Pour Marion Delhorbe, la peinture est un contre-pouvoir puissant au renoncement à soi, et à l'étouffement de l'être par l'avoir. Elle nous parle de beau, de magique et d'émotion, dans le monde tel qu'elle le ressent. Ses toiles exaltent les sensations de l'enfance et s'appuient sur le temps, sur les mémoires lointaines et sur les racines, grâce auxquelles nous nous sommes tous construits.