"Derrière chaque peinture, il y a la trace d'un mur". [Mon travail]... prend source dans une boulimie obsédante de la matière. Dnas un besoin omniprésent de textures, de toucher, propre à chacun des médiums dont je joue et dont l'absence me rend malade à proprement parler... Couleurs vives, parfois saturées ou à l'image du monde industriel ; d'un trait simple qui tente de conserver la spontanéité de l'enfance dont les influences sont diverses. Le plus simple, en fait, serait de passer voir. Et pour le vernissage, à 21h, scène ouverte de poésie urbaine organisée par grand Corps Malade & John Pucc'Chocolat : Slam'aleikoum, en plein air.
Vernissage vendredi 7 juillet à 18h30
Exposition jusqu'au 28 juillet
du lundi au samedi de 10h à 20h30 et dimanches & fériés de 14h30 à 20h30 (à minuit tous les soirs de spectacle)