du 2 novembre au 31 décembre 2006
Une salle obscure, une voiture recouverte de plumes noires, une bande-annonce de film… Le Kant Tuning Club (2005) oscille entre installation sculpturale, décor cinématographique et tuning. D'un élément à l'autre, Raphaël SIBONI joue avec des effets d'annonce, créant un univers irrésolu, suspendu à sa propre interrogation. Comment construire un objet sculptural de la même manière que l'on élabore un scénario ? Où commence la fiction ? Autant de questions esquissées par l'artiste Raphaël SIBONI sous la forme d'un film à venir.
Présentation du film TDF06, Chant (2006) de Jean-Marc CHAPOULIE
Film documentaire au format télévisuel réalisé à partir d'un montage d'extraits du Tour de France. Jean-Marc CHAPOULIE enlève toute dimension sportive à la célèbre course cycliste en ne conservant des 42 heures de direct que les vues aériennes des Alpes ou des Pyrénées, les franchissements de villages pittoresques ou les descriptions de monuments historiques… Reste une épopée touristique de 52 minutes où les coureurs cyclistes sont réduits au rang de figurants. Mais tandis qu'au fil des étapes, la musique inquiétante de Stéphane BERARD se superpose aux commentaires journalistiques, c'est entre dépaysement et angoisse que la! France du Tour se dévoile.
19h30 : Lancement du magazine Palais, trimestriel sur les expositions du Palais de Tokyo
19h30 : Expo de la NOGOOD INDUSTRIE « NoGood Friend »
Voir :
http://agenda.germainpire.info/view_entry.php?id=4816&date=20061102
20h : Rencontre/signature à la librairie du Palais de Tokyo à l'occasion de la parution de Fresh Théorie II (
Editions Léo Scheer, avec le soutien de la Fondation d'entreprise Ricard). En présence de Mark Alizart et Christophe Kihm, Marc-Olivier Wahler, Patrice Maniglier, Frédéric Neyrat, Patrice Blouin, Olivier Schefer, Bastien Gallet, Laurent Jeanpierre, Jean-Marc Chapoulie, Catherine Malabou, Erik Bullot, Lissa Lincoln, Laurent Goumarre, David Rabouin, Nicolas Thély, Valéry Grancher et Pierre-Olivier Capéran.
21h30 : Concert/performance d'Andrew DYMOND, alias DURACELL
Equipées de capteurs, les peaux de sa batterie composent puis déstructurent des thèmes de jeux video époque Atari ou Commodore 64. Aussi naïfs qu'épileptiques, les morceaux de Duracell évoluent au gré de sa sensibilité ou de sa condition physique, car la formule n'est jamais figée et l'improvisation tient une place importante.