Du 30 mai au 4 juin 2011
Vernissage : lundi 30 mai de 18h à 21h
Après la 1ere exposition "Beauté quotidienne au Japon" en 2010, ils ont poursuivi leurs recherches pour aborder un sujet qui leur est cher : le croisement franco-japonais - comparaison et fusion des deux cultures. Comme l'an passé, vous y trouvez des œuvres variées mais en toute harmonie esthétique. En espérant que vous apprécierez ce croisement autant que l'évolution de leurs expressions.
Exposants :
Michiko IKEBE, organisatrice / Tableaux composés de tissus de kimono
Apprend l'aquarelle à sept ans, puis la peinture japonaise et la penture à l'huile. Elle pratique cet art depuis vingt ans. Fascinée par la beauté du kimono, elle collectionne ce tissu et l'emploie dans ses œuvres d'art.
Tomoko IMAI / Tapisseries en obi et objets en cartonnage
Aromathérapiste. Pionnière japonaise, elle dirige son salon d'aromathérapie tout en enseignant. Elle collectionne également des kimono et obi pour les transformer en tissus d'ameublement. Cette année, elle exposera ces tissus qu'elle métisse avec le cartonnage, une technique française qu'elle a appris récemment.
Céline DUJARRIC et Sophie PENNETIER / Photos
Photographes amateurs, anciennes photo-reporters pour le journal de la Polytechnique de Montréal et l'association Polyphoto. Suite à l'exposition de 2010 de clichés de voyage au Japon, elle décident en 2011 de composer des scènes de la vie parisienne reflétant les croisements franco-japonais.
Akio SASSA / Sculpture structurale
Ingénieur spécialisé dans les ponts et docteur en histoire des techniques. Si son jeu d'échecs esposé en 2010 représentait son passe-temps, cette année, il révèle des produits dérivés de sa profession : sculpture basée sur un équilibre structural curieux.
Seisho TANAKA / Calligraphie
Pratiquant la calligraphie japonaise depuis l'âge de six ans, elle s'appuie aujourd'hui son travail sur ses trente années d'expérience. Elle obtient en 1998 la qualification de professeur de Kanji, et est diplômée en kana six ans plus tard. Son expression en kana, notamment en écriture fine, est très appréciée.
Laure REVEILLERE / Sténographie
Alors qu'elle apprend le théâtre au Conservatoire d'Art dramatique de Vendée, elle se forme aussi à la sténographie dans une école de Nantes. Elle passe de l'un à l'autre et trouve son expression dans des tableaux où la sténo prend toute sa poésie.
|
|