32ème cérémonie de remise des Trophées des Meilleurs Franchisés et Partenaires de France IREF 2019
#tropheesIREF2019
Time:
17:00-22:00
Description:
L'Académie des technologies a le plaisir de vous convier à sa soirée événement « Convention & Grands Prix de l'Académie des technologies » qui chaque année rassemble des participants issus du monde de l'enseignement, de la recherche, de l'industrie, des pouvoirs publics et de la presse, autour d'un secteur industriel en pleine évolution, de ses défis technologiques et des enjeux associés en termes de métiers et de compétences.
Cette 3e édition sera consacrée au thème de la mobilité terrestre du futur, avec des interventions d'experts et de décideurs du secteur, et la remise de deux Grands Prix récompensant des startups innovantes.
A l'issue des présentations, un cocktail vous sera offert pour poursuivre les échanges autour de stands animés par les entreprises nominées aux Grands Prix et de démonstrations de partenaires.
Inscription dans la limite des places disponibles avant le 10 novembre
PROGRAMME
A partir de 17h : Accueil des participants
17h45 - Mot de bienvenue par Thierry GUERRIER, Journaliste-Animateur
17h50 - Présentation de l'Académie des technologies par Pascal VIGINIER, Président de l'Académie des technologies
18h - Entretien sur le thème « Territoires et mobilité, quels nouveaux usages pour le 21e siècle ?» avec Dominique CHRISTIAN, Philosophe, et Patrick PELATA, Ancien Directeur général délégué du groupe Renault et Membre de l'Académie des technologies
18h35 - Table ronde sur le thème « Mobilité électrique : hybride rechargeable, électrique, pile à hydrogène, un nouvel écosystème à développer »
Intervenants : Patrick BASTARD (Renault), Thierry FAUGERAS (Eren), Marc GRANGER (Alstom), Stéphanie JUMEL (EDF) et Pierre TOULHOAT (BRGM)
19h25 - Intervention sur le thème « Impact du digital sur les chaines de valeur de l'industrie automobile » par Marc MORTUREUX, Directeur général de la Plateforme automobile et Membre de l'Académie des technologies
19h40 - Table ronde sur le thème « Enjeux technologiques et industriels du véhicule connecté et automatisé »
20h30 - Remise des Grands Prix de l'Académie des technologies, catégories Technologie et Technologie et société, par Roger STANCHINA, Président de la Fondation Arts et Métiers, et Dominique VERNAY, Vice-Président de l'Académie des technologies
20h45 - Allocution de clôture par Anne-Marie IDRAC, Ancienne ministre, haute représentante pour le développement des véhicules autonomes
A l'occasion du 30e anniversaire de la
Convention Internationale des droits de l'enfant
La Mairie du 9e
&
l'Unicef
ont le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition de dessins, peintures et maquettes des élèves en design de l'école La Ruche
"30 ANS DES DROITS DE L'ENFANTS - UNICEF"
Lundi 18 novembre
à 17h
Salons Aguado, Mairie du 9e
Exposition du 18 au 22 novembre
Time:
17:00-18:30
Description:
Fais pas genre - Les métiers du spectacle et de l'audiovisuel n'ont pas de sexe
par le Pôle Emploi Île de France
Time:
17:45-20:00
Description:
Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE) 30 ans avec l'UNICEF
L'UNICEF et la Mairie du 15e sont heureux de vous inviter à l'exposition CIDE 30 ANS Convention internationale des droits de l'enfant, du lundi 18 au samedi 23 novembre dans le hall de la Mairie du 15e.
Le 20 novembre 1989, les dirigeants de la planète s'engagent à construire un monde digne des enfants : la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE) est adoptée à l'unanimité par l'ONU.
Inauguration de l'exposition lundi 18 novembre à 17h45
Time:
18:00-23:00
Description:
1000 professionnels du Retail seront présents
Cette soirée mettra en lumière les principales innovations du secteur mais aussi de participer et comprendre, au travers des débats et des prises de paroles, tous les enjeux d'un monde passionnant en totale évolution.
La Nuit du Commerce Connecté a frappé fort pour cette année : 70 projets ont été retenus par le comité de sélection et ont été présentés à notre grand jury le 17 octobre dernier !
Une soirée co-animée par
Marc Dumas et Michel-Edouard Leclerc
rythmée par les retours d'expérience du jury, leur avis sur les candidats nommés, des interventions live sur les enjeux du retail, et les projets à succès de 10 enseignes, que les équipes viennent défendre elles-mêmes sur la scène du Théâtre de Paris !
Une soirée incroyable, avec plus de 1000 inscrits !
Exposition de peinture chinoise, par l'artiste Alexandrine Dévé, du 18 au 23 novemre 2019 à l'espace Jano du Centre Sèvres.
Vernissage le lundi 18 novembre 2019 à 18h
https://www.artmajeur.com/alexandrinedv
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:15-21:00
Description:
Réception en l'honneur des élus des départements et collectivités d'Outre-mer
dans le cadre du Salon des Maires et des Collectivités Locales 2019
Time:
18:30-21:00
Description:
Mezzanine est
Du mardi 19 novembre 2019 au dimanche 29 mars 2020
À travers près de 230 œuvres exceptionnelles, l'exposition dévoile la technicité complexe et riche de l'une des traditions de fer forgé les plus sophistiquées au monde. Panorama inédit des créations de ces maîtres du feu depuis plus de 2500 ans.
À PROPOS DE L'EXPOSITION
Peu d'endroits dans le monde ont un rapport aussi puissant avec le fer que l'Afrique subsaharienne. Depuis plus de deux millénaires, le travail de l'un des matériaux les plus fondamentaux de la planète a révolutionné le continent et façonné en profondeur ses communautés et cultures, des champs aux foyers, des terrains de bataille aux lieux religieux. Sous le marteau du forgeron africain, maître du feu et virtuose de la transformation, le métal a été fondu, forgé, martelé puis métamorphosé en objets, et parfois investis d'un pouvoir social et spirituel, avec une sensibilité artistique impressionnante.
Orchestrée par l'artiste et forgeron américain Tom Joyce et les membres du comité scientifique, l'exposition "Frapper le fer, l'art des forgerons africains" déploie une diversité de formes et de traditions autour du fer dans différentes régions du continent subsaharien. Près de 230 pièces réalisées entre le 17e siècle et l'époque contemporaine, allant de la sculpture en bois à une myriade de formes de monnaies, instruments de musique, armes, objets de prestige, témoignent du talent et des prouesses techniques des forgerons d'Afrique, personnages autant vénérés que craints. Un ensemble unique d'œuvres, de collections publiques et privées, originaires de plus de quinze pays parmi lesquels le Nigeria, le Mali, le Bénin ou la République démocratique du Congo, est réuni au musée du quai Branly - Jacques Chirac pour l'une des présentations les plus complètes jamais réalisées.
"Frapper le fer, l'art des forgerons africains" est organisée par le Fowler Museum at UCLA, Los Angeles. Elle est rendue possible grâce aux contributions majeures du National Endowment for the Humanities et du National Endowment for the Arts. L'exposition a également reçu le soutien du Martha and Avrum Bluming Exhibition Fund.
COMMISSAIRE PRINCIPAL
Tom Joyce, sculpteur lauréat du prix MacArthur initialement formé à la ferronnerie
COMITÉ SCIENTIFIQUE
Allen F. Roberts, professeur des Arts et Cultures/Danse du monde à UCLA
Marla C. Berns, Shirley & Ralph Shapiro Director, Fowler Museum
William J. Dewey, directeur du programme d'études africaines et professeur associé d'Histoire de l'art africain à l'Université d'État de Pennsylvanie
Henry John Drewal, professeur Evjue-Bascom d'histoire de l'art et d'Études africaines-américaines à l'université du Wisconsin à Madison
RENCONTRE
MARDI 19 NOVEMBRE À 17H (EN SALLE DE CINÉMA)
Rencontre exceptionnelle avec Henry John Drewal, commissaire associé de l'exposition et projection de ses deux derniers documentaires sur les forgerons du Maroc et sur le dieu Ogun en République du Bénin (sous-titres français).
Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Time:
18:30-21:00
Description:
Galerie Marc Ladreit de Lacharrière
Du mardi 19 novembre 2019 au dimanche 28 juin 2020
Regards sur les arts extra-occidentaux au travers de la collection Helena Rubinstein. L'exposition révèle la fascination pour l'art africain de la pionnière des cosmétiques, mécène et collectionneuse avant-gardiste au début du 20e siècle.
À PROPOS DE L'EXPOSITION
Personnalité hors-norme, première femme d'affaires du XXe siècle, self-made-woman affranchie et visionnaire... Si les superlatifs fusent pour décrire l'ascension vertigineuse d'Helena Rubinstein (1870-1965), l'Impératrice de la beauté selon Cocteau, on en oublie parfois son parcours de collectionneuse aguerrie et son rôle pionnier dans la reconnaissance des arts africains et océaniens en Europe et outre-Atlantique. Construite essentiellement à Paris, au gré de ses rencontres, « la collection de Madame », aujourd'hui dispersée, rassemblait plus de 400 pièces d'art extra-européen, précieux gardiens de reliquaires kota ou fang, pièces d'exception baoulé, bamana, senoufo ou dogon, qui voisinaient avec les œuvres de peintres et sculpteurs de la modernité, Marc Chagall, Georges Braque ou Pablo Picasso, et beaucoup d'autres domaines de collection.
À travers une soixantaine de pièces, l'exposition met à l'honneur sa passion pour les arts extra-occidentaux, principalement l'art africain, et sa fascination pour leur intensité expressive et leur caractère. Des arts qu'elle a découverts dans les années 1910, au contact du sculpteur Jacob Epstein puis de collectionneurs d'avant-garde parisiens, et qu'elle mettra un point d'honneur à mettre en valeur dans ses intérieurs de Paris, New-York et Londres mais aussi, dans un souci d'éducation de sa clientèle féminine, dans ses salons de beauté du monde entier et en participant à de grandes expositions.
Cette exposition est réalisée grâce au soutien de Marc Ladreit de Lacharrière.
COMMISSAIRE
Hélène Joubert, Responsable de l'unité patrimoniale Afrique au musée du quai Branly-Jacques Chirac, Paris
SCÉNOGRAPHIE
Studio Vaste
Time:
18:30-21:00
Description:
Atelier Martine Aublet
Du mardi 19 novembre 2019 au dimanche 08 mars 2020
L'exposition propose un double portrait de Somuk, personnage singulier du Pacifique : parangon d'artiste « brut » pour l'entourage de Dubuffet, leader politique pour les habitants de sa région.
À PROPOS DE L'EXPOSITION
Célèbre dans son village du nord des îles Salomon dès les années 1930, Somuk attire l'attention de l'intelligentsia parisienne d'après-guerre grâce aux écrits du père Patrick O'Reilly. Il tombe ensuite dans l'oubli sauf à Gagan, son village natal, ou il acquiert après sa mort un statut de demiurge.
L'acquisition récente d'un album de photographies constitué par le père O'Reilly donne l'occasion de présenter le travail de l'un des artistes majeurs du Pacifique, de mettre en lumière le contexte dans lequel ces dessins ont été créés ainsi que les différentes interprétations qu'on leur a données. L'exposition évoque en premier lieu les sociétés de Bougainville au sein desquelles Somuk a grandi, et en parallèle les nombreuses commandes de dessins par les missionnaires et anthropologues de l'époque. Le parcours explore ensuite la singularité de son œuvre, puis s'intéresse à son héritage actuel. À travers une série de dessins contemporains inspirés par Somuk, elle se conclut en évoquant l'une des pages les plus noires de l'histoire contemporaine du Pacifique : la guerre civile de Bougainville.
Cette exposition est associée à l'année internationale des langues autochtones organisée par l'Unesco.
COMMISSAIRE :
Nicolas Garnier, Responsable de l'unité patrimoniale Océanie au musée du quai Branly - Jacques Chirac, Paris.
RENCONTRE
MERCREDI 20 NOVEMBRE À 17H (SALON DE LECTURE J.KERCHACHE)
Rencontre avec Nicolas Garnier, responsable de l'unité patrimoniale Océanie au musée du quai Branly - Jacques Chirac et commissaire de l'exposition, en présence d'Enoch Rapi et Bertrand Kenneh.
Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Time:
18:45-21:00
Description:
Pour entendre les plus beaux textes s'animer par la voix, découvrir le plaisir et le champ immense de nouvelles interprétations offerts par le livre audio, la commission Livre audio du SNE organise au Théâtre du Vieux-Colombier, en partenariat avec la Comédie-Française et avec le soutien de la Sofia, et pour la seconde fois, une grande soirée littéraire « Les mille et une voix du livre audio » le 18 novembre.
La soirée sera animée par Blandine Masson, Directrice de la fiction, France Culture.
Laurent Gaudé, Noémie Lvovsky, Laurent Natrella, Jérôme Garcin, et bien d'autres... liront des extraits de textes, entrecoupés d'extraits sonores.
Programme
Ouverture par Eric Ruf, administrateur général de la Comédie-Française.
Introduction par les membres de la commission Livre audio du Syndicat national de l'édition.
Jérôme Garcin - lecture de « Le dernier hiver du Cid » et mots sur l'oralité, les bienfaits du livre audio (Gallimard - Ecoutez lire)
Marie Bouvet - lecture de « My absolute darling » de Gabriel Tallent (Audiolib)
Benjamin Jungers - lecture de « Dune » de Franck Herbert (Lizzie)
Noémie Lvovsky et Micha Lescot - lecture de « Est-ce que tu m'aimes encore ? » Correspondance de Marina Tsvétaïeva et Rainer Maria Rilke (Editions Des femmes - Antoinette Fouque)
Laurent Gaudé - lecture de « Salina » (Actes Sud)
Claire Cahen - lecture de « Sotah » de Naomi Ragen (Yodéa)
Laurent Natrella - lecture d' »A la recherche du temps perdu » de Marcel Proust (Thélème)
Ce lundi soir, au Pavillon Gabriel situé au pied des Champs Elysées, les meilleur(e)s joueurs et joueuses ont été mis à l'honneur. Voici le palmarès des Oscars de Midi Olympique.
Après 66 éditions, la cérémonie des Oscars Midi Olympique possède sa tradition, laquelle se veut participative : en effet, ce sont les lecteurs de Midi Olympique qui élisent les trois meilleurs joueurs français à qui l'on remet l'Oscar de Bronze, d'Argent et d'Or. Et pour cette édition 2019, les lecteurs de Midi Olmypique ont choisi d'honorer trois hommes qui ont particulièrement brillé avec leurs clubs respectifs et le XV de France : le Rochelais Grégory Alldritt, le Clermontois Damian Penaud et le Toulousain Antoine Dupont qui se sont vus décerner respectivement les Oscars de Bronze, d'Argent et d'Or.
A seulement 21 ans, le Rochelais Grégory Alldritt décroche donc le bronze après une saison 2018-2019 remarquable. Celui qui jouait il y a encore trois ans en Fédérale 1, pour son club d'Auch dans le Gers est aujourd'hui considéré comme l'un des talents les plus prometteurs du XV de France, au point d'avoir poussé Louis Picamoles sur le banc des remplaçants avec les Bleus. Un tour de force qui méritait bien une distinction.
Autre grand talent du rugby français, l'ailier clermontois Damian Penaud. Auteur d'un excellent Tournoi et d'une Coupe du monde remarquée, le joueur de 22 ans décroche le bronze. Seul ombre au tableau, Penaud n'a pu être présent parce qu'il vient de se faire opérer du visage après avoir subi un gros choc contre Rémy Grosso à l'entraînement.
L'Oscar d'Or est enfin revenu au Toulousain Antoine Dupont. Véritable phénomène de précocité, le demi de mêlée a prouvé lors de cette Coupe du monde qu'il avait les qualités pour devenir un très grand international.
Bourdon et Kolbe honorés
La rédaction de Midi Olympique a quand à elle choisi d'honorer deux autres joueurs : la première est une joueuse, puisqu'il s'agit de la demi de mêlée de l'AS Bayonne et des Bleues Pauline Bourdon. Etincelante avec les Tricolores, la Bayonnaise a été nommée deux fois de suite parmi les meilleures joueuses du monde par World Rugby. Et confirme, avec Jessy Trémoulière, que la France est bien l'une des nations majeures du rugby féminin mondial.
Le second n'est autre que l'ailier du Stade toulousain et des Springboks Cheslin Kolbe, à qui la rédaction a décidé de décerner l'Oscar Monde. Une juste récompense pour celui qui a réalisé une saison proprement ahurissante en remportant la même année le Top 14, le Rugby Championship, et la Coupe du monde. Un palmarès qu'un nombre incalculable de rugbymen convoitent tout au long de leur carrière, et que l'ailier supersonique a râflé en un an..
Time:
19:00-21:00
Description:
Le prix Apollinaire, le plus ancien et le plus prestigieux prix de poésie en France aura lieu le lundi 18 novembre à 19h aux Deux Magots, ancien quartier général de Guillaume Apollinaire lui-même. Cette année, le prix sera remis par Christian Vadim, Parrain de ce prix prestigieux.
Fondé en 1941, le prix Apollinaire couronne chaque année « en dehors de tout dogmatisme d'école ou de technique un recueil caractérisé par son originalité et sa modernité ». Il est considéré comme un Goncourt de la poésie - en partie parce que certains membres du jury ont été ou sont jurés Goncourt, comme André Billy, Hervé Bazin, Armand Lanoux, Robert Sabatier ou Tahar Ben Jelloun. Nouvellement créé, le prix Apollinaire Découverte couronne, quant à lui, un jeune auteur particulièrement remarquable aux yeux des membres du jury.
Présidé par Jean-Pierre Siméon - poète et dramaturge, qui, après avoir été, pendant seize ans, directeur artistique du Printemps des Poètes, dirige à présent la collection « Poésie/Gallimard » -, le jury est composé de personnalités du monde de la poésie. Nommons-les tout de suite : Marc Alyn, Linda Maria Baros (secrétaire générale), Tahar Ben Jelloun, Zéno Bianu, Fabienne Courtade, Philippe Delaveau, Guy Goffette, Jean Portante et Jean Rouaud.
Catherine Mathivat, présidente des Deux Magots, apporte un soutien indéfectible autant au prix Apollinaire qu'au prix Apollinaire Découverte non seulement en accueillant leur cérémonie de remise, mais aussi en les dotant respectivement de 3.500 euros et 500 euros. Les deux prix bénéficient également de l'appui d'autres mécènes, compagnons de longue date : Pierre Guénant, propriétaire du vignoble Villa Beaulieu, Pierre Walusinski, de la librairie Nicaise, et Le Printemps des Poètes.
L'année dernière, deux lauréats ont été primés :
Cécile Coulon, lauréate du prix Apollinaire 2018 pour son recueil « Les Ronces » (Castor Astral) et Alexandre Bonnet-Terrile, lauréat du prix Apollinaire Découverte pour son recueil « Les numérotés » (Castor Astral).
PRIX APOLLINAIRE
Sélection du prix Apollinaire 2019
Olivier Barbarant, Un grand instant, Champ Vallon, 2019
Séverine Daucourt, Transparaître, LansKine, 2019
Yves Leclair, L'autre vie, Gallimard, 2019
Gérard Pfister, Ce qui n'a pas de nom, Arfuyen, 2019
Jacques Vandenschrick, Livrés aux géographes, Cheyne éditeur, 2018
PRIX APOLLINAIRE DÉCOUVERTE
Sélection du prix Apollinaire Découverte 2019
Adeline Baldacchino, D'écrire, Outrebleu, 2018
Arthur Billerey, À l'aube des mouches, Éditions de l'Aire, 2019
Sébastien Fevry, Solitude Europe, Cheyne éditeur, 2018
Anne Lorho, Froissements, La rumeur libre, 2019
Aldo Qureshi, Barnabas, Vanloo, 2018
LE PRIX APOLLINAIRE 2019
a été attribué hier soir aux Deux Magots
à Olivier Barbarant
pour son recueil Un grand instant
aux éditions Champ Vallon
LE PRIX APOLLINAIRE DÉCOUVERTE 2019
a été attribué à Sébastien Fevry
pour son recueil Solitude Europe
paru chez Cheyne éditeur
Time:
19:00-22:00
Description:
en présence d'Alain Ducasse
Les Collectionneurs, émanation de Châteaux & Hôtels Collection, rassemblent les restaurateurs, les hôteliers, voyageurs, qui ont le goût des voyages.
Time:
20:00-23:00
Description:
Elite Model Look 36th World Final
Time:
20:00-23:00
Description:
en présence de Benjamin Griveaux, Muriel Robin
2ème soirée de Gala au profit de l'association nationale "Le Refuge" et de ses actions de soutien aux jeunes LGBT+ victimes d'homophobie ou de transphobie
Time:
20:30-23:00
Description:
en présence de Marc-Olivier Fogiel, Sylvie Vartan, Renaud, Daniel Auteuil, Michel Drucker, Nadine Trintignant, Marc-Olivier Fogiel, Gilbert Montagné
"A 75 ans, sans fausse modestie, je dois reconnaître que ma voix n'a pas bougé, comme un cadeau du ciel!": Dave qui a dominé les seventies, fait son grand retour pour fêter cinquante ans de carrière.
"Mes cordes vocales me permettent de gagner ma vie. C'est mieux que de faire vieille pute!", confie-t-il à l'AFP, avec ce ton très direct qui l'a rendu populaire autant que ses ritournelles: "Du côté de chez Swann", "Est-ce par hasard" ou "Mon cœur est malade" au Panthéon de la chanson francophone.
Pour ses 50 ans de carrière, il sort un nouvel album studio qu'il va étrenner lundi sur la scène de Bobino, avant une tournée.
Ce retour sous les projecteurs, Dave estime qu'il le doit à son plus proche voisin à l'Ile-sur-la-Sorgue: Renaud a décidé de produire ce nouvel album "Souviens-toi d'aimer", regroupant douze titres dont plusieurs abordent des questions sociétales.
"Il est venu me voir en concert. Il m'a félicité en me disant que j'étais un clown musical pour toutes les bêtises que j'ai l'habitude de dire entre les chansons", raconte Dave.
"Renaud n'a pas bu depuis un an. Il est très bien", observe-t-il au passage. Mister Renard signe d'ailleurs l'un des nouveaux titres de Dave, "Une Femme qui s'en va", aux tonalités personnelles : "Une femme qui s'en va, ça ne revient jamais/Et la mélancolie vient alors s'installer/Comme une pierre tombale".
- "Pas le mal de mère" -
Avec "La fille aux deux papas", Dave aborde la GPA, avec un regard plein de tendresse sur une fillette élevée par un couple homosexuel: "Elle n'a pas le mal de mère/Au contraire/Dans son cœur, tout est clair/Elle a tous ses repères".
"C'est Marc-Olivier Fogiel (NDLR : papa de deux fillettes nées par GPA) qui a suggéré une chanson sur ce thème. Pour moi, ce n'est qu'une chanson d'amour sous un autre angle", estime Dave.
"Avant, je n'interprétais pas de chansons clivantes. Je ne suis pas un politicien en train de transformer le monde. En tout cas, aux Pays-Bas, la GPA est passée comme une lettre à la poste il y a fort longtemps", ajoute le plus Français des Néerlandais.
"Je suis juste un chanteur d'amour. Je suis content de ne pas être président de la République. La France est un pays ingérable, intransformable..."
Les affres de l'amour inspirent plusieurs titres dont "Quittons-nous bons amants", "Inséparés" et "Deux moitiés d'une même orange" en écho au couple qu'il forme depuis 48 ans avec Patrick Loiseau, son parolier attitré depuis son premier grand succès, l'adaptation en français de "Sugar Baby Love" des Rubbets en 1974, avant le million d'exemplaires de "Vanina".
- "Pas une limace" -
"Je suis un chanteur de varietoche et fier de l'être, même si cet album va apparaître comme celui de la maturité. A 75 ans, il est temps!", souligne Dave qui attribue sa popularité à la manière dont il aborde les choses, maniant souvent l'auto-dérision et la raillerie sympathique.
"J'ai la langue bien pendue et j'ai beaucoup de facilité à dire des gros mots français, pas ceux de ma langue d'origine! Et si je suis caustique, c'est avec bon cœur!", assure celui qui a animé de nombreuses émissions de TV, en parfait "entertainer".
Pour Dave, la scène, "c'est le Nirvana": "il ne faut pas trop le dire sinon les gens ne paieront plus leur place!".
"Même si une chanson de variété peut accompagner la vie des gens, je ne suis pas une limace : je sais que je ne vais pas laisser de traces!". "La chose qui m'a fait plaisir est d'entendre Calogero reprendre à sa manière +Du côté de chez Swann+. Un standard, c'est peut-être une chanson avec plusieurs interprètes".
Description:
C'est le jour le plus important de l'année, pour les Monégasques. Les cérémonies commencent, le matin, par une messe solennelle d'actions de grâce et un Te Deum à la cathédrale de Monaco, en présence de tous les notables de la principauté, car le catholicisme y est la religion d'Etat. Puis la famille princière assiste à une remise de décorations dans la Cour d'honneur du Palais, suivie d'une revue des troupes. Les monégasques sont nombreux à se rassembler pour célébrer leur identité et témoigner de leur fidélité au prince.
A l'origine, le jour de la Fête Nationale variait en fonction du prénom du prince souverain. Sous Charles III, qui régna de 1857 à 1890, elle était fixée au 4 novembre, parce que c'était le jour de la Saint Charles. Quand le prince Albert 1er lui a succédé, elle a été déplacée au 15 novembre, jour de la Saint Albert. La Saint Rainier étant célébrée le 19 novembre, c'est la date qui fut retenue lors de l'avènement de Rainier III, et l'on aurait logiquement du revenir au 15 novembre, en 2005, quand le Prince Albert II est monté sur le trône. Mais le nouveau prince a voulu mettre fin à cette mobilité. Il a décidé de maintenir la date du 19 novembre en souvenir de son père.
La fête nationale n'en reste pas moins vécue, avant tout, comme la fête du prince, c'est-à-dire de l'héritier de la plus ancienne dynastie régnante du monde. Les Grimaldi sont en effet les maîtres du Rocher depuis 1297, et ils ont su préserver son indépendance, au fil des siècles, en dépit de tous les bouleversements de la carte de l'Europe, à l'exception d'une courte période (sous le Premier Empire) où il fut rattaché à la France. La principauté a d'ailleurs été reconnue par l'Organisation des Nations-Unies, qui lui a accordé un siège.
Description:
19, 20 et 21 novembre 2019
LE SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITÉS LOCALES DEPUIS PLUS DE 20 ANS !
Créé en 1996 en parallèle du Congrès des Maires, le SMCL est le seul rendez-vous annuel national qui réunit tous les grands acteurs de la commande publique avec l'ensemble de leurs partenaires.
https://www.salondesmaires.com
Time:
09:00-12:00
Description:
Inauguration du salon MILIPOL par Christophe CASTANER
La presse est attendue à 09h00
09h30 Arrivée de MM. le ministre de l'Intérieur et le secrétaire d'État
Parc des expositions de Villepinte
Toute presse accréditée
Accueil républicain
Découpe du ruban en présence des délégations officielles
Parcours de MM. le ministre de l'Intérieur et le secrétaire d'État sur les différents stands du salon
11h30 Discours de M. le ministre de l'Intérieur
Pour Christophe Castaner, le préfet de police de Paris "n'a pas outrepassé sa neutralité"
Didier Lallement est pointé du doigt par des gilets jaunes ainsi que des membres de La France insoumise, notamment pour ses propos captés par BFMTV dimanche.
Le préfet de police de Paris a le soutien du gouvernement. Interrogé sur les propos de Didier Lallement, qui avait lancé dimanche à une gilet jaune, au lendemain de la manifestation anniversaire du mouvement, qu'il n'était "pas dans le même camp" qu'elle, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a affirmé sa solidarité avec le haut fonctionnaire.
Le préfet de police de Paris "a-t-il outrepassé sa neutralité?", a demandé un journaliste de "Quotidien" à Christophe Castaner, venu inaugurer ce mardi 19 novembre à Villepinte (Seine-Saint-Denis) le salon Milipol, dédié à la sécurité intérieure des États. "Il n'a pas outrepassé sa neutralité", a tranché le ministre de l'Intérieur, tout en éludant la question portant sur les propos du préfet.
"Il a fait en sorte que l'ordre public soit rétabli face à des femmes et des hommes qui, dès samedi matin, 10 heures, ont voulu casser, ont voulu brûler, ont pourchassé des policiers", a dépeint Christophe Castaner. "Le préfet Lallement a fait ce qu'il devait faire, c'est-à-dire diriger une manœuvre pour rétablir l'ordre public. Soyez fier, monsieur, de l'engagement de nos forces. Moi je suis fier de voir aujourd'hui qu'il y a des femmes et des hommes qui à chaque instant se préoccupent, se mobilisent, combattent pour la sécurité des Français", a-t-il ajouté.
Un "devoir de réserve"
Les propos de Didier Lallement ont beaucoup fait parler depuis dimanche, notamment dans les rangs des gilets jaunes. Filmé par les caméras de BFMTV alors qu'il constatait, place d'Italie à Paris, les dégâts commis la veille par des casseurs, le préfet est interpellé par une riveraine au sujet des casseurs. Tandis qu'elle se présente comme une gilet jaune, Didier Lallement lui répond: "eh bien, nous ne sommes pas dans le même camp, madame". Et le préfet de tourner les talons.
Plusieurs observateurs ont estimé que le préfet de police transgressait, par ses propos, le code de déontologie de la police nationale. "Le policier est tenu à l'obligation de neutralité. Il s'abstient, dans l'exercice de ses fonctions, de toute expression ou manifestation de ses convictions religieuses, politiques ou philosophiques", indique l'article R. 434-29 relatif au "devoir de réserve" des fonctionnaires de police.
Mais, comme l'explique Nicolas Hervieu, juriste spécialiste du droit public, auprès de franceinfo, "le préfet de police n'est pas un policier, c'est un préfet". Le code de déontologie cité plus haut ne s'applique donc pas à Didier Lallement, qui fait partie du corps préfectoral.
Ce dernier, en tant qu'agent public, est toutefois bel et bien soumis "à un devoir de réserve", précise Thibaud Mulier, maître de conférences en droit public à l'université Paris Nanterre, toujours auprès de franceinfo. Ce devoir de réserve l'engage, en tant que représentant de l'État, "à ne pas manifester son opinion ou avoir un comportement de nature à porter atteinte à l'image et à la considération du service public, ici de la sécurité publique et du maintien de l'ordre", indique-t-il.
Le préfet de police exerçant une "fonction politique éminemment sensible", son devoir de réserve est toutefois "très allégé", selon Nicolas Hervieu.
Soutenu par Édouard Philippe
Le premier ministre Édouard Philippe a fustigé ce mardi à l'Assemblée le député La France insoumis Ugo Bernalicis, qui avait mis en cause le préfet de police de Paris pour sa gestion de la manifestation de samedi.
"Mettre en cause nommément un fonctionnaire qui exerce sa mission au service de l'État et qui, dans cet hémicycle, ne peut pas répondre puisqu'il ne peut pas parler et qu'il ne peut pas s'y présenter, me semble ne pas exactement correspondre aux exigences que nous avons à poser d'une démocratie mûre", a sèchement répondu le chef du gouvernement.
Lors de la nomination de Didier Lallement en mars, en remplacement de Michel Delpuech, Christophe Castaner avait salué un préfet qui "a de la poigne", rappelle Le Figaro.
Time:
16:00
Description:
au Bridge
en présence de Joyce Jonathan, Axelle Laffont, Julien Courbet, Marc Simoncini, Ora ïto, Alexia Laroche-Joubert, Xavier de Moulins, Vicky Bogaert, Guy Lagache, Emmanuel Chain, Julien Boisselier, Jean-Roch, Xavier Niel, Patricia Goldman, Jacques-Antoine Granjon, Thierry Gillier, Carol Gerland, Randall Schwerdorffer, Olivier Carreras, Laurent Dassault, Jean-David Blanc, Didier Quillot, Fleur Pellerin, Jacques Bungert, Frédéric Torloting
Le 19 novembre 2019 était organisée la soirée de lancement du nouveau vélo électrique Angell. Joyce Jonathan, Axelle Laffont ou encore Julien Courbet ont fait le déplacement pour l'occasion.
Le 19 novembre 2019 était un grand jour pour Marc Simoncini et Ora ïto. Cette date marque la soirée de lancement du nouveau vélo électrique Angell, créé par le fondateur de Meetic et multi-investisseur, et dessiné par le designer français.
A cette occasion, de nombreuses personnalités se sont rendues au Bridge, sous le pont Alexandre III à Paris, afin de découvrir ce nouveau bijou. Le duo a pu compter sur Joyce Jonathan. Radieuse, la belle chanteuse de 30 ans a fait sensation en petit short en cuir noir, cuissardes rouges et petit pull blanc. Alexia Laroche-Joubert a également opté pour du cuir, tandis qu'Axelle Laffont affichait un look tout en noir à cette soirée au projet plein d'espoir.
Les animateurs de M6 Xavier de Moulins, Julien Courbet et Vicky Bogaert, ainsi que Guy Lagache, Emmanuel Chain ont répondu présents. Marc Simoncini et Ora ïto ont également pu compter sur l'acteur et metteur en scène Julien Boisselier, Jean-Roch, Xavier Niel, Patricia Goldman, Jacques-Antoine Granjon, Thierry Gillier (fondateur et le PDG de la marque de prêt-à-porter Zadig & Voltaire), Carol Gerland (directrice de la communication - Zadig & Voltaire), l'avocat Randall Schwerdorffer, le producteur français Olivier Carreras, Patricia Goldman, Laurent Dassault, Jean-David Blanc (entrepreneur français, fondateur d'AlloCiné et Molotov), Didier Quillot (directeur exécutif de la Ligue de football professionnel), la femme politique Fleur Pellerin et enfin Jacques Bungert et Frédéric Torloting (PDG de Courrèges).
La soirée ne leur a heureusement pas fait perdre les pédales tant le projet est ambitieux. Invité sur Europe 1 le 25 novembre 2019, Marc Simoncini s'est confié sur Angell : "C'est au vélo ce que l'iPhone a été au téléphone. Il est bourré d'électroniques et de logiciels. Il est ultra simple à utiliser. (...) On a voulu faire le vélo le plus sûr du monde. A l'avant du vélo, il y a un écran qui est tactile. (...) Sur cet écran vous avez la direction à prendre si vous avez décidé d'utiliser un logiciel pour vous guider, vous avez votre vitesse, les calories, l'état de votre batterie, quatre modes d'assistance électrique en fonction du trajet que vous allez faire. Et surtout, vous avez toutes les fonctions de protection du cycliste et du vélo." Si le cycliste subit une violente chute et qu'il reste inconscient, une alerte est envoyée à son répertoire d'urgence. Il y a également des bandes réfléchissantes sur les pneus et le vélo peut être verrouillé. "Si vous touchez le vélo alors qu'il est verrouillé, il sonne. Vous pouvez le bloquer à distance", a-t-il conclu. Pour se l'offrir, il faudra débourser 2 690 euros.
Joyce Jonathan
Xavier Niel, Patricia Goldman, Marc Simoncini, Jacques-Antoine Granjon
Vicky Bogaert
Ora-ïto, Axelle Laffont
Time:
16:00-21:00
Description:
Lucien Simon et Jacques-Emile Blanche, une histoire d'amitié
Vernissage mardi 19 novembre 2019 de 16h à 21h
Exposition présentée du 20 novembre au 20 décembre 2019
Du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h
Time:
17:00-19:00
Description:
Projet soutenu par la Ville de Paris qui permet à des femmes éloignées de l'emploi, en reconversion et vivant dans les quartiers populaires, de suivre une formation culinaire qualifiante d'exception aux côtés de grands chefs.
Time:
17:00-22:00
Description:
Acte III
Du Lundi 18 au Samedi 23 Novembre 2019
Grand Vernissage Mardi 19 Novembre 2019 de 17h à 22h
Time:
17:30-20:00
Description:
Peinture, laque et gravure sur bois
Certains objets nous parlent par leur seule présence. Un bol, un pinceau, un bouquet, l'arbre, expriment une joie paisible. C'est leur silence que l'on tente de peindre, avec l'aide des belles matières du monde et les savoirs anciens. Le papier mûrier produit au bord des rivières d'eau pure de Yoshino, de Saitama, ou par les artisans de Jang Ji Bang, la laque avec ses pigments et ses métaux précieux, la gravure sur bois dur et tant d'autres techniques. Le geste, les substances, l'idée. C'est de leur accord constant et discret que naît la poésie de ces "objets tranquilles".
Du mardi 19 au samedi 30 novembre 2019
Vernissage : mardi 19 novembre 2019, 17h30-20h
Time:
18:00-21:30
Description:
Winter Time
Lancement des illuminations de Noël du Faubourg Saint-Honoré
Ne ratez pas le lancement des Illuminations qui sera présenté et animé par Laurie Cholewa et Sandrine Quétier le 19 Novembre 2019 à l'angle de la rue Royale et de la rue du Faubourg Saint Honoré !
Inès de la Fressange est la marraine de Winter Time 2019.
La fanfare de chezy revient cette année pour notre plus grand plaisir ! Elle défilera à partir de 18h dans la rue Saint Honoré, de la rue de Castiglione à la rue Royale.
www.wintertimeparis.com
Time:
18:00-21:00
Description:
lancement "MAROC, Un temps suspendu" avec la photographe FLORE
Avec ce livre, la photographe FLORE poursuit sa quête autobiographique, avec des photographies aux teintes passées qui nous chuchotent que le temps nous échappe, que les souvenirs s'estompent et que meurent ceux que nous aimons.
Petite fille spirituelle de Gabriel Veyre et d'Eugène Delacroix, dans un Maroc éternel, FLORE mêle encore un fois une esthétique post-classique grâce à une technique qui emprunte au passé une patine pigmentaire, à une approche et des cadrages très actuels. Seules, parfois des photographies restent pour nous rappeler la poésie des jours heureux.
Le Prix HiP 2019 - Cultures et voyage a été décerné à FLORE pour son livre Maroc, un temps suspendu, aux éditions Contrejour. La remise des prix s'est tenue le jeudi 7 novembre au Salon de la Photo dans la Salle des Grandes Rencontres. Le trophée a été remis à FLORE par Simon Edwards, directeur artistique du Salon de la Photo.
Time:
18:00-22:00
Description:
du 19 au 30 novembre 2019
tous les jours de 14h30 à 19h30
et sur rendez-vous en dehors de ces horaires : 06 85 54 05 52
Vernissage mardi 19 novembre de 18h à 22h
Lecture le soir du vernissage, 19h30 (durée 40')
Christiane Cohendy et Charles Berling
Performance lundi 25 novembre, 19h30
Claire Ingrid Cottanceau et Olivier Mellano
http://www.sophiehatier.com
Sophie Hatier présente à la Galerie du Trapèze à Paris des images réalisées au cours de ses nombreux voyages et en résidence d'artiste en Islande entre 2016 et 2019.
« L'origine du monde » : l'on pourrait donner ce titre à l'ensemble des photos exposées ici. Roches éruptives, magma, glaciers, cours d'eau, laves, boues, jaillissements : là-bas sur une île, en Islande, Sophie Hatier a photographié la formation de la Terre.
À l'Ère de l'Anthropocène qui dérègle l'écosystème terrestre, voit la fonte des glaciers et la montée des eaux menaçant des villes comme Dhaka ou New-York, la disparition dans les flammes des forêts de Sibérie et d'Amazonie, l'artiste a voulu rendre la beauté première de notre planète ravagée par l'homme.
Dans une solitude radicale, seule jour et nuit au milieu des éléments, au prix de cette immersion totale, elle a saisi dans son objectif cette nature primitive en transformation depuis la nuit des temps.
On découvre avec stupeur la puissance tellurique de ces paysages, dont la force est rendue par un agencement de formes et de couleurs tirant vers l'abstraction.
Car Sophie Hatier, après avoir photographié des paysages à travers le monde, a rencontré l'Islande, rencontre décisive qui, dans son travail de photographe, la poussa à décrypter ce que le spectacle de la nature offre comme lignes et matières picturales quasi abstraites.
Roche noire tranchée par la blancheur du glacier qui s'étale comme un découpage à la Matisse, bande horizontale, bleu vif, d'un cours d'eau surplombé par la masse couleur d'encre de la montagne.
La matière, sensuelle, presque charnelle, est si présente que parfois on pourrait croire que l'artiste a peint au couteau, avec une huile épaisse, les paysages qui s'offraient à ses yeux. On songe alors aux toiles abstraites de Riopelle ou à la pâte de Fautrier. La confusion troublante entre photographie et peinture se donne aussi à voir lorsque vapeurs évanescentes et fumeroles enrobant les ravines semblent exécutées au pastel blanc.
Des visages, à la peau diaphane, laiteuse - visages intemporels - ponctuent harmonieusement et adoucissent la rudesse de ces paysages originels, devenant paysages eux-mêmes. A la nudité âpre de la montagne répond la nudité de la figure.
Danièle Rousselier
Réalisatrice, écrivaine et diplomate
Time:
18:00-21:00
Description:
La Mgi invite des photographes à s'exprimer sur la liberté.
Avec : Christophe Beauregard, Katherine Blanc, Camille Hofgaertner, Olivia Lavergne, Cynthia Mancuso, Anaïs Pachabézian, Guillaume Pallat, Paula Petit, Marion Poussier, Antoine Seiter, Ania Winkler
Exposition jusqu'au 13 décembre sur rendez-vous
Vernissage mardi 19 novembre à 18h
La Mgi invite des artistes photographes à s'exprimer sur son thème de l'année :
"Liberté.S"
En présence de la Maire du 8ème Jeanne d'Hauteserre, Sylvie Girardet Présidente de l'asso, Pr Guy Leverger Chef de service à Trousseau et Jérôme Mesnager, street artist et Parrain
Comme chaque année 111 artistes français et étrangers vont proposer chacun 11 œuvres originales carrées de 20 cm X 20 cm, de techniques diverses, à la Mairie du VIII° arrondissement de Paris. Ces œuvres sont toutes vendues au même prix de 111 euros, répondant ainsi au second objectif de l'association : mettre l'art contemporain à la portée d'un grand nombre. La salle d'exposition consacrera comme chaque année un espace à la présentation d'œuvres réalisées dans le cadre de l'école intégrée par les enfants hospitalisés à l'hôpital Armand Trousseau.
Du 19 au 24 novembre 2019
Mardi : 12h à 22h
Mercredi-jeudi-vendredi- samedi : 12h à 21h
Dimanche : 12h à 18h
Entrée libre
Time:
18:00-21:00
Description:
jusqu'au 28 février
en présence de Florence Berthout
Un reportage fait par des étudiants d'AgroParisTech qui valorise le rôle essentiel des agriculteurs
Time:
18:30-21:00
Description:
Au fil des pages de La cuisine d'un monde qui change, Géraldine Meignan propose de quoi défaire le cours de votre quotidien en cuisine, des gestes, des astuces et des démonstrations par l'exemple avec près de 25 recettes.
Géraldine Meignan est journaliste indépendante, ex-grand reporter à L'Expansion et à L'Express. La cuisine est une parcelle de son enfance, du temps où elle observait son grand-père raviver les papilles autour de lui. Après avoir investigué les filières de l'agroalimentaire (Les Réseaux de la malbouffe, JC Lattès, 2015), elle a fait le mur, un court instant, le temps de décrocher un CAP de cuisine et promener sur la restauration, en qualité de chef pendant six mois, un regard enjoué et curieux. Pour mieux se replonger dans l'écriture.
La cuisine d'un monde qui change,
par Géraldine Meignan, Éditions de l'Épure, 12€
Time:
18:30-21:00
Description:
"Powerful General Purpose Art, 2/3: The Good, The Bad and The Art" est une première mutation du projet à la Cité internationale des arts. La pièce s'adapte ici à l'espace « extra scénique » d'une galerie et cherche à intégrer les spectateurs au sein d'un processus de création en perpétuel renouvellement. Elle s'inscrit parmi ces « oeuvres-laboratoires » qui hissent à son paroxysme la question du tableau vivant en musée et de l'oeuvre plasticienne à la scène. Elle crée ainsi un « lien ontologique entre le plateau et l'espace d'exposition » ; « ce qui se déploie dans celui-ci est autre chose qu'un simple entracte incitant le spectateur à retourner à celui-là » (Ondine Bréaud-Holland, La scénographie comme territoire de l'art ou 'l'impossible' ontologie du plateau).
Extrait du texte de Cassandre Langlois écrit à l'occasion de l'exposition de Flora Bouteille : "Powerful General Purpose Art 2/3".
Flora Bouteille (France) est en résidence à la Cité internationale des arts par le biais du programme de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon. Elle est lauréate du Prix de Paris 2018.
Petite Galerie de la Cité internationale des arts
Du 20 novembre au 3 décembre 2019, sur rendez-vous
Vernissage - 19 novembre 2019, 18h30
Time:
18:30-21:00
Description:
Du 20 novembre au 19 décembre 2019
Du mardi au samedi de 15h30 à 19h30
Estampes, dessins, gravures
Oeuvres originales
La galerie Anaphora vous invite à découvrir sa 4é édition des « Petits formats pour grands voeux » . Une exposition d'oeuvres de petit format et de format moyen (cadres de 13x18 cm à 40x 50 cm), et de toutes petites gravures faisant office de cartes de voeux, présentées dans la vitrine au centre de l'espace de la galerie.
Time:
18:30-21:00
Description:
Time:
18:30-21:00
Description:
EXPOSITION DU 19 NOVEMBRE AU 24 NOVEMBRE 2019
VERNISSAGE LE 19 NOVEMBRE A PARTIR DE 18h30
L'Association TERTULIA est un collectif d'artistes ayant pour objet de :
mutualiser leurs compétences,
promouvoir leurs créations ainsi que celles d'artistes invités dans le cadre d'expositions,
transmettre leurs savoirs.
Projet issu de la rencontre de cinq sculptrices, souhaitant lier leurs travaux, TERTULIA est basée sur l'idée fondatrice d'enrichissement mutuel des artistes.
L'association puise son nom dans les racines de « La tertulia », type de réunion informelle et périodique, essentiellement répandue en Espagne, qui tourne autour d'un thème, d'un domaine artistique ou scientifique précis. Ce genre de réunion se déroule généralement dans un café et permet aux participants de débattre, de s'informer et d'échanger leurs idées et leurs points de vue.
Les fondatrices ont ouvert le collectif d'artistes à d'autres disciplines pour favoriser l'évolution de leurs inspirations. Fondé en mai 2014, il réunit aujourd'hui 20 artistes : sculpteurs, peintres, photographes, graveurs, plasticiens, (professionnels, semi amateurs, amateurs).
Les objectifs de TERTULIA : partager et promouvoir le travail artistique de ses membres ; participer à la diffusion de la culture dans les établissements à vocation sociale ou médicale.
TERTULIA a organisé plusieurs expositions thématiques dont « Variation » en 2015 et « Fragment » en 2016. La dernière exposition s'est tenue à l'Hôpital Rothschild en juin et juillet 2017 dans le cadre du projet « Culture à l'Hôpital ».
En 2019, le thème « TRAVERSÉES» a été choisi comme axe de travail commun.
Traversées
Chaque œuvre d'art originale est traversée de toutes les autres qui la visitent, la
hantent, la heurtent ou la fuient
L'artiste, lui, tente de retenir et d'identifier ces courants qui le sillonnent, de les
assimiler ou de les rejeter.
Avant de tracer sa propre route.
Chaque parcours artistique est à son tour une traversée, un voyage au long cours,
avec un port d'attache, des hâvres ou des écueils, des routes marines bien balisées,
des courses flibustières, des chemins de traverse. Et toujours, une terre à découvrir,
un horizon qui fuit, un lointain eldorado. ..
Le collectif Tertulia, après Variations, Mouvements, Fragments, Végétal/Animal,
s'est intéressé aux mille facettes de ces Traversées.
Parce que la chasse est plus palpitante que la prise et le voyage plus riche que
l'arrivée à destination...
Time:
18:45-21:00
Description:
à l'occasion du 102ème Congrès des Maires et des présidents d'intercommunalité de France
Time:
19:00-21:00
Description:
Vernissage du Festival International de la Photographie Culinaire
7/30 novembre 2019
Thème : L'Audace
Parrainée par le chef Romain MEDER, Chef exécutif triplement étoilé du restaurant Alain Ducasse,
Hôtel Plaza Athénée, Paris
Placée sous le haut patronage du ministère de l'agriculture et de l'alimentation
&
Parrainée par le ministère de la culture
Soutenue par
Le Club de la Table Française
L'Académie Culinaire de France
L'Association des cuisiniers de la république Française
EuroToques
La Bibliothèque nationale de France
Le Press Club de France
La Commission Malraux pour l'Europe de la Culture
Le Comité de l'Europe pour la culture
Le Journal du Parlement
Inauguration officielle :
Mardi 19 novembre 2019, mairie du 5e arrondissement de Paris,
Expositions des photographies de la compétition officielle :
7/11 novembre : Salon de la Photo de Paris, Porte de Versailles
19/30 novembre : Salle René Capitant, mairie du 5e, Place du Panthéon
24/25/26 novembre : Grimaldi Forum de Monaco au Chefs World Summit sous le haut patronage de son altesse sérénissime le prince Albert II de Monaco
Journée de Rencontres & Débats
Thème : L'Audace en art
Mercredi 27 novembre, mairie du 5e arrondissement de Paris
Cérémonie de clôture du FIPC 2019 « Les Lentilles d'Or 2019 » :
Soirée des Lentilles d'Or 2019, remise officielle des trophées du Festival aux photographes lauréats des différents prix de la compétition, jeudi 28 novembre, ministère de la culture
Time:
19:00-21:00
Description:
1er prix d'art contemporain online
http://www.oplineprize.com
Time:
19:00-22:00
Description:
Le 19 novembre prochain, 6 parcours d'exception et 1 collectif seront récompensés par un laurier Inra lors d'une cérémonie organisée à Paris à la Bellevilloise, en présence de Frédérique Vidal, Ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et de Didier Guillaume, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation.
A la veille du lancement de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE), fruit de la fusion de l'Inra et d'Irstea, cette 14e édition est la dernière d'une longue et belle série initiée en 2006.
Les Lauriers de l'Inra mettent chaque année en lumière des parcours de femmes et d'hommes passionnés, qui repoussent l'inconnu pour éclairer notre avenir et qui donnent du sens à l'engagement scientifique.
Time:
19:00-21:00
Description:
Conférence touristique organisée par des représentants de la préfecture de Kumamoto
Artistes : Emmanuel Barrouyer, Eric Ceccarini, Brice Hardelin, Quentin Houdas, Nicolas Obery, Leidylei, Stevan Lebras, Marcella Martial, Séverine Metraz, MonikaNowak, Tanahé, Stephane Thévenon, Ihsen Tlili, Vladimir Vatsev, Rémi Vinet.
Collaborations : Les Ailes Enchaînées, Richard Laillier, Djenowa Bijoux, Michel Haillard, Franck Benoualid.
Envie de voir la femme « forte dans sa fragilité », « actrice de sa vie » et parfois « belle » ! C'est tout l'objet de l'évènement que propose la galeriste Elisabeth Ndala, durant le mois de la photo 2019, à la galerie ERM.
Car oui, la femme est tout cela, derrière les messages qui oublient parfois de la valoriser, de la faire briller. Le montrer et le démontrer par le biais de l'art est le propos assumé de l'exposition qui dit « femme, reconnais-toi et aime-toi, dans toutes tes dimensions ».
Le message prend corps et âme à travers les magnifiques œuvres photographiques, des 15 artistes audacieux, aux univers captivants. Des photographes et plasticiens, inspirés et très inspirants.
Associés à la philosophie Totally Megalo, l'exposition exhorte chacune et chacun à « Elever son Estime de soi au rang d'Art".
Durant 15 jours, est proposé un voyage artistique et initiatique, une expérience « extraordinaire » où l'on parle de femme universelle, de femme assumée, de femme célébrée, comme l'œuvre d'art qu'elle est...qu'elles sont, que nous sommes.
En définitive, « Femmes : quand l'art te révèle ! » est plus qu'une exposition. Elle se veut une ode artistique à l'estime et l'amour de soi, comme y encourage Elisabeth Ndala, à travers son livre manifeste « Etre #TotallyMegalo ».
L'art permet cela. Venez découvrir comment !
Infos et programme sur : www.totallymegalo.com
Elisabeth Ndala
Time:
19:00-22:00
Description:
À l'occasion de l'année anniversaire des 30 ans de la Pyramide, le Grand Dîner du Louvre se tiendra sous l'iconique chef-d'œuvre de Ieoh Ming Pei pour une nuit magique placée sous le signe de l'exposition «Léonard», dont pourront profiter les participants. Réservez une table (ou des couverts) et invitez vos collaborateurs ou clients à vivre une soirée unique en compagnie du président-directeur et des conservateurs du musée.
Vous cherchez un événement de relations publiques avec du sens et de l'exclusivité pour vos clients et partenaires ?
Venez célébrer les 30 ans de la Pyramide de Pei et découvrez en exclusivité l'exposition Léonard de Vinci à l'occasion d'une nuit magique le 19 novembre prochain.
Art et gastronomie seront au rendez-vous avec un menu d'exception signé par les équipes d'Alain Ducasse, une visite privée de l'exposition consacrée au maître de la Renaissance et des surprises !
Réservez vos tables ou vos couverts et partagez cette soirée inédite avec des personnalités venues du monde entier, grands mécènes, philanthropes, dirigeants d'entreprises et artistes présents pour l'occasion.
Informations et réservations : GrandDiner@louvre.fr
Time:
19:00-21:00
Description:
21, rue Gracieuse (5e)
Time:
19:00-22:00
Description:
COLLECTION PERMANENTE
NOUVEL ESPACE : STUDIO PIERRE HENRY
Du dimanche 1 septembre 2019 au dimanche 30 août 2020
mercredi-vendredi 12h-18h, samedi-dimanche 10h-18h
Studio Pierre Henry
Le Musée de la musique accueille dans un nouvel espace les instruments, appareils et objets du Studio Son/Ré de Pierre Henry.
Le Studio Pierre Henry constitue la dernière salle du parcours du Musée, il est accessible du mercredi au dimanche.
À la Philharmonie de Paris, le studio révolutionnaire de Pierre Henry revient à la vie
La Cité de la musique - Philharmonie de Paris consacre une nouvelle salle passionnante au pionnier de la musique concrète, décédé en 2017. Une réussite.
Le déménagement remonte au 31 octobre 2018. Un an, tout pile, depuis que les clés de la maison de Pierre Henry, dans le 12e arrondissement de Paris, ont été remises au promoteur immobilier qui s'en est porté acquéreur avant destruction. Le compositeur pionnier de la musique concrète, qui y a vécu et œuvré depuis 1971, est décédé le 5 juillet 2017 et sa veuve, Isabelle Warnier, fut priée de libérer les lieux par leur propriétaire. Un crève-cœur, pour elle et pour tous ceux qui poussèrent un jour la porte du 32, rue de Toul - plus de 10 000 personnes y ont assisté à des concerts, par petits groupes, au fil du temps. Une extraordinaire maison-studio d'enregistrement dont les murs étaient couverts de tableaux-sculptures et les étagères remplies de bandes magnétiques, que la mobilisation du public ne parvint pas à sauver. « À la mort de Pierre, on nous a laissé un an pour tout déménager, dit Isabelle Warnier. Heureusement, l'idée de transporter le studio s'est rapidement concrétisée, grâce à l'enthousiasme du ministère de la Culture et de Laurent Bayle. »
Pérenniser le contact de son œuvre avec le public
Laurent Bayle est le directeur général de la Cité de la musique - Philharmonie de Paris où le studio Son/Ré de Pierre Henry est reconstitué, depuis un mois, dans un nouvel espace du Musée de la musique. « Pierre et moi parlions peu de son héritage, parce que ça ne lui plaisait pas, raconte Isabelle Warnier. Il aimait vivre ici et maintenant, jusqu'à la fin. Certes, il espérait que sa maison soit préservée, mais il n'y tenait pas tant que ça. Plutôt que la voir transformée en musée, je crois qu'il aurait préféré cette solution qui pérennise le contact de son œuvre avec le public, notamment la jeune génération. »
« Mes premiers souvenirs de la musique sont l'orage, le vent et le train », est-il inscrit sur un mur en surplomb de la salle consacrée à Pierre Henry, chainon manquant dans les collections du musée qui, richement doté du patrimoine musical jusqu'aux années 1960, souhaite développer son fonds depuis la fin du XXe siècle, dans la foulée de la récente exposition Électro à la Philharmonie. « Parce que Pierre Henry et la Philharmonie avaient noué un compagnonnage de longue date, la continuation allait de soi », éclaire Marie-Pauline Martin, directrice du Musée de la musique, en désignant les instruments et machines du studio Son/Ré que l'institution a reçus en donation - il est en état de marche et sera « joué » une ou deux fois par an, sous la supervision de Thierry Balasse. On y voit aussi 90 bandes magnétiques (intitulées « Trompes d'auto », « Jets soufflants », « Animaux synthétiques »...) sur les 14 000 qui ont été transportées à la BNF pour y être numérisées, ainsi qu'une paire de tableaux « concrets » parmi les 300 déplacés dans un local proche de Daumesnil.
La tentation est vive d'y passer beaucoup de temps
En plus d'un focus sur Variations pour une porte et un soupir (1963) chorégraphié par Maurice Béjart, la salle est équipée de dix modules manipulables, permettant de reproduire « La maison des sons » (1989) et « Psyché Rock » (1967) ou de mixer les œuvres de Beethoven, Bach, Schubert et Debussy comme Pierre Henry s'y amusait - la dimension ludique est intrinsèque de son travail. Démonstration de sa postérité, on y écoute aussi ses disciples tels que le duo anglais Coldcut et le jeune Français Jacques, sous une cartographie qui trace une nébuleuse d'Olivier Messiaen à Aphex Twin en passant par Jean-Michel Jarre, du thérémine au synthétiseur Yamaha DX7 en passant par l'UPIC de Iannis Xenakis. La tentation est vive d'y passer beaucoup de temps.
Une réussite, dont l'ouverture est accompagnée par un « Week-end Pierre Henry », du 20 au 24 novembre à la Cité de la musique - Philharmonie de Paris. Y sera notamment donnée la Dixième Symphonie (1979-1998) qui revisite les neuf symphonies de Beethoven et sera interprétée pour la première fois dans la version dont Pierre Henry rêvait, avec trois orchestres et choeur. Des actualités discographiques se profilent aussi. Deux ans après la disparition du compositeur, et malgré les inquiétudes nourries par la disparition de sa maison-studio, la flamme d'Isabelle Warnier a stimulé les complicités qui placent son héritage artistique entre de bonnes mains.
Time:
19:00-21:00
Description:
Andoche Praudel est non seulement céramiste, mais aussi philosophe, photographe et poète. Plusieurs de ses textes - poèmes, témoignages autobiographiques, introduction à certaines pièces de céramique -seront lus par un groupe de comédiens.
Lecture par Gérard Cherki, Philippe Dormoy, Didier Menin, Arnaud Le Glanic, Stéphane Valensi, autour du metteur en scène Patrick Haggiag.
Dans le cadre de l'exposition d'Andoche Praudel et Akihito Takuma "Les rêves de la pluie"
Vernissage le 7 novembre à partir de 18h en présence d'Andoche Praudel
Exposition du 7 au 30 novembre 2019
Prolongation jusqu'au 11 janvier 2020
Les chemins des artistes Andoche Praudel et Akihito Takuma ne s'étaient jamais croisés jusqu'à l'automne 2018, lorsque Pierre-Yves Caër leur proposa une exposition combinée. Le premier travaille la céramique, entre la Corrèze, le Japon et la Chine, tandis que le second peint, principalement à Kanagawa, au Japon, et enseigne la peinture à l'université Wako de Tokyo. Ils cultivent pourtant une passion commune pour le travail des matières, les univers dépouillés et minéraux, les frontières toujours ténues entre abstraction et figuration.
L'exposition « Les rêves de la pluie » fait dialoguer leurs œuvres dans une évocation commune des éléments naturels. Chacun des deux artistes, en découvrant le travail de l'autre, a vu comme une évidence la proposition d'une exposition conjointe, tant leurs univers, aux techniques et aux expressions artistiques si différentes, convoquent des sensibilités proches.
Time:
19:00-21:00
Description:
Le Brand Store BMW George V
&
Le label littéraire
Plume & Plomb
Le Cabinet d'avocats
Obadia & Stasi
vous convient à la remise du Prix du Style
Mardi 19 Novembre 2019 à partir de 19h00
au Brand Store BMW George V
38 avenue George V, 75008 Paris
Merci de confirmer votre présence avant le 15 novembre 2019 par mail à soisicbelin@gmail.com ou par téléphone au 06 69 97 53 75.
Membres du jury
Véronique Cardi, Présidente des éditions JC Lattès
Nicolas Carreau, Journaliste
Irène Frain, Journaliste, Ecrivaine
Marie-Françoise Marais, Ex-présidente de la HADOPI
Isabelle Motrot, Directrice de la publication de Causette
Sophie Obadia, Avocate, Mécène du Prix du Style
Anne-Sophie Rouveloux, Libraire
Pierre Vavasseur, Journaliste, Ecrivain
Antoine Buéno, Ecrivain, Fondateur du Prix du Style
Le Prix du Style
Récompense chaque année depuis 15 ans un ouvrage d'expression française pour sa qualité stylistique, écrit par un auteur vivant et publié dans l'année écoulée.
http://www.prixdustyle.com
https://www.instagram.com/prix_du_style
Lauréats du Prix du Style
2005 - Stéphane Audeguy - La théorie des nuages, Gallimard
2006 - Emmanuel Venet - Ferdière, psychiatre d'Antonin Artaud, Verdier
2007 - Louis-Stéphane Ulysse - La fondation Popa, Panama
2008 - Bernard Quiriny - Contes Carnivores, Seuil
2009 - Brice Mathieussent - Vengeance du traducteur, POL
2010 - Harold Cobert - L'Entrevue de Saint-Cloud, Héloïse d'Ormesson
2011 - Véronique Bizot - Un avenir, Actes Sud
2012 - Marie-Hélène Lafon - Les Pays, Buchet-Chastel
2013 - Céline Minard - Faillir être flingué, Rivages
2014 - Olivier Rolin - Le météorologue, Seuil
2015 - Sorj Chalandon - Profession du père, Grasset
2016 - Négar Djavadi - Désorientale, Liana Levi
2017 - Kaouther Adimi - Nos richesses, Seuil
2018 - Pauline Delabroy-Allard - Ça raconte Sarah, Minuit
Les neuf finalistes :
Youssef Abbas, Bleu blanc Brahms, Jacqueline Chambon
Sofia Aouine, Rhapsodie des oubliés, La martinière
Sylvain Coher, Vaincre à Rome, Actes Sud
Hélène Gaudy, Un monde sans rivage, Actes Sud
Thomas Gunzig, Feel good, Au diable vauvert
Michel Houellebecq, Sérotonine, Flammarion
Odile d'Oultremont, Baïkonour, Observatoire
Christophe Tison, Journal de L., Goutte d'or
Valérie Tong Cuong, Les guerres intérieures, Lattès
Le prix du Style 2019 distingue Christophe Tison.
L'écrivain a été récompensé pour Journal de L., paru en août aux éditions de La goutte d'or.
Le prix du Style 2019 a été remis, mardi 19 novembre, à Christophe Tison pour Journal de L., publié le 22 août aux éditions de La Goutte d'or, au Brand Store BMW Georges V, à Paris.
Soixante ans après la parution de Lolita de Vladimir Nabokov, Christophe Tison donne la parole à la jeune adolescente dans ce Journal de L. A travers les extraits d'un journal intime que l'auteur prétend avoir "retrouvé l'hiver dernier dans une petite ville perdue du Nord-Ouest des Etats-Unis nommée Gray Star", le roman revisite, d'août 1947 à septembre 1952, la relation abusive de la très jeune Dolorès Haze avec son "beau-père" Humbert Humbert. Un livre "pour mieux comprendre ce que Lolita a vécu, ses souffrances, mais aussi ses joies [...], et pour enfin lui donner une voix", écrit Christophe Tison en introduction.
Le jury a salué "l'étonnant exercice de style consistant à compléter l'œuvre de Nabokov pour enfin donner à Lolita une voix, celle des femmes et des victimes".
Le jury est composé de Véronique Cardi (présidente de J-C Lattès), Nicolas Carreau (journaliste à Europe 1), Irène Frain (journaliste et écrivaine), Marie-Françoise Marais (ex-présidente de la Hadopi), Isabelle Motrot (directrice de Causette), Sophie Obadia (avocate et mécène du prix), Anne-Sophie Rouveloux (libraire), Pierre Vavasseur (journaliste au Parisien et écrivain) et l'écrivain et fondateur du prix, Antoine Buéno.
Le label littéraire Plume & Plomb, qui organise le prix, offre au lauréat une plume (authentique) et un plomb (véritable), ainsi qu'un chèque dont le montant en euros est égal au nombre de pages du livre primé, soit 279 euros cette année.
L'an dernier le prix du Style avait récompensé Pauline Delabroy-Allard pour Ça raconte Sarah (Minuit).
Le prix du Style a été créé en 2005 par Antoine Buéno. Comme son nom l'indique, la vocation de ce prix est de rendre à la maîtrise de l'écriture ses lettres de noblesse en récompensant chaque année un auteur vivant pour la qualité stylistique de l'une de ses œuvres.
Outre Antoine Buéno, fondateur du prix et président du jury, le jury du prix est composé de Véronique Cardi, Nicolas Carreau, Irène Frain, Marie-Françoise Marais, Isabelle Motrot, Sophie Obadia, Anne-Sophie Rouveloux et Pierre Vavasseur.
Time:
19:00-22:00
Description:
à la Pause Parisienne
en présence d'Adeline Blondieau
suivie d'un showcase de G. Dourdan
Time:
19:00-22:00
Description:
Soirée des 120 ans du Fouquet's
Time:
19:00-21:00
Description:
dans le hall de l'amphithéâtre
Vernissage à 19H00 de l'exposition de peintures de d'Alisa Kazakova suivi d'un concert "Chansons et romances russes "de la lauréate des concours internationaux Maya Balachova (Violetta Malaterre, piano).
Time:
19:00-21:00
Description:
La Réserve by Soldats
11 rue Ferdinand Duval
75004 Paris
Exposition et lancement du livre "Faces of sound, rendez vous photographiques" de Delphine Ghosarossian (La Réserve by Soldats)
Exposition et lancement du livre "Faces of sound, rendez vous photographiques" de Delphine Ghosarossian (La Réserve by Soldats)
Du Mardi 19 Novembre 2019 au Vendredi 29 Novembre 2019
Vernissage le 19 novembre à partir de 19h
Faces of sound, rendez-vous photographiques est une exposition de portraits photographiques de musiciens issus de la scène indépendante des trente dernières années (Yo La Tengo, Sonic Youth, Pavement, Edwyn Collins, The Bad Seeds, Etienne Daho, Philippe Katerine, Dominique A...) Cette exposition est aussi le lancement du livre éponyme qui sortira le 22 novembre 2019 chez Médiapop éditions.
Exposition « Les derniers peuples des glaces » de Francis Latreille qui vous emmènera à la rencontre des peuples de l'Arctique en Sibérie, Alaska, Laponie et au Groenland à travers ses plus belles photos.
Reporter-photographe, il accompagne Jean Louis Etienne au Pôle Nord magnétique et découvre les grands espaces glacés de l'Arctique. Au gré de ses déambulations dans les glaces du Grand Nord, à bord de la goélette polaire Tara, il croise les ethnies du bassin Arctique. Son exposition et son livre rendent hommage à tous ces « petits peuples » oubliés des glaces.
Time:
19:00-21:00
Description:
DU 19 NOVEMBRE AU 01 DÉCEMBRE
DE 13H00 À 20H00
PHOTOGRAPHIES & DOCUMENTS HISTORIOGRAPHIQUES
Dans le placard de la belle Histoire, les tasses font tache. La tasse, dans l'argot du siècle dernier, c'était la vespasienne. Érigées dans l'espace public à l'heure de l'hygiénisme, les vespasiennes devaient répondre aux besoins naturels de la population masculine. En privé, les tasses ont répondu à un besoin social. Des hommes en quête d'identité y ont posé les premières pierres du vivre ensemble.
Inaugurée l'an dernier au Schwules Museum de Berlin, l'exposition de Marc Martin a été prolongée en raison de son succès. Parce qu'il s'inscrit en marge de la mémoire convenue, aujourd'hui, à Paris, aucune institution classique n'a souhaité mettre en lumière le sujet. « Les pissotières ont mauvaise réputation. Elles sont davantage synonyme de honte que de fierté au sein même de la communauté. Pourtant, ces édifices, qui se confondent avec les aventures de nombreux gays, travestis, prostitués, libertaires, offraient une liberté échappant à tout enjeu économique. Ces lieux de passage et de sociabilité atypique voyaient les classes sociales s'estomper, les cultures se mélanger... On a souvent reproché aux hommes qui fréquentaient les pissotières d'être lâches, qualifié de sordides leurs rencontres en ces lieux publics. Or, n'ont-ils pas osé, en milieu hostile à la diversité, braver les interdits ? N'ont-ils pas, pendant plus d'un siècle, osé affronter des plaisirs défendus par la loi ? J'aimerais qu'on reconnaisse à ces hommes un certain courage. Je voudrais rendre à ces endroits, qui ont abrité tant de frissons, leur part troublante de sensualité ».
Au politiquement correct, le travail plastique de Marc Martin privilégie l'humainement exact. Voilà pourquoi Le Point Ephémère, centre d'Art vivant dédié aux idées émergentes, est fier de présenter « Les tasses, toilettes publiques - affaires privées ».
RENCONTRE LE 21.11 À 19H
performance / lecture
Binôme AlArmand : "Boire La Tasse"
Al et Armand sont deux jeunes pédés queer qui rendent hommage aux pissotières qu'ils n'ont pas vécues.
CONFÉRENCE LE 22.11 À 19H
Conférence de Regis Schlagdenhauffen, chercheur à l'EHESS : « Quand le tribunal de Paris juge les outrages publics à la pudeur : archives de la drague homosexuelle dans les vespasiennes »
DJ SET LE 28.11 À 21H
Disco-cuir et Techno-queer DE DJ LaBaldi. Clubbing autour des tasses !
en présence de la chanteuse Marie France ("tendre assassine"), Sylvie Vartan
Exposition du 20 novembre 2019 au 23 février 2020
Conçue comme une installation musicale et visuelle, cette exposition explore l'univers de Pierre et Gilles au long d'un parcours réunissant une centaine de leurs peintures-photographies, mais également de nombreux objets et documents vidéo.
Pierre et Gilles ont photographié et sublimé plusieurs générations de célébrités, d'Étienne Daho à Stromae, de Sylvie Vartan à Nina Hagen, de Claude François à Marilyn Manson, de Lio à Madonna.
Cette exposition conçue comme une installation musicale et visuelle dévoile les secrets de leur fabrique des idoles. Une centaine de leurs peintures-photographies sont réunies, dont certaines exposées pour la première fois. Un juke-box de chansons, deux cents objets issus de leur atelier, des pochettes de disques et des vidéo-clips complètent cet éclairage inédit sur l'histoire d'amour qui lie les deux artistes à la musique.
Conçue en étroite collaboration avec Pierre et Gilles, l'exposition explore leur rapport à la musique, à ses codes, ses symboles. Accompagnée d'une playlist composée par les artistes en écho à chaque tableau comme un juke-box géant, elle offre au visiteur des documents inédits, installations d'objets mémoriels et autres reliques issues de leur atelier d'illusionnistes pour raconter et comprendre comment fonctionne leur fabrique des idoles.
PIERRE ET GILLES
Depuis 1976, le duo Pierre et Gilles, développe une œuvre singulière entre peinture et photographie. Pierre, le photographe, est né en 1950 à la Roche-sur-Yon et Gilles, le peintre, en 1953 au Havre.
Leur rencontre a donné naissance à un mode opératoire précis et original. Ils font d'abord poser leurs modèles - inconnus, amis ou célébrités - dans des décors sophistiqués réalisés dans l'atelier. Une fois la photographie prise et imprimée, commence un long travail de peinture, avec à la clef un tableau, unique, dont le cadre est conçu par les artistes. Représentés par la Galerie Templon depuis 2012, ils ont exposé dans le monde entier. Constituée de 110 œuvres et de deux installations inédites réalisées par les artistes, l'exposition de la Philharmonie de Paris est leur première exposition monographique sur le thème de la musique.
Trois espaces distincts représentent les trois grandes thématiques de l'exposition : la fête, la mythologie, le rêve et le cauchemar.
ESPACE DORÉ
Juke-box années 1980
À la manière d'un kaléidoscope géant, Pierre et Gilles présentent pour la première fois dans leur ensemble ces œuvres rares, datant de la fin des années 1970 aux années 1980. Condensé de la production musicale de l'époque - variété, pop, disco, rock indépendant, chanson française - cette galerie de portraits illustre leur style si particulier: des photographies minutieusement peintes à la main, présentant souvent de larges aplats de couleurs acidulées, qui donnent à leurs images une dimension pop presque irréelle. Parfois réalisés dans le cadre de commandes, ces tableaux ont servi de couverture d'album ou de maxi. Certains tels que « Les brunes comptent pas pour des prunes » de Lio (1986), « Naufrage en hiver » de Mikado (1985) ou « Tes yeux noirs » du groupe Indochine (1986) restent durablement associés à l'image des musiciens concernés.
La vie en blanc, en bleu, en rouge : enchanter le réel
Contrairement aux tableaux de Pierre et Gilles qui fixent l'instant sur la pellicule et confient au pinceau le soin de l'embellir comme pour contrer le temps qui passe, la musique est une expérience éphémère. Elle s'inscrit pourtant dans notre souvenir en perdurant après l'écoute, et contribue ainsi à l'élaboration d'une mémoire collective. La représentation de musiciens chez Pierre et Gilles, souvent allégorique, empreinte de mélancolie, joue sans cesse sur ces dimensions. L'intime côtoie le populaire. Le cliché se frotte au sublime. Se dessine ainsi un certain portrait de la France en chanson, idyllique, comme si la musique pouvait enchanter le réel.
Les années Palace
En 1978, en pleine vague disco, Fabrice Emaer ouvre une discothèque rue du Faubourg Montmartre: le Palace. Avec son concert inaugural de Grace Jones et ses décors de Gérard Garouste, le Palace annonce une nouvelle ère où concerts et fêtes fastueuses se succèdent. Le lieu devient rapidement le rendez-vous incontournable des nuits parisiennes. S'y pressent jeunes noctambules, VIP et personnalités de la mode ou du cinéma. On y croise Mick Jagger, Andy Warhol ou Serge Gainsbourg en passant par Roland Barthes et Yves Saint Laurent.
Pierre et Gilles y retrouvent régulièrement leur bande et s'y font de nombreux amis qui deviendront plus tard leurs modèles. Creuset de la culture gay, le Palace fermera ses portes en 1983, en pleine épidémie de sida. Pierre et Gilles proposent des œuvres inspirées par cette parenthèse folle des « années Palace ». Temps de la jeunesse et de l'insouciance, elles sont aussi celles d'un brassage artistique et musical inédit qui rejoint l'imaginaire des artistes.
L'autel de la musique
Conçue comme un autel, cette installation s'inspire du décor de l'atelier-studio des artistes. Au centre, la télévision diffuse les clips réalisés par le duo: elle témoigne de l'époque foisonnante du vidéo-clip, dans les années 1980, lorsque des chaînes musicales en continu telles que MTV ont révolutionné le genre. Avec jubilation, les artistes ont choisi d'accumuler autographes et figurines comme autant de reliques ou d'ex-voto, créant ainsi un vrai-faux cabinet de curiosité musical, caractéristique de leur imaginaire.
ESPACE BLEU
Les icônes
Le christianisme hante le travail de Pierre et Gilles depuis leurs débuts. À la fois pétris de culture catholique depuis l'enfance et grands admirateurs de la peinture classique, Pierre et Gilles sont par ailleurs fascinés par la beauté naïve de l'imagerie pieuse. C'est naturellement que la représentation de figures bibliques s'est imposée dans leur travail et de nombreux musiciens se sont vus métamorphosés en saint, chacun reconnaissable à ses attributs.
La célébrité des chanteurs, réelle ou fantasmée, s'efface derrière la puissance de l'icône. Chaque modèle devient une « idole » au sens propre du terme. Chaque tableau actualise les codes de représentation du sacré et cherche à s'inscrire dans la longue lignée de l'histoire de l'art religieux occidental. Rassemblées sous forme de chapelles, ces œuvres semblent s'offrir à l'adoration et interrogent l'expression populaire de la foi et l'universalité du message chrétien.
La chambre Sylvie
Dans cette installation inédite, créée spécialement pour l'exposition, Pierre et Gilles imaginent la chambre fictive d'un fan de Sylvie Vartan. À la fois sanctuaire et refuge, cette pièce désertée, hors du temps, dans laquelle on ne peut pénétrer mêle à la fois posters, souvenirs, objets publicitaires ou collectors, mais aussi dessins et cahiers personnels des artistes. Avec humour et nostalgie, Pierre et Gilles proposent une ballade visuelle à travers le « culte » dont a pu faire l'objet celle qui fut l'une des « idoles des jeunes ».
De leur familiarité avec l'iconographie chrétienne, Pierre et Gilles ont tiré une curiosité prononcée pour toutes les formes de représentation religieuse. Leurs premiers séjours au Maroc les marquent durablement. En Inde, où ils se rendent à plusieurs reprises, ils découvrent le cinéma de Bollywood, l'omniprésence des divinités, les vitrines des studios-photo artisanaux et leurs photographies peintes à la main. C'est cette artificialité haute en couleur, à la fois sophistiquée et directe, qui les fascine et qu'ils recherchent instinctivement dans leur pratique.
Les figures du bouddhisme et de l'hindouisme intègrent leur esthétique. Boy George devient le dieu Krishna. Nina Hagen devient Kali, déesse indienne de la destruction. Madonna prend les traits de Ushiwaka de la mythologie japonaise. Refusant tout exotisme facile, Pierre et Gilles s'interrogent sur le pouvoir des mythes en jouant du contre-emploi ou de rapprochements visuels inattendus. Avec humour et tolérance, leurs œuvres tissent ainsi de subtils liens entre différents univers culturels.
ESPACE ROUGE
Rêve et cauchemar
Pour ce dernier espace, le duo s'est amusé avec les stéréotypes des divers genres musicaux. Au paradis célébrant le désir et l'amour, Pierre et Gilles opposent leur vision d'un enfer, ludique et bigarré.
L'ambiguïté est au cœur de chacun des personnages, comme si Bien et Mal étaient intrinsèquement liés. Pierre Lapointe est ainsi montré en trappeur dans une nature de carte postale, mais ses mains sont couvertes de sang. L'univers de Pierre et Gilles refuse tout manichéisme: passant d'un registre à l'autre, détournant les conventions visuelles comme sociales, leurs œuvres font écho à la puissance transgressive de la musique.
Historien de l'art et curateur, doctorant à l'Université Paris-Nanterre et à l'Ecole du Louvre sur l'oeuvre de Francis Bacon, Milan Garcin travaille sur les liens cachés dans et entre les images, sur la façon qu'ont les artistes de s'approprier l'histoire de l'art et sur l'épistémologie de sa discipline, des avant-gardes du XXe siècle à nos jours. Commissaire de plusieurs expositions, il a notamment collaboré avec Jean-Hubert Martin pour l'exposition Carambolages (RMN Grand Palais, 2016) et poursuit ce travail auprès de plusieurs musées en France et dans le monde.
#ExpoPierreEtGilles
Time:
19:30-21:30
Description:
Winter Time
Lancement des illuminations de Noël du Faubourg Saint-Honoré
Ne ratez pas le lancement des Illuminations qui sera présenté et animé par Laurie Cholewa et Sandrine Quétier le 19 Novembre 2019 à l'angle de la rue Royale et de la rue du Faubourg Saint Honoré !
Inès de la Fressange est la marraine de Winter Time 2019.
La fanfare de chezy revient cette année pour notre plus grand plaisir ! Elle défilera à partir de 18h dans la rue Saint Honoré, de la rue de Castiglione à la rue Royale.
www.wintertimeparis.com
Time:
20:00-22:00
Description:
Are you ready to rock'n roll ? On se retrouve au Centre culturel canadien pour un concert exceptionnel avec Steve Hill !
Chanteur et guitariste d'exception, Steve Hill est l'un des musiciens les plus connus de la scène blues-rock canadienne.
Véritable homme-orchestre jouant à la fois de la guitare, de la batterie et chantant en même temps, Steve Hill est un virtuose de la musique et connaît depuis 20 ans un succès fou au Canada et à l'étranger.
Concert debout
Time:
20:00-22:30
Description:
Description:
19, 20 et 21 novembre 2019
LE SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITÉS LOCALES DEPUIS PLUS DE 20 ANS !
Créé en 1996 en parallèle du Congrès des Maires, le SMCL est le seul rendez-vous annuel national qui réunit tous les grands acteurs de la commande publique avec l'ensemble de leurs partenaires.
https://www.salondesmaires.com
Time:
12:00-14:00
Description:
Galerie du Luxembourg, Hall et Escalier d'honneur
Du mardi 19 au lundi 25 novembre
Du lundi au vendredi 10h30 > 17h, jeudi jusqu'à 19h, samedi 10h > 12h
L'Union Nationale des Combattants propose une exposition sur les engagements armés de la France au cours d'opérations extérieures (OPEX) depuis 1962.
Elle rend hommage aux 250 000 hommes et femmes appelés ou engagés qui ont combattu dans le cadre de ces opérations.
Time:
14:00-21:00
Description:
cocktail VIP au 5ème étage
Situé au 20 rue La Boétie, dans le 8e arrondissement, le nouveau Centre Culturel Coréen à Paris permettra d'offrir au public français, avec ses quelque 3 756 m² (soit 5 fois la superficie de ses locaux actuels de l'avenue d'Iéna), beaucoup plus d'activités et d'événements. Avec son auditorium ultra moderne, ses deux grands espaces d'exposition, une très vaste bibliothèque et de nombreux espaces pour les ateliers d'art et cours de coréen, ce nouveau lieu est destiné à devenir, à partir de novembre 2019, le haut lieu de la culture coréenne à Paris.
Le jeudi 21 novembre marquera le coup d'envoi d'un événement de haute tenue : l'inauguration des nouveaux locaux du Centre Culturel Coréen. Les festivités se poursuivront sur deux mois, jusqu'au 14 février 2020. Le programme se déroulera dans et hors les murs du nouveau Centre et s'adressera à un très large public. Préparé en étroite collaboration avec le Musée National Folkorique de Corée, l'Office National du Tourisme Coréen à Paris et la Korea Creative Content Agency, ce programme donnera l'occasion au public français de découvrir les nombreuses facettes de la culture coréenne, entre autres à travers une très belle exposition sur les couleurs traditionnelles coréennes.
Bonne nouvelle pour les amateurs de culture coréenne en France. Le nouveau Centre culturel coréen a ouvert ses portes, hier heure locale, 20 rue de la Boétie, à deux pas de l'avenue des Champs Élysées, en plein cœur de Paris.
L'ancien établissement avait été inauguré en 1980 près de la place du Trocadéro et assurait jusqu'à présent la diffusion de la culture du pays du Matin clair dans le vieux continent. Mais, en raison de ses locaux trop étroits et vieillissants, cette organisation n'était plus en mesure de satisfaire l'intérêt et la demande croissante pour la culture coréenne.
Le nouvel établissement est par conséquent cinq fois plus grand que le précédent. Sur une superficie totale de 3 756m2, le bâtiment est composé de huit étages dont un sous-sol. Il est le 4e plus grand Centre culturel coréen au monde. Différentes salles dotées de technologie de pointe ont été créées, comme celle permettant d'expérimenter la culture coréenne ou encore à la gastronomie. Les visiteurs pourront également se rendre dans une salle de concert disposant de 120 sièges, une grande salle d'exposition, une bibliothèque et une salle de conférence.
Lors de la cérémonie d'inauguration, tenue hier après-midi, près de 500 personnalités importantes des deux pays étaient présentes, y compris le ministre sud-coréen de la Culture, des Sports et du Tourisme, Park Yang-woo, l'ancienne ministre française de la Culture, Fleur Pellerin, la sénatrice Vivette Lopez et le député Joachim Son-Forget.
Time:
16:30-21:00
Description:
Rencontrez Rodrigo Mundaca, lauréat du prix Danielle Mitterrand 2019 !
Rodrigo Mundaca, lauréat du prix Danielle Mitterrand 2019
Le jury composé de Gilbert Mitterrand, Christiane Taubira, Philippe Starck, Agnès b, Hindou Oumarou Ibrahim et Jacqueline Madrelle a désigné Rodrigo Mundaca lauréat de la 7ème édition du prix Danielle Mitterrand.
Un militant pour la "justice de l'eau" au Chili
En 2010, Rodrigo Mundaca co-fonde le Mouvement de défense pour l'accès à l'eau, la terre et la protection de l'environnement, MODATIMA. Il lutte pour les droits des agriculteurs, travailleurs et habitants de la région de Petorca, victimes du vol et de l'accaparement de l'eau par des entreprises de l'agrobusiness. Le mouvement mène de nombreuses actions (manifestations, plaidoyer, conférences) et se déploie dans tout le pays à partir de 2015. MODATIMA défend le caractère vital de l'eau, patrimoine commun de l'humanité et de la nature, face à ceux qui ne voit l'eau que comme une ressource à exploiter, marchandiser et privatiser.
Un activiste criminalisé et menacé
En réponse à son action, Rodrigo Mundaca subit censure et intimidation. Les autorités chiliennes ont engagé quatre procédures pénales à son encontre, et il est notamment condamné à 61 jours de prison pour diffamation. En 2015, il est agressé dans la rue. En 2017, il reçoit des menaces de mort. Aujourd'hui, il continue son combat avec courage et détermination.
Rodrigo Mundaca et la Fondation Danielle Mitterrand : une vision partagée
L'engagement de Rodrigo Mundaca est radical et humaniste, comme l'était celui de Danielle Mitterrand. Rodrigo Mundaca a déclaré, à l'annonce de son prix : «Je suis profondément ému et reconnaissant de recevoir le prix Danielle Mitterrand. Nous continuerons ensemble le combat pour faire de l'eau un bien commun et de son accès un droit humain fondamental».
Time:
17:00-19:00
Description:
Mercredi 20 novembre, à partir de 17h00, Rémi Lascault viendra dédicacer "Lorem Ipsum Dolor" son album à paraître le 22 novembre aux éditions lapin.
"Quatre cases sans aucune parole. Quatre cases muettes car le dessin suffit à faire mal, à faire rire, à faire « Rhoooo naaaan quand même haha ! » Connu sur Instagram où il a pu montrer sa maîtrise du strip BD, Rémi Lascault passe à la bande dessinée papier et manie l'art du glauque et de l'absurde à la perfection. Ses thèmes de prédilection : la mort, l'amour, la nature, la métaphysique et le caca. Une BD d'humour bien noir à offrir avant, pendant et après les fêtes de fin d'année."
Time:
17:30-21:00
Description:
Mohammad Reza Ghorbanzadeh, Président du Société Écran d'Argent
et Mojtaba Rouhandeh, Commissaire d'exposition
ont le plaisir de vous inviter au vernissage Igor B. Glik (Igor Bitman)
Le mercredi 20 novembre 2019 à partir de 17h30
Du 18 novembre au 21 décembre 2019
Heures d'ouverture : 11h/19h (sauf le mardi)
Village Suisse
Cours Anglaise (sous-sol)
78, avenue de Suffren
75015 Paris
54, avenue de la Motte-picquet, 75015 Paris
tél. : 06 42 64 34 86
https://www.instagram.com/ecran.dargent
Time:
18:00-20:30
Description:
L'événement dédié à l'audio digital, organisé par ACPM, aura lieu le mercredi 20 novembre à la Maison de la Radio, en partenariat avec La Lettre Pro de la Radio. Les inscriptions gratuites sont ouvertes !
L'ACPM (Alliance pour les chiffres de la presse et des médias) organise une nouvelle édition de sa conférence dédiée 100 % à l'audio digital. La 2ème édition d'Innov'Audio Paris aura lieu le mercredi 20 novembre 2019 à partir de 18 heures au Studio 104 de la Maison de la Radio (Paris 16ème) en partenariat avec La Lettre Pro de la Radio, et nos confrères d'OffreMedia et CB News et avec le soutien de Radio France Publicité, et en partenariat avec les grandes associations professionnelles : AACC, ARPP, GESTE, IAB France, IREP, SRI, UNION DES MARQUES, UDECAM...
Pendant 1h30, s'enchaîneront des prises de parole, de démonstrations, de keynotes sur l'innovation, pour animer et débattre autour de l'écosystème publicitaire : agences de création et agences médias, experts locaux et internationaux, régies et nouveaux acteurs, leaders et nouveaux entrants.
AU PROGRAMME, L'ECOSYSTÈME AUDIO DIGITAL EN 2019
Un an de croissance et de nouveaux projets : La Lettre Pro de la Radio
1er Bilan : les assistants vocaux
Ad-tech : monétisation et innovations technos
La Parole aux éditeurs : le podcast un outil très puissant pour créer un territoire de marque et lancement de la 1ère mesure de diffusion des podcasts
L'Ecosystème Publicitaire : agences, régies et annonceurs
L'audio digital : la vision de Radio France
Remise de l'étoile OFFREMEDIA qui récompense la meilleure initiative marketing/étude d'une régie radio
Remise des étoiles ACPM récompensant la meilleure progression d'une radio digitale
A partir de 19h30, le cocktail audio digital
Paris : La Civette, un nouveau lieu tendance signé Merci
Le concept-store parisien Merci a inauguré un troisième espace sur le boulevard Beaumarchais, dans un ancien bureau de tabac : la Civette.
Après son flagship store, il y a 10 ans, au 111, boulevard Beaumarchais, puis le pied-à-terre, au 109, Merci continue d'investir la célèbre artère parisienne. Le concept-store, l'un de nos préférés à Paris, vient en effet d'inaugurer la Civette.
Depuis quelques jours, dans cet ancien de bureau de tabac, les jeux à gratter et paquets de cigarettes ont été remplacés par des... doudounes ! Pour être précis, il s'agit de « liners », ces duvets chauds que l'on porte sous sa veste.
Ils ont été conçus par Taion, une marque japonaise repérée dans une boutique de Tokyo par les équipes de Merci. Taion signifie « chaleur corporelle ». Ce sont donc des vêtements techniques, aux couleurs unies, pratiques et résistants.
Mixtes, les liners sont disponibles sans manche (58 €) ou avec (78 €), voir en kit (et chauffante), avec la possibilité de la porter sans manche, avec des manches courtes, ou avec des manches longues (300 €). Une collection réalisée exclusivement pour Merci et la Civette.
Le made in Japan à Paris
Taion a investi la totalité de ce nouvel espace jusqu'au 29 février prochain. Mais il ne s'agit pas pour autant d'un pop-up store éphémère comme on en voit de plus en plus. Merci a les idées larges, et compte proposer la Civette en résidence à des marques débutantes ou méconnues à Paris, en qui elle croit.
Un concept que le concept-store parisien résume en quelques mots : « c'est l'une des vocations du magasin que d'être le porte-voix de nouveaux designers, créateurs et Maisons ». On imagine également que les prochains locataires de cette boutique tournante auront également la possibilité de proposer, en exclusivité, une collection conçue avec Merci.
Partagés entre l'impatience de découvrir les prochains partenariats de Merci pour faire vivre la Civette, et l'irrépressible envie de collectionner les doudounes Taion comme on le faisait avec les briquets de toutes les couleurs, on coupe la poire en deux : on se fournit en liners pour rester au chaud jusqu'au mois de mars.
La Civette
Merci x Taion jusqu'au 29 février 2020.
113, boulevard Beaumarchais (Paris 3e).
La collection est également disponible en ligne :
www.merci-merci.com/taion
Time:
18:00-21:00
Description:
Carte blanche à Marie-Paule Bilger et Francine Zubeil
BIS REPETITA
vernissage : mercredi 20 novembre 2019, 18h - 21h
exposition du 21 au 30 novembre
du mardi au samedi de 14h à 19h
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 18/11 au 29/11/2019
Vernissage mercredi 20 novembre à 18h
avec 5 œuvres de l'artiste Zhu Yi
Time:
18:00-21:00
Description:
Karin Boinet, dessins
Christine Guillemin, sculptures
du 21 novembre au 8 décembre
Le galerie Isabelle Laverny consacre cette exposition à deux artistes, Christine Guillemin et Karin Boinet, mettant en regard sculptures et dessins. Christine Guillemin développe une série de sculptures "Mise en scènes" où personnages et animaux se retrouvent dans des cadres mobiles. Elle présentera également une sélection de travaux en bronze. Karin Boinet explore de son coté les scènes parisiennes entre librairies, quais de Seine et métro parisien par le biais du dessin.
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 21 au 30 novembre 2019
ouvert du mercredi au samedi de 14h à 19h
Vernissage mercredi 20 novembre 2019 de 18h à 21h
#97 - Frontières
Mar Daines
Dans mes installations, sculptures et peintures, j'utilise des matériaux différents comme la pierre, l'argile, le métal, le bois, des matériaux de récupération ainsi que la peinture et le collage. Ainsi je peux expérimenter constamment, éternelle étudiante et exploratrice de l'Abstrait.
Le temps et l'espace sont mes champs de recherche. J'essaie de minimiser le rationnel. Mes œuvres se font sans idée intellectuelle préconçue, un geste en appelant un autre, dans un travail de restitution inconsciente des nombreuses cultures et frontières que j'ai expérimentées et traversées.
J'ai grandi en Colombie et j'ai ensuite vécu dans différents pays d'Amérique du Sud, du Proche-Orient et d'Europe.
Après des études d'Histoire de l'Art à Rome, j'ai suivi des cours de Beaux-Arts à la FAAP (Fundaçao Armando Alvares Penteado) à Sao Paulo au Brésil, ainsi que plusieurs ateliers en France et aux États-Unis.
J'habite et travaille actuellement en France.
Time:
18:00-21:00
Description:
Nikolaus Heidelbach est un illustrateur rare, dont les albums ont été publiés en France par le Sourire qui mord, le Seuil, Panama et Les Grandes personnes.
Ses superbes et délicats dessins originaux nous emportent dans un monde étonnant, troublant et parfois perturbant, mais toujours souriant.
Nous avons le plaisir et l'honneur d'accueillir ces œuvres, grâce à la complicité de la Biennale des illustrateurs de Moulins et des éditions des Grandes personnes.
EXPOSITION DU 21 NOVEMBRE au 21 DÉCEMBRE
Du mardi au samedi, 14-19h
VERNISSAGE LE 20 NOVEMBRE, en présence de l'artiste qui viendra spécialement à Paris.
20 dessins originaux seront en vente.
Time:
18:00-21:30
Description:
Vernissage le mercredi 20 novembre 2019 de 18h à 21h
Exposition du 21 novembre au 7 décembre 2019
du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous
Après avoir publié en 2010 un livre sur l'artiste américaine Pegeen Vail Guggenheim, Benjamin Hélion et Benjamin Lanot publient aujourd'hui, en 2019, avec Sisso Éditions, la biographie du peintre hors du commun, André Raffray. H Gallery a l'honneur de présenter, à cette occasion, une exposition de dessins et de peintures de l'artiste, prêtées autant par sa famille que par des collectionneurs privés.
Pour cette publication, Benjamin Hélion et Benjamin Lanot - petit-neveu du peintre - ont mené des dizaines d'entretiens non seulement auprès de ses proches mais également auprès de nombreuses personnalités du monde de l'art : marchands, directeurs d'institutions et artistes. Bernard Blistène, grand ami et soutien d'André Raffray de son vivant, a préfacé cet ouvrage.
L'Œuvre d'André Raffray (1925-2010) interroge la définition même de l'art. Imaginatif mais se référant sans cesse aux artistes qui l'ont précédé, il s'est attelé, durant toute sa carrière artistique, à « recommencer » les plus grandes œuvres de l'Histoire de l'Art : Marcel Duchamp, Pablo Picasso, Jean-Auguste-Dominique Ingres... Leur point commun est d'avoir été réinventés par la peinture conceptuelle et précise d'André Raffray. Le peintre a pourtant eu une place tout à fait particulière dans le monde de l'art à la fin du XXème siècle. Proche des grands artistes contemporains mais loin des circuits traditionnels du marché de l'art, son travail a cependant été soutenu par de grands institutionnels tels Pontus Hulten. Ses reprises du Brooklyn Bridge résument les ponts entre passé et présent que l'artiste, par sa démarche unique, n'a eu de cesse de tisser.
André Raffray - Autoportraits de Salvador Dalì 1941-1961
2003 - Crayons de couleur et mine de plomb sur papier
59.8 x 49.8 cm chacun soit 59.8 x 99.6 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 21 novembre 2019 au 9 février 2020
En 1933, Alberto Giacometti écrit à André Breton : « Hier lu Sade qui me passionne beaucoup ». Dans les années 1930, il réalise des « objets à fonctionnement symbolique » d'un érotisme violent, similaire à celui des écrits de D.A.F. de Sade. L'époque est à la réhabilitation du divin Marquis, modèle de liberté et de modernité pour les artistes et les écrivains. Le philosophe libertin fascine Giacometti et ses amis, parmi lesquels Georges Bataille, André Masson, Luis Buñuel, Salvador Dalí. Cette exposition évoque pour la première fois l'influence des écrits sadiens dans son œuvre et dans ses textes. Elle réunit une grande partie des œuvres surréalistes réalisées entre 1929 et 1934, des photographies d'œuvres disparues et de nombreux carnets de dessins inédits.
Commissaires : Christian Alandete et Serena Bucalo-Mussely
Dans les années 1930, Alberto Giacometti réalise des objets à fonctionnement symbolique traversés par l'imaginaire d'un érotisme violent qui trouve son pendant dans les écrits de D.A.F de Sade. Alors que Giacometti rallie, pour un temps, le mouvement surréaliste, l'époque est à la réhabilitation du divin Marquis et de ses écrits sulfureux. Formé à la représentation d'après nature, Giacometti privilégie désormais une vision subversive du réel portée par l'inconscient et le rêve et réalise des sculptures qui lui apparaissent « offertes tout achevées à son esprit ». Le nom de Sade, « le plus moderne et dépouillé » revient à plusieurs moments dans les carnets de l'artiste tiraillé entre la représentation de fantasmes souvent violent et le désir de revenir à la représentation du réel.
Bien avant de découvrir Sade, le jeune Giacometti dessine des copies d'après des sujets religieux représentant des scènes de violence. A partir de 1929, ses sculptures et ses textes se rapprochent de l'univers sadien. Giacometti a rejoint les membres du cercle surréaliste qui ont contribué à la redécouverte de Sade, d'abord les dissident réunis autour de Bataille, puis le groupe orthodoxe de Breton. Ces artistes ont placé l'imaginaire, les fantasmes et le rêve au cœur de leur programme artistique. Le nom de Sade revient à plusieurs reprises dans ses carnets de l'époque, dans lesquels l'artiste dessine des sculptures à forte charge érotique, schématisant des organes sexuels ou représentant des scènes de voyeurisme ou de prostitution.
L'évocation de la relation sexuelle apparaît dans de nombreuses œuvres entre 1929 et 1933. Le corps y est représenté de manière allusive par un détail organique ou sous une forme à la fois animale et végétale. L'artiste représente la tension d'une sexualité envisagée comme un combat entre les deux sexes. Giacometti a abandonné la sculpture naturaliste au profit d'une représentation symbolique évoquant la pénétration, le viol et parfois le meurtre, point ultime du plaisir sadien, dans laquelle il s'agit de libérer les pulsions sexuelles en faisant coïncider le plaisir et la mort.
En 1931, Giacometti réunit sous le titre Objets mobiles et muets une série d'œuvres équivoques qui se rapprochent des images à double sens et de l'humour noir des surréalistes. Par leur caractère instable et menaçant ces œuvres dégagent une violence physique et psychique. Ces sculptures prennent la forme d'objets frôlant l'abstraction, tout en suggérant un rapport avec le corps. Ces œuvres manipulables évoquent des instruments de plaisir sadiques provoquant une « émotion violente et indéfinissable, en rapport sans doute avec des désirs sexuels inconscients ». (Maurice Nadeau)
Ces objets surréalistes génèrent souvent un sentiment de frustration, annonçant un danger imminent qui finalement n'aura pas lieu, comme pour acter l'écart entre le fantasme et la réalité. La métaphore de l'œil apparaît dans plusieurs de ces œuvres, évoquant la possibilité d'une incision ou d'une pénétration. Celles-ci se rapprochent de l'utilisation érotique et sadique de l'œil par Buñuel, Dalí et Bataille. Giacometti semble évoquer la pulsion scopique que Freud avait défini comme le plaisir de posséder l'autre par le regard. L'artiste ménage un espace poétique mettant en scène un véritable théâtre de la cruauté.
Alberto Giacometti, Cage, 1930-1931, Bois, 49.8 x 27 x 27 cm
Archives Fondation Giacometti, Paris
Alberto Giacometti, Femme couchée qui rêve, 1929, Bronze, 23.7 x 42.6 x 13.6 cm
Fondation Giacometti, Paris
Alberto Giacometti, Femme en forme d'araignée, 1931.
Photo : Marc Vaux / Archives Fondation Giacometti, Paris
Alberto Giacometti, Boule suspendue, 1930-1931, 60.6 x 35.6 x 36.1 cm
Fondation Giacometti, Paris
Time:
18:00-21:00
Description:
MODULATIONS de Eggs & Bitschin et Matthias Pabsch
Installation lumineuse dans l'espace pilotis à l'extérieur du bâtiment jour et nuit.
Du 21 novembre au 15 décembre 2019
Vernissage le mercredi 20 novembre à partir de 18h
L'espace pilotis de la Fondation suisse / Pavillon Le Corbusier est un espace d'un esprit architectonique emblématique au cœur de la Cité internationale universitaire de Paris. Les artistes suisses Francine Eggs / Andreas Bitschin, accueillis dans le cadre de la résidence du Valais, en collaboration avec l'artiste berlinois Matthias Pabsch, ont créé pour ce lieu classé monument historique le projet d'exposition MODULATIONS : installation, sculpture et texte cinétique avec projections lumineuses présentent une interprétation contemporaine de l'univers intemporel de Le Corbusier, lequel à l'ère digitale a toujours une empreinte majeure sur notre culture et compréhension architecturale.
Cette exposition est organisée dans le cadre du programme de résidence d'artistes de l'Etat du Valais.
Francine Eggs / Andreas Bitschin
Francine Eggs (née en 1958 à Sion) et Andreas Bitschin (né en 1958 à Viège) vivent et travaillent en Suisse. Après des études à l'école des Beaux-Arts du Valais (ECBA) et à l'académie Port Royal de Paris, ils créent en 1992 le duo Eggs Bitschin. Les artistes développent le concept d'Endogramme où des peintures avec focalisation sur des parties organisées inconsciemment, chaotiques sont transformées par scan, zoom et digitalisation. Les résultats interviennent comme impressions digitales sur différents médiums, formations sculpturales, installations et vidéos, principalement dans l'architecture, l'espace public et des lieux techno-industriels ou naturels. Parallèlement, le duo développe des textes poétiques in situ, principalement réalisés comme jeux cinétiques englobant texte, sculpture et projection dans des espaces autant intérieurs qu'extérieurs.
www.eggsbitschin.ch
Matthias Pabsch
Né en 1970 à Hildesheim (Allemagne), Matthias Pabsch vit et travaille à Berlin et dans l'Uckermark. L'artiste a entrepris des études d'histoire de l'art, d'art et d'architecture et a obtenu son doctorat à l'Université Humboldt à Berlin en 2002. Il a publié sur l'art, l'urbanisme et l'architecture. Depuis les années 1990, ses œuvres artistiques sont exposées aussi bien dans l'espace public que dans des galeries et musées en Allemagne et à l'étranger. Depuis 2010, il enseigne comme professeur agrégé à la Duke University (USA), la Stanford University et à l'University of Notre Dame du Lac (USA). Ses médiums artistiques sont principalement la peinture, la sculpture et la photographie. Au centre de son œuvre figurent les interdépendances entre homme, nature et technique.
Maison du projet Morland | 17 Boulevard Morland | 75004 Paris
Angle Boulevard Morland & Rue Agrippa d'Aubigné
The Gong Show est une saison inédite proposée par le Paris Art Lab exprimant ainsi son attachement à un incontournable inventeur d'utopies réelles, souvent désigné "artiste de génie" et "animateur de pensée" : Robert Filliou. Jusqu'au 23 février 2020, le P.A.L. propose une lecture de l'oeuvre de "l'artiste des artistes" à travers l'application à son propre espace-temps des théories entrelacées de Filliou. Le P.A.L. devient à son tour relais des traits d'esprit du penseur qui s'instillent dans chaque interstice de l'espace de la Maison du projet Morland.
ROBERT FILLIOU : THE GONG SHOW
Une proposition de Francisca Würz, sur une invitation de Leslie Veisse
Vernissage le mercredi 20 novembre à partir de 18h
Suivi à 20h d'Emboîtez, une lecture-action de Aziyadé Baudouin-Talec
Mimer un tuyau d'arrosage automatique, faire danser ses pectoraux, jouer de la guitare la tête à l'envers... Dans l'émission The Gong Show diffusée à partir de 1976 sur la chaine américaine NBC, les participants dévoilent aux téléspectateurs quelques-uns de leurs talents cachés, jusqu'à ce que le jury sonne le gong et donne son verdict. L'année suivante, selon les mêmes règles absurdes, Robert Filliou nous livre avec Brian Dyson sa propre parodie du fameux talent show : des tentatives échouées à présenter ses oeuvres, irrémédiablement interrompues toutes les 40 secondes par un bruit sourd. Pied de nez à la primauté du jugement de valeur devenu omniscient dans la culture occidentalisée, l'esprit gai joueur de Filliou vient déjouer les codes d'une société où dominent hyper-consommation et accélération obsessionnelle. Dans un monde où il y a violences à chaque ébauche de différence, l'économie poétique de Filliou crée des dynamiques collectives harmonieuses, concrétise l'expression ludique d'une co-activité. The Gong Show s'appréhende comme un signal salvateur, une véritable piste de décollage pour la pensée. À l'image de l'expression « sauvé par le gong ! », que ce soit le son de la cloche de récréation, ou celui du gong de la fin d'un round dans un match de boxe, il nous délivre in extremis d'une situation de crise, nous permet de rebondir, ou plus encore, nous fait échapper aux bras de Morphée. Il nous garde en éveil pour inventer autant que dés-inventer. Au croisement de l'humour, de l'invitation à la confession et de l'ouverture d'un débat, The Gong Show nous rappelle le processus même de la création permanente basé sur la joie, l'humour, le dépaysement, la bonne volonté, et la participation. Un tel processus est rendu possible à l'intérieur d'un laboratoire en partant du principe que « la recherche est le privilège de ceux qui ne savent pas, et non pas le domaine de ceux qui savent » et où les frontières entre l'art et les autres activités de la vie sont abolies. Selon son acronyme anglais, Paris Art Lab est une communauté de "pals", des amis partageant les mêmes affinités pour ouvrir des dialogues avec les visiteurs devenus utilisateurs, et se détacher des idées préfabriquées selon l'intuition propédeutique du principe d'équivalence : mal fait = bien fait = pas fait. Ainsi élargi, le P.A.L. crée des soupapes d'optimisme dans un paradigme où art et praxis sociale se confondent, il se fait vecteur d'un autre lieu de la Fête Permanente.
Lieu-laboratoire pluriel, le Paris Art Lab est à la fois espace de vie, plateforme de test, lieu de parole et d'hypothèses, boîte à outils pour la création d'actions et d'échanges transversaux non hiérarchiques. Avec The Gong Show, le P.A.L. développe sa propension à devenir un espace vital de réflexion, de mise en commun de savoirs et de disciplines, de méditation, de résistance, de création permanente.
Leslie Veisse
Avec le soutien de Emerige
Remerciements tout particuliers à : galerie Peter Freeman Inc., Nicolas Hoffmann, Anne-Laure Riboulet, Barbara Soyer, Marianne Staffeldt Filliou, Marc-Olivier Wahler
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage de l'exposition "Salon de l'Art Japonais - 3ème Semaine"
Time:
18:30-20:30
Description:
Apéro presse le 20 novembre prochain de 18h30 à 20h30 au Carreau du Temple à Paris organisé dans le but de présenter en avant-première aux influenceurs le festival Culture au Quai qui a lieu le week-end du 14 et 15 décembre et de rencontrer autour d'un verre les organisatrices du festival.
Un atelier chant sera également organisé à 19h par Morgan Jourdain, chef de chœur à Radio France.
En bonus, repartez avec des cadeaux offerts par le musée du quai Branly, les Concerts de Radio France, l'Athénée, l'Odéon, la Scala, la Monnaie de Paris, le Châtelet et bien plus encore. Je vous ai joint l'invitation.
L'historien de la photographie Michel Poivert sera en signature à La Comète le mercredi 20 Novembre pour « 50 ans de photographie française de 1970 à nos jours » aux Editions Textuel. Ce livre vient combler un manque : aucune synthèse ne permettait jusqu'ici d'apprécier la nature et l'ampleur de la photographie française depuis la fin des Trente Glorieuses. Le pari est osé : comment inclure les différentes pratiques photographiques allant de l'information à l'art contemporain ?
Par des approches thématiques, telles que le renouvellement du reportage, la passion pour le paysage ou bien le témoignage social, l'ouvrage permet de reconstituer la diversité d'une scène française. Du journal au musée, du récit de soi à l'ambition documentaire, du témoignage militant à l'expérimentation plastique, la photographie a fait sa révolution culturelle pour ne plus être qu'un métier ou une passion, mais bien un langage expressif.
Rendez-vous Mercredi 20 Novembre pour une traversée photographique d'un demi-siècle avec Michel Poivert !
- Vous ne pouvez pas être présent ? Réservez votre exemplaire signé/dédicacé en message privé, par mail lacomete@picto.fr ou au 01 40 36 78 96 -
Time:
18:30-21:00
Description:
Du 20 novembre au 6 décembre 2019 :
samedi de 10h à 18h
et lundi de 14h à 22h
et mardi, mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 22h
Exposition de l'artiste plasticien franco-indien Debesh Goswami - Vernissage le 20 novembre en présence de l'artiste
Debesh Goswami est un artiste plasticien franco-indien qui vit et travaille à Paris et Calcutta. Il a suivi des études aux Beaux-Arts de Calcutta avant d'effectuer un doctorat à l'Université Rennes 2. Il a ensuite enseigné à l'École des Beaux-Arts de Rennes et a participé à nombreuses expositions à travers le monde.
Les œuvres de Debesh Goswami questionnent à la fois les traditions de la culture hindouiste et des recherches contemporaines. Elles évoquent la thématique de l'identité, personnelle ou collective, à laquelle l'artiste déraciné, se heurte continuellement. Elles révèlent le monde complexe d'une personne qui partage son existence entre sa culture d'origine et son monde d'exil, entre le transitoire et l'éternel. Elles se caractérisent par l'usage de matériaux inhabituels : guirlandes de fleurs, baguettes de pain, crêpes, poudre de brique... Réalisées dans des espaces publics en France, en Inde, en Autriche, en Allemagne, en Angleterre, en Chine, en Lituanie, en Russie et aux USA, elles lui ont valu une renommée internationale.
Depuis 2002, il utilise également son propre corps comme modèle d'expériences à travers différentes actions qui s'inscrivent dans le registre des rituels, comme l'ablution ou l'enveloppement de terre. Sa pratique artistique invite ainsi à la méditation ou à une « émancipation », tout en insistant sur le continuum entre l'espace et les corps.
Il définit son propre travail ainsi : « Dans mon œuvre, je ne me suis jamais attaché à une origine en particulier en raison des différentes cultures qui m'ont nourri et qui continuent de le faire. Dans mes performances et installations j'utilise souvent mon corps. Pour moi, il ne s'agit plus de trouver la forme esthétique mais il convient de considérer mon corps comme un support. Cela me permet d'explorer le ressenti de ma présence au monde, dans une dynamique de recherche et d'isolement total. Ces expériences favorisent ma conscience d'appartenir à une universalité. »
Le critique d'art Jean-Marc Poinsot disait : « ...les artistes comme Debesh Goswami se doivent, à côté des constructions plus collectives qui font indéniablement partie des dynamiques culturelles d'aujourd'hui, de proposer une vision et un mode de travail qui redistribuent les tâches entres les formes les plus diverses d'expression qu'elles soient celles des masses ou celles moins diffuses des spécialistes des signes esthétiques. »
Time:
18:30-21:00
Description:
Le Cheerz Photo Festival se prolonge à la Fisheye Gallery, du 20 au 24 novembre. Venez (re)découvrir les photos des lauréats dans une exposition inédite !
Nous sommes également heureux de vous inviter au vernissage de l'exposition collective, où vous retrouverez les photos qui ont été exposées pendant le festival. A la Fisheye Gallery le 20 novembre à partir de 18h30.
Time:
19:00-21:00
Description:
NetMedia Group, Les Cas d'OR et E-Marketing vous invitent à participer au #grandprixdusearch2019
La 2ème édition du Grand Prix du Search aura lieu le 20 novembre 2019. Nous y rassemblerons à nouveau l'écosystème Search Marketing Français (SEO/SEA) et y célébrerons les meilleurs cas d'usage dans les grandes thématiques et évolutions associées à ce segment du Marketing Digital.
E-Marketing s'associe de nouveau à l'événement.
Nous mettrons en avant une trentaine de dispositifs selon les catégories suivantes :
- Performance SEO
- Search & Data
- Search & TV
- Couverture de marque
- Campagnes de liens produits
- Retail Search
- Analytics et Datavisualisation
- Search & IA
- Fonctionnalité Search
- Search Experience
- Mobile Search
- Plateforme d'optimisation
- Campagne Voice Search
- Dispositif de VSEO
- Local Search
- Campagne B2B
Et nous dévoilerons nos désormais traditionnels Prix de la Meilleure Agence Search, Prix de l'Innovation et Grand Prix.
Qui succédera à Rue du Commerce et Keyade, GRAND PRIX 2018 ?
Time:
19:00-21:00
Description:
Sauver La Vie, le programme de financement pour soutenir la recherche médicale de la faculté de médecine Paris Descartes. Karl Lagerfeld, un mécène de la première heure
Time:
19:00-21:00
Description:
Retrouvez Aleksandra Fontaine le 20 novembre à 19 heure pour les dédicaces de son deuxième roman « Mustang ».
Un cocktail et une vente de livres sont prévus.
Lieu: GRK Golan Rouzkhosh Gallery
6 Passage Saint-Avoye
75003 Paris
Time:
19:00-23:00
Description:
Après deux ans de travaux et 220 millions d'euros, la deuxième phase du grand plan de rénovation du parc des expositions de la porte de Versailles s'achève avec l'inauguration ce jeudi du hall 6.
Time:
19:00-21:00
Description:
La Fondation Pierre Lafue a été créée en 1976. Elle a pour objet de soutenir des activités historiques et littéraires dans l'esprit de l'œuvre de Pierre Lafue et décerne chaque année un prix qui récompense soit un ouvrage de langue française d'inspiration historique, soit l'ensemble d'une œuvre.
Le Président de la Fondation Pierre Lafue Antoine Hinfray et son Jury présidé par Nicolas Ivanoff ont sélectionné les 6 ouvrages suivants, parmi lesquels sera choisi le gagnant de cette année :
- Molière, Georges Forestier, Éditions Gallimard
- La politique du merveilleux, Arnaud Orain, Éditions Fayard
- De colère et d'ennui, Paris, chronique de 1832, Thomas Bouchet, Éditions Anamosa
- Par les armes, le jour où l'homme inventa la guerre, Anne Lehoërff, Éditions Belin
- La grille du peintre, Charlotte Guichard, Éditions du Seuil
- L'appel de la guerre, des adolescents au combat, 1914-1918, Éditions Anamosa
- Les soldats de la grande guerre, Manon Pignot, Parigramme
La remise du Prix au lauréat, ouverte à la presse, se déroulera le 20 novembre 2019 à la Mairie du VIe arrondissement de Paris.
Lors de cette soirée, la Fondation remettra également pour la première édition, Le Prix du Petit Lafue. Cette récompense vise à sensibiliser les jeunes générations à l'Histoire, ce concours est ouvert aux collégiens.
Et un Prix Spécial sera décerné à Emmanuel Laurentin, à la tête depuis 20 ans du programme historique de France Culture : La Fabrique de l'Histoire et qui tire bientôt sa révérence.
Time:
19:00-21:00
Description:
La Librairie des femmes vous invite à rencontrer
Fanny Lesbros, journaliste, autrice,
Un bébé nommé désir (Steinkis, 2019)
illustré par Pauline Aubry
En 2013, Fanny Lesbros est envoyée par son journal pour couvrir les manifestations contre le mariage pour tous. Dans le même temps, la PMA de sa meilleure amie échoue, tandis qu'elle-même apprend qu'elle est enceinte. Durant neuf mois, elle rencontre des témoins et des experts, confrontant leurs points de vue avec ses propres réflexions sur le désir d'enfant.
Time:
19:00-21:00
Description:
Geneviève Fraisse dialoguera avec Laure Marcel-Berlioz, codirectrice de l'ouvrage "Compositrices, l'égalité en acte" aux Éditions MF. La philosophe prolonge sa réflexion aux actrices et créatrices dans son dernier essai "La suite de l'histoire" (Editions du Seuil) .
« Où sont les femmes ? Toujours pas là ! » affirme régulièrement la Société des auteurs et compositeurs dramatiques. Cette inégalité entre les hommes et les femmes dans le spectacle vivant est aujourd'hui injustifiable. À la Renaissance, on pouvait compter sur les doigts d'une main le nombre de compositrices. Aujourd'hui, certes, elles sont plus nombreuses, mais elles restent encore très minoritaires ; ainsi en France, elles ne représentent que 10 % des compositeurs de musique.
Le livre rassemble 53 portraits de compositrices accompagnés des points de vue de la philosophe Geneviève Fraisse et des musicologues Jacques Amblard, David Christoffel, Florence Launay...
Time:
19:00-22:00
Description:
Soirée de lancement / Les Indociles/Stan Cuesta/Nicolas Comment
Pour le lancement de la nouvelle collection "Les Indociles" des éditions Hoebeke, son directeur Stan Cuesta, nous présente ses deux premières parutions : "Catherine Ringer et les Rita Mitsouko", par lui-même et "Jacques Higelin", en compagnie de Nicolas Comment, son auteur.
Une soirée animée et modérée par Valli, productrice et animatrice radio à France Inter et autrice de British Invasion / Pop Save the Queen (GM Editions).
La librairie vous convie à venir découvrir cette belle édition et à venir discuter avec nous autour d'un verre.
Time:
19:00-21:00
Description:
en présence de :
WOJCIECH JAMA - collectionneur prêtant les pièces exposées,
ARTUR WABIK et TOMASZ TRZASKALIK - commissaires
L'exposition sera ouverte du jeudi 21 novembre au samedi 7 décembre 2019 de 14h15 à 18h00 et le dimanche 8 décembre 2019 de 14h15 à 18h00.
L'exposition propose pour la première fois un vaste panorama de la bande dessinée en Pologne, de la fin du XIXe siècle jusqu'au début du XXIe, consacrant une discipline artistique populaire largement ignorée par l'Histoire de l'art en dépit d'un accueil enthousiaste continuel du public. Mettant à l'honneur des personnages qui ont ravi des générations successives d'enfants, ainsi que leurs créateurs, cette exposition patrimoniale unique intéresse tout autant les adultes qui ont appris à lire les images dans les bandes dessinées que les jeunes générations pour lesquels les nombreux personnages ont été façonnés, avec le succès que l'on sait. Montée initialement au prestigieux Musée National de Cracovie, l'exposition Comics Now / Teraz Komiks se déplace en France à l'occasion du SoBD, le salon de la bande dessinée au cœur de Paris, fin 2019.
Time:
19:00-21:00
Description:
peintures -dessins- sculptures
Vernissage
Mercredi 20 novembre 2019 à 19h
Portes ouvertes
samedi 23 novembre 2019 de 14h00 à 20h00
et dimanche 24 novembre 2019 de 14h00 à 20h00
Visites privées sur RDV jusqu'au 2 février 2020
La nouvelle exposition à Villa Violet de Thibault Franc proposée par Bernard Garnier de Labareyre est la 4ème depuis le début de la collaboration avec l'artiste il y a 8 ans. Elle présente en avant-première la toute nouvelle production de l'artiste et des pièces référentes utiles à l'articulation du propos sur la thématique du passage et de la traversée du héros.
De quels mondes s'agit-il ? Contrées imaginaires, ou réalité fantasmée, limbes et réminiscences ? Thibault Franc aime à passer des uns aux autres dans son travail et abolit les frontières par son métissage constant d'idées, de formes et de techniques.
L'artiste bouscule dans ses oeuvres les temporalités et les visions familières, comme tous ces visages de Van Gogh, icônes peintes et repeintes dans l'esprit du plus célébré des artistes qui deviennent le masque changeant du poète sauvage et jamais asservi.
Van Gogh et tous ces personnages historiques, Lord William Charles Midlin alias Tarzan, Henri David Thoreau, ou l'investigateur de l'étrange, Agent Dale Cooper à qui l'acteur fétiche de David Lynch Kyle MacLachlan prête son visage, l'écrivain Victor Baniev dans Stalker de Tarkovski... Autant d'incarnations de l'esprit de liberté et d'exploration.
Cette étrange cohorte de personnages fictifs ou réels, du monde de l'art, de la politique, de l'histoire ou du cinéma, s'offre au regard dans un ensemble aussi disparate que ces objets de plastique que l'artiste ne cesse d'agréger pour les transcender en de nouvelles formes.
Voyant, Thibault Franc sonde les transparences et les voiles qu'il superpose. Comme dans les émouvants portraits du Fayoum, voici des regards profonds qui captent les nôtres : pénétrants, énigmatiques ou mélancoliques et qui nous appellent depuis une autre dimension. Regards qui nous convient à découvrir cet au-delà du miroir de nos émotions. Car que voit-on en eux si ce n'est l'expression de nos propres battements de cœur ?
Guerrier, l'artiste bataille et joue avec un capharnaüm de petits objets qu'il fond en toutes sortes d'armes théâtrales et incongrues, de parures de combattants destinées à les accompagner dans le passage vers le monde des ombres...arsenal magique pour affronter les dangereuses chimères de l'univers en mutation. Mais aussi compagnes de survie dans un nouveau monde retourné à l'état sauvage, luxuriant magnifique et redoutable à la fois.
Espiègle et sérieux,
C'est entre toutes ces facettes et ces éclats de réel et de fantasmagorique que l'artiste nous invite à voyager via le sortilège de ses pinceaux, sa prose poétique, ses images animées et ses artefacts aussi primitifs que futuristes ; mais il nous exhorte aussi à réfléchir à l'écheveau des fils des Parques qui président aux destinées de notre planète...
Nul besoin, dès lors, de quitter la vie confortable dont nous sommes fatigués, car la ville redevient le terrain d'une vitalité imprévisible, tandis que l'homme des bois fait preuve d'un savoir sophistiqué, un peu sorcier.
Face à des oeuvres complexes, brutales, douces et simplettes, nous nous sentons soudain rajeunis, ranimés, secoués par les sèves et le vent qui se lève.
Le temps de l'apercevoir, conservons précieusement le sentiment de cette beauté féroce, nous en aurons besoin pour préparer un monde meilleur, un monde qui nous échappe encore.
Thibault Franc
Repères bibliographiques
Thibault Franc, né à Bordeaux en 1976, est un artiste chercheur expérimentateur qui semble broder toujours la même tapisserie, grande fresque d'un monde étrange, sur le déclin et pourtant plein d'une énergie sauvage.
Après des études de philosophie, il préfère à l'enseignement l'expérimentation d'autres modes de relation, de connaissance, à travers la botanique, les arts martiaux, les voyages en Afrique, et l'atelier de plein pied sur la rue, à Bordeaux puis Arles. En complément d'un travail d'écriture, il développe des «dispositifs plastiques» comme autant d'appréhensions d'un monde fragmenté qui semble au point d'exploser. Ses peintures peuvent faire éclater les représentations, tandis que des assemblages, paraissent temporairement renverser l'entropie, contenir les forces centrifuges.
De séries en performances, son travail progresse au rythme de brusques avancées entre 2002 et 2017. Il collabore avec d'importantes galeries et institutions de Bordeaux, et de Montpellier, Avignon, Marseille. À partir de 2010 le travail sera plus collectif, donnant lieu à des commissariats, des scénographies, une réflexion approfondie sur le sens de la recherche.
Time:
19:00-21:00
Description:
Du jeudi 21 novembre 2019 au vendredi 14 février 2020
Temps fort et événement phare des événements inauguraux célébrant l'ouverture du nouveau Centre Culturel Coréen à Paris, cette exposition aborde le thème de la signification et de l'usage des couleurs dans la vie et la culture des Coréens. Elle est réalisée en collaboration avec le Musée National du Folklore de Corée et constitue une première en France.
Le bleu du ciel, le rouge flamboyant du coucher de soleil, les camaïeux de vert d'une forêt... Tout ce qui nous environne a une couleur et la nature qui change au fil des saisons nous offre une large palette de nuances. Tous les jours, nous faisons la rencontre de couleurs diverses et variées. Nous associons chacune d'entre elles à des images et prenons des décisions sur nombre de sujets en fonction d'elles. La manière de percevoir les couleurs et leur symbolique ne sont pas les mêmes sous toutes les latitudes. Elles dépendent de la culture, de la vision du monde et des us et coutumes qui diffèrent dans chaque pays. Les trois volets composant cette exposition, « Monochrome », « Jeu de couleurs » et « Polychrome », sont illustrés par un ensemble d'objets à la fois traditionnels et contemporains dont la plupart font partie du quotidien des Coréens. Ils nous permettent de mieux appréhender la complexité d'un univers aux nuances colorées riches de sens.
Ainsi, le public français pourra découvrir dans cette superbe exposition le raffinement des costumes traditionnels coréens (hanbok) et leurs teintes chatoyantes, de magnifiques broderies aux couleurs éclatantes mais aussi de délicates porcelaines blanches, des peintures, des coiffes, des sceaux... tous ces objets - plus de 200 ! - ayant en commun de participer à ce « grand festival des couleurs de Corée ». Un festival permettant de mieux appréhender leur signification profonde, leur symbolique et l'art spécifiquement coréen de les combiner.
Time:
19:00-21:00
Description:
Du jeudi 21 novembre 2019 au mardi 31 mars 2020
Le terme « Webtoon » - combinaison des mots « web » et « toon » (cartoon) -, désigne la bande dessinée numérique diffusée sur le net. Il y a actuellement en Corée 59 plateformes avec 3183 auteurs de BD et 9148 différents cartoons disponibles.
Les webtoons sont accessibles depuis un mobile et peuvent être regardés quel que soit le lieu où on se trouve : dans le métro, dans le bus, dans la rue...C'est certainement cette grande accessibilité qui explique le véritable « boom », ces dernières années, de ce nouveau type de bande dessinée en Corée.
L'exposition au Centre Culturel Coréen, dédiée au webtoon, présente les différents aspects de cette nouvelle forme d'art diffusée sur le net. Elle retracera son histoire et la manière dont elle s'est développée en Corée. Un espace de lecture sur tablette sera également aménagé au sein de l'exposition.
Exposition de webtoons organisée conjointement par le Centre Culturel Coréen et la Korea Manhwa Contents Agency.
Time:
19:00-21:00
Description:
du jeudi 21 au lundi 25 novembre, de 11 à 18 heures
Paris Match fête cette année ses 70 ans. À cette occasion, le magazine organise, avec la Maison Cornette de Saint Cyr, une vente aux enchères d'exception, en hommage à ces photographes qui ont fait «la Une» ou «la double» du magazine.
Soixante-dix ans de passion, d'émotion... et de photographies
L'ensemble des photos de Paris Match est rassemblé dans un fonds photographique qui représente aujourd'hui plusieurs millions de photos physiques. Archivés avec soin et conservés dans des conditions idéales au sein même de la rédaction, ces négatifs, ektats et tirages de différents formats sont jalousement gardés, tel un véritable trésor national. Si ces « photos de Match » sont emblématiques, c'est parce que depuis 1949 les plus grands photographes collaborent avec le service photo de la rédaction qui réalise, chaque jour, une minutieuse sélection parmi des milliers de photographies. Sa mission, trouver LA photo : celle qui sera la plus juste, la plus iconique, qui transmettra le plus d'informations et d'émotion.
À travers une sélection de photographies de couvertures mythiques, de reportages forts, bouleversants ou historiques, cette vente aux enchères anniversaire rend ainsi hommage à cette collaboration unique et déterminante... car c'est bien grâce à eux si Paris Match peut raconter, depuis maintenant sept décennies, toute l'actualité, dans sa gravité comme dans sa légèreté.
« Les photographes et reporters de Match sont devenus des personnages. Ils sont entrés dans notre légende et nous ont fait entrer dans l'histoire de la presse française. Le choc de leurs photos et le poids des mots qui les accompagnaient ont transformé notre aventure en un succès durable. »
Olivier Royant, directeur de la rédaction de Paris Match. Extrait de l'éditorial du numéro anniversaire paru le 11 juin 2019.
Pour célébrer notre anniversaire, le magazine met en vente, le 25 novembre, à la Maison de ventes Cornette de Saint Cyr, 130 photographies iconiques parues dans nos pages. L'occasion de revivre les temps forts de ces dernières décennies.
Que vous soyez fidèle abonné ou lecteur occasionnel, vous n'êtes pas sans le savoir : si Paris Match est connu pour son « poids des mots », c'est aussi l'endroit où « le choc des photos » opère. Comment oublier ce cliché des meilleurs ennemis du cinéma français, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, comme suspendus dans l'air, dans leur smoking-nœud pap' ? Et ce Jacques Chirac au balcon, triomphant, après sa victoire aux élections alors que la foule l'acclame ?
Pour une image parue, des dizaines sont gardées secrètes en attendant d'être un jour peut-être dévoilées au grand public
Depuis sept décennies, le nombre de photographies vues dans ces pages est inquantifiable. A lui seul, Johnny Hallyday a fait plus de 80 couvertures. Catherine Deneuve et Sophie Marceau, une trentaine chacune, et Caroline de Monaco, près d'une centaine. Sans compter tous les événements historiques, mariages princiers ou drames nationaux, qui ont noirci le papier. Et pour une image parue, des dizaines sont gardées secrètes en attendant d'être un jour peut-être dévoilées au grand public.
Ces clichés (négatifs, tirages de différents formats, Ekta) sont précieusement conservés dans un fonds à température, taux d'humidité et luminosité optimaux au sein même de la rédaction. Une véritable caverne d'Ali Baba. Alors, pour partager un peu cette histoire, le département développement a choisi 130 images qui vont être mises aux enchères par la maison Cornette de Saint Cyr. Des couvertures mythiques et des grands reportages parus en une ou en double au sein du journal, soigneusement encadrés pour l'occasion, seront mis à l'honneur. La belle de jour Catherine Deneuve en noir et blanc, la princesse Diana en maillot bleu, pensive au bout de son plongeoir, Brigitte Bardot, elle aussi en maillot, sourire moqueur, mais également les premiers pas sur la Lune, des paysages et des animaux en danger...
Autant de grands récits qui rendent hommage aux noms qui accompagnent Paris Match depuis 1949. « Les photographes et reporters de Match sont devenus des personnages. Ils sont entrés dans notre légende et nous ont fait entrer dans l'histoire de la presse française. Le choc de leurs photos et le poids des mots qui les accompagnaient ont transformé notre aventure en un succès durable », écrivait Olivier Royant, le directeur de la rédaction, dans le numéro anniversaire paru en juin dernier. Les estimations des tirages postérieurs numérotés et certifiés papier baryté vont de 1 500 à 4 000 euros. Et pour ceux qui n'auraient pas les moyens ou seraient simplement curieux, une exposition ouverte au public aura lieu les jours précédant la vente. Alors, pourquoi se priver ?
Time:
19:30-22:30
Description:
Surfant sur le phénomène de la vague coréenne qui s'est propagée en France depuis environ dix ans et les succès de la K-pop et des groupes coréens qui se sont succédé depuis 2011 (SNSD, EXO, BTS...), de nombreux jeunes Français adulent la musique coréenne.
Cette envie de découvrir de nouveaux genres et de nouvelles couleurs musicales les conduisent souvent à la musique underground, jazz, hip-hop, EDM... Les DJ coréens sont ainsi de plus en plus invités dans les grands festivals français de musique tels que le Nuits Sonores, Trans Musicales, etc.
Pour tous les amoureux de la K-music, le centre organise donc une scène partagée qui commencera tout d'abord par un mini-concert du groupe The Barberettes, un duo créatif de chanteuses de charme influencées par les années 1950/60 et faisant souffler un vent de fraîcheur sur l'industrie musicale (voir présentation ci-contre du concert du 21 novembre).
Les Barberettes, Shinae An (guitare, chant) et Lee Kyeongseon (chant) seront en la circonstance accompagnées au piano acoustique par Katja - Hyunjung Ji.
Après cette belle mise en appétit musicale, la soirée évoluera en soirée de danse et de chant K-Pop, avec les artistes qui se sont distingué(e)s lors des derniers concours du « Changwon World Festival en France », auxquels viendront se joindre plusieurs DJs de choc œuvrant dans le champ de la pop coréenne.
Soirée exceptionnelle bien rythmée et très animée en perspective !
Time:
19:30-22:30
Description:
Mercredi 20 novembre, nous aurons la grande joie de recevoir Erwan Larher chez Charybde, pour évoquer son dernier roman, "Pourquoi les hommes fuient ?", récemment paru chez Quidam éditeur.
Jane a 21 ans. Hyperconnectée, elle vit au présent entre jobs d'hôtesse et menus larcins, boîtes et soirées branchées, ses amants d'une nuit et ses deux colocataires. Rien n'existe que par sa volonté; ses actes tracent les contours du monde.
Un soir, le hasard la jette malgré elle sur les traces de son père, qu'elle n'a jamais connu. Est-il cette pop star dont on a perdu la trace ? Ce guitariste punk passé à côté de sa vie ? Ou ce solitaire retiré de la compagnie des hommes ?
Jane se prend au jeu des vérités parfois contradictoires tandis que son environnement se détraque. La violence du réel, son humanité aussi, s'engouffrent dans les brèches à mesure qu'elle perd le contrôle.
Après le succès du Livre que je ne voulais pas écrire, Erwan Larher revient, avec ce septième roman, à la pure fiction. Un texte up tempo, énergique et moderne, entre intime et sociétal.
Entrée libre et gratuite.
Time:
19:30-22:00
Description:
Journée Internationale Droits de l'Enfant : soirée associative « De la convention aux Actes »
Time:
20:00-22:00
Description:
Esprit français et Romantisme allemand
Piano : Yoko Toda
Clarinette : Junko Otani
Programme :
Widor
Debussy
Schumann
Brahms
Entrée : Libre Participation
A I'issue du concert, un verre sera proposé en présence des artistes
Description:
Le beaujolais nouveau, ou beaujolais primeur, est un vin de primeur produit dans le vignoble du Beaujolais, au sein des appellations d'origine contrôlée beaujolais et beaujolais-villages, essentiellement à partir du cépage gamay N.
La commercialisation est autorisée immédiatement à la fin de la vinification ; il est mis en vente dans le monde entier le troisième jeudi de novembre.
LE SALON DES MAIRES ET DES COLLECTIVITÉS LOCALES DEPUIS PLUS DE 20 ANS !
Créé en 1996 en parallèle du Congrès des Maires, le SMCL est le seul rendez-vous annuel national qui réunit tous les grands acteurs de la commande publique avec l'ensemble de leurs partenaires.
https://www.salondesmaires.com
Time:
08:00
Description:
Présentattion du Beaujolais Nouveau
Time:
09:00-12:00
Description:
rsvp pascale.lucas@paris.fr
Time:
11:00-13:00
Description:
Westfield Forum des Halles
Time:
12:00-21:00
Description:
Galerie Chastel Maréchal
5 Rue Bonaparte
75006 Paris
Exposition du 22 novembre 2019 au 17 janvier 2020
Vernissage le 21 novembre de 12h à 21h
Time:
12:30-14:00
Description:
espace réception du pavillon 5
dans le cadre du Salon des Maires et des Collectivités Locales 2019
Time:
14:00-21:00
Description:
Le 21 novembre prochain, Procédés Chénel accueille les États Généraux du Réemploi et de la Réparation, organisé par Rcube.org, pour lever les freins au développement du secteur et développer les bonnes pