Vernissage le jeudi 25 janvier à 19 heures
Exposition du jeudi 25 janvier au dimanche 25 février 2007
"Lorsque l'on peint une ligne d'horizon, le ciel et la mer, on vous parle inévitablement de Caspar David Friedrich et du sublime... Au sublime, je préfère les analyses que Kleist développe dans un texte court : "Qu'il est beau d'être au bord de la mer dans une solitude infinie, de regarder sous un ciel gris l'immensité de l'eau. Et pourtant cette plénitude n'est pas sans mélange : il faudra s'en retourner d'où l'on vient, alors qu'on aimerait s'en aller là-bas, mais l'on sait que c'est impossible, que l'on est condamné à regretter ce qui fait l'essentiel de la vie, cette vie dont on perçoit l'appel à travers le bruissement des flots, la fuite des nuages, le cri solitaire des oiseaux", Benjamin Swaim