-depardieu.com
Vernissage Jeudi 7 septembre 2017 de 16h à 21h
Exposition jusqu'au 30 septembre 2017
Marcel Alocco, 1976, Fragment du Patchwork n°68
Time:
16:00-21:00
Description:
Vernissage : jeudi 7 septembre 16h-21h
7 septembre - 23 septembre 2017
Horaires : mardi - samedi, 11h - 19h
Perrotin Paris a le plaisir de présenter «Flying V», la septième exposition personnelle de l'artiste français Xavier Veilhan avec la galerie.
Flying V est un modèle de guitare électrique en forme de V inversée de type «corps plein» (solid body), c'est-à-dire ne possédant pas de caisse de résonance, qui a été produite pour la première fois en 1958 par la firme Gibson et devenu populaire grâce à des guitaristes comme Albert King ou Jimi Hendrix.
Source : Wikipédia
Le travail de Xavier Veilhan est un hommage aux inventions et inventeurs de la modernité à travers un langage formel qui mixe les codes liés à l'industrie et à l'art. Il nourrit également son approche plastique par des collaborations musicales, notamment avec le groupe Air, le musicien Sébastien Tellier ou encore la compositrice Éliane Radigue. Depuis mai et jusqu'à fin novembre, il a transformé le Pavillon français de la Biennale de Venise 2017 en «Studio Venezia», un dispositif musical dans lequel des musiciens professionnels du monde entier enregistrent pendant toute la durée de la manifestation.
Poursuivant ses recherches sur la dynamique formelle et sonore, Xavier Veilhan présente à la galerie Perrotin une série d'oeuvres qui trace de nouveaux liens entre architecture et musique, entre son et espace. Les portraits sculptés de trois producteurs de musique, réalisés en divers matériaux, sont notamment présentés : Nigel Godrich, Swizz Beatz et Philippe Zdar. Ils sont accompagnés par les Rayons, lignes en carbone tendues dans l'espace, qui fonctionnent comme des trames transparentes. Ils offrent une demi-présence, comme les statues facettées, et évoquent la dynamique appliquée au son et représentée par l'Effet Doppler : lorsque le bruit d'un objet en mouvement change de tonalité pour finalement s'évanouir.
Le Mobile n°4 dans la troisième pièce se fond dans un environnement de la même couleur pour devenir, lui aussi, passe-muraille, fantomatique. Xavier Veilhan explore ici l'instabilité d'une forme soumise à des changements constants, fluctuant entre l'apparition et la disparition.
RENZO PIANO & RICHARD ROGERS
Les silhouettes facettées des architectes Renzo Piano & Richard Rogers s'imposent par leur taille et leur couleur vive. Leur réduction floutée les transforme en ombres silencieuses. Ces sculptures sont une variation des deux pièces homonymes créées pour la série des Architectes exposée au Château de Versailles, à l'occasion de l'exposition personnelle de Xavier Veilhan en 2009. Elles intègreront à terme les collections du Musée National d'Art Moderne/Centre Pompidou. Les œuvres sont réalisées en acier inoxydable et peintes dans des tons de vert, couleurs qui rappellent le code couleur du bâtiment et l'époque de sa construction.
Conversation entre Xavier Veilhan et Marc Teissier du Cros, fondateur de Record Makers
Vendredi 8 septembre, 19h-20h
Salle de Bal, 60 rue de Turenne, 75003 Paris
Entrée libre, dans la limite des places disponibles
À l'issue de la rencontre, présentation et signature du nouveau fanzine PRODUCE
Dominique Le Grand, peintre
Laurence Jenkell, sculpeur
Guido Maggiori, dessinateur
du 31 août au 23 septembre 2017
Entrée libre du mardi au samedi de 14 à 20h
Vernissage le 7 septembre 2017 à partir de 17h
Time:
17:00-19:00
Description:
Du jeudi 7 septembre au lundi 18 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017 de 17h à 19h
L'exposition propose entre la sculptrice Marie-Pierre Germain-Fortini et le peintre Alain Moreau, une description réaliste et imaginaire, ouverte sur un ailleurs chaque fois inattendu. Leur île, « la Corse » n'a pas fini d'exciter leurs curiosités à la poursuite de leurs propres rêves.
Marie-Pierre a commencé la sculpture aux Ateliers du Musée des Arts Décoratifs à Paris. Elle travaille régulièrement en Italie dans son atelier à Pietrasanta, près de Carrare où elle achète son marbre. Au départ, son inspiration se portait sur des thèmes forts de société, la violence, l'enfermement, la place de la femme ; son œuvre posait alors la question du sens et de la condition humaine.
Progressivement, elle est venue sur une œuvre sculpturale plus poétique tournée vers la nature et ses éléments, notamment la mer et le corail. Son travail inspiré de la mythologie antique est influencé par la grande spiritualité émanant de son île.
Je me découvre une passion pour la nature sauvage de l'île. Après de nombreuses études picturales, j'explore aujourd'hui une thématique instantanée sur le hasard des effets de la mer. Au cours des voyages chahutés par les vents et marées, je redonne vie à cette nature en une résonance et une force, construisant ainsi une image concentrée et intense de la réalité. Une interprétation ponctuelle et éphémère, transposant une vision réelle en une expression irréelle et spontanée. Je réalise une œuvre généreuse où la matière, nourrie la toile et prend toute son importance.
Une quête inépuisable de l'inconnu dont je prends à cœur le besoin de saisir la délicatesse et la fragilité du monde qui nous entoure.
du 8 septembre au 17 décembre 2017
vernissage jeudi 7 septembre de 17h à 21h
« La peau est notre plus grand organe et aussi ce que nous voyons quand nous nous regardons. Ce que nous avons de plus profond, c'est la peau. Notre vulnérabilité s'y dessine. La douleur. Notre peau participe à chacun de nos mouvements. S-T-R-E-T-C-H. Toute une vie durant. Imaginez. À chaque mot, nos lèvres s'étirent. Nous avons l'habitude de percevoir nos corps et les objets comme un tout, avec une couche, une housse. Et le choc n'est pas loin quand ce revêtement qui protège, habille, cache et représente est absent ou coupé en deux et se révèle. C'est drôle, non ? Je m'intéresse à la structure, à la nature, à la fonction qui devient alors visible. Qui recèle une vérité. Une authenticité. Quand on fait une incision dans la peau, on peut la recoudre. Le corps guérit et fonctionne de nouveau. Mais il reste une cicatrice qui rappellera la blessure pour toujours. Le corps est alors autre. Je suis autre. »
Alexandra Bircken (née en 1967 à Cologne) met au coeur de sa pratique sculpturale le corps et ses enveloppes. Formée au stylisme au St. Martins College à Londres, elle coupe, sépare, détache, déchire et démembre autant qu'elle coud, tisse, tricote et assemble. Dans le corpus d'oeuvres présentées, l'apparente fragilité de matériaux doux et transparents - laine, nylon, cheveux - côtoie la permanence et la résistance du bronze et de l'acier. Les moulages d'organes féminins comme les combinaisons accidentées de motards se transforment en fragments de corps autonomes. Archétypes de la puissance, les motos et les armes à feu sont sculptées et sectionnées, désactivant et revalorisant leurs iconiques performances.
Première exposition personnelle d'Alexandra Bircken en France,
STRETCH a été conçue conjointement par le Kunstverein de Hanovre (dir. Kathleen Rahn / 1.10-27.11.2016), le Museum Abteiberg, Mönchengladbach (dir. Susanne Titz / 26.03-25.06.2017) et le Crédac (dir. Claire Le Restif). Elle reçoit le soutien de l'IFA.
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* Alexandra Bircken, STRETCH
- Textes (FR, EN, DE) : Alexandra Bircken, Thomas Brinkmann, Claire Le Restif, Kathleen Rahn, Michael Stoeber, Susanne Titz, Friedrich Wolfram Heubach
- Graphisme : Yvonne Quirmbach
- 24 x 32 cm / 144 p.
- 20 €
Édition : Walther König, Cologne
En partenariat avec le Kunstverein, Hanovre, le Museum Abteiberg, Mönchengladbach et le Crédac, Ivry-sur-Seine.
Alexandra Bircken est née en 1967 à Cologne en Allemagne, où elle vit et travaille. Elle commence à exposer en 2004 au shop Alex à Cologne. Formée au stylisme au St. Martins College à Londres, elle y enseigne plusieurs années, et s'y fait un nom avec sa marque Faridi (avec Alexander Faridi).
Parmi ses expositions personnelles récentes : Parallelgesellschaften, au K21 Ständehaus, Düsseldorf (jusqu'au 03.12.2017) ; Tramway, Glasgow International, Glasgow (2016) ; Alexandra Bircken, Museum Boijmans van Beuningen, Rotterdam (2014) ; ESKALATION, The Hepworth Wakefield, Wakefield (2014).
Elle est représentée par les galeries Herald St., Londres et BQ, Berlin.
Alexandra Bircken, Janus, 2016
Collage numérique : Mur de briques et Janus
Time:
17:00-20:00
Description:
Almine Rech Gallery
Rue de l'Abbaye 20, 1050 Ixelles, Belgique
September 7 - October 5, 2017
Opening on September 7th, 2017 / 5 - 8 pm
'Laguna Sunrise' will be Anselm Reyle's fourth solo exhibition with the gallery, celebrating almost a decade of collaboration with the artist. Reyle will present a selection of new paintings and new ceramic vases reminding the style of Fat Lava, a form of glazing developed in West Germany during the 1950s and 1970s characterized by bold colors and striking glazes.
Hugues Reip, Phantasmata
Sélection de films, 1995-2017 ; en boucle
Du 7 septembre au 29 octobre 2017
Depuis le début des années 1990, Hugues Reip (né en 1964) développe une œuvre prolixe traversée par un imaginaire « archéomoderniste ». Ses vidéos, sculptures, installations élémentaires et découpages forment des tableaux oniriques tantôt enfantins tantôt Rock 'n' roll. Certains procédés techniques et formels hérités des origines du cinéma (Méliès, Keaton) et des avant-gardes artistiques du XXe siècle (Oskar Fischinger, Vassily Kandinsky) mêlés à des artifices bricolés, donnent naissance à ses expériences filmiques, souvent de très courte durée.
Jeudi 5 octobre à 19h
Projection suivie d'une rencontre avec Hugues Reip
Hugues Reip, Fantaisie, 2008. Photogramme
Film d'animation réalisé avec des dessins de Georges Méliès
(c) Hugues Reip / ADAGP Paris, 2017
Time:
17:00-21:00
Description:
Exposition du 7 septembre au 14 octobre 2017
L'exposition de rentrée est consacrée au dessin contemporain via le travail de trois femmes artistes : Tangent Lin (Taiwan), Allyson Mellberg (USA) et Swoon (USA).
Une sélection d'oeuvres récentes de Swoon est présentée à l'occasion de sa 1ère exposition rétrospective au Contemporary Art Center de Cincinnati qui sera inaugurée le 22 septembre (+ d'infos).
Les dessins de Tangent Lin avaient reçu un accueil particulièrement enthousiaste lors de nos participations à la foire Drawing Now ces précédentes années. Après une pause de deux ans pour renouveler sa production, nous sommes heureux de présenter de nouveaux dessins de cette toute jeune artiste taïwanaise au trait singulier et à l'humour décapant.
Enfin, les nouveaux dessins d'Allyson Mellberg nous propose de redécouvrir "l'inquiétante étrangeté" et la poésie de son univers minéral.
Time:
17:00-19:00
Description:
Du jeudi 7 septembre au lundi 18 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h30
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017 de 17h à 19h
Le Sacré dans l'intensité des Paysages.
La nature sublimée, Bretagne - Colorado et autre Rives, « Tout endroit est le centre du monde et toute chose est sacrée ».
Le grand mystère de la vie est contenu dans la nature.
J'aime cette allégorie de la couleur qui enivre l'espace et qui symbolise des moments de sagesse et de contemplation.
Le pouvoir mystérieux de la couleur nous entraîne sur des sentiers où chacun de nous comprend que l'art et la nature sont intimement liés. Des enchantements simples qui embellissent nos vies.
L'esprit de la terre par magie a enveloppé ce lieu de jaunes et de pourpres de l'infini des cimes aux vallées profondes et de ces couleurs d'océan qui imprègnent la Bretagne.
Je remercie ceux qui m'ont amené sur ces routes austères et riches à la fois participant ainsi au grand opéra de la couleur des quatre saisons sur la terre des indiens et en pays celte.
Bien plus encore je vois devant ce chef d'œuvre l'ombre d'une main divine qui cristallise mon imaginaire. Tout être peut ainsi comprendre que s'intéresser à la beauté de la nature élargit nos connaissances et notre sens des responsabilités.
« Séduit et porté par différents courants comme le symbolisme, le fauvisme, l'expressionnisme, on retrouvera dans son œuvre l'influence qu'il a su maîtriser pour forger sa propre signature sans jamais succomber à la facilité du plagiat. Ses toiles sont riches d'une sensualité forte et évocatrice de ces paysages bucoliques aux crépuscules et couchants brumeux aux lumières étranges laissant à chacun la liberté de rêver et d'y voir quelques métaphores spirituelles. Lorsque de sa Bretagne profonde il lance un cri « Sauvons la Terre » il peint des rouges qui expriment la fin d'un jour mais aussi la vie. Ses chemins de prière, ses villages qui se cachent pour mourir, ses soleils rouges évoquent pour lui le malaise qu'il ressent dans notre monde moderne ».
Que faisons-nous ? Où allons-nous ?
Extrait -Jean Duquoc -Peintre de l'Essentiel - Joëlle Kartel
du 31 août au 23 septembre 2017
Entrée libre du mardi au samedi de 14 à 20h
Vernissage le 7 septembre 2017 à partir de 17h
Time:
17:00-21:00
Description:
La Patinoire Royale / Galerie Valérie Bach
www.lapatinoireroyale.com / www.galerievaleriebach.com
15, rue Veydt - 1060 Bruxelles - T +32 2 533 03 90
info@lapatinoireroyale.com / info@galerievaleriebach.com
Opening hours
Public opening September 7 from 5 to 9 pm.
Exhibition from September 8 to December 23, 2017
Tuesday to Saturday, from 11 am to 6 pm
Artistes exposés : Marcel ARNOULD, Pol BURY, Pierre CAILLE, Gilbert DECOCK, André DEKEIJSER, Yves DE SMET, Reinhoud D'HAESE, Antoine DE VINCK, Jan DRIES, Francis DUSEPULCHRE, André EIJBERG, Vic GENTILS, Jean-Pierre GHYSELS, Jo DELAHAUT, Monique GUEBELS, Pal HORVATH, Oscar JESPERS, Jean-Paul LAENEN, Antonia LAMBELE, Jacques MOESCHAL, Félix ROULIN, Emile SOUPLY, Olivier STREBELLE, TAPTA, Camiel VAN BREEDAM, Jan VAN DEN ABBEEL, Guy VAN DEN BRANDEN, Hilde VAN SUMERE, Marc VERSTOCKT, Ferdinand VONCK, André WILLEQUET
La Patinoire Royale a choisi de rassembler autour du titre « Sculpting Belgium » pas moins d'une trentaine d'artistes belges, majoritairement sculpteurs, des années 45 et suivantes. Ces artistes ont tous, à leur façon, sculpté le visage de la Belgique artistique de l'après-guerre. Si de prime abord, cette sculpture belge dont la sélection s'étend du début des années 50 à la fin des années 80, présente un visage hétérogène car pluriel, difficilement réductible à un mouvement ou à une esthétique, force est cependant de constater que certaines lignes directrices se dégagent : tout d'abord une puissance créatrice absolument phénoménale, liée à la pensée artistique de cette après-guerre, où les recherches formelles explosent, et avec elle l'exploration de nouveaux matériaux, essentiellement l'acier et le plastique.
Ce génie créateur qui prend possession de ces artistes se caractérise ensuite par une immense liberté, un refus de répéter ce qui précède et, à certains égards, une volonté de faire table rase de ce qui précède. La guerre a constitué une rupture dans l'esthétique Art Déco ; par trop apparenté aux régimes fascisants, cette esthétique fait place à l'esthétique moderniste. Se fait jour, alors, une volonté de pousser les recherches vers toujours plus de minimalisme et d'abstraction, recherches déjà annoncées en sculpture, en Belgique, par Oscar Jespers, notamment. Ce père fondateur dont la sublime pièce en bronze «Frieda» figure avec raison en première page de ce dossier, est, bien avant les années 50, la figure de proue de cette école Belge.
Aujourd'hui, alors que la plupart de ces sculpteurs sont décédés, cette grande exposition sonne comme un appel de tous ces noms formant le véritable panthéon belge d'artistes disparus. Voilà qu'enfin, ces artistes reviennent à la lumière, sortant de l'oubli dans lequel les avait plongés une opinion artistique publique belge bien souvent amnésique et ingrate.
Les ayant droits, veufs, veuves, enfants, proches et amis de ces sculpteurs ont vu dans ce projet une ultime manière de réhabiliter, de réintégrer in extremis leurs chers artistes disparus, avec l'amertume d'un retard coupable. Ils y ont mis l'enthousiasme du sentiment du devoir accompli, enfin, de cet hommage finalement rendu à leur talent.
Car, à regarder comment les autres scènes nationales européennes et occidentales ont valorisé leurs artistes de cette époque, il est à s'interroger sur ce silence assourdissant, cette impardonnable indifférence qui qualifient la « promotion par le vide », durant ces années et celles qui suivirent, des artistes belges en général, et des sculpteurs, en particulier.
Tous ces fils et filles du pays, artistes dans l'âme, sont aujourd'hui, par cette exposition, remis en lumière. « Sculpting Belgium » leur doit sa naturelle légitimité, tant il paraît évident que leur soit enfin rendu hommage dans une vaste revue de leurs productions individuelles.
Confrontant la sculpture avec quelques peintres dont la production éclaire par leurs couleurs les recherches esthétiques des sculpteurs, lesquels travaillent majoritairement des matières à la palette peu lumineuse, cette exposition a volontairement pris le parti scénographie d'une mise en valeur fifties / sixties, un peu comme si cet événement avait lieu dans les années où on l'aurait attendu. C'est ainsi donc un juste retour dans le temps et un juste retour, tout court, que de la proposer au public qui, nous l'espérons, réparera par sa visite une absence trop longtemps subie et impardonnable...
Time:
17:00-18:30
Description:
08 septembre - 22 octobre
vernissage jeudi 07 septembre de 18h à 21h
Représentant la succession Niki de Saint Phalle depuis 2013, la galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois propose dans ses deux espaces parisiens sa seconde exposition consacrée à l'oeuvre novatrice, féministe et avant-gardiste de Niki de Saint Phalle.
Après En joue ! Assemblages & Tirs (1958-1964), en 2013, c'est autour de la thématique centrale pour l'artiste de la représentation du corps de la femme, dans la société de consommation des années 60-70, que s'articule cette nouvelle exposition monographique. Une sélection d'une vingtaine d'oeuvres parmi les plus emblématiques des années 60 et 70, des plus célèbres Nanas aux singulières sculptures-reliefs, seront montrées.
Dans la continuité de la grande rétrospective itinérante que lui consacra le Grand Palais (septembre 2014-février 2015) sous le commissariat de Camille Morineau, la galerie s'attache à déployer un autre moment-clé du travail de Niki de Saint Phalle, après la période révélatrice des Tirs (1961-1962).
De ces années 60 dont elle pointe la violence politique et sociale, Niki de Saint Phalle dénonce très vite les représentations conventionnelles et les clichés conservateurs à l'encontre des femmes : la femme sorcière, la jeune mariée engoncée dans sa robe de cérémonie étouffante, la femme accouchant dans la douleur... Elle montre et dit la souffrance des femmes dans les rôles ancestraux qui leur sont assignés. Ce sont des oeuvres sombres et profondément critiques auxquelles succède dès 1965, toute violence alors libérée, la série des Nanas. Là, le corps de la femme s'émancipe par la grâce de matériaux ordinaires, de résine, de polyester peints, de vinyles colorés, et l'artiste réalise ces « formes femmes » exubérantes, girondes, monumentales, jubilatoires, ironiques, puissantes, à l'aise en leur majesté glorieuse et démesurée.
Si Niki de Saint Phalle dit enfin que la femme est un corps libre, avec ses jambes, ses bras, son sexe, sa tête, occupant un espace à la fois sien et public, et peut-être utopique, elle laisse, dès le début des années 70, apparaître la figure ambivalente et inquiétante de la femme mère dévorante, dont Madame ou Nana verte au sac est, en 1968, la précurseure.
SEPTEMBER 7 - OCTOBER 21, 2017
OPENING ON THURSDAY, SEPTEMBER 7, 2017 FROM 5.30 PM TO 8.30 PM
Following the closing of his critically acclaimed retrospective at National Gallery of Modern Art (New Delhi), Indian artist Jitish Kallat presents his first solo exhibition in Belgium at Templon Brussels. With a complex body of works in mixed media (drawing, collage, sculpture, photography), the show brings forth several new dimensions to some of his long-standing artistic inquiries. Covariance delves into ideas of time, sustenance, sleep, vision and perception along with a compelling interplay of scales and proximities, and evocations of the celestial and the cosmological, preoccupations that have recurred across Kallat's wide-ranging work.
Jitish Kallat (born in 1974, Mumbai) currently lives and works in Mumbai. Kallat's work has been exhibited widely across the world. His recent solo exhibitions include mid-career survey exhibition titled Here After Here curated by Catherine David at National Gallery of Modern Art (2017), New Delhi and Covering Letter at the Philadelphia Museum of Art (2016). Other key solo exhibitions include CSMVS Museum, Mumbai (2016); Art Gallery of New South Wales, Sydney (2015); San Jose Museum of Art (2013); the Ian Potter Museum of Art, Melbourne (2012); Bhau Daji Lad Museum, Mumbai (2011); and Art Institute of Chicago (2010). He has also exhibited in numerous group exhibitions at venues including Tate Modern, London (2001); Palais des Beaux-Arts, Brussels (2006), ZKM Museum, Karlsruhe (2007); Art Gallery of Ontario, Toronto (2007); Martin Gropius Bau, Berlin (2008); Mori Art Museum, Tokyo (2008); Jean Tinguely Museum, Basel and Musée national d'art moderne-Centre Pompidou in Paris (2011); and the Museum of Contemporary Art Australia, Sydney (2016). He has participated in a number of international biennale exhibitions including the Havana Biennale (2000) and the Gwangju Biennale (2006).
Jitish Kallat was the curator and artistic director of the Kochi-Muziris Biennale (2014).
du 7 septembre au 19 septembre 2017
tous les jours de 11h à 19h
Constantin Andreou - Manolis Calliyannis - John Christoforou Yannis Gaïtis - Constantin Macris - Alkis Pierrakos - Philolaos - Takis - Thanos Tsingos
Au sortir de la seconde Guerre mondiale, Paris jouit de son aura de capitale mondiale des arts, attirant une nouvelle génération de créateurs venus des quatre coins du monde. Et les jeunes Grecs n'échappent pas à la règle !
Encouragés par l'octroi de bourses d'études allouées par l'Institut français d'Athènes et l'État grec, les plus francophiles peuvent désormais poursuivre des études supérieures à Paris. Consciente de la vitalité, de la diversité et de l'intérêt du travail des jeunes artistes de cette diaspora particulière, l'École des Beaux-Arts de Paris organise en 1947 une exposition de tous les artistes grecs boursiers du gouvernement français. Puis, au fil des ans, ce sont des centaines de peintres et sculpteurs grecs qui s'installent définitivement à Paris.
Bien qu'arrivant en France déjà diplômés, c'est bien à Paris que ces jeunes créateurs sont nés artistes. Leurs travaux respectifs s'affranchissent rapidement du carcan d'une école parfois vue comme nationale pour devenir partie intégrante de l'École de Paris. Cette exposition en présente dix : Constantin Andreou (1917-2007), Manolis Calliyannis (1923-2010), John Christoforou (1921-2014), Yannis Gaïtis (1923-1984), Constantin Macris (1917-1984), Philolaos (1923-2010), Alkis Pierrakos
(1920-2017), Takis (né en 1925), Thanos Tsingos (1914-1965) et Rena Tzolaki (née en 1935).
Une exposition organisée en partenariat avec le Centre culturel hellénique de Paris (www.cchel.org)
Motorcycles fans, or simply those with a curiosity, should join Fred and Hugo - the founders of Blitz Motorcycles - at The Hoxton, Paris for a full day of immersion into the Blitz lifestyle. There'll be a pop-up cinema playing Blitz shorts, to an exhibition of unique motorcycles created from vintage parts, to a leathers customisation space, and talks by the founders. Join us in the evening for a cocktail night to wind down the day.
Pour les amateurs de motos, ou tout simplement les curieux, rejoignez Fred et Hugo - les fondateurs de Blitz Motorcycles - chez The Hoxton, à Paris pour une journée complète d'immersion dans le style de vie de la marque.
Au programme, présentation de court-métrages, rencontre avec les deux fondateurs, exposition de deux roues uniques fabriqués à partir de vieilles motos et espace accessoires avec possibilité de personnalisation. Rejoignez-nous le soir pour un cocktail pour clore cette journée en beauté.
18:00 - 19:00 - Talk: The History of Blitz
18h - 19h : Rencontre avec les fondateurs de Blitz : Histoire de la marque
19:00 - 23:00 - Blitz cocktail with DJ Nicolas Sorel
19h - 23h: Cocktail Blitz avec le DJ Nicolas Sorel
18 mai - 13 juillet, prolongation du mardi 5 au vendredi 8 septembre
Vernissage jeudi 18 mai de 18h à 21h
Nocturnes du Jeudi des Beaux-Arts
jeudi 1er juin & jeudi 6 juillet
Ouverture exceptionnelle dimanche 21 mai 14h-18h
Né en 1954, Jean-Bernard Métais vit et travaille entre la France et la Chine. Il a réalisé ces vingt dernières années de nombreuses sculptures dans l'espace public, en réponse à des concours internationaux. La dernière en date, une grande algue dorée, Phoenix, fait onduler ses pales d'acier sur 70m de hauteur, dans le centre de Tianjin.
Au centre de ses créations : le temps et le mouvement, révélés par la lumière, la matière et les fluides comme un physicien dans son laboratoire.
Depuis sa résidence à la fondation Cartier, sous la direction de Jean de Loisy, en 1990, le sable est au cœur de ses créations.Par l'ancienneté de son apparition, il renvoie au temps qui passe depuis les origines. « Le sable, c'est la poussière du monde», dit-il. En découlent un univers de sabliers, de clepsydres, d'attrapes-temps qui invitent à la contemplation. À la différence du temps disparu, le sable demeure, se renouvelle à chaque retournement et enrichit notre vision à l'infini.
Issu d'une famille de viticulteurs, Jean-Bernard Métais a rencontré très jeune le sable, dans les caves de Touraine, avant de parcourir les déserts tout autour du globe. Il puise dans la cave un autre matériau essentiel : le vin, qui se charge aussi du temps et s'en enrichit. Certaines des œuvres présentées à la galerie donnent à voir la chaude couleur des liqueurs de 1918 ou 1898... Ou à en respirer les arômes : c'est l'odeur du temps.
Sa deuxième exposition à La Galerie La Forest Divonne-Paris présentera un ensemble d'œuvres récentes : des sabliers, des photographies et la nouvelle série de sculptures intitulées « Esprit du Vin ».
Ces œuvres en verre soufflé renferment un précieux vin de Jasnières. Les courbes des pièces en verre forment des mots et créent un écho, une résonance au vin qui y est capturé à jamais ! Cette série est un hommage aux paroles gelées que l'écrivain François Rabelais décrit dans son ouvrage Le Quart Livre, paru en 1552. Les personnages du récit manipulent les mots qui, prononcés dans l'air gelé, se matérialisent dans l'espace. Ici les mots sont en quelque sorte « gelés » par le verre ; le caractère fugace et évanescent de la parole est évoqué par l'alcool. Ces créations poursuivent le travail de néons présenté à Bruxelles en mai 2016, en leur donnant une dimension plus personnelle et singulière encore.
Time:
18:00-21:00
Description:
rue des Beaux-Arts
Time:
18:00-20:00
Description:
Vera Klute, Plunge, Gallery I
8 September - 22 October
Ronnie Hughes, Strange Attractors, Galleries II & III
8 September - 22 October
Janet Mullarney ARHA, standing, still standing, RHA Foyer
8 September - 20 December
Susan Connolly, Traces of Activity, RHA Ashford Gallery
8 September - 1 October
Time:
18:00
Description:
Soirée Stade de France - Elior Services
Time:
18:00-21:00
Description:
08 septembre - 22 octobre
vernissage jeudi 07 septembre de 18h à 21h
Représentant la succession Niki de Saint Phalle depuis 2013, la galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois propose dans ses deux espaces parisiens sa seconde exposition consacrée à l'oeuvre novatrice, féministe et avant-gardiste de Niki de Saint Phalle.
Après En joue ! Assemblages & Tirs (1958-1964), en 2013, c'est autour de la thématique centrale pour l'artiste de la représentation du corps de la femme, dans la société de consommation des années 60-70, que s'articule cette nouvelle exposition monographique. Une sélection d'une vingtaine d'oeuvres parmi les plus emblématiques des années 60 et 70, des plus célèbres Nanas aux singulières sculptures-reliefs, seront montrées.
Dans la continuité de la grande rétrospective itinérante que lui consacra le Grand Palais (septembre 2014-février 2015) sous le commissariat de Camille Morineau, la galerie s'attache à déployer un autre moment-clé du travail de Niki de Saint Phalle, après la période révélatrice des Tirs (1961-1962).
De ces années 60 dont elle pointe la violence politique et sociale, Niki de Saint Phalle dénonce très vite les représentations conventionnelles et les clichés conservateurs à l'encontre des femmes : la femme sorcière, la jeune mariée engoncée dans sa robe de cérémonie étouffante, la femme accouchant dans la douleur... Elle montre et dit la souffrance des femmes dans les rôles ancestraux qui leur sont assignés. Ce sont des oeuvres sombres et profondément critiques auxquelles succède dès 1965, toute violence alors libérée, la série des Nanas. Là, le corps de la femme s'émancipe par la grâce de matériaux ordinaires, de résine, de polyester peints, de vinyles colorés, et l'artiste réalise ces « formes femmes » exubérantes, girondes, monumentales, jubilatoires, ironiques, puissantes, à l'aise en leur majesté glorieuse et démesurée.
Si Niki de Saint Phalle dit enfin que la femme est un corps libre, avec ses jambes, ses bras, son sexe, sa tête, occupant un espace à la fois sien et public, et peut-être utopique, elle laisse, dès le début des années 70, apparaître la figure ambivalente et inquiétante de la femme mère dévorante, dont Madame ou Nana verte au sac est, en 1968, la précurseure.
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage jeudi 07 Septembre 2017 à 18h
Exposition du 11 Juillet au 23 Septembre 2017
Fermeture estivale du 1er Août au 1er Septembre 2017
La Galerie Italienne est heureuse de vous présenter la nouvelle édition de "Spazio Tattile: Chapitre 2 - Maison d'un Collectionneur". Fort du succès de la première édition, les arts décoratifs italien sont de retour à la Galerie Italienne. Ce nouveau chapitre met en avant une collection de meuble construite par un acteur passionné du design italien réunissant des chefs d'oeuvres produit par les célèbres mouvements de design italien Alchimia et Memphis. Bureau, commode, miroir, cette collection se présente comme un cours d'histoire du design italien de la fin du XXe siècle. Plastique laminé, céramique, bois toutes les matières se mélangent pour former un ensemble d'objet du quotidien hors norme représentatif des manifestes d'Alchimia et de Memphis. Les couleurs font partie intégrante du design de l'objet. C'est un ensemble rare et haut en couleur que la Galerie Italienne est heureuse de présenter cet automne.
Sans titre, 2017
Acrylique et pastel sur toile
153 x 183 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Alain Sciot, peintures
du 4 septembre au 23 septembre 2017
11h - 18h du lundi au samedi et sur rendez-vous
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
du 8 au 30 septembre
mardi-samedi 14h-18h30
vernissage le jeudi 7 septembre de 18 à 21 heures
Time:
18:00-21:00
Description:
08/09 > 28/10 2017
Parallèlement à la rétrospective de l'œuvre photographique d'Anne et Patrick Poirier à la Maison européenne de la photographie, la Galerie Mitterrand est heureuse de présenter la troisième exposition personnelle du duo, dédiée à leurs maquettes qui occupent une place centrale dans leur œuvre.
Depuis la fin des années 60 et leur séjour à la Villa Médicis à Rome, Anne et Patrick Poirier s'intéressent aux sciences humaines, histoire, psychologie, anthropologie, et à l'architecture et l'archéologie. Ils utilisent des médiums très divers pour exprimer, sous formes métaphoriques, l'idée dominante de leur travail : la fragilité des êtres, de la nature et de la culture. L'usage récurrent de la maquette, qui représente toujours une architecture fictive, nourrie des réminiscences de leurs errances, de leurs relevés, empreintes... dans les sites archéologiques, en est un et non des moindres. En 1973, Ostia Antica, une maquette de douze mètres par six mètres en terre cuite, matérialise plus d'un an de leurs recherches sur le site antique éponyme, situé dans les environs de Rome. Avec le cycle Domus Aurea (1974-1982) -un ensemble de six maquettes noires en charbon de bois et fusain dont Ausée (1974-76), aujourd'hui au Musée Ludwig de Cologne-, ils passent de la lumière douce d'Ostia Antica à l'univers nocturne d'un sombre rêve inspiré par leurs fouilles d'architectes-archéologues comme ils se dénomment sur le site de l'ancien palais construit par Néron. Là encore, Anne et Patrick Poirier miniaturisent des ruines antiques pour rendre compte du danger qui pèse sur les cultures et la nature, sans cesse menacées par la violence des hommes et de l'histoire.
Si les maquettes noires des années 70 sont ancrées dans le passé, l'antiquité, les ruines, la mémoire et le chaos, celles des années 90, d'une blancheur immaculée, tentent de représenter sous forme de musées ou de bibliothèques utopiques, l'organisation du savoir, de la psyché humaine et de la mémoire. Avant même de connaître l'œuvre d'Aby Warburg, ils donnent à ces architectures la forme de l'ellipse, figure géométriquement parfaite qui symbolise pour eux la forme du cerveau. Deux d'entre elles du nom de Mnémosyne (1990-92), aussi monumentales qu'envoûtantes, sont emblématiques de cette évolution esthétique d'Anne et Patrick Poirier, qui trouve une de ses sources dans le site solaire de la Villa Adriana et traduit symboliquement le passage de l'ombre à la lumière. Certaines de ces maquettes ovales et blanches, telle Ouranopolis (1995), relèvent du domaine de l'anticipation.
A l'occasion de l'exposition De Memoria Et Reminiscentia, Anne et Patrick Poirier présentent, au sein de l'espace historique de la galerie de la rue du Temple, un ensemble d'une dizaine de maquettes accompagné de dessins préparatoires et de photographies retraçant l'évolution de cette forme dans leur œuvre des années 70 aux années 90.
Anne et Patrick Poirier ont étudié à L'Ecole nationale des Arts décoratifs de Paris et séjourné comme pensionnaires de la Villa Médicis à Rome de 1967 à 1971. Ils ont participé à de nombreuses expositions internationales telles que la Biennale de Venise (1976, 1980 et 1984), la documenta VI à Kassel (1977) et la Biennale de Lyon en 2000. Leur travail a fait l'objet d'expositions dans les institutions les plus prestigieuses, telles que la Neuer Berliner Kunstverein à Berlin (1977), le Centre Georges Pompidou à Paris (1978), le MoMA à New York (1978) et The Getty Research Institute à Los Angeles (1999). Plus récemment, leur travail a été présenté au Couvent de la Tourette (2013) et au Musée des Beaux-Arts de Nantes (2014), au Musée Cocteau à Menton (2015), à la Triennale d'Echigo Tsumari Art Field au Japon (2015), au Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Etienne (2016) et au Skulpturenpark Waldfrieden-Tony Cragg Foundation à Wuppertal (2016).
A l'occasion de l'exposition rétrospective des photographies d'Anne et Patrick Poirier à la Maison européenne de la photographie, les éditions Flammarion publient une monographie dédiée à l'ensemble de leur œuvre.
Time:
18:00-21:00
Description:
Céramiques - Photographies - Installations
Exposition
7 septembre > 28 octobre 2017
Mardi > samedi 14h > 19h et sur RDV
Des femmes en bas résilles, des rousses, et puis des types en cuir ou torses nus se battent avec des hommes en marcel et des hommes en chemise. Certains portent une cravate ou un foulard de casseur des villes. D'autres ont un casque de soldat ou une chapka. Ils manient, gauches, des épées, des sabres, des mitraillettes, du gaz lacrymogène. Ils brandissent des drapeaux au bout de pics ou bien s'écroulent à terre. Coincés là, ils essayent de sauver leur peau. Quelle est leur guerre ? Et ces chevaliers, et ces chevaux qui traversent au galop des zones mouvantes, s'épuisent-ils dans le vide, une mer, le brouillard ? Sont-ils en Russie, dans les campagnes françaises ? Peu importe. Ils sont partout, nulle part, projetés dans une nature devenue théâtre d'illusions.
Et tout bouge, s'agite dedans. Tout déborde, penche, flanche, s'évade, s'empile, couche sur couche, comme un mille-feuilles. Les montagnes sont gelées, les collines floues, les fougères menaçantes. Ça pleure, crie, meurt au pied de ciels rouges et d'une orgie d'œufs mimosa et de mayonnaise. Des tranches de lard, des rangées de côtelettes et des bancs de poissons s'invitent aussi dans le décor : le chant du ventre s'accroche au chant d'honneur.
Les Bachelot Caron inventent des batailles qui ressemblent à des pièces montées, à des farces rabelaisiennes.
Elles sont des dystopies (tragi-comiques), presque des pastiches qui ont la noblesse des grands genres. Elles se dressent, fières, sur des toiles photographiques immenses, avant de glisser dans la matière, le volume : la céramique.
Car de ces guerres hallucinées, jaillissent un tas de choses et d'êtres en grès, en porcelaine : une corne d'abondance, un trop-plein pour tromper l'œil, un festin de gloutons. On dirait qu'une armée de coraux, d'éponges, de vers marins est venue se ficher dessus comme une fragile, une vieille dentelle. Au menu donc, des gâteaux de roses, des fontaines givrées, des têtes de guerriers, des corps coupés en deux, des pieuvres qui mangent des homards, des saladiers plein, des crustacés. Les Bachelot Caron ont fouillé leurs légendes. En archéologues, ils ont plongé dans la terre et lui ont arraché un monde englouti : les restes d'un banquet ou d'une ripaille qui aurait mal tourné. On est chez Gargantua, Pier Paolo Pasolini, Ferreri, Salvador Dalí, on est chez les ogres, dans un opéra de sucre et de faux sang, à des bacchanales. On est dans un dispositif sans cadres ni limites où la peinture, la photographie, la sculpture, la mise en scène se nourrissent, s'avalent et se digèrent entre elles. Dans les œuvres des Bachelot Caron, oui tout déborde, s'emmêle, se déguise : le rire, la violence, les excès, la jouissance. La mort, la vie.
Vernissage Jeudi 7 septembre 2017
De 18h00 à 21h00
Exposition du 6 septembre au 10 septembre 2017
14h00-19h00
Fermé le lundi et le mardi
OBJETS ET BIJOUX EN VERRE SOUFFLÉ
Daisuke Takatomi est un artiste souffleur de verre, qui travaille dans son atelier à Hokkaido. Keiko Iwamatsu est une créatrice de bijoux basée à Osaka. Les deux artistes ont commencé à travailler ensemble en 2013, puis ont créé une marque de bijoux en verre soufflé « usapi » en 2016. Leurs bijoux ont déjà du succès à Tokyo et à Paris (Maison & Objet 2017). Takatomi crée des pièces uniques en verre soufflé, comme il compose des poèmes sur la beauté de la nature qui l'inspire (l'eau, la source, la lune...). Ensuite, Iwamatsu reçoit ces éléments et les transforme en bijoux, en les associant avec des métaux précieux. Chaque œuvre, qui est une pièce unique, est le fruit du dialogue entre les deux artistes. La Galerie Hayasaki présente plus de cent bijoux, accessoires, gobelets et vases en verre soufflé.
Time:
18:00-21:00
Description:
Dongni Hou est née en 1987 en Chine dans la province du Liaoning à Fuxin. Elle étudie les arts plastiques dès son plus jeune âge et intègre à 19 ans la célèbre Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg en Russie. A l'occasion de l'obtention de son Master, plusieurs de ses œuvres sont choisies pour rejoindre les collections permanentes du Musée de l'Académie.
Elle vit et réside aujourd'hui en France. Ses oeuvres sont présentées chez Laurence Esnol Gallery.
«âme sensible» dévoile sous les pinceaux de l'artiste toutes les nuances poétiques de l'âme humaine, même dans les recoins les plus sombres, soutenues par des couleurs savamment utilisées. Derrière parfois un aspect sage, une seconde lecture de l'oeuvre de Dongni HOU tort le cou aux mièvreries et nous emporte avec un humour sombre dans son univers aussi singulier que fantastique. Un travail très personnel et résolument à part...
Time:
18:00-20:30
Description:
7 septembre - 21 octobre 2017
Cette exposition s'inscrit dans un cycle initié en janvier 2017 par le Musée des Beaux-arts de Soleure (Suisse) avec Pencilmania, une rétrospective sur dix ans de dessin et de photographie, suivie de l'exposition Contact au Cabinet des dessins Jean Bonna des Beaux-Arts de Paris. Puis, fin 2017, la Fondation Fernet-Branca à Saint-Louis lui consacrera une grande exposition. Associées à la galerie Jean Fournier, chacune de ces institutions a publié un catalogue spécifique, singularisant ainsi chaque projet.
Un ensemble de dessins de format 140 x 110 cm, présenté à Soleure, constitue le noyau de l'exposition à la galerie. Sur ces œuvres, travaillées à la mine de plomb et/ou au crayon de couleur, la ligne suit des rythmes très différents. Sur tel dessin, elle occupe toute la surface tel un labyrinthe. Le geste est ample et presque gracile. Sur d'autres, le geste plus répétitif se densifie pour créer des masses plutôt que des traits. Certaines lignes sont davantage marquées car Gilgian Gelzer revient à plusieurs reprises sur le trait ou la masse. Il structure ainsi le dessin, entre grâce et pesanteur.
Vers 2008, les œuvres étaient très colorées. Gilgian Gelzer faisait coexister davantage de couleurs, pensées en tant que masses plutôt que traits. Depuis cette période, les lignes se sont allégées et les couleurs se sont fixées dans les variations de bleu et de rouge. Mais ses dessins récents (2015-2016) tendent principalement vers le rouge. Ses superpositions colorées creusent et structurent l'espace différemment. Suivant un mouvement d'expansion, le rouge, avec ses variations de carmin à orangé ou rose, confère une forme d'énergie particulière au tracé.
L'artiste dessine toujours debout (sauf pour certains très grands formats qu'il réalise au sol). Cette configuration lui permet de se mesurer à l'espace de la feuille et d'engager un dialogue direct et physique au moment de la réalisation. Qu'il travaille au mur, sur table ou au sol, l'artiste se laisse porter par son geste. Ce n'est pas seulement la main qui agit, ni le bras mais le corps tout entier. « Gilgian Gelzer dessine sous pression. Comme s'il était, littéralement traversé par une force, un courant d'énergie auquel il lui faut, crayon à la main, trouver une issue ».1
Des dessins plus petits sont également présentés. Quel que soit le format, le geste de l'artiste ne suit aucun programme, il est porté par le désir de découvrir un espace et de parvenir à lui donner corps dans la feuille, immense ou très petite. Sur certains dessins, le regard tente de suivre les lignes tandis que sur d'autres il peut se perdre mais chaque fois, un mouvement se met en marche. Optique, physique et presque musical : « Le dessin de Gelzer ressemble à une marche, un mouvement tournant, une vraie danse, à un tempo variable, tantôt léger et alerte, tantôt harassant et rude, comme s'il fallait vaincre les obstacles les plus difficiles pour trouver la voie ».2
> Fondation Fernet-Branca, Saint-Louis, du 18 novembre 2017 au 21 février 2018
1 Pierre Wat, Être là, catalogue de l'exposition Contact, Beaux-Arts de Paris Éditions, page 11.
2 Christoph Vögele, Cartographe et chasseur de papillons, catalogue de l'exposition Pencilmania, page 16.
9 septembre - 28 octobre 2017
Vernissage le samedi 9 septembre de 18h à 21h
Preview le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
Les peintures semblent nées d'une chambre noire à laquelle on aurait fait subir une exposition courte et violente. Empruntant au champ photographique, Gregory Derenne procède par négatif. La couleur vient se fondre dans le noir de la toile satinée pour faire apparaître l'image. Cette économie proprement interne de la lumière donne un éclat particulier au motif. Il devient impossible de distinguer l'artificiel du naturel ou d'identifier un moment précis de la journée ou
de la nuit.
En regardant la beauté inerte de ces lieux sans qualités, les célèbres mots de Baudelaire sur le peintre de la vie moderne, Constantin Guys, revêtent une étonnante actualité : « Il s'agit, pour lui, de dégager de la mode ce qu'elle peut contenir de poétique dans l'historique, de tirer l'éternel du transitoire. » Peintre de la vie postmoderne, des plateaux télé et des escalators en acier brossé, Derenne recadre jusqu'au vertige; il s'intéresse à l'anodin pour le hisser vers le mystérieux. De ces lieux de passage désertés se dégage une inquiétante étrangeté, au seuil de l'irréalité. Ce n'est donc pas un hasard si ses peintures font penser aux scènes de crime que Walter Benjamin voyait dans les clichés d'Eugène Atget, ces « images qui inquiètent celui qui les regarde ; [et pour lesquelles] le spectateur devine qu'il lui faut chercher un chemin d'accès. » Ou peut-être une voie de sortie par un escalier qui semble infini. Autrefois symbole d'élévation spirituelle dans la clarté obscure d'un Rembrandt, de désir sexuel dans les pans de bruns de Duchamp et les couches de gris de Richter, l'escalier d'aujourd'hui ne reflète plus que la vanité des néons restés allumés alors que l'activité a cessé.
Pierre-Henri Foulon, 2016
«Je veux bien que Derenne se fiche de son sujet, je veux bien que ses peintures de métro ne portent pas plus la marque d'un message social que ses peintures d'églises ne portent celle d'une ferveur religieuse. Mais il reste que son tableau du métro Madeleine a autant de grandeur que ses intérieurs d'église : une grandeur sans ironie, sans pathos, sans froideur - et d'où se dégage le paradoxe bien sincère de la vue contemporaine d'une église d'hier et celui de la vision quasi religieuse d'un escalator de métropolitain - que j'apprécie tant. (...)»
Hector Obalk («Le subtil ignorant», Le Cahier dessiné, mars 2014)
Grégory Derenne, Fenêtre, 2017, huile sur toile noire, 130 x 89 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 7 septembre au 28 octobre 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre 2017, de 18h00 à 21h00
L'exposition Revealing Disappearance dévoilera les toutes dernières réalisations de l'artiste chinois Liu Bolin, profondément engagé sur les questions environnementales.
Très tôt dans sa carrière, l'écologie devient un sujet majeur de sa production artistique. En 2011, il brave les eaux polluées du fleuve Jaune, situé dans l'une des régions les plus industrialisées de son pays. En 2015, il organise une performance collective au bord d'une grande forêt artificielle destinée à empêcher la propagation du désert de Gobi dans les Territoires de la Chine septentrionale. En 2016, il pose parmi des montagnes d'ordures dans un centre de collecte à Bangalore, en Inde. En juin 2017, l'artiste s'est rendu sur la Côte Atlantique Française pour réaliser deux nouvelles performances en collaboration avec Surfrider Foundation Europe. Son objectif: contribuer à alerter l'opinion publique sur la problématique des déchets aquatiques. L'ONG Surfrider mène des campagnes de sensibilisation et multiplie les actions contre la pollution causée par les déchets plastiques et oeuvre ainsi en faveur de la protection de l'océan.
Les photographies liées à sa plus récente intervention en France figureront dans l'exposition, à côté de ses précédentes performances réalisées en Chine et en Inde, où l'industrialisation fulgurante et la croissance vertigineuse de la population ont affecté les climats urbains, en particulier la qualité de l'air. Selon le rapport du State of Global Air 2017, en 2015, les deux pays ont connu environ 1.1 million de décès prématurés en raison de la pollution atmosphérique.
En même temps que son travail photographique, une installation in situ de la série VISA Portrait, composée d'une douzaine de filtres à air de voiture, sera également exposée à la galerie. La différence chromatique due au degré de pollution de ses composants attire immédiatement l'attention du spectateur. Une deuxième lecture révèle le portrait d'un inconnu. L'installation joue avec le concept d'individualité et la notion de cause à effet.
La vidéo de 28 minutes Winter Solstice (2016) sera également présentée au public pour la première fois à Paris. Sur les notes de Musical Erratum de Marcel Duchamp des danseurs camouflés luttent en disparaissant dans le smog de Pékin. Le titre fait référence à la date du 20 décembre, précédant de deux jours le solstice d'hiver, une festivité importante dans le calendrier chinois traditionnel. La chorégraphie s'inspire des mouvements que l'homme fait instinctivement avant de rendre son dernier souffle. Cet ensemble de travaux représente une réflexion sur les conséquences délétères des actions humaines sur notre propre habitat. Nous sommes désormais bien loin des principes taoïstes au coeur de la tradition chinoise, évoquant une relation harmonieuse et durable entre les humains et la nature.
Liu Bolin, The Winter Solstice, 2016, video, 28m (video still)
Pour Liu Bolin, «l'homme se développe en détruisant son propre environnement. Le prix qu'il doit payer pour la splendide civilisation est la perte de conscience de son appartenance au règne animal. En profitant du développement qu'il a accompli, l'homme est en train de creuser sa tombe par sa propre cupidité. Les gens exigent trop de la nature et de l'environnement. Nous réaliserons bientôt combien nous sommes minuscules. Notre désir domine notre comportement. Nous allons faire face à beaucoup de problèmes à l'avenir « .
En disparaissant dans un décor hautement symbolique, Liu Bolin continue de dénoncer avec finesse certaines questions importantes de notre temps en questionnant la place de l'individu dans son propre environnement.
Sa disparition stimule les spectateurs à la fois intellectuellement et émotionnellement, juste le temps pour eux de découvrir la silhouette cachée dans la photo. « J'espère que mes travaux seront un avertissement pour ma génération et pour les générations à venir ».
L'exposition se déroulera simultanément avec la rétrospective de l'artiste qui aura lieu à la MEP, Maison Européenne de la Photographie du 6 au 29 octobre. Cette première monographie institutionnelle de l'artiste en France couvrira dix ans de sa production artistique axée sur quatre thèmes principaux: la politique et la censure, la tradition et la culture chinoise, la société de consommation et la liberté de la presse.
Du 9 septembre au 8 janvier, Liu Bolin investira la Galerie des Enfants du Centre Pompidou dans le cadre de l'événement Galerie Party pour célébrer le 40ème anniversaire du Musée. À cette occasion, il réalisera une performance publique en disparaissant devant une installation conçue par Gaëlle Gabillet et Stéphane Villard du studio GGSV .
Liu Bolin est né à Binzhou (province de Shandong), en 1973, en Chine, et a étudié la sculpture à CAFA, Central Academy of Fine Arts, diplômé d'un MFA en 2001. Au cours de cette dernière décennie, son travail a été largement exposé dans de nombreux musées et institutions à travers le monde. Il vit et travaille à Pékin.
Exposition du 7 au 30 septembre 2017
Vernissage le 7 septembre de 18h à 21h
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 7 septembre au 28 octobre 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre 2017, de 18h00 à 21h00
Création d'une project room au sein de la galerie : Le PBProject
Une galerie grandit au fil des années et parallèlement, ses artistes développent leurs carrières. Il devient alors de plus en plus difficile pour le galeriste d'exercer son rôle de défricheur, voir de découvreur. Pourtant, comme le démontre sa programmation depuis 2014, la Galerie Paris-Beijing reste désireuse de continuer à faire découvrir toute une nouvelle génération de jeunes artistes et de continuer de les accompagner dans leur développement.
C'est pourquoi, dès la rentrée 2017, la galerie consacrera un espace d'exposition de 50 m2 exclusivement dédié à la programmation, au soutien et à l'accompagnement de la jeune création. Cet espace, ouvert à toutes les pratiques plasticiennes, offrira carte blanche, au rythme de six expositions annuelles, à de jeunes artistes désireux d'exposer à Paris.
Pour inaugurer le PBProject, Léa Belooussovitch présentera sa dernière série de dessins sur feutre. Basés sur un profond questionnement sur le statut de l'image, elle interprète des images de presse qu'elle glane puis transforme questionnant ainsi la perception et la compréhension de l'information au travers de son illustration.
Les photographes de guerre ou les journalistes de terrain nous renvoient quotidiennement des preuves tangibles des drames qui surviennent aux quatre coins du monde. Sans parfois chercher à comprendre précisément ce que ces images racontent, où elles ont été prises et quand, nos yeux, devenus quasi insensibles, semblent s'être égarés dans une habitude visuelle.
Nos rapports aux moyens de communication, à l'Histoire vue par les médias, les faits divers, l'archive, et l'information sont au coeur du travail de Léa Belooussovitch. Dans la série de dessins sur feutre présentée à la Galerie Paris-Beijing, elle transpose de manière voilée diverses images diffusées sur internet ou publiées dans la presse écrite, d'évènements dramatiques de notre histoire contemporaine, comme l'explosion d'un bus piégé en Somalie, une fusillade au Bangladesh, un attentat au Pakistan ou une boîte de nuit devenue cible d'une attaque à Istanbul.
Les silhouettes d'hommes et de femmes, dans une situation précaire, sont délicatement reconstituées par un travail aux crayons de couleurs directement appliqués sur la surface blanche, lisse et rassurante d'une large pièce de feutre. Le dessin généré crée un flou qui atténue les formes, par le mélange des pigments à la fibre textile. La mise au point est ainsi rendue impossible par la propriété du feutre d'emprisonner les couleurs des crayons.
Un travail préalable de recadrage sur la partie centrale de l'action de la photographie d'origine brouille d'autant plus les pistes, laissant sa composition originelle à peine reconnaissable. Certains indices aident cependant le regard à rétablir une scène narrative à partir de l'abstraction, encourageant l'oeil et le cerveau à tenter de reconstituer une image. Le support, transformé par le passage du crayon, acquiert du volume et permet au dessin de prendre une dimension sculpturale.
Rémanences évoque le phénomène par lequel une empreinte visuelle subsiste après disparition de l'excitation objective d'origine. En psychologie, on utilise ce terme de persistance rétinienne pour décrire le fonctionnement de la vision attribuant à l'oeil une image rémanente durant 1⁄25ème de seconde sur la rétine: «Si après avoir regardé pendant un certain temps un objet coloré, on ferme les yeux en les couvrant aussitôt d'un mouchoir sur lequel on applique les deux mains, on verra bientôt apparaître une image d'une couleur complémentaire de celle de l'objet ».*
De la même façon, dans le processus de création de Léa Belooussovitch la vue s'imprègne du cliché et au moment où le regard se tourne vers le feutre vierge, le geste est porté par la mémoire persistante des formes, de la composition et des couleurs.
Le dessin reprend l'image journalistique nette, aux couleurs vives capturant sur le champ et sans aucun détour la souffrance extrême des individus. L'information visuelle provenant du médium photographique est ainsi rendue plus tolérable par le biais de sa transcription manuelle. L'image apparaît comme évanescente, tel un fantôme, devenant l'empreinte de sa source dans nos mémoires. Son pouvoir est pourtant là, dans cette retranscription intime d'un récit d'une brutalité telle qu'elle empêcherait le regard de s'attarder. C'est justement cet écart entre le référent et le référé que met en avant le travail, cette distance qui nous en éloigne tout en étant proche physiquement de l'oeuvre.
Pour reprendre les mots du critique Yoann Van Parys « Touchant à une esthétique de la disparition, les oeuvres de Léa Belooussovitch nous interrogent sur notre rapport à la violence, notamment des images, liées aux faits de société et mettent en lumière la vulnérabilité d'un moment précis, rendant compte d'une forte humanité ».
Joseph Beuys avait utilisé le feutre comme matériau symbolisant la sécurité et le refuge. Pour Léa, le choix de ce textile qui isole du froid et du bruit, rappelant l'enveloppement des couvertures de survie, sert le propos: il suggère une empathie de l'artiste avec ses sujets comme si elle était portée par un instinct de protection.
*Pierre Auguste Adet, Annales de Chimie, 1835
Plasticienne née à Paris en 1989, Léa Belooussovitch vit et travaille à Bruxelles. Après l'obtention d'un master en dessin à l'ENSAV La Cambre en 2014, elle décroche la même année le Prix et la résidence Moonens, suivi en 2015-2016 d'une résidence à la Fondation du Carrefour des Arts à Bruxelles. Elle est nommée pour l'édition 2016 du Prix Révélations Emerige et remporte le prix COCOF à la Médiatine à Bruxelles début 2017. Elle est lauréate de la bourse COCOF de la Maac de Bruxelles en 2017, lui permettant de bénéficier d'une résidence et d'une exposition personnelle. Au mois de Novembre prochain elle sera en résidence à Bandjoun Station, un projet artistique crée par l'artiste Barthelemy Toguo au Cameroun. Elle est membre du collectif FRICHE basé à Bruxelles, qui organise des résidences et des expositions dans des lieux abandonnés.
En collaboration avec la Speerstra Gallery, la Galerie NeC est heureuse de vous présenter dans ses deux espaces parisiens l'artiste MAMBO.
Quand : le jeudi 7 septembre 2017 à partir de 18h.
Où : Galerie NeC nilsson et chiglien
117 rue Vieille du Temple
75003 Paris
&
20 rue des Coutures Saint-Gervais
75003 Paris
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition : du mardi 5 septembre au mardi 3 octobre 2017
Horaires : lundi au samedi 13h00-2h00
"Grains de Beauté", c'est le thème de ma prochaine exposition de dessins originaux et affiches imprimées au super-bar Le Tiny Café. Elle aura lieu à la fin de cet Été caniculaire, du mardi 5 septembre (jour de l'accrochage) jusqu'au 3 octobre 2017. Le vernissage aura lieu le jeudi 7 septembre à partir de 18h où vous êtes tous plus que joyeusement conviés à ce grand évènement !
Pour ceux qui on assisté à ma première exposition "Scènes de Cinéma" en janvier dernier, il s'agira ici d'un tout autre point de vue. Bien loin de l'industrie du cinéma, nous aurons ici des scènes très personnelles avec des images qui me sont propre, mettant en scènes les méandres d'un corps couvert de grains de beauté.
https://www.instagram.com/mariecasays
Time:
18:00-21:00
Description:
Galerie Frédéric Storme
2, rue de la Halle
http://martinloume.blogspot.fr
Time:
18:00-20:30
Description:
4 rue du pont Louis-Philippe
75004 PARIS
Ambrotypes
Vernissage / Opening : 7 septembre 2017
7 - 20 Septembre 2017
Matthias Olmeta, Ines et Grego, Ambrotype, 70 x 140 cm. Pièce Unique
Time:
18:00-20:00
Description:
Matthieu Ronsse "Quand je suis venu au monde, j'étais ton oeuf"
VNH GALLERY
IS DELIGHTED TO ANNOUNCE THE TWO-CHAPTERED EXHIBITION
MATTHIEU RONSSE
CHAPTER ONE / JULY 7 - 29, 2017
OPENING FROM 6:00 TO 9:00PM
"L'AMOUR DANS LES CORDES, DANS UN CADRE PLUS OU MOINS ÉROTIQUE"
CHAPTER TWO / SEPTEMBER 7 - 20, 2017
OPENING FROM 6:00 TO 8:00PM
"QUAND JE SUIS VENU AU MONDE, J'ÉTAIS TON OEUF"
Matthieu Ronsse lived in the gallery the whole month of August. In this temporary "studio", he revisited his July's exhibition offering and devising new works while bathing in the influences of the French capital and its abundant sources of inspiration.
Time:
18:00-21:00
Description:
VERNISSAGE: Jeudi 7 septembre 2017 de 18h à 21h, en présence de l'artiste
EXPOSITION : du 8 septembre au 10 novembre 2017
mfc-michèle didier a le plaisir de présenter "Singer Notes, 1968" une publication et "Singer Notes" une exposition de Mel Boch- ner à la galerie mfc-michèle didier
"Singer Notes" est une œuvre déterminante et pourtant étrangement inconnue de l'artiste américain Mel Bochner. Bien qu'elle contienne les premières expressions d'idées qui se révélèrent fondamentales pour le travail extrêmement influent que Bochner a produit depuis la fin des années 1960, les "Singer Notes" sont restées largement négligées.
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 7 septembre au 7 octobre 2017.
Vernissage le 7 jeudi 7 septembre de 18 à 21h
1. Imaginez-vous pénétrant dans le décor abandonné d'un film de science-fiction de série B. On y voit, à l'intérieur d'un centre commercial sous saisie, un magasin appelé The Silk Road où des antiquités rares, importées illégalement depuis des zones de guerre, franchissent l'au-delà pour y rencontrer leurs doubles de contrefaçon, produits industriellement. Et bien qu'il y ait assez de preuves sur le tournage pour permettre une analyse médico-légale, il n'est pas simple de déterminer immédiatement la cause de la faillite ou ce pourquoi le tournage du film a brusquement cessé.
2. Qu'est-ce qui incite les petits entrepreneurs immigrés à décorer leur commerce de fortune avec des posters aux couleurs vives représentant des monuments historiques de leur pays d'origine ? La réponse à cette question n'est peut-être pas tant liée à la fierté nationale ou à la conservation du patrimoine mais davantage à un désir de minimiser le coût élevé de la vie sur le marché libre des migrations géopolitiques. La vraie fonction de ces images de monuments en tant que piètres moyens de survie est sans doute la même que celle d'autres éléments plus communs du restaurant, comme les meubles dont les répliques exactes se trouvent dans d'autres restaurants étrangers où l'on mange pour moins de 10€. On imagine habituellement que ce n'est qu'avec l'avènement de la modernité et le début du commerce international que les pays du sud ont commencé à produire, de façon industrielle, des artéfacts culturels destinés à la consommation occidentale. L'anthropologie montre pourtant que l'histoire de l'exportation illégale d'objets exotiques vers les pays occidentaux remonte bien avant l'arrivée des premiers Européens aux Amériques ou en Afrique. Il n'a pas fallu longtemps aux autochtones pour comprendre qu'ils pouvaient tirer profit de leurs cultures et traditions, et créer une industrie artisanale basée sur ce qui intéressait les Européens. Ce qui a peut-être changé aujourd'hui est le fait que ce commerce n'a plus une seule destination géographique ou culturelle évidente, mais une multitudes de points de production, de trafic et d'échange répartis partout sur terre sous la forme d'une nébuleuse semblable à la carte du réseau Internet. Dès lors, pourquoi s'étonner quand Hobby Lobby, l'un des plus gros fournisseurs de matériel de travaux pratiques et d'accessoires de décoration à bas prix aux Etats-Unis, est accusé de trafic d'objets anciens en provenance du Moyen-Orient ? Ne devrait-il pas être évident que les deux économies de production d'authenticité, de haute et basse gammes, qui sont en apparence distinctes possèdent la même base métaphysique ? À cet égard les objets authentiques, qu'ils soient ou non de qualité, fonctionnent comme les technologies de transport qui nous connectent à des lieux lointains inconnus et à leur temporalité.
3.L'un des leitmotivs du cinéma de science-fiction est la manière dont les différents développements souvent réalistes de l'intrigue sont soudain interrompus par un événement beaucoup plus important qui force la narration à abandonner ou à modifier son cours, révélant ainsi le thème principal ou la dynamique véritable du film. Dans le cas de Pier 1, ce brusque revirement se manifeste par l'arrivée du changement climatique et son rapport crucial à l'ornemental et au représentatif. Les lampes en cuivre récupérées, qui façonnent simultanément différents arrangements floraux et des molécules de gaz à effet de serre, servent aussi de décorations d'intérieur en filigrane. Tout comme l'environnement, lui-même substrat naturel de la verve planétaire, détermine nos modes de vie politiques, culturels et technologiques, la crise du climat est progressivement devenue la cause de tous les autres désastres humains qui sont présentés dans Pier 1. Ainsi le nom Pier 1 évoque-t-il un espace générique servant à l'échange d'objets inutiles entre le commun des habitants de la planète ainsi que le point naval de sortie et d'entrée au coeur du commerce comme de l'immigration de masse.
4. "Si l'on considère que la mondialisation signifie l'effacement des frontières et la libre circulation des personnes, des biens et des idées, il devient alors assez clair que le mouvement lui-même[anarchisme] est un produit de la mondialisation, mais aussi que la majorité des groupes qui y participent - les plus radicaux en particulier - contribuent à cette mondialisation généralement bien plus que ne le font le FMI ou l'OMC."
David Graeber, The New Anarchists, New Left Review, 2002
Pier 1 réimagine l'ambiance de la production, du trafic et de l'échange au sein de la culture matérielle mondiale. Des cadres en bois sculptés représentant des statues impériales, des oreillers en soie sur lesquels sont tracées des routes commerciales éblouissantes et pailletées de fleurs invasives, des meubles bon marché et des peintures murales représentant des Sites du patrimoine mondial à Palmyre accrochées sur les murs d'un petit restaurant de cuisine exotique comptent parmi les éléments composant Pier 1. L'humour masque à peine l'angoisse d'avoir à faire face à un monde agité et sans ancrage. Sous une apparence ludique, Pier 1 répertorie les manières dont les conséquences déplaisantes de la mondialisation deviennent de plus en plus horribles, avec des guerres sans fin, une immigration de masse, un climat bouleversé et une exploitation sans limites. Pier 1 met en scène le clash esthétique entre l'optimisme des années 90 envers la mondialisation et le multiculturalisme et la manière dont ceux-ci se manifestent aujourd'hui au travers du nationalisme réactionnaire, du chauvinisme et des idéologies identitaires, montrant comment ces deux aspects ont peut-être toujours été les deux faces du même phénomène. Cette ligne de partage n'est peut-être pas très différente du rapport dialectique qui existe entre la mondialisation et son opposition anarchiste.
Pier 1 présente les crises environnementale, politique et technologique de notre temps comme les fines couches superposées d'une pile renversée par la brusque modification cosmique de sa logique d'organisation interne. Des éléments provenant de lieux lointains et d'époques révolues qui, normalement, sont liés de façon proportionnelle selon l'évolution du temps et de l'espace semblent isolés les uns des autres. Les petites choses sont à présent gigantesques et inversement. Le champ de la gravité n'exerce plus son attraction habituelle.
Soumis aux pressions émotionnelles et psychologiques de la vie, il peut nous arriver d'avoir des rêves qui contiennent leur propre interprétation ou sont si cohérents qu'il ne leur en faut aucune. Enfermé dans l'espace sans cesse plus réduit de la valeur symbolique et écrasé par le poids de la substance métaphorique, l'art actuel a désespérément besoin de confronter notre monde tumultueux, débarrassé de son attirance pour un excès de références. À cet égard, Pier 1, comme répondant à une surenchère contemporaine de sens, prend en otage l'espace et les interprétations normatives de l'art afin d'en renouveler la fonction.
Ecrit par Mohammad Salemy
http://www.michaelassiff.info
Time:
18:00-21:00
Description:
7 septembre - 18 novembre 2017
Cocktail | Le jeudi 7 septembre 2017 | 18h - 21h
Elu Designer du Futur à Bâle en 2009 à l'âge de 28 ans, Nacho Carbonell est né en 1980 à Valence en Espagne et est diplômé avec félicitations de la Design Academy d'Eindhoven en 2007. Son travail fait partie notamment des collections permanentes du Fnac-Fonds national d'art contemporain, France, du Groninger Museum, Pays-Bas, et aux Etats-Unis du MoMA San Francisco, de l'Art Institute of Chicago et du Mint Museum.
'LUCIFERASE' et 'TIME IS A TREASURE' sont deux collections produites en exclusivité pour Galerie BSL. Chaque œuvre est une pièce unique, réalisée à la main. Nacho Carbonell rompt avec toutes les conventions pour inventer des créatures à la présence communicative qui sont immédiatement identifiables comme siennes. Fruits des expérimentations de Nacho sur les matériaux et de ses intentions narratives, ces œuvres dont émanent tendresse et poésie font appel à l'imagination, à la sensibilité et à la capacité de rêver de chacun.
'LUCIFERASE' est le premier travail de Nacho Carbonell à inclure de la lumière. Née en 2011 et agrandie depuis, 'LUCIFERASE' est une famille d'organismes lumineux qui surprennent par leurs couleurs et leurs textures intrigantes. « La racine de ce mot est "porteur de lumière" * et renvoie au système utilisé par la flore et la faune vivant dans les abysses, dans l'obscurité totale des grandes profondeurs des océans. Bien plus que des luminaires, je considère ces pièces comme des créatures qui émettent de la lumière. »
Time:
18:00-20:30
Description:
installation vidéos
Vernissage Jeudi 7 septembre 2017 de 18h à 20h30
* QUIZ * TOMBOLA * SURPRISES *
LE DÉTAIL QUI TUE est un théâtre d'images qui a la simplicité des cirques à l'ancienne, où l'on sait encore s'émerveiller de bulles de savonet se régaler du vide coloré d'une barbe-à-papa. Un héritage de la magie d'un Méliès, de la fantaisie d'un Averty, de la précision d'un Tati. La modernité de ce regard singulier posé sur la mode, nos comportements, nos attitudes et nos corpus d'images nous détourne de l'anecdote pour observer avec sincérité et humour notre quotidien.
Dans le regard unique que Nathalie Croquet pose sur les êtres et les choses, il y a beaucoup de poésie et une joyeuse confiance en l'humanité. Son point de vue d'artiste maîtrise l'art du décalage : d'un battement d'aile de papillon, le petit monde des apparences se détache de son axe et s'envole, comme une mappemonde gonflée à l'hélium.
La mode, légère et subtile n'aurait-elle jamais dû être autre chose que ces gracieuses illusions?
Dans le torrent d'images qui passent chaque jour sous nos yeux, ces histoires brèves scintillent dans l'uniformité des écrans.
Chaque nouvelle facétie du DÉTAIL QUI TUE est une gourmandise, façon grain de sel dans un bonbon. La surprise passée, le goût n'en est que meilleur.
Contact presse Jean-Albert Herman 0609144816 jeanalbert@noos.fr
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 30 août au 7 octobre 2017
Vernissage jeudi 7 septembre de 18h à 21h, en présence de l'artiste
Née en 1983, diplômée de Sciences Po puis de Hec, Nushka a appris la peinture au contact de trois artistes : deux peintres américains, Zawacky, pour le dessin et Maggie Siner, pour la couleur, et un peintre tchèque, Hashpa, pour la composition. Nushka vit aujourd'hui à Marseille.
Sa peinture allie la maîtrise technique classique et un style contemporain, où se mêlent influences américaines et européennes. Son sujet de prédilection, qu'elle traite avec une grande sensibilité, est la femme, sa beauté idéalisée, distante. Les lumières sont douces, le trait délicat, les couleurs tendres et harmonieuses. Les visages apparaissent simplement esquissés, les fonds tendent vers l'abstraction et la sensualité féminine sourd des toiles.
Dès ses premières expositions elle a rencontré le succès, aux Etats-Unis (Detroit, Miami, Los Angeles, New-York), en Belgique (Gand, Beloeil), en Italie (Venise) et en France (Paris, Neuilly).
http://www.nushka.fr
White birds, 2016, 100 x 150 cm, huile sur toile
Waltzing, 2017, 100x145, huile sur toile
Time:
18:00-21:00
Description:
7 Septembre - 14 Octobre 2017
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 7 au 30 Septembre 2017
Vernissage Jeudi 7 septembre à 18h
The main story
In mathematics Null and void makes reference to quatitively zero, being empty. Within the shell, empty of their prior life lies the spiral of the golden ratio, with it's perfect dementions is used to define beauty and balance. This spiral, that starts from the void and continues into infinity appears in many renaissance artist's work to illistrate a perfect figure or landscape.
The unusualy large portortioned shells found in this installation by the artist Rachel Marks were inhabited by snails found behind her family home in Florida. The shell, now empty once carried the story of a creature is brought again life through the contact with viewers. It is their movement that brings music, harmony and life continuing the story of their infinite golden ratio within. A book, sceleton like the shells lies at the end of their path, the words evacuated, waiting to be rewritten by anyone who passes through, the empty boxes where the words once lived referencing the divided proportions that make up the golden ratio spiral within the shells.
Time:
18:00-21:00
Description:
sculptures et dessins
Autre salle : Jean Hélion, Bernard Réquichot, Fred Deux
Nous montrons à la galerie, du 7 septembre au 7 octobre, un ensemble de 35 sculptures et 10 dessins de Robert Groborne réalisés en 1986 et 2015. Il s'agit de l'ensemble des sculptures de Groborne qui restent disponibles, auxquelles s'ajoutent trois sculptures créées en 2017.
Si ces sculptures sont devenues rares, c'est qu'elles ne sont tirées qu'à un seul exemplaire, en raison du temps que l'artiste consacre à leur patine.
L'affleurement subtil et nuancé de couleurs à la surface du bronze contribue, comme une peau qui respire, à leur poésie et à leur mystère. Vivantes, elles interpellent le regard, non pas en dépit mais peut-être bien en raison de leur taille modeste. Elles ne s'imposent pas à nous mais exigent que nous allions vers elles, en prenant notre temps et avec beaucoup d'attention. C'est alors que surgissent leur monumentalité et leur puissance existentielle.
La rigueur des lignes, manifeste aussi dans la série des importants dessins de 1986 et 1991 qui accompagnent l'exposition, ne reste pas cloisonnée dans un monde idéal. Elle est transcendée par ce qui pourrait l'annuler : le passage du temps et l'érosion des formes. Peut-être, pour exprimer la fragilité de l'éternité.
Robert Groborne, Bronze n°04614, 2015, D 23 x 38 x 3.2 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Salle Collective de La Ruche
Simone Dat
Peintre et poète
Du 7 septembre au 17 septembre 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre 2017 de 17h à 21h
Time:
18:00-21:00
Description:
08/09 > 28/10 2017
Tony Oursler appartient à la génération qui a renouvelé l'utilisation de la vidéo en s'affranchissant des limites propres aux écrans de télévision. Ses œuvres ne se limitent pas à l'image vidéo proprement dite, elles constituent des dispositifs complexes investissant la sculpture, le dessin, l'installation et la performance.
Oursler est une figure incontournable de l'histoire récente de l'art vidéo et s'intéresse, depuis les années 70, à des projets combinant arts visuels et musique. Il a notamment composé de nombreuses bandes-son pour ses vidéos et installations qui ont été éditées sur différents supports. Il a également fondé avec l'artiste Mike Kelley le groupe de Rock-Punk expérimental The Poetics et a collaboré avec de nombreux musiciens tels que Tony Conrad, Kim Gordon, Glenn Branca, David Bowie, Thurston Moore, Jim Shaw, Arto Lindsay et Beck.
Durant ses études au California Institute of the Arts, Oursler a travaillé avec John Cage et découvert le synthétiseur Abe-Paik. Ces expériences ont façonné son travail multimedia généralement basé sur des protocoles aléatoires qui rythment ses installations. Avec la série Sound Digressions, Oursler continue son expérimentation. Il travaille à partir des performances de sept musiciens reconnus dont il combine les enregistrements dans un mode de lecture en perpétuel renouvellement. Les installations qui en résultent font l'effet d'une composition vivante et toujours changeante pour le spectateur. Les performances musicales des sept protagonistes, enregistrées en 2005, ont été pensées comme la matière première d'une série en 7 temps, basée de façon très libre sur la relation entre le son et le spectre chromatique. Sound Digressions: Spectrum sera présentée pour la toute première fois à la Galerie Mitterrand à Paris. Cette 2e version suit Sound Digressions in Seven Colors qui avait été montrée à la NYEHAUS à New York en 2005, puis largement exposée en Europe et en Amérique et qui fait dorénavant partie de la collection du Musée d'Art Contemporain de Chicago. Sept peintures vidéos (une par performers) qui avaient été produites et présentées à New York seront exposées à la Galerie Mitterrand cet automne.
Tony Oursler est né à New York en 1957. Il vit et travaille à New York. Tony Oursler a bénéficié de nombreuses expositions et rétrospectives dans les musées du monde entier et récemment au MOMA à New York (2016-2017) ou encore au Stedelijk Museum, Amsterdam (2014) et à la Tate Modern à Londres (2013). Ses œuvres sont présentes dans les plus prestigieuses collections telles que la Eli Broad Family Foundation, Los Angeles; le CAPC de Bordeaux, France; la Fondation Cartier à Paris; le Hirshhorn Museum and Sculpture Garden à Washington; le Musée national d'art moderne - Centre Georges Pompidou à Paris; le MoMA à New York; le National Museum of Osaka au Japon; la Tate Gallery à London...
Time:
18:00-21:00
Description:
au 44, rue de Montmorency
9 septembre - 28 octobre 2017
Vernissage le samedi 9 septembre de 18h à 21h
Preview le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
sur une invitation de Bertrand Grimont et Gwenaël Billaud
« Il n'y a dans l'âme aucune volonté absolue ou libre ; mais l'âme est déterminée à vouloir ceci ou cela par une cause qui est aussi déterminée par une autre, et cette autre l'est à son tour par une autre, et ainsi à l'infini. »
Ethique, Spinoza, De la nature et de l'origine de l'âme
La grande thèse théorique de Spinoza est qu'il n'y a qu'une seule substance, infinie et unique, Dieu, qui se confond donc avec le monde, l'univers lui-même. (Dieu, c'est-à-dire la Nature).
Procédant par analogies, Vincent Corpet crée de grandes fresques mythologiques invitant à poser un regard neuf sur l'image peinte, un regard n'impliquant pas un sens de lecture préétabli. La peinture de Vincent Corpet fait référence par son procédé analogique à ce qui constitue un artiste et rend possible l'infini. L'artiste demeure immuable dans l'éternité.
Dans les Fuck Maîtres, Corpet convoque les maîtres de l'art, ancien ou contemporain et entretient le rapport physique avec le geste du passé, le transforme, l'efface. L'artiste effectue des retours sur sa mémoire.
« Grâce à l'art, au lieu de voir un seul monde, le nôtre, nous le voyons se multiplier, et autant qu'il y a d'artistes originaux, autant nous avons de mondes à notre disposition, plus différents les uns des autres que ceux qui roulent dans l'infini et, bien des siècles après qu'est éteint le foyer dont il émanait, qu'il s'appelât Rembrandt, ou Vermeer, nous envoient encore leur rayon spécial. »
Le Temps Retrouvé, Marcel Proust, p 202, Gallimard
Le process même de l'analogie est un moyen de se souvenir et de retracer le passé comme un cheminement vers l'infini. L'œil de Corpet enregistre et mêle des fragments de corps, des animaux, des végétaux ou bien même des objets du quotidien, des architectures voire des paysages à de nouvelles compositions. Comme de l'utilité de ce qui précède, les œuvres de Corpet semblent rejoindre le souffle de Spinoza. L'universel de la peinture et la substance infinie de l'art.
L'être recréé par les analogies devient une nature naturée touchant immédiatement à Dieu. La Nature naturée se transforme par des combinaisons nouvelles.
« Que nous avons déjà trouvé précédemment qu'il doit exister un être infini et parfait, par quoi on ne peut entendre autre chose qu'un être duquel tout doit être affirmé du tout. Car, à un être qui a une certaine essence, des attributs doivent appartenir et, plus on lui reconnaît d'essence, plus on doit lui reconnaître d'attributs, et par suite, si cet être est infini, ces attributs aussi doivent être infinis et c'est précisément là ce que nous appelons un être parfait (Infini) »
Traité de la réforme de l'entendement, Spinoza, chapitre I
Le Corps est son âme. Le Sexe aussi, tout se mélange dans l'éternel. Tout chez Corpet évoque l'infini. Il n'existe qu'une substance illimitée. L'exposition se dessine comme une rétrospective d'éternité.
Gwenaël Billaud
Vincent Corpet, série Dessais, 3755 P 18, 19, 20 X 14 h/t 130x97, 2014, 130 x 97 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
07.09 - 24.09 2017
Vernissage Jeudi 7 septembre 18h-21h
en partenariat avec le Festival JerkOff au Carreau du Temple, Paris
De ses origines de «presque bûcheron» et de ses balades dans les paysages de son enfance, Vincent Voillat garde un goût de la découverte, mais aussi un rapport trés tactile à la matière. Grand collecteur de pierres et minéraux, il crée des associations trés simples, sorte d'abérrations géologiques mais toutes empreintes de spiritualité.
Pour sa première exposition personnelle en galerie, Vincent Voillat propose une traversée dans son univers, où des travaux anciens côtoient ses créations les plus récentes. Rythmée par un texte qui sera lu pendant toute sa durée, l'exposition est construite comme un parcours où chaque élément (vidéo, sculpture, dessin, photographie, bande son...) vient étoffer une narration complexe et sensible.
LAYERS (L'empreinte), 2014
impression pigmentaire, 100x80 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
VERNISSAGE le jeudi 7 septembre à partir de 18h
Exposition du 8 septembre au 7 octobre 2017
La Galerie Charlot présente l'exposition collective "Dadaclub.online Paris".
Commissaire d'exposition : Fabio Paris avec Link Art Center, Brescia, It
Dadaclub.online est un projet collaboratif conçu pour célébrer les 100 ans du dadaïsme. Pendant un an, Dadaclub.online publia des copies numériques haute définition d'une sélection d'oeuvres Dada, et invita des artistes du monde entier à les télécharger et les utiliser dans leurs travaux : dadaclub.online
Une sélection d'oeuvres originales Dada de la collection Campiani et leurs remixages par des artistes contemporains seront présentés à la Galerie Charlot.
Oeuvres Dada de : Marcel Duchamp, Man Ray, Paul Citroën, Lazlo Moholy-Nagy
Avec les oeuvres de : Andreas Agam, Domenico Barra, Aram Bartholl, Vasiliki Biska, Camilla Bassani, Marco Cadioli, Vuk Cosic, Ludovic Coutinho, Giovanni Fredi, Emilie Gervais, Fausto Gilberti, Thomas Israel, JODI, Inhye Lee, Jan Robert Leegte, Raquel Meyers, Esther Miquel, Rick Niebe, Zaven Paré, Leonardo Petrucci, Giulia Ravi Ravasi, Intimidad Romero, Evan Roth, Heinz Kralle Schielmann, UBERMORGEN, Eric Vernhes, Paolo Visentini
Dadaclub.online
Dadaclub.online est un projet collaboratif conçu pour célébrer les 100 ans du dadaïsme à la lumière des deux concepts fondamentaux de l'art du 21ème siècle que le mouvement Dada avait anticipé : le partage et le recyclage de matériaux pré-existants. Pendant un an, du 5 février 2016 (date anniversaire du début du mouvement dada à Zurich) au 5 février 2017, Dadaclub.online publia des copies numériques haute définitions (scans 2D et modèles 3D) d'une sélection d'oeuvres Dada et de couvertures de magazines, et invita artistes, designers et étudiants du monde entier à les télécharger et les utiliser dans leurs travaux afin d'en partager les résultats dans une galerie dédiée. La numérisation et la publication d'oeuvres Dada originales a été rendue possible par la Collection Campiani, l'une des collections d'oeuvres Dada les plus complètes d'Italie.
Au cours de l'année, le projet a collecté plus de 120 remixes d'oeuvres Dada : images fixes, courtes animations, vidéos, pages web, modèles 3D et documentation d'objets. En plus des nombreux travaux envoyés par les artistes eux-mêmes, une sélection d'oeuvres commissionnées a été publiée en tant que « Monthly Feature ». Tous les travaux ont été mis en ligne suivant les même conditions de circulation et d'utilisation que les oeuvres originales qui leur servent de base (license Creative Commons 4.0: licence d'attribution non commerciale-partage à l'identique).
Cette exposition présente une sélection des oeuvres publiées sur le site Dadaclub.online, et les oeuvres originales correspondantes montrant ainsi l'énergie vitale qu'elles possèdent, même après un siècle.
Time:
18:00-21:00
Description:
Stems Gallery
68 Rue de la Concorde
1000 Bruxelles
www.stemsgallery.com
Curated by Adrianne Rubenstein
Time:
18:00-21:00
Description:
Gare Saint-Sauveur
Boulevard Jean-Baptiste Lebas
59800 Lille
EXPOSITION, HOTEL EUROPA, FERME URBAINE, COCKTAIL & DJ SET
Entrée libre
DÈS 18H30
VERNISSAGE DE L'EXPOSITION
« Jeux - Rituels & Récréations »
Du 7 septembre au 5 novembre 2017.
Une exposition du 40e anniversaire du Centre Pompidou
Le Centre Pompidou fête ses 40 ans en 2017 partout en France. Pour partager cette célébration avec les plus larges publics, il propose un programme inédit d'expositions, de prêts exceptionnels, de manifestations et d'événements pendant toute l'année.
À la Gare Saint-Sauveur, sur le plateau laissé à nu se déroule une topographie labyrinthique d'images animées. La performance apparaît ici sous son angle de jeu : jeux de l'enfance et jeux sérieux sont chargés d'un même risque vital, d'une exploration dont on ne connaît pas l'issue et qui pourtant nous constitue.
Commissariat : Bernard BLISTÈNE, Marcella LISTA
ARTISTES : Francis Alÿs, MARWA ARSANIOS, ED ATKINS, YTO BARRADA, NEIL BELOUFA, PETER FISCHLI & DAVID WEISS, MAÏDER FORTUNÉ, LATOYA RUBY FRAZIER, CAMERON JAMIE, MIREILLE KASSAR, MARK LECKEY, CHRISTELLE LHEUREUX, CILDO MEIRELES, NATACHA NISIC, PIPILOTTI RIST, BEAT STREULI, CLAUDIA TRIOZZI, ROSEMARIE TROCKEL, Salla Tykkä, APICHATPONG WEERASETHAKUL ET Raphaël Zarka.
Le vernissage sera suivi d'un DJ set à 4 mains par les DJs de Six heures avant minuit ainsi que de Matthieu Faubourg, DJ house/groove/deep, fondateur de STRCTR records, issu du crew Imported Paris.
(more infos soon)
INFOS : www.garesaintsauveur.com
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 7 septembre au 7 octobre 2017
Mardi au samedi 10h à 19h
Pour cette rentrée 2017, la Galerie Maeght met à l'honneur les métiers de l'imprimerie. Le parcours de l'exposition s'articule autour de rares ouvrages de bibliophilie : les éditions luxe de l'incontournable collection Derrière Le Miroir, la collection Duos et des livres de bibliophilie historiques ou contemporains tels que Braque-Reverdy, La liberté des mers / Calder-Prévert, Fêtes / Chagall-Malraux, Et sur la terre / Miró-Prévert, Adonides / Del Re-Alechine, Poème Maltais / Safirstein-Blake, Ah! Sunflower...
En 1964, Adrien Maeght crée l'imprimerie ARTE à Paris où se retrouvent depuis artistes, poètes et artisans d'art autour d'une même passion : l'imprimerie sous toutes ses formes, de la plus classique à la plus innovante. Aujourd'hui, Maeght éditeur est reconnu dans le monde entier pour la liberté de création, la variété et la haute qualité des procédés d'impression : eau-forte, linogravure, lithographie...
Avec plus de 12 000 titres édités, Maeght est un des plus importants éditeurs d'art et s'attache à la tradition notamment en développant des collaborations entre artistes, designers et poètes contemporains tels qu'Ivan Alechine, Marco Del Re, Patrick Depin, Olivier Gagnère, Vénus Khoury-Ghata, Ra'anan Levy, Pierre Roy-camille ou Julie Safirstein.
L'exposition « Maeght, imprimeur et éditeur d'art » est accompagnée de la diffusion du film Miró Lithographe.
Adonides, Miró-Prévert, 1975, 40.5 x 33.5 cm, 68 pages
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage jeudi 7 septembre à partir de 18 heures
Exposition du 8 au 28 septembre, prolongée du 5 au 14 octobre 2017
Time:
18:00-22:00
Description:
Mind's Eye fête ses cinq ans
Une rétrospective
5 - 30 septembre 2017
du mardi au samedi, de 15h à 19h30
vernissage jeudi 7 septembre de 18h à 22h
rétrospective réunissant les 18 photographes qui ont présenté leurs travaux à la galerie
Mind's Eye / Galerie Adrian Bondy a ouvert ses portes en septembre 2012 avec l'exposition Visages/Paysages de Ray Renolds. En cinq ans nous avons accueilli 18 artistes pour 20 expositions personnelles ainsi que deux expositions collectives.
Nous fêtons les cinq ans de la galerie par une rétrospective rassemblant une bonne trentaine des œuvres les plus marquantes qui ont été présentées à la galerie.
JÉRÔME BARBOSA RÉGIS BODINIER
ADRIAN BONDY ANTON BULYONOV
JOHN CLARIDGE MICHEL DAMBRINE
DIRK DE HERDER JEAN DRÉVILLE
PHILIPPE GABEL SHŌKŌ HASHIMOTO
TAKEHIKO NAKAFUJI TAMIKO NISHIMURA
CLAUDE PAVY COLETTE POURROY
RAY RENOLDS BENOIT SABOURDY
CHIEKO SHIRAISHI MARIANNE TOUCHARD-HEYMAN
Time:
18:00-20:00
Description:
Juan Manuel Gómez Robledo
AMBASSADEUR DU MEXIQUE EN FRANCE
Ana Lara
DIRECTRICE DE L'INSTITUTO CULTURAL DE MÉXICO
vous prient de bien vouloir assister
au vernissage de l'exposition
Mé-tissages
JEUDI 7 SEPTEMBRE, DE 18H À 20H
Exposition du 8 septembre au 14 octobre 2017
Entrée libre, du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h,
le samedi de 15h à 19h. Fermé le dimanche et les jours fériés
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 7 au 30 septembre 2017
Lundi-vendredi 11h30-19h / Samedi 14h-19h
Vernissage le 7 septembre 18h - 21h
1ère exposition conjointement organisée par la Galerie Claire Corcia (Paris) et la Galerie Polysémie (Marseille).
art brut
avec Philippe Azema, Davood Koochaki, Koffjca Cozma
Time:
18:00-21:00
Description:
L'exposition Paris-Cotonou-Paris 2017 de la rentrée s'inscrit dans le cadre du Parcours des Mondes, événement incontournable dans la vie de Saint-Germain-des-Prés. Alors que l'art contemporain africain atteint à l'heure actuelle un degré de reconnaissance inédit, la Galerie Vallois est fière d'y représenter comme chaque année la scène artistique contemporaine du Bénin.
A la galerie du 35 rue de Seine s'instaurera un dialogue fécond entre les masques gélédés réalisés par le béninois Kifouli Dossou, héritier d'une tradition ancestrale qu'il transmet lui même aujourd'hui à ses neveux, et les photographies anciennes chinées aux puces et retravaillées par l'artiste française Coco Fronsac. Comme un jeu de miroir, certains des masques de Kifouli apparaissent sous la plume de Coco comme autant de couvre-chefs d'anonymes occidentaux du siècle passé.
Au 41 rue de Seine, deux artistes béninois se partageront l'espace. Charly d'Almeida présentera ses récentes sculptures en métal, oeuvres puissantes, aux résonances tout autant mystiques que politiques, teintées d'humour et de tendresse. Edwige Aplogan accrochera quant à elle les oeuvres lyriques et colorées qui sont le fruit de sa résidence au Centre Arts et Cultures de Cotonou l'année dernière. Elle créera également la surprise en réalisant un habillage de la galerie...
Le vernissage aura lieu dans les deux galeries le jeudi 7 septembre à partir de 18h, au 35 et au 41 rue de Seine 75006 Paris.
Le Parcours des Mondes (du 12 au 17 septembre) sera inauguré le mardi 12 septembre, de 15h à 21h.
Nocturne jeudi 14 septembre jusqu'à 21h.
Ouverture exceptionnelle dimanche 17 septembre de 11h à 18h.
Time:
18:00-21:00
Description:
Triode Goes West avec Rudolph Schindler, Atelier de Troupe, Pamela Shamshiri et Brendan Ravenhill
Time:
18:00-21:00
Description:
avec Laddie John DILL, Safâa ERRUAS, Laurent SAKSIK
5 - 25 septembre 2017
vernissage jeudi 7 septembre 2017
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage Jeudi 07 septembre (18h à 21h)
Exposition du 08 sept. au 21 oct. 2017
(Interruption du 25 sept. au 06 oct.)
La galerie Les filles du calvaire présente « Métamorphose de l'ordinaire », une exposition collective réunissant les œuvres de Téo Bétin, Isabelle Ferreira, Loïc Pantaly, Zhuo Qi, Alexander Raczka, Matthieu Raffard & Linda Sanchez.
Pour cette rentrée de septembre, sept artistes sculpteurs investissent en volume l'espace de la galerie. Tous métamorphosent les formes de l'ordinaire et interrogent le concept d'habileté, cette capacité virtuose à concevoir et bricoler. A leur manière, ils ont cherché à repenser notre art de vivre, avec ses sciences et ses traditions. Rien ne leur échappe : ils sondent pour transformer.
« Tout le monde sait que l'artiste tient à la fois du savant et du bricoleur : avec des moyens artisanaux, il confectionne un objet matériel qui est en même temps objet de connaissance ». La métaphore du bricolage de Lévi-Strauss situe l'œuvre sculpturale entre la connaissance scientifique et la pensée magique de l'artiste. L'exposition tente ici de rendre compte matériellement des arrangements qu'il est possible de faire avec notre culture, d'en revoir les formes. Cette révision s'opère tant sur le plan de la récupération des idées que sur celui de la revalorisation des matériaux.
Avec Le service de table chaleureux, la maîtrise de la porcelaine et l'humour de Zhuo Qi nous invitent au festin, dans une reprise contemporaine et taquine des grandes tables d'apparat du XIXème siècle. En mettant en scène la tradition française et son art de la table, Zhuo Qi se saisit des codes pour les défaire tout en soignant l'élégance de la présentation. Les biscuits sont troqués contre des peluches noyées dans la porcelaine ; les couverts fondent et s'étalent sur le blanc émaillé des assiettes de Limoges.
Dans un jeu d'équilibre entre matières et formes, l'Athanor de Matthieu Raffard invoque la quête insensée, mais sérieuse, des alchimistes du XVIIème siècle. Quel remède peut-on espérer de cette machine où circulent les fluides ? L'installation, à la manière des fourneaux cosmiques originels, réactive avec ingénierie et poésie les tentatives d'antan : purifier et transformer.
Au côté des fours et alambics de Matthieu Raffard, la métamorphose des éléments s'opère également par le geste de Linda Sanchez. En naturaliste, elle emprunte et arrache la terre à son état originel pour en faire un Tissu de sable. Elle donne du drapé à la terre, et réduit la matière à une fine pellicule. L'alchimiste et la naturaliste font du rez-de-chaussée un nouveau laboratoire expérimental.
A l'étage, la Villa I de Téo Bétin, inspirée de la célèbre villa Tugendhat, étudie quant à elle notre mode d'habitat et son caractère mémoriel. La sculpture architecturée, presque habitable, évoque une cabane mais elle est avant tout une expérimentation plastique de l'espace. L'artiste, interrogeant l'interaction fonctionnaliste du dedans et du dehors, incruste au bois de la structure des photographies de paysages fixées sur verre.
Les Potentielle(s) de Loic Pantaly se déploient sur la longueur du mur et engendrent une succession d'effets mécaniques et parfois sonores. Là encore il est question d'un bricolage empirique où les composants de l'œuvre, souvent soustraits à des sculptures antérieures, s'associent en une machinerie aussi ingénieuse qu'absurde. Des apports de la pataphysique, Loic Pantaly retient le symbolisme et le non-sens, mais donne à l'ordre une importance considérable. Par le moteur et la technique, il tente de contrôler le hasard en le mettant en équation.
Les Armes & Outils d'Alexander Raczka ne rendent pas hommage à la violence guerrière de l'homme mais font l'éloge de son habile inventivité. L'œuvre se compose d'objets hétéroclites trouvés : les pièces d'aiguillage de chemin de fer, les lames, les spirales, les haches et pointes viennent se greffer au bout de cannes à pêche. Elles surgissent du mur, sectionnent l'espace et citent cette même métaphore du bricolage. En effet, c'est dans l'art de la guerre du Moyen Age qu'il faut chercher l'étymologie du mot bricole, désignant alors une catapulte. Les significations du verbe bricoler évolueront progressivement pour évoquer une tromperie, mais aussi l'idée d'une manœuvre détournée, avant de devenir cette activité individuelle du « faire ».
Isabelle Ferreira est passée maître dans l'appréciation et l'évaluation du potentiel des matériaux souvent jugés pauvres. C'est par le geste, au cœur même de sa pratique, qu'elle parvient à révéler cet intérêt caché. Ses Substractions synthétisent à merveille l'action du sculpteur et du peintre. Ces planches de bois, peintes à l'acrylique et sculptées par soustraction, établissent le langage d'une nouvelle matérialité. L'acte est bien radical mais tout en finesse mesurée.
« Quelle sculpture se renversera sur nous comme une jarre d'huile ? Quelle sculpture s'étalera sur ce parquet comme les cheveux que coupe le coiffeur ? Ou sont vos sculptures transparentes comme des carafes ? »
A ces questions posées par Apollinaire en 1913, nos sept artistes répondent avec toute l'audace créative et l'inventivité que le poète pouvait espérer. Justement parce qu'eux-mêmes le sont, poètes.
La galerie Les filles du calvaire remercie les artistes, Pascaline Mulliez, la galerie Maubert, la Progress Gallery, et la galerie Nadine Feront.
« Tout le monde sait que l'artiste tient à la fois du savant et du bricoleur : avec des moyens artisanaux, il confectionne un objet matériel qui est en même temps objet de connaissance » [1]. La métaphore du bricolage de Lévi-Strauss situe l'œuvre sculpturale entre la connaissance scientifique et la pensée magique de l'artiste. L'exposition tente ici de rendre compte matériellement des arrangements qu'il est possible de faire avec notre culture, d'en revoir les formes. Cette révision s'opère tant sur le plan de la récupération des idées que sur celui de la revalorisation des matériaux.
La Galerie Monod expose de l'art 3D, photographies et de la sculpture surréaliste fantastique.
Peinture
Patrice Peyronnet
Patricia Mangin Francis
Tiana Guénant
Keinaz
Chery Hermann
Enrique Etievan
Sculpture
Jean-Michel Pilard
Time:
18:00-21:00
Description:
Pour bien démarrer la rentrée, venez découvrir nos photographies ZEN exposées à la galerie ARGENTIC du 7 septembre au 7 octobre 2017.
Une cinquantaine de tirages seront présentés, dont des oeuvres de Claude Batho, Sébastien Beghin, Edouard Boubat, Brassaï, Jean-Yves Bregand, Philippe Bréson, Denis Brihat, Paul Caponigro, Jean-Philippe Charbonnier, Lucien Clergue, Stéphane Cormier, Michel Giniès, Jacques Dubois, Laurent Gudin, Jean-Baptiste Huynh, Kasra, Aramy Machry, Laurent Marois, Max Pam, Minor White, Ian Patrick, Bernard Plossu, René-Jacques, Marc Riboud, Jean-François Robert, Willy Ronis, Philippe Salaün, Roger Schall, Hans Silvester, Emmanuel Sougez, Patricia Van, Huntington Witherill...
"Montée de la marée, Sangatte, 2017"
Photographie de Kasra
Time:
18:00-22:00
Description:
du 7 au 10 septembre 2017
VERNISSAGE JEUDI 7 SEPTEMBRE : DE 18H00 À MINUIT
Vendredi 8 septembre : de 11h à 20h - nocturne jusqu'à 22h
Samedi 9 et dimanche 10 septembre : 11h à 20h
Un évènement unique où de jeunes marchands d'art ancien se mêlent aux jeunes galeristes d'art moderne et contemporain, dans un lieu atypique qui se situe dans le triangle d'or, au moment où Paris devient capitale de l'art !
Fantin-Latour Henri-Théodore
(1836-1904)
Baigneuses, 1895
Huile sur toile. Signée en bas à droite
73x92 cm.
Collection privée
Provenance : collection Paul Gallimard
présenté par Damien Forest
Time:
18:00-21:00
Description:
L'univers coloré de Scholten & Baijings à la Galerie de Sèvres, à Paris
Du 9 septembre au 10 novembre 2017
Vernissage presse : jeudi 7 septembre à 18h
Vernissage : vendredi 8 septembre à 19h
Sèvres expose les créations inédites et colorées du duo de designers néerlandais
Scholten & Baijings
Sèvres poursuit sa thématique autour de la couleur, fil d'Ariane de l'année 2017. Carole Baijings et Stefan Scholten ont été invités à collaborer avec les artisans de la Manufacture de Sèvres. Leurs travaux de recherche ont conduit à la création d'une série de compositions colorées sur des tondi et de nouvelles formes de vases en porcelaine.
En référence aux peintures anciennes sur disques ronds, ces tondi s'inspirent des couleurs éclatantes de l'époque. Ils évoquent de manière abstraite des paysages. Accrochés au mur, ils sont comme des panoramas tout droit sortis de l'imagination des deux créateurs. Découlant des études chromatiques réalisées par les artisans de Sèvres, ils forment d'innombrables variations possibles de palettes, aussi éblouissantes tant dans la matité ou dans la brillance. Revisiter des formes anciennes de vases permet de renouveler le genre. Cette démarche se complète de recherches autour des couleurs en collaboration avec les artisans - experts en émaux - pendant le séjour des designers à la Manufacture de Sèvres.
Le résultat de cette collaboration est une parfaite symbiose entre forme et couleur qui sont à la fois mystérieuses, éthérées et profondes. Un univers chromatique propre à Scholten & Baijings parfaitement reconnaissable - pastels dilués à l'intensité quasi fluorescente, superposition et juxtaposition de couleurs - mêlé à l'excellence de Sèvres.
À l'occasion de la Paris Design Week, la Galerie de Sèvres à Paris expose les deux séries de vases et une série de disques de porcelaine dans une scénographie épurée pensée par les designers eux-mêmes.
Leurs créations sont également présentées au Musée national de céramique à Sèvres à partir du 12 octobre 2017, dans le cadre de l'exposition-événement L'Expérience de la couleur.
Pour les designers néerlandais Stefan Scholten et Carole Baijings, la tension créatrice entre la couleur et le motif, la surface et la forme, le design et la production définit tous les projets que leur studio entreprend. Ils puisent leur inspiration dans l'histoire de l'art et du design, tout en inventant de nouveaux modes de vie, de travail et de création.
Partenaires au travail et dans la vie, ils fondent le studio Scholten & Baijings en 2000. Depuis lors, une division des tâches s'est naturellement opérée, Stefan se concentrant sur l'idéologie et Carole sur les détails et sur la production.
Leur foyer et leur famille constituent le terrain d'essai de chaque objet qu'ils produisent.
Le studio basé à Amsterdam a produit des objets hautement convoités, tissu, tapis, verre et céramique. Leurs créations, art de la table et textile, se marient heureusement avec leur mobilier et de leur collections de luminaires. Ils ont imaginé le design de décors d'intérieur, d'expositions muséales, d'installations et même d'un concept-car pour MINI.
Leurs clients comprennent notamment l'Art Institute of Chicago, le Victoria & Albert Museum, le Cooper Hewitt Smithsonian Design Museum, le Rijksmuseum, le Museum Boijmans Van Beuningen, 1616 / arita japan, Georg Jensen, Herman Miller, MINI, Maharam, Thomas Eyck, Karimoku New Standard et HAY. Le travail du studio a été reconnu par trois Design Awards de ELLE Décoration et quatre Dutch Design Awards. La première monographie du studio, « Reproducing Scholten & Baijings » a été publiée par Phaidon en 2015.
www.scholtenbaijings.com
Time:
18:15-21:00
Description:
Parking Verger
Rue de la Gare 95000 Cergy
(à 1mn de la gare Cergy Préfecture - RER A)
La Communauté d'Agglomération de Cergy-Pontoise et la Manufacture 111 invitent 24 street-artists à investir un parking sur le thème 'La Ville de Demain'
7 SEPTEMBRE - 30 NOVEMBRE 2017
VERNISSAGE JEUDI 7 SEPTEMBRE - 18H15
UNE GALERIE D'ART A CIEL OUVERT
Avec le projet Street-Art Park, la Manufacture 111, en partenariat avec la Communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, investit le Parking Verger situé dans le Grand Centre de Cergy-Pontoise pour créer un parcours dédié au graffiti et au street-art.
24 artistes aux esthétiques, sensibilités et techniques différentes ont été invités à investir 260m linéaires de palissades.
Street-Art Park a été conçu comme un parcours initiatique à travers différents courants du graffiti : un panorama de l'évolution picturale, graphique et technique de ce courant artistique.
Si ce n'est pas une surprise de retrouver du graffiti sur un parking, le parti pris a été de construire un parcours en forme de déambulation muséale, où chaque artiste intervient sur une surface de 5m ou 10m de long sur 2m de haut.
24 ARTISTES FRANÇAIS ET BELGES :
2FLUI - ARNAUD KATSET - ARNAUD KOOL - BEBAR - CLAIRE COURDAVAULT
DIZE - DJAMEL OULKADI - EvazéSir - GILBERT MAZOUT - GREMS
JOACHIM ROMAIN - KATRE - MYRE - NIARK1 - OGRE - OPERA
PAPA MESK - PARIS SKETCH CULTURE - SERTY31 - SKIO - SOLO CINK
STEW - TAROE - Théo Lopez
Time:
18:30-21:00
Description:
Time:
18:30-21:00
Description:
ESPGG - ESPCI Paris - 10 rue Vauquelin
75005 Paris
À l'invitation de l'équipe de l'Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes.
> Inauguration de Science Frugale, l'exposition en ligne
La clôture de l'exposition marque le lancement de l'exposition virtuelle Science Frugale sur le site PSL Explore.
> Regards croisés sur le devenir des expositions
Le recyclage et le réemploi sont-ils applicables aux expositions ? Que pourrions-nous faire des objets de l'exposition Science Frugale ? Que va-t-elle devenir ?
> Cocktail
Science Frugale a obtenu le prix ECSITE Mariano Gago « Smart and Simple » qui récompense l'innovation que nous avons mis au coeur de l'exposition. Notamment par l'idée d'une exposition-exploration, qui se veut instrument d'investigation plutôt que de la monstration d'une thématique. Mais également par l'idée d'une phase d'incubation ouverte, pendant laquelle les visiteurs participent à des tables rondes, rencontres et ateliers de fabrication des objets de l'exposition. Nous avons également exploré le concept d'exposition évolutive, par lequel l'exposition change en permanence et enrichi son contenu au fil des rencontres et des échanges qu'elle génère. Nous avons également expérimenté une nouvelle figure professionnelle, celle de la narratrice/biographe qui raconte avec des textes, des dessins, des films... la vie de l'exposition.
> Chacune de ces innovations amorce des réponses aux défis de la muséographie scientifique contemporaine, et en conséquence, ouvre de nouvelles questions. Pendant le séminaire, l'équipe de TRACES - ESPGG développera brièvement ces innovations, pour ensuite lancer une phase de discussion collective.
Dans l'esprit de l'exposition, le résultat de cette discussion ira nourrir le blog, l'archive, et la version en ligne de "Science Frugale".
Visitez l'exposition jusqu'au 29 juillet, puis du 5 au 9 septembre
Du mardi au samedi, de 14h à 17h
Entrée libre et gratuite
Time:
18:30-22:30
Description:
Pour fêter joyeusement la rentrée et la nouvelle saison 2017-2018, et afin de prolonger le brillant vernissage de samedi auquel vous n'auriez pas pu assister, la galerie JPHT organise un événement spectacle interprété par deux artistes étonnants
le jeudi 7 septembre
de 18h30 à 22h30
Spectacle à 20h30
Performance Danse Butô
Juju ALISHINA 有科珠々
Poésie lecture Francis COFFINET
«Je suis allé au soufre natif»
dans le cadre de l'exposition L'Osmose-Kiraméki Transfiguré ! "Un imaginaire contemporain"
Bruno Baratier - Yo Coquelin
Francis Coffinet - Michel Dubré
Hugues Gillet - Marc Halingre
Yoshifumi Hayashi 林良文
Miyako Ito 伊藤 美也子 - Jean-Pierre Monnot
Thierry Van Quinckenborne - Santiago Ribeiro
Rik-Art - Roku Sasaki 佐々木 六介
Hiroya Yasukoshi 安河内裕也
L'Osmose-Kiraméki Transfiguré, une exposition collective des artistes de l'association :
Artis Fictae Turma*
avec l'aimable parrainage d'Amélie Nothomb
Peintures, sculptures, dessins, gravures, photos
EXPOSITION
du Samedi 2 au Samedi 23 Septembre 2017
VERNISSAGE le Samedi 2 Septembre 2017 de 18h30 à 22h30
FINISSAGE le Samedi 23 Septembre 2017 de 18h30 à 22h30
en présence des artistes
Ses artistes singuliers, internationaux, transgénérationnels et pluridisciplinaires (plasticiens, peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, poète et photographes) à travers leurs imaginaires nous proposent un questionnement sur leur vision du réel pour nous conduire et nous projeter vers une mise en abyme de nos perceptions.
De la relation de notre matérialité à celle du monde de nos affects, de la nature de notre humanité à «l'infinitude du désir face à la finitude de nos existences».
La construction, la conception d'une introspection et une confrontation des tensions intimes dans les espaces de notre contemporanéité témoignent de ces mutations.
Osmose Kirameki-Genso Turma* donnent un sens ainsi que sa place à l'expression sensible et naturelle de la figuration.
Artis Fictae Turma* fondée en 2012 sous l'impulsion de Bruno Baratier, Kunihiko Kanoh et Hugues Gillet.
Rare et précieuse, la TURMA nous a offert, un regard intense, aiguisé et profond à travers les œuvres de Bruno Baratier, Zdzislaw Beksinski 1929-2005, Roland Cat, Jean-Pierre Ceytaire, Francis Coffinet, Michel Dubré, HR Giger 1940-2014, Hugues Gillet, Marc Halingre, Michel Henricot, Yoshifumi Hayashi, Satomi Kuwahara, Jean-Michel Mathieux.
*Artis Fictae Turma veut dire en latin : groupe de l'art imaginaire.
Fictae recouvre pour les Latins, la notion d'imaginaire et de fantastique.
Artis (nom féminin au génétif c.a.d. complément de nom)
Turma groupe humain avec peut être une notion de guerrière.
Kai : Groupe en japonais
Genso : recouvre la notion d'imaginaire dans la culture japonaise.
Kiraméki : un scintillement, flash...
Time:
18:30-21:00
Description:
Time:
18:30-21:00
Description:
Cassina invite le grand public à célébrer les 90 ans de l'entreprise, à découvrir la nouvelle collection 2017 et le livre « This Will Be The Place » en présence de sa directrice artistique Patricia Urquiola.
Time:
18:30-22:00
Description:
La galerie SometimeStudio est heureuse de débuter cette nouvelle saison avec l'exposition personnelle d'Ulysse Bordarias, du 8 septembre au 28 septembre 2017.
Vernissage le Jeudi 7 septembre de 18h30 a 22h
Entrée libre
Né en 1988, Ulysse Bordarias entre en 2009 aux Beaux-arts de Paris et pratique majoritairement la peinture, mais aussi la photographie et la sculpture, et aborde le dessin dans l'espace sous plusieurs angles. Il s'intéresse aux rapports entre image et poésie, au travail de composition, à l'imaginaire biographique et au propos documentaire. Il obtient son diplôme DNSAP en 2014 et poursuit depuis son activité artistique en abordant par des techniques diverses la dimension spatiale de l'image plastique.
"L'exposition Analogies veut profiter d'une confusion. Les peintures qu'elle présente mêle objets, gestes du corps et les signes sur un mode qui tend à les confondre, à les entremêler. Proche du rêve et de la remémoration, le processus à l'œuvre assemble et défait des éléments récurrents pour faire surgir des histoires, dans un espace mobile". Ulysse Bordarias.
http://www.ulyssebordarias.fr
Time:
18:30-21:00
Description:
Sa sensibilité asiatique mélangée à une vision occidentale donnent aux créations sculpturales ou picturales de Jean-Pierre Vong des vibrations visibles et invisibles faites de tensions spirituelles aux couleurs éclatantes. L'artiste sera présent durant toute la durée de l'exposition.
Jeudi 21 septembre à 15h : Visite guidée de l'exposition
Du 6 au 23 septembre
Mairie du 6e > Salon du Vieux Colombier > Entrée libre
Du lundi au vendredi 10h30 > 17h, jeudi jusqu'à 19h, samedi 10h > 12h
Ouverture exceptionnelle samedi 16 septembre 10h > 17h
Time:
18:30-21:00
Description:
La galerie Arludik est particulièrement fière de réunir deux artistes majeurs de l'Art Ludique pour son exposition évènement de la rentrée 2017: Karla Ortiz et Iain McCaig.
L'exposition « Amour & Légende » dont ils ont défini le thème et pour laquelle ils ont réalisé une série d'œuvres magnifiques, vient parapher leur complicité, née lorsque le « maître » Iain Mc Caig découvrit le talent hors norme de Karla Ortiz, alors encore étudiante.
Karla est depuis devenue une artiste de notoriété internationale, primée notamment aux British Fantasy Awards en 2015, et membre de l'Illustration Academy. Son style réaliste, dense et percutant, allié à sa passion des créatures mythiques lui a rapidement valu d'être sollicitée par les plus grands studios américains pour collaborer à la création des personnages et des univers de leurs productions majeures.
Karla Ortiz contribue ainsi artistiquement au design de blockbusters tels que « Jurassic World », « World of Warcraft », « Rogue One: A Starwars Story », ou encore « Docteur Strange » pour le studio Marvel. Elle signe également pour Marvel le design de Thor 3 - Ragnarok, qui sortira en France le 3 novembre 2017.
Iain McCaig, qui expose pour la seconde fois à la galerie Arludik, est l'un des artistes concepteurs les plus marquants de sa génération: on lui doit notamment les designs et costumes de personnages de la prélogie « Star Wars » tels que la princesse Amidala et Darth Maul. Il est également connu pour la couverture de l'album de «Broadsword and the Beast» du groupe Jethro Tull.
Il reçoit en 2014 le prestigieux Grand Master Award Spectrum Fantastic Art pour l'intégralité de son travail. Il a récemment signé la direction artistique de « Star Wars: Le Réveil de la Force», ainsi que le design du film « Le Livre de la Jungle » réalisé par Jon Favreau.
Les deux artistes cosignent cette exposition d'exception, pour laquelle ils ont tout spécialement réalisés près d'une trentaine de fantastiques dessins au crayon, aquarelles et acryliques, qui émerveilleront aussi bien les fans des grandes productions des studios américains que les amateurs d'art, passionnés de dessin et de peinture.
Time:
18:30-21:00
Description:
Marc Figueras est originaire de Barcelone où il a fait ses études (Llotja School, section peinture murale), son apprentissage (chez J. Bonet, grand maître verrier), où il a travaillé (restauration des vitraux de la Sagrada Familia) et où il habite et pratique son art aujourd'hui.
Marc Figueras est un artiste humble et discret, touchant et tendre, respectueux des autres et doté d'un talent remarquable pour donner vie à des silhouettes captées dans Barcelone. Membre de la célèbre école de l'hyper-réalisme catalane, il en est un des plus prestigieux représentant par la singularité des œuvres qu'il réalise, toutes reconnaissables par ces jeunes femmes anonymes devant des immeubles au style art nouveau catalan immortalisé par Antoni Gaudí.
C'est avec l'objectif de son appareil photo qu'il commence son travail, en partant au moment de la journée où la lumière est la plus belle, dans la ville qu'il connaît comme sa poche, chasser l'attitude gracieuse et la silhouette élégante de jeunes femmes anonymes. Les photos, une fois mises en image, deviennent le modèle ; mais, en aucun cas, l'image n'est rétro-projetée pour être dupliquée et coloriée ensuite : il réalise un véritable travail de dessinateur dans lequel il excelle et qui fait son talent, celui d'un artiste expérimenté avec la jeunesse d'esprit de ses trente ans ; après quoi, les couches de couleur à l'huile sont posées, à commencer par une première couche blanche pour marquer le tressage de la toile, puis celles de couleurs. Comme les maîtres anciens, ou plus récemment son génie, Balthus.
C'est alors qu'il arrive à redonner, de façon hallucinante, la vie aux matières au point que l'on les croirait posées sur la toile, ici, le cuir d'un sac ou le plastique avec son monogram, là, la texture du pantalon ou la fillasse d'une chevelure, tout cela plus vrai que nature. Exceptionnel.
Le résultat n'est pas froid, au contraire, il est ampli de chaleur, de celle qui illumine Barcelone et ses immeubles art nouveau catalan. 20 toiles sont actuellement exposées chez Prince & Princess Art Gallery jusqu'au 7 octobre 2017.
Time:
18:30-21:00
Description:
Vernissage le jeudi 7 septembre à partir de 18h30
Exposition du 7 septembre au 23 septembre
Dans le silence de l'atelier, une mouche ordinaire, aux grands yeux orange, semble être tombée dans une épaisse couche de ces pigments bleus dont Natalia Jaime-Cortez use pour ses dessins. Dans la vidéo que cette dernière a tournée, ladite mouche, sans hâte, frotte ses pattes et fait frissonner ses ailes devenues opaques pour se débarrasser de cette pulvérulence inattendue. Le procédé de la mouche rappelle celui de l'artiste dessinant ou peignant, agissant par jeux d'aller-retour entre ce qui doit être recouvert et ce qui doit être ôté. Georges Braque, dans les années 1950, le dit joliment à propos de son travail pictural : « Quand je commence, il me semble que mon tableau est de l'autre côté, seulement couvert de cette poussière blanche, la toile. Il me su t d'épousseter. (...) Lorsque tout est nettoyé, le tableau est ni. » La mouche bleue de Natalia Jaime Cortez, qui paraît sortie d'une rêverie d'Alice au pays des merveilles, pourrait donc éclairer avec nesse la production de l'artiste.
Ses dessins, légers sans pour autant être fragiles, relèvent de gestes premiers : plier puis déplier, pigmenter, tremper... Autant d'actions révélées par les papiers, tout autant supports qu'acteurs du dessin. Pour la plupart, ces papiers ont déjà vécu auparavant, ont connu des sédimentations avant d'être repris par Natalia Jaime-Cortez, qui en a modifié la matière : elle a transformé ces papiers japonais qu'elle a sectionnés, unis et souples, en des surfaces crayeuses et strati ées. Leur délicate translucidité dévoile parfois l'ancien trait d'encre qui venait s'y épanouir.
On ne s'étonnera pas d'apprendre que l'artiste réalise également des performances, au cours desquelles, comme la mouche de tout à l'heure, elle n'hésite pas à entrer dans la couleur, à se laisser recouvrir de pigments purs bien volatiles. Son travail de dessin ne se situe pas à côté de cet intérêt pour le geste, pour la danse, mais bien tout contre : ses pliages qui retiennent dans leurs lignes de crête de minces liserés aux teintes variées ne manquent de faire penser aux chorégraphies lentes de Marie Cool, venant manipuler des feuilles de papier immaculées.
J'espère que Natalia Jaime-Cortez me pardonnera de conclure ce texte sur une autre métaphore animale, mais ses dessins à l'encre, dans lesquels les gestes précis viennent former des sillons colorés qui bien souvent dépassent le champ du papier, me renvoient inévitablement au texte de Francis Ponge, « Escargots » (1936). L'écrivain évoque, loin des clichés habituellement liés au gastéropode, le « sillage argenté » de ces « êtres dont l'existence même est oeuvre d'art » grâce à leurs sécrétions perçues comme miraculeuses. « Quel bonheur, quelle joie donc d'être un escargot » se réjouit même l'auteur. Et en effet, que rêver de plus gracieux que cet éloge du peu, de la lenteur et de la discrétion qui conduit à une contemplation des usures, froissures et autres craquèlements de surface.
Camille Paulhan, 2017
Time:
18:30-22:00
Description:
par Ellia Art Gallery
Vernissage le 7 septembre de 18h30 à 22h en compagnie des deux artistes
Ellia Art Gallery vous présente son coup de coeur de la rentrée:
le binôme d'exception Philippe Frisée & Paul Kuseni.
Le photographe et l'artiste plasticien investissent ce magnifique espace près de la Place des Vosges (anciennement Galerie Nikki Diana Marquardt) pour une exposition qui célèbre leur talent et leur amitié confirmés, et qui saura mettre en avant leurs regards à la croisée de deux univers, à la fois différents et complémentaires.
Time:
18:30-21:00
Description:
Vous rencontrerez Sophie Le Roux, photographe de musiciens et auteure photographe.
Elle vous présentera sa série "Le Jazz au bout des doigts" réalisée sur scène auprès des plus grands jazzmen d'aujourd'hui !
Rencontrée à Arles en 2016, Sophie Le Roux a exposé ses photographies au Théâtre de Chaillot, au New Morning, à La Villette, à la Maison de la Photographie et de l'image, à l'Ambassade de France en Andorre, mais aussi à Madagascar ou au Qatar....
Cette exposition est réalisée avec le soutien du festival "Jazz à la Villette" qui vous offrira 4 places de concert à gagner le soir du vernissage.
Time:
18:30-21:00
Description:
Galerie Grand E'terna a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition de "Yoshitaka NANJYO ; Overlay"
le jeudi 7 septembre de 18h30 à 21h
Exposition du 1er septembre au 30 septembre 2017
a le plaisir de vous inviter
à la galerie Collection
JEUDI 7 SEPTEMBRE 2017
à 18h30 au vernissage de l'exposition :
ATMOSPHÉRIQUE
du 8 septembre au 21 octobre
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h
La galerie Collection invite neuf artistes de la matière à exposer leurs pièces autour du thème Atmosphérique.
Si certains s'intéressent à l'évocation d'éléments directement reliés à l'atmosphère et à des phénomènes météorologiques ou climatiques, d'autres interprètent les effets et les sensations provoqués par ces manifestations : mouvements, tourments, ou encore vibrations montrant la puissance de la nature.
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
L'exposition CARO/JEUNET est une invitation dans le monde singulier des réalisateurs Jean-Pierre JEUNET et Marc CARO.
Le cinéma, à travers extraits de films, objets, costumes et autres documents viendra dialoguer avec les dessins et peintures de Marc Caro et des œuvres d'art singulier réalisées ou collectionnées par Jean-Pierre Jeunet.
MARC CARO
« Si singulier il y a, il me semble que l'association bicéphale que nous avons constituée avec Jean-Pierre Jeunet fut l'une des choses les plus singulières du paysage cinématographique français. Deux cinéastes visuels qui renouent avec les origines du cinématographe... Pour ma part, notre filiation revendiquée avec Meliès et l'art forain, trouve naturellement sa place à la Halle Saint Pierre qui a toujours su accueillir ceux qui marchent en dehors des clous... »
Marc CARO
Né en 1956 à Nantes, MARC CARO est un auteur de bandes dessinées qui a débuté dans la revue Metal Hurlant à la fin des années 70. Il publie également ses planches dans les magazines Fluide Glacial, Charlie Mensuel et L'Echo des Savanes). C'est aussi un musicien électronique (le groupe Parazite) et un cinéaste issu du cinéma d'animation et de la vidéo expérimentale. Il est connu pour avoir co-réalisé avec Jean-Pierre Jeunet (qu'il rencontre au Festival du Film d'animation d'Annecy en 1974) plusieurs courts-métrages, et les longs-métrages Delicatessen (1991, qui a obtenu de nombreux césars) et La Cité des enfants perdus (1995, présenté en ouverture du festival de Cannes).
Il a réalisé plusieurs courts métrages en solo (Rude Raid, 1985, La Concierge est dans l'escalier (1987)...), le long métrage Dante 01 (2008) ainsi qu'un documentaire sur les robots au Japon (Astroboy à Roboland, 2008).
On lui doit aussi affiches, musiques et décors pour les chorégraphes Régine Chopinot et Philippe Decouflé, ainsi que la direction artistique de nombreux films, parmi lesquels Alien Resurection (1997) de Jean-Pierre Jeunet, Blueberry (2004) de Jan Kounen, et Enter the Void (2009) de Gaspar Noé.
Marc Caro
JEAN-PIERRE JEUNET
« Dans tous les films que nous avons faits ensemble ou séparément, Marc Caro et moi-même, les objets ont toujours eu une place prépondérante. Marionnettes articulées pour les films d'animation, Machines Steampunk, costumes baroques, Aliens géants, objets emblématiques comme le cahier de photomaton d'Amélie, sans compter les storyboards, dessins de décors, BD et illustrations de Marc Caro... Tant d'objets qui traînaient dans mon bureau que je décidai de les partager. Le choix de la Halle Saint Pierre a été comme une évidence. Musée d'un art populaire non prétentieux... Situé à quelques mètres de là où Nino Quincampoix pourchassait Amélie dans les jardins du Sacré Cœur... C'est à la Halle Saint Pierre que j'ai découvert Jephan de Villiers, Ronan-Jim Sévellec, Charles Matton, Gilbert Peyre, que j'ai admiré les œuvres de Giger, guide spirituel de mon « Alien »... artistes que je collectionne, et qui font le pont entre l'art « singulier » et nos films, qui ne sont pas moins, du moins je l'espère... singuliers. »
Jean-Pierre JEUNET
Jean-Pierre est né le 3 septembre 1953, à Roanne. Longtemps enfant unique, il développe très vite son propre univers et c'est la caméra Super 8 apportée un jour par un ami de ses parents qui lui montre une voie qui pourrait être la sienne. Véritable autodidacte, il commence par réaliser des films d'animation L'Evasion, Le Manège, avec des personnages sculptés par Marc Caro, puis Pas de Repos pour Billy Brakko d'après une BD du même Caro. Ces films de court métrage commencent à faire parler de lui et à glaner de multiples récompenses en France et à l'étranger. Ensemble, toujours, ils réalisent Le Bunker de La Dernière Rafale, court métrage culte de science-fiction, qui passera en première partie d'Eraserhead de David Lynch dans une salle parisienne durant six années. En 1989, il réalise seul Foutaises avec, déjà, son acteur fétiche Dominique Pinon, et gagnera une cinquantaine de prix dont le César du meilleur court métrage.
Le succès commercial et les nombreux prix de Délicatessen (1991) permettent à Jeunet & Caro de mettre en chantier un projet ambitieux : La Cité des Enfants perdus, une fable sombre, tellement innovante sur le plan technique qu'elle nécessite la création de nouveaux logiciels et une très longue préparation. Le film est superbe, infiniment poétique. Il est présenté en Ouverture du Festival de Cannes 1995. C'est ce film qui attire l'attention de la Fox qui décide de confier à Jean-Pierre Jeunet la réalisation du 4ème opus de la franchise « Alien Résurrection ».
A l'issue de son séjour hollywoodien, Jean-Pierre Jeunet a la nostalgie des pavés de Montmartre et surtout, après la « grosse machine » d'Alien, il a envie de réaliser un « petit film personnel avec des copains ». Depuis des années, il collectionne des bouts d'idées étonnantes et des fragments d'histoires qui le touchent. Tout prend forme lorsqu'il invente le dénominateur commun à ces histoires : une jeune femme timide mais imaginative et déterminée à enjoliver la vie des autres. Ainsi est née Amélie Poulain, héroïne d'un film qui rend heureux et donne envie d'aimer, car Jean-Pierre Jeunet réussit avec ce film ce qui est considéré comme l'exercice le plus périlleux du cinéma : filmer le bonheur. Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain est le plus grand succès en langue française dans le monde.
Le triomphe du film et l'osmose avec Audrey Tautou lui permet d'envisager un projet qui lui tient à cœur depuis 10 ans : Un Long Dimanche de Fiançailles, l'adaptation du roman de Sebastien Japrisot. Avec Audrey Tautou, Jean-Pierre Jeunet sait qu'il tient sa « Mathilde », jeune femme obstinée à la recherche de son fiancé dans les méandres de la Grande Guerre. Le succès est au rendez-vous, tant sur un plan critique que sur un plan commercial.
Le 28 octobre 2009, sortie du film Micmacs à Tire-Larigot, une fable humaniste où Dany Boon interprète un David luttant contre Goliath, en l'occurrence deux marchands d'armes.
En 2013, L'extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet avec Kyle Catlett et Héléna Bonham Carter est une adaptation du livre-objet de Reif Larsen. Cette adaptation a été écrite en collaboration avec Guillaume Laurant. Le film a été tourné en anglais au Canada, en 3D. La sortie en France le 16 octobre 2014 sera suivie par une sortie Européenne, puis américaine. Thomas Hardmeier a été récompensé du César de la photographie en 2015. Et le film remporte tous les prestigieux 3D society Awards.
En 2015 Jean-Pierre réalise un pilote de série intitulée Casanova avec Diego Luna, Bojana Novakovic, Miranda Richardson et Ben Daniels pour Amazon. Le film sera diffusé sur leur site à l'été 2015, et son chef opérateur Pierre Gill récompensé du prix américain ASC attribué à la photographie.
Jean-Pierre vient de réaliser avec Romain Segaud un court métrage d'animation, mettant en scène ses bestioles, bricolées avec des débris trouvés dans la nature, sur un texte de Jacques Prévert et intitulé Deux escargots s'en vont.
Jean-Pierre Jeunet est le cinéaste français le plus récompensé. Son tour de force est de parvenir à être considéré comme un véritable auteur tout en parvenant à toucher un public large.
Jean-Pierre Jeunet
Time:
18:30-21:00
Description:
halles saint-Géry
1 place Saint Géry
Région de Bruxelles-Capitale
La nouvelle année scolaire démarre avec l'exposition "PAUL ET SES FRÈRES", imaginée par l'Association pour l'Étude du Bâti.
Paul Hamesse et ses frères, Georges et Léon, sont les auteurs à Bruxelles, dès 1898, de plus de 200 maisons de commerces chics et vitrines éphémères, villas luxueuses, maisons bourgeoises et immeubles modernes, ateliers d'artistes et temples cinématographiques.
Cette exposition destinée à un public familial se tiendra du 8 septembre au 22 novembre 2017 aux Halles Saint-Géry.
À 19h30, concert de Paul Hamesse et Mister'n'Missis
RSVP expo@sprb.brussels
Time:
18:30-21:00
Description:
1er étage de la Halle Saint-Pierre
Du 7 septembre 2017 au 31 juillet 2018
Ouvert tous les jours
Semaine de 11h à 18h
Samedi de 11h à 19h
Dimanche de 12h à 18h
26 artistes majeurs. 200 oeuvres : L'exposition TURBULENCES DANS LES BALKANS poursuit les prospections que la Halle Saint Pierre mène depuis plus de vingt ans aux frontières de l'art brut. La scène artistique des Balkans donne à voir ses territoires alternatifs riches de leur complexité et leur diversité. Gardiens du grand héritage de l'art populaire, icône de la pop culture, explorateurs de langages archaïques ou magiciens du matériau brut, tous ces artistes inventent des mondes singuliers travaillés par une Histoire déchaînée autant que par les sentiments et les instincts excessifs qui enflamment leur relation au monde. TURBULENCES, est la métaphore de ces expériences intimes mises en images, en émotions et en réflexions.
La rencontre de l'art brut et des Balkans n'en est cependant qu'à ses premiers développements, loin de la vulgarisation en cours en Europe occidentale et aux Etats-Unis. Autrefois poudrière, aujourd'hui morcelés et en quête de stabilité, les Balkans tentent d'exister ailleurs que dans le poids du passé, que ce soit un passé lointain marqué par la domination des Empires, les mythes nationaux, ou un passé proche fait de conflits armés. En marge des institutions une scène artistique alternative voit le jour. Tournant le dos aux performances trop artificielles et intellectualisées d'un certain art contemporain, des artistes veulent renouer avec des formes d'expression plus authentiques, ouvertes sur la vie intérieure jusqu'aux confins de l'obsession et du délire. Entre caractère alternatif et effervescence artistique, des initiatives ont vu le jour qui donnent une visibilité à l'art des marges. Turbulences dans les Balkans met en acte le besoin existentiel de ces artistes de penser le monde en le poétisant, de faire résonner un langage qui ne raisonnerait plus.
Time:
18:30-21:00
Description:
La galerie Nelly WANDJI est heureuse de vous annoncer sa nouvelle exposition
WEAVING, ART, OBJECTS by Aissa Dione
VERNISSAGE (sur invitation uniquement)
Le 7 Septembre à partir de 18H30
Exposition-vente du 8 au 24 septembre 2017
L'exposition est consacrée à la mise en valeur des talents au sein des ateliers d'Aissa Dione et de créateurs, designers, artisans du Sénégal avec qui elle collabore comme Balla Sidibe, Pape Ahmadou Ndoye et Amsa Cisse.
Le focus sera porté sur les arts textiles. Ces créations textiles d'Aissa Dione sont produites en partie suivant les techniques de tissage des Mandjaques, originaires du Sud du Sénégal et de Guinée Bissau. Le focus de l'exposition permet de leur rendre hommage.
En outre, cette carte blanche à Aissa Dione sera l'occasion pour cette passionnée d'art et galeriste à Dakar, d'adjoindre à la présentation une sélection d'oeuvres de Camara Guèye
Aissa Dione, designer, décoratrice, découvreur de talents et d'artistes et Nelly Wandji, galeriste, consultante pour les métiers créatifs sont heureuses de faire découvrir la collection éphémère de créations d'exception rassemblée en exclusivité pour l'évènement.
La sélection pour l'exposition comprendra des textiles, des objets de design, du petit mobilier, entièrement manufacturés au Sénégal, des accessoires de mode et de décoration ainsi qu'une capsule de la styliste Sophie ZINGA.
Ces pièces en éditions exclusives seront disponibles à la vente tout au long de l'exposition.
Time:
18:30-21:00
Description:
5 au 18 septembre 2017
tous les jours de 12h à 19h30
Jeudi 7 septembre, vernissage soirée de 18h30 à 21h
Jeudi 14 septembre,
Défilé de mode de Xu Ming
après-midi de 16h à 21h
Cinq artistes exposent leur travail de collagiste
André-Didier Dana
Laetitia de Gaulle
Micheline Lada
Christiane Peugeot
Thierry Prouvost
ainsi que Xu Ming, styliste qui présente ses sculptures mobiles
Time:
18:30-21:00
Description:
du 28 août au 10 septembre
Cette exposition est née de la volonté de réunir les univers de trois artistes Isabelle Malin, Julie Quintard et Jules Viera le temps d'un accrochage collectif à la galerie Vitrine 65.
Time:
18:30-21:00
Description:
du 7 septembre au 15 octobre
du jeudi au dimanche, de 14h à 19h
Avec : Pawel Althamer (PL), Anna Baumgart (PL), Enrico Floriddia (IT), Eric Giraudet de Boudemange (FR), Laura Gozlan (FR), Nikita Kadan (UKR), Zhanna Kadyrova (UKR), Marwan Moujaes (LB), Artur Zmijewski (PL).
Commissariat : Malgorzata Grygielewicz et Ann Stouvenel
> Jeudi 7 septembre 2017, à partir de 18h30 :
*Vernissage
Avec l'aimable soutien de l'Institut Polonais à Paris !
NOCTURNES :
Ouverture de l'exposition jusqu'à 20h30, lors d'autres événements à Mains d'Œuvres :
> Samedi 30 Septembre - THÉÂTRE : "Violences conjuguées", Cie Alaska
> Mercredi 11 Octobre - THÉÂTRE : "Cie LTDH - Cie You'll Never Walk Alone" - Fragments #5 - Mains d'Œuvres & La Loge
> Samedi 14 octobre - CONFÉRENCE : Bernard Stiegler, sur le travail dans le cadre du spectacle To Burn or Not ? / Suivie de la pièce To Burn or Not ? dans le cadre de "Fragments #5" - Mains d'Œuvres & La Loge
« Urbs sacra »
Au commencement, il y a une question : pourquoi certaines villes devraient-elles périr ? La synergie entre la ville et la vie nous interroge. La ville, que nous tenons pour la forme du cours universel des choses, objective nos pensées.
Oublions alors les murs de nos villes, leur place bien établie et ce qui sommeille dans leur usage. Il nous paraît nécessaire d'opérer à nouveau un mouvement vers le dehors, pour sortir, sortir dans le jardin. La notion de frontière du jardin doit être pensée comme n'étant pas une ligne de séparation, mais un horizon mobile, une perspective changeante, la limite qui n'est pas l'endroit où s'arrête quelque chose. C'est au contraire, à partir de là, que quelque chose commence à être.
Au cours de cette exposition, nous tâcherons de répondre à ce questionnement à travers l'idée de destruction et de création. L'urgence vitale des esthétiques contemporaines face à la ville et au jardin, qui se dégradent et périssent dans des espaces sociaux urbains, politiques et économiques, sera prise en compte.
Les œuvres exposées retracent des expériences d'artistes venus de différents endroits et nous offrent un regard sur notre d'histoire.
Exposition réalisée en partenariat avec :
- l'Institut Polonais à Paris
- GALLERIA CONTINUA, San Gimignano / Beijing / Les Moulins / Habana
Zhanna Kadyrova, "Experiments" (détail), 2014, impression jet d'encre, acide. Courtesy GALLERIA CONTINUA, San Gimignano / Beijing / Les Moulins / Habana. Ph. Christian Vorhofer
Time:
19:00-22:00
Description:
6ème Garden Party de Sporsora
Time:
19:00-22:00
Description:
SORS. has the pleasure to invite you to enjoy a cocktail opening at our new space on the opening evening of Paris Design Week 2017.
#PDW17
Valérie Delaunay a donné carte blanche à Hélène Muheim pendant la période estivale pour investir l'espace de la galerie.
Du 1er août au 7 septembre, ses derniers travaux seront visibles à la galerie sur rendez-vous.
Une soirée de finissage le jeudi 7 septembre clôturera cette exposition.
Exposition du 1er août au 7 septembre 2017
Finissage le jeudi 7 septembre de 18h à 21h
Un paysage est avant tout une construction, une position, face à un assemblage d'éléments naturels ; de même que le portrait, avant d'être portrait, est un visage.
C'est de cette manière qu'il nous revient de découvrir les paysages raffinés d'Hélène Muheim, ses Lignes d'horizon dans lesquelles elle n'investit la page que pour mieux souligner la cohabitation du paysage et de son absence : quelques lignes de crêtes et des sommets enneigés sont coupés horizontalement par une ligne floue et volontaire à la fois, laissant deviner, dans la surface immaculée de la page blanche, d'autres beautés naturelles.
Un paysage est donc construction, mais, ici, il est aussi fondamentalement émotion, comme peuvent l'être une mer de nuages ou une épaisse forêt pour les romantiques allemands.
« Le cœur de la montagne s'est arrêté de battre », dit un titre évocateur qui suggère un effacement, une disparition, une fin universelle. Pour autant, avec une douce résignation, le monde continue à vivre lentement, à un rythme amoindri, comme dans un coma : Hélène Muheim représente ainsi, « inlassablement, ce qui n'est plus », et c'est avec patience qu'elle préserve ce qui reste néanmoins, sous les strates de la conscience, dans le souvenir d'un bruissement du vent dans des feuilles d'arbre ou dans celui d'un drame lointain.
Pour cela, elle « maquille » ses paysages comme on maquille des paupières, délicatement, en estompant tellement que les pigments ne font plus qu'un avec la finesse de la peau ou celle du papier : « je maquille les reliquats du monde », dit-elle. Ces reliquats, reliques et traces, l'artiste les trouve aussi dans l'histoire de l'art, dans les sources qu'elle utilise pour réaliser ses dessins, que ce soit l'œuvre d'un sombre graveur suisse du 19ème siècle représentant la Vallée de Chamonix, celle du renaissant Joachim Patinir ou encore les paysages à l'arrière plan des tableaux de Léonard de Vinci.
Que l'on pense justement aux arrêtes des montagnes bleues de sa Sainte Anne pour saisir la complexité d'un paysage à la fois acéré et léger, violent et mystérieux, en surface et en méandre.
Hélène Muheim dessine aussi des Chimères, les miroirs déformants d'un monde mental dans lequel les formes - pas vraiment organiques, mais plutôt minérales - s'assouplissent se contorsionnent, faisant étrangement penser aux circonvolutions tentaculaires et végétales de l'Art Nouveau.
Dans les plis et les strates se cachent des formes : une femme au bonnet d'âne rappelle d'ailleurs qu'il y a de l'humour aussi dans ce travail, du moins une distance sereine face à certaines terreurs.
L'une de ces chimères, one more breath, est un souffle : est-ce là un dernier souffle vital ; ou plutôt un souffle créateur, de communication avec les forces cosmiques de l'univers, à l'instar des Bubbles de Roland Flexner ?
Léa Bismuth
Critique d'art et Commissaire d'exposition
Son âme est restée collée sous ma langue, poudre de graphite et ombres à paupière sur papier, 200 x 210 cm
Time:
19:00-21:00
Description:
Bruno Julliard, Premier adjoint en charge de la culture, inaugure le centre culturel éphémère, le Génie d'Alex, sous le pont Alexandre III, le jeudi 7 septembre à partir de 19h.
La Ville de Paris est engagée depuis plusieurs années dans une dynamique d'occupation temporaire de sites municipaux ponctuellement vacants. Ces sites ont vocation à accueillir de l'hébergement d'urgence, des activités d'économie sociale et solidaire et des activités de création culturelle. L'occupation temporaire est une occasion unique de proposer une programmation innovante, responsable et durable pour ces lieux, en future reconversion, qui ont vocation à être largement ouverts au public.
La culée droite du Pont Alexandre III accueillait jusque début 2017 le Showcase, boîte de nuit parisienne très repérée. Le renouvellement de cette concession a été intégré à l'appel à projet urbain innovant Réinventer la Seine. Le groupe Noctis, avec son projet de « Cabaret électro » a remporté cet appel à projets et entrera dans les lieux à la fin de l'année 2017. Entretemps, la Ville de Paris a souhaité permettre à des acteurs culturels alternatifs parisiens d'investir ce site patrimonial bénéficiant d'un ancrage fort le long de l'axe Seine, désormais grande balade urbaine pour les Parisiens et les touristes.
La SCOP Plateau Urbain, notamment connue pour ses projets comme celui des Grands Voisins (14e) ou Le Python (20e), a été choisie à l'issue d'un appel à projet pour organiser l'ouverture, la programmation et l'animation du site. Un collectif a été formé avec plusieurs acteurs spécialisés pour assurer la diversité de programmation du lieu : restauration, réalisation du mobilier, création artistique, organisation d'ateliers et programmation festive.
« L'intérêt d'un tel projet, hybride et éphémère, est d'offrir un espace de création et d'expérimentation alternatif dans un site patrimonial exceptionnel au cœur de Paris. Nous avons à cœur de soutenir l'ouverture de lieux de cette nature, qui permettent, en sortant la création et la pratique artistiques des institutions plus traditionnelles, de les rendre accessibles à tous » a expliqué Bruno Julliard.
« L'ouverture du Génie d'Alex dans un ancien night-club démontre la vitalité des nuits parisiennes qui se développent en dépassant même leur stricte dimension nocturne. La Ville de Paris soutient ces projets culturels et festifs dont la diversité permet à chacun de trouver son bonheur, selon ses goûts » s'est réjoui Frédéric Hocquard.
Retrouvez toute la programmation sur www.legeniedalex.com
Personnalités présentes :
- Bruno Julliard, Premier adjoint à la Maire chargé de la culture et du patrimoine
- Jeanne d'Hauteserre, Maire du 8e arrondissement de Paris
- Frédéric Hocquard, Conseiller Délégué auprès du Premier Adjoint, chargé des questions relatives à la "Nuit".
En attendant de découvrir Le Cabaret Electro en 2018, l'ancien espace qui a abrité le Showcase pendant 11 ans, ouvre ses portes dès ce mercredi 30 août au Génie d'Alex; un lieu culturel et éphémère imaginé par Plateau urbain aux multiples animations.
Certains ont été déçus de voir le Showcase fermer ses portes en février dernier. Concession oblige, le lieu dévoilera en 2018 Le Cabaret Electro, nouveau lieu de vie du groupe Noctis, lauréat de l'Appel à Projets Innovants "Réinventer La Seine" sur la Culée Droite du Pont Alexandre III...
En attendant donc, la Ville de Paris a cédé le lieu à Plateau urbain (accompagné de Freegan Pony, La Belle Friche, La Ressourcerie du Spectacle et le Collectif-Yaplusk) qui a imaginé un centre culturel éphémère baptisé Le Génie d'Alex.
La Préfecture de police vient de donner son aval, le Génie d'Alex, qu'on attendait plus tôt, va pouvoir enfin ouvreir ses portes. Dès ce mercredi 30 août et jusqu'au 4 décembre, le lieu va pouvoir prendre vie du mercredi au dimanche.
On va de nouveau réinvestir ce mythique espace, niché sous le Pont Alexandre III, côté rive droite, et découvrir un nouveau lieu unique mêlant concerts, expos, ateliers, jeux, agriculture urbaine, bar et espace de restauration solidaire, sans oublier deux coins terrasses pour bronzer à côté de l'un des plus beaux ponts de la capitale !
Time:
19:00
Description:
Le 7 septembre, 500 Parisiens vont se serrer les coudes sur la plus grande table de Paris.
Une table de 183 mètres de long, dans un décor féerique. 500 Parisiens et banlieusards qui avaient toujours rêvé de se donner la sensation de faire partie de la jet-set le temps d'une nuit, ont participé ce jeudi soir à « la grande tablée de Coca-Cola », organisée par l'enseigne du même nom, sur les quais de Seine à Paris (VIIe).
Sans débourser un seul centime, les convives qui s'étaient au préalable simplement inscrits sur Internet à cet événement insolite, ont pu s'installer face à la Tour Eiffel et au Grand-Palais. Ils ont dégusté des plats soigneusement préparés par trois noms de la « street food » parisienne. Le chef du restaurant Pressing-Pressing pour l'entrée, celui de Melt pour le plat et Guillaume Sanchez, ex-candidat de top-chef et gérant du Nomos, a conclu le repas d'une touche sucrée avec un dessert inspiré du Coca-Cola Cherry.
Emaillé de surprises et de concerts, le dîner s'est terminé par des dégustations de cocktails sur la musique de DJ Sofiane de Radio Nova. «C'est top, une sorte de guinguette éphémère», savoure Mathieu, quadragénaire parisien, venu avec sa compagne. Un pari réussi pour la marque: «Nous avons voulu proposer un événement inédit et festif pour la rentrée afin de marquer les esprits», indique Nathalie Massé, chef de groupe Marketing Coca-Cola France.
Time:
19:00
Description:
Moissonnier
52 Rue de l'Université
75007 Paris
Time:
19:00-22:00
Description:
A l'occasion de la Paris Design Week,
Boffi Paris dévoile pour la première fois en France, COVE Kitchen.
Des lignes fuselées, des matières d'exception, un travail sur les pleins et les vides... donnent vie à un projet d'envergure
signé Zaha Hadid, Prix Pritzker 2004.
Journée Presse Jeudi 7 septembre 2017 de 10h à 18h
Cocktail à partir de 19h
Time:
19:00
Description:
Officina de Roman & Erwan Bouroullec, Brut de Konstantin Grcic, Sequoia de Anderssen & Voll, Leaves de Blaise Drummond... Magis présente pour la première fois en France ses nouveautés 2017, à Paris, chez Édifice, au coeur du 7ème arrondissement.
Time:
19:00-21:00
Description:
Rencontre avec Peter Martensen et sa galeriste parisienne, Maria Lund, à l'occasion de son exposition RAVAGE du 06 septembre au 29 octobre 2017 à la Maison du Danemark.
Peter Martensen est né en 1953 à Odense au Danemark. Sans cesse en quête d'une vérité artistique et existentielle, il trace,à travers la peinture, son propre chemin et nous confronte à une imagerie forte, décalée et ambiguë qui touche par son acuité non démonstrative.
Vente et signature du catalogue de l'exposition
dans le cadre de l'exposition de Peter Martensen "Ravage"
6 septembre - 29 octobre 2017
La Maison du Danemark et le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole s'engagent en 2017 dans un partenariat autour d'une figure majeure de la scène artistique contemporaine danoise. Peter Martensen est un artiste singulier. Sans cesse en quête d'une vérité artistique et existentielle, il trace, à travers sa peinture, son propre chemin, indépendamment des modes parfois aléatoires du monde de l'art.
Nombreux sont les musées danois qui lui ont offert leurs cimaises et depuis, il a été présenté en Suède, en Italie, en Corée comme à New York ou Paris. Ravage est sa première exposition monographique dans un musée français et sur la scène institutionnelle parisienne. À la présentation au Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne jusqu'au 27 août succédera celle de la Maison du Danemark à partir du 6 septembre.
Mélancolie, distance, indifférence, recul, absence, silence sont les qualificatifs qui pourraient accompagner une première appréhension de l'œuvre de Peter Martensen, pourtant cela en réduirait la portée, l'énergie et l'actualité. Quelques similitudes avec l'atmosphère du peintre danois Vilhelm Hammershøi pourraient être avancées ; cependant si Martensen admire son compatriote, son travail n'en est pas moins résolument contemporain et très personnel. Plutôt qu'artiste engagé, il préfère se positionner comme « un réaliste mental ». Il s'agit de traduire cette expression comme celle d'une éthique toute personnelle, celle qui traverse ses choix de vie comme ses engagements tournés vers l'autre, les autres. « Je travaille beaucoup avec ce qui relève du général, des généralités ; mes œuvres parlent d'êtres humains. »
Dans Ravage, peintures, dessins, sculpture et vidéos témoigneront de la cohérence de la démarche de cet artiste né en 1953 à Odense (Danemark). Loin d'une rétrospective de l'œuvre de Peter Martensen, cette exposition intervient dans une période de création particulièrement riche et innovante dans la carrière de l'artiste dont elle se veut l'écho.
Catalogue : Peter Martensen, Ravage Le catalogue de l'exposition est enrichi par un texte de l'écrivain danois bien connu en France, Jens Christian Grøndahl. Merete Sanderhoff, conservateur au Statens Museum for Kunst (Copenhague) y pose la question de la place de Martensen sur la scène contemporaine et dans le contexte danois. Lorand Hegyi, directeur émérite du Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne Métropole, s'intéresse à la figure de Martensen sur la scène internationale. Enfin, une interview de Martine Dancer-Mourès, commissaire de l'exposition et directeur général du Musée d'art moderne et contemporain Saint-Étienne Métropole, donne la parole à Peter Martensen. Bilingue français-anglais de 168 pages, Editions Kerber Verlag, Bielefeld (Allemagne) isbn 978-3-7356-0374-6, 38 €
Du 7 au 24 spetembre 2017, la French Paper Gallery présente un Rock Posters Rendez-Vous spécial Metallica !
Un événement dédié aux sérigraphies officielles de la tournée WorldWired Tour 2016-17. Des éditions numérotées et signées, bref du Collector !
Nous vous proposons une exposition-vente de pièces uniques !
Sur chaque date de la tournée WorldWired Tour, le groupe à demandé à un artiste un design/une illustration/une oeuvre afin d'en tirer une sérigraphie exclusive. Sur chaque concert (et uniquement là!) vous pouvez donc retrouver à la vente une sérigraphie en édition très limitée, numérotée et signée.
Ce sont toutes ces oeuvres que nous vous proposerons lors de cette exposition exclusive en septembre, pendant la tournée française du groupe.
Parmi les artistes et sérigraphes que vous retrouverez: Ames Bros., Tim Doyle, Joshua Budich, Matt Dye, Angryblue, F4D Studios, Tyler Sharp, Laurie Greasley, Jesse Philips, Florey et beaucoup d'autres.
Time:
19:00-22:00
Description:
Soirée Grazia loves Paris
Time:
19:00-21:00
Description:
Jeudi 7 septembre à partir de 19h, soirée avec Erwan Larher et les éditions Quidam pour fêter la sortie Du livre que je ne voulais pas écrire.
Je suis romancier. J'invente des histoires. Des intrigues. Des personnages. Et, j'espère, une langue. Pour dire et questionner le monde, l'humain.
Il m'est arrivé une mésaventure, devenue une tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.
Time:
19:00-22:00
Description:
en présence de William Gallas, Frédéric Piquionne
Time:
19:00
Description:
Vernissage jeudi 7 septembre à 19h
Exposition du 7 au 29 septembre 2017
Du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 19h
Exposition photographique
Migrants : trois générations à la recherche de leurs identités.
La Suisse - l'Argentine 1920-2017.
Eduardo Burry - Helen Zout - Lisando Pérez Aznar
Commissaire de l'exposition : Gabriel Diaz
"Depuis des temps immémoriaux, l'humanité a émigré en cherchant un lieu pour développer son bien-être.
Nos origines ne sont pas différentes de cette réalité.
Cette exposition consiste à montrer un travail représentatif de l'immigration et de l'enracinement, documentée par trois générations de photographes, durant un siècle dans un même lieu en Argentine.
Eduardo Burry, qui a fait partie de l'immigration du début du XXe siècle, est arrivé de Suisse en Argentine en 1920. Il a photographié une grande partie de ses voyages.
Nous, son arrière-petit-fils, Lisandro Pérez Aznar, et sa petite fille, Helen Zout, également photographes, avons pris des clichés du même endroit que Burry, ainsi que de ses habitants, depuis l'année 2000 jusqu'à maintenant.
Ces images représentent la documentation de tout un siècle du même endroit en Argentine où la tradition ancestrale contraste avec la modernité."
Helen Zout et Lisandro Pérez Aznar
Time:
19:00
Description:
Time:
19:00-22:00
Description:
Lemmy voulait qu'elle s'assoie sur ses genoux... Lemmy ? Lemmy Kilmister de Motörhead ! «Elle», c'est Carole Epinette, photographe depuis 1994.
Si elle a poliment décliné l'invitation un après-midi orageux de 2004, il a, de son côté, fini sur la pellicule... Pour un des clichés les plus légendaires du bassiste le plus destroy du bestiaire rock. Rock & Folk s'en est emparé et plus récemment, Libération en a fait sa couv' en hommage au leader du groupe anglais.
Mais cette photo et cette anecdote ne sont qu'une infime partie du travail de Carole qui depuis plus de vingt ans trace un sillon profond et durable dans l'univers select des photographes de rock. Le Monde, Rolling Stone, Hard N'Heavy, Guitar Part mais aussi outre-manche avec Kerrang, Metal Hammer ou Classic Rock, tous se sont attachés ses services et son talent.
Son exposition Rock is Dead qui comprend des photos et des anecdotes, retrace son parcours, fait de rencontres, de coups de cœurs et de flashs. Un regard et même une vision d'un monde que Carole a fixé pour l'éternité. Rock is dead, vraiment ?
Time:
19:00
Description:
GALERIE CHAMPAKA BRUXELLES
Rue Ernest Allardstraat, 27
Bruxelles 1000 Brussel
Tel : +32 2 514 91 52
Fax : +32 2 346 16 09
sablon@galeriechampaka.com
Vernissage : jeudi 7 septembre 2017
Exposition du 08/09 au 30/09/2017
Chez Claude Renard, on ne sait qui, de l'œil ou de la main, a le plus de talent. Les deux, sans doute. Les cadrages de ses Vents Salins sont d'une beauté stupéfiante. Saisies sur le vif, ses carcasses de bateaux apparaissent dans leur semblant d'éternité comme des visions hallucinées. Hachures, droites, courbes s'épousent et se chassent. Tout est musique dans cette série d'images à l'équilibre instable, célébrant la transformation et l'oubli. Avec une précision presque chirurgicale, Renard ausculte le réel, le découpe au scalpel de son regard, le réinvente de la pointe de son crayon. Saisissant, vibrant, profondément esthétique, son travail sur les cimetières marins bretons sent le sel, l'iode, le bois en décomposition et les embruns. Il sent la vie, plus que jamais ! Cette exposition exclusive est accompagnée d'un superbe livre dont le tirage est limité, numéroté et signé.
Time:
19:00
Description:
Showroom de la Boutique
Du 6 au 9 septembre
Vernissage jeudi 7 septembre
Time:
19:00-21:00
Description:
Time:
19:00-21:00
Description:
Dans la cadre de la 39ème édition du programme culturel "Evidencias, l'Ambassade de l'Équateur en France a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition "The Nameless City" de l'artiste équatorien Luis Chenche, aussi lauréat du programme cité internationale des arts 2017.
Vous pouvez d'ores et déjà visiter le blog de l'artiste :
https://luischencheblog.wordpress.com
L'événement est d'entrée libre et sera suivi d'un vin d'honneur en présence de l'artiste.
Time:
19:00-21:00
Description:
du 7 au 20 septembre
Vernissage jeudi 7 septembre à partir de 19h
L'Union des Artistes d'Asie en France a le plaisir de vous inviter à la première exposition de WU KE à Paris.
WU KE est né à Shanghai 1969. Il utilise les quatre trésors du peintre traditionnel. Le papier, le pinceau, l'encre et l'encrier ont donné le caractère exclusif à la peinture du pays du milieu. WU KE utilise en virtuose le pinceau, ce merveilleux instrument de toutes les gammes de traits et de toutes les variantes de taches. Le geste du pinceau tantôt léger ou appuyé, souple ou rigide compose l'harmonie des œuvres de WU KE.
Une peinture est un poème enveloppé de formes
Un poème c'est une peinture dénuée de formes(LAO TSEU)
Time:
19:00-21:00
Description:
ÊTRE(S) SINGULIER(S), une exposition de 12 portraits de personnalités liées à la gastronomie, réalisés par la journaliste Anne Eveillard et le photographe Bruno Comtesse.
Pierre Gagnaire, Apollonia Poilâne, Cyril Aouizerate... ils ont tous pour point commun d'éviter les chemins déjà tracés. Vernissage le jeudi 7 septembre autour d'un verre. Vous allez aimer la rentrée !
PHOPHÈTE EN SON PAYS
Pour certains, c'est un hippie. Pour d'autres, un anar chic. Pour d'autres encore, un business man. CYRIL AOUIZERATE est un peu de tout ça à la fois. Au terme de ses études, il aurait dû être prof. De philo. Mais il a soudain bifurqué. Penser, c'est bien. Faire, c'est mieux. De 1995 à 2000, il va réinventer la ville, les territoires urbains, les centres commerciaux. Une immersion au cœur du béton, à même le bitume, qui lui donne des envies. Dont celle de créer des hôtels, des restos, des lieux de vie. L'esprit du Mama Shelter et aujourd'hui du MOB, c'est lui...Photographie Bruno Comtesse
LE GOÛT DU PAIN
APOLLONIA POILÂNE passait des heures sur les genoux de son grand-père dans l'arrière-boutique du 8, rue du Cherche-Midi, à Paris. «J'ai appris à compter en rendant la monnaie. Je passais le mercredi et le samedi dans le fournil et quand je dérangeais trop les boulangers, à vouloir faire des personnages en pâte sablée, ils me faisaient croire que le fantôme de Leonardo, des Tortues ninja, allait venir. Ils ne savaient plus quoi inventer pour se débarrasser de moi ! » Photographie Bruno Comtesse.
POP CHEF
JUAN ARBELAEZ vit dans l'instant et fonctionne à l'instinct. Son tatouage dans le dos le prouve : « En arrivant à Paris, je noircissais des pages entières, chaque soir dans mes 12m2 sous les toits. Je racontais tout ce qui m'arrivait. C'est comme ça que j'ai écrit le mot adicto. Car je suis addict à la cuisine. Le lendemain, en me réveillant, je suis retombé sur le bout de papier où était inscrit ce mot. Je suis parti chez un tatoueur et je lui ai dit : je veux la même chose sur le dos. »
Apollonia Poilâne
Time:
19:00-21:00
Description:
L'Espace des femmes-Antoinette Fouque
et
HIJOS-Paris
vous invitent jeudi 7 septembre 2017 à partir de 19 heures au vernissage de l'exposition
Grands-mères de la Place de Mai
1977-2017
40 ans de lutte pour la mémoire,
la vérité et la justice en Argentine
Photos réunies par Alejandro Reynoso
Du 8 au 30 septembre 2017
du mardi au samedi de 14 à 19 heures
Rencontre exceptionnelle avec Estela de Carlotto,
présidente des Grands-mères de la Place de Mai,
samedi 30 septembre à 18 heures.
Time:
19:00-21:00
Description:
DU 1ER AU 30 SEPTEMBRE 2017
Vernissage le jeudi 7 septembre à 19h
La Galerie Daniel Maghen a l'honneur d'accueillir Hermann à l'occasion de sa première exposition-vente.
Primé Grand Prix d'Angoulême en 2016, Hermann est sans conteste l'un des meilleurs dessinateurs de sa génération. Son style unique et audacieux, au réalisme exacerbé, marque un tournant dans l'histoire du 9ème Art. En s'éloignant des stéréotypes du héros, Hermann contribue à développer une forme de bande dessinée contemporaine à l'approche pragmatique, plus mature.
Cette rétrospective retrace près de 50 ans de carrière à travers 75 œuvres issues de ses séries phares : Comanche, Jeremiah, Bernard Prince, Les Tours de Bois-Maury. Ses albums plus personnels -Caatinga, On a tué Wild Bill- seront également mis à l'honneur. Les planches, illustrations et couvertures présentées lors de cette exposition-vente témoignent de la volonté de Hermann de se renouveler en permanence.
Daniel Maghen, Hermann, les éditions du Lombard et les éditions Dupuis sont heureux de vous convier au vernissage de l'exposition, le jeudi 7 septembre à partir de 19h.
Herman Huppen naît le 17 juillet 1938 à Bévercé (Ardennes). Ce n'est qu'en 1964 qu'il se rapproche du 9e Art. Alternant à mi-temps entre son travail d'architecte et le dessin, Hermann signe de courts récits didactiques dont une Histoire de l'Oncle Paul, publiée en 1965 dans Le Journal de Spirou. Remarqué par Greg, il œuvre dès 1966 sur la série qui établit son talent : Bernard Prince. Après un détour par Jugurtha, le duo Greg/Hermann donne vie au western Comanche. Huit ans plus tard, Hermann ressent l'envie de créer sa propre histoire : Jeremiah.
En 1984, il s'écarte momentanément des thèmes post-atomiques pour créer Les Tours de Bois-Maury. Toujours en quête de renouveau, il signe en 1991 son premier one-shot, Missié Vandisandi, suivi en 1995 par Sarajevo-Tango, un album dont la teneur historique et sociale lui vaut de recevoir le Prix Oesterheld. Il poursuivra cette thématique avec Caatinga en 1997. En 2016, il est enfin sacré Grand prix d'Angoulême.
Time:
19:00-21:00
Description:
La galerie LA Joaillerie par Mazlo et l'association ARKETIP vous convient le jeudi 7 septembre 2017, de 19 à 21 heures, au vernissage de l'exposition de bijoux contemporains
SACRÉS OUTILS !
Conçue comme un hommage, « Sacrés Outils ! » rassemble une sélection exceptionnelle de bijoux contemporains internationaux. Cette exposition collective questionne les rapports étroits entretenus par les artistes avec les outils et les objets du quotidien.
Quel regard portent-ils sur ces objets universels, dont les formes, le design, les usages sont pour la plupart restés inchangés au long des siècles ? De l'initiation à l'hybridation en passant par la fétichisation et le recyclage, chaque artiste invite à repenser l'outil à la lumière de sa pratique personnelle mais toujours comme un instrument de libération et de médiation entre l'humain et son environnement.
Artistes invités : Lisa & Scott Cylinder - Guillaume Delaperriere - Juanjo Garcia Martin - Robert Mazlo - Xavier Monclùs - Jo Pond - Katja Prins - Quars d'una (Sandra Llùisa - Clara Niùbo - Carla Garcia Durlan - Maria Diez Serrat) - Fabrizio Tridenti - Gabi Veit
Sacrés Outils ! est un évènement de la Paris Design Week #2017
Time:
19:00-22:00
Description:
Le photographe et réalisateur Kevin Couliau célèbre la culture et l'esthétique du basketball avec sa première exposition photo « Sphère d'influence » du 8 au 30 septembre, à la Mairie du 9e, Paris.
Joueur et passionné de basketball depuis plus de 30 ans, Kevin Couliau dévoile une sélection de 50 clichés mettant en relief l'esthétique et la créativité qui entourent ce sport. Conçue comme un voyage, de New York à Manille en passant par les terrains parisiens, l'exposition « Sphère d'influence » plongera les visiteurs dans la spontanéité et nature artistique du basketball. Au travers de ses photographies, l'artiste révèle et magnifie la culture de toute une communauté qui s'épanouit sur les playgrounds du monde entier et partage un amour inconditionnel pour cette sphère orange. Le basketball parisien sera à l'honneur dans l'exposition et fera l'objet d'un numéro spécial Paris de « Asphalt Chronicles », le magazine indépendant de Kevin Couliau.
Kevin Couliau, photographe et curateur de l'exposition et Delphine Bürkli, Maire du Neuvième arrondissement de Paris
Ont le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition « Sphère d'influence »
Le jeudi 7 septembre de 19h à 22h
RSVP avant le 5 septembre : contact@frenchcancans.com
Découvrez le travail de l'artiste sur son site www.kevincouliau.com ou sur www.asphalt-chronicles.com
A propos de Kevin Couliau :
Dévoué à l'art du basketball, Kevin Couliau a pris son premier appareil photo en main en 2004. Au travers de son objectif il a commencé à souligner l'esthétique du jeu pour plusieurs publications internationales. Sa passion s'est vite transformée en pèlerinage créatif dans les profondeurs de la culture basket. Kevin a poursuivi ses rêves pour explorer et révéler cette communauté internationale avec ses photos et son magazine indépendant Asphalt Chronicles. En 2013, il co-réalise et filme le documentaire primé « Doin' It In The Park : Pick-Up Basketball, NYC. ». Une vision unique qui l'a amené à présenter son travail à travers le monde et à collaborer avec des marques de sport telles que la NBA, Nike et la FIBA. Kevin travaille actuellement sur un livre photo qui révélera 15 ans de travail et de documentation sur le basketball, qui sera publié fin 2018.
Time:
19:00
Description:
à partir du 30 août 2017
EXPOSITION / CINE-CONCERTS
Au moment où tous les regards seront braqués sur le possible choix de Paris comme capitale hôte des Jeux olympiques de 2024, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé fait évènement en redonnant vie aux amours précoces du cinéma et du sport au travers d'une exposition d'images rares et d'une programmation de films uniques des premiers temps du cinéma.
La gémellité entre le sport et le cinéma est d'ailleurs marquée au coin de l'étymologie : Kinéma « mouvement » et Desport « divertissement, plaisir physique ou de l'esprit ». Mouvement et plaisir, n'est-ce pas la définition même du cinéma et du sport ?
Force est de constater que ce jeune couple a très rapidement su faire cause commune. Le sport constituant très tôt un sujet porteur, permettant d'attirer un large public dans les salles obscures. Le cinéma offrant de son côté un outil d'étude, d'instruction et de propagande sans précédent. Les années 10 et 20 leur donneront raison. Le sport et le cinéma y acquiert, de façon concomitante, une expansion fulgurante doublée d'une popularité extraordinaire.
A travers une sélection de films d'instruction, d'actualités, de captations d'évènements sportifs et de fictions, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé proposera, en partenariat avec l'INSEP* et avec la collaboration de l'ECPAD**, le Comité international olympique (CIO), le Musée départemental Albert Kahn, Gaumont-Pathé Archives, le British Film Institute (BFI), Carlotta Films, la Cinémathèque Royale de Belgique, les Archives françaises du film du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) et la Cinémathèque Française, une quinzaine de programmes offrant un panorama éclectique sur l'omniprésence de la thématique sportive dans les premières décennies du cinéma.
L'exposition, quant à elle, durera jusqu'à la fin du mois de novembre. Elle présentera une centaine de documents inédits - photographies scrutant les gestes du sportif, affiches évoquant les exploits de l'homme moderne, reportages de presse présentant les relations des sportifs avec le monde du spectacle...- issus principalement des collections de l'INSEP et de la Fondation.
Sport et cinéma, une enfance partagée est parrainé par Gauthier Grumier,
escrimeur français pratiquant l'épée, champion olympique par équipe et médaillé de bronze en individuel aux Jeux Olympiques d'été en 2016.
* Institut national du sport de l'expertise et de la performance
** Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense
Du 8 au vendredi 29 septembre 2017
Rendez-vous désormais incontournable de la rentrée, Levall'Art marque le début de l'année en présentant plus de soixante artistes levalloisiens et autant d'univers différents.
Ainsi, peintres, sculpteurs, photographes, dessinateurs ou encore céramistes exposent leurs œuvres, réunis autour d'une même passion pour l'Art.
Accueillant chaque année de nouveaux talents, ce salon est l'occasion de belles rencontres et démontre tout le dynamisme de la création artistique à Levallois.
Entrée libre
Portes ouvertes des ateliers d'artistes
Samedi 9 septembre 2017 de 14h à 19h
Dimanche 10 septembre 2017 de 11h à 19h
Time:
19:00-21:00
Description:
expo du 05 au 30 septembre 2017
Nouvel hommage à la beauté de Paris et celle des femmes...
Time:
20:00
Description:
Le Pigalle
9 Rue Frochot
75009 Paris
www.lepigalle.paris
Time:
20:00
Description:
Dans le cadre du festival Paris Design Week et de la Semaine des cultures étrangères, le Centre tchèque de Paris organise l'exposition du design funéraire. L'exposition se déroulera du 7 au 30 septembre et rassemble les œuvres des jeunes designers tchèques.
en collaboration avec la galerie tchèque KVALITAR
artistes : Roman Kvita / Linda Vávrová / Sebastian Sticzay / Zuzana Knapková / Martin Chmelař / et Urnes aux racines
Le design funéraire est en train de vivre une vraie renaissance. De plus en plus souvent, les gens s'intéressent aux lieux où reposeront leurs cendres après la mort. En même temps, la gamme d'urnes funéraires s'est beaucoup élargie dans les dernières années. C'est dans ce contexte que le Centre tchèque de Paris en collaboration avec la galerie Kvalitář organisent l'exposition ACHERON qui présente des urnes funéraires des jeunes designers tchèques.
Aujourd'hui, tout le monde cherche à adapter leur environnement à leur goût. Allant de l'apparence jusqu'aux intérieurs de nos appartements, en passant par les vêtements, on préfère un style personnalisé de chaque produit. Pourtant, lorsqu'il s'agit de notre dernier voyage, on doit laisser de côté toute individualité et se contenter de produits stéréotypés et impersonnels qui sont aujourd'hui à l'offre. Mais est-ce nécessaire ? N'avons-nous pas le droit à des choix élégants même après la mort? Il est à noter, d'ailleurs, qu'une urne funéraire nous servira beaucoup plus longtemps qu'un sofa dans notre appartement. L'exposition ACHERON alors découvre un domaine largement inexploré, mais qui mérite sans aucun doute notre attention : le design funéraire. L'exposition est le résultat d'un rencontre de jeunes designers tchèques qui s'intéressent au sujet et qui ont déjà à leur actif un grand nombre de projets réussis. Ayant tous des approches artistiques distinctes, ils travaillent avec des formes et matériaux différents. Ainsi, l'exposition ACHERON propose plusieurs façons de s'assurer un lieu de repos éternel élégant et esthétique.
Voilà la preuve que le design tchèque a franchi même les murs de cimetières !
Produits présentés :
Roman Kvita et Pavlína Kvitová : « URNYY »
Zuzana Knapková : « Ensemble »
Sebestian Sticzay : « Family Chapel »
Monika Suchánská, Tomáš Rybníček, Kateřina Pěkná : « Urnes aux racines »
Linda Vránová : « Urne en basalte »
Martin Chmelař : « Je te tiens »
Exposition est organisée en collaboration avec la Galerie Kvalitář
www.kvalitar.cz/en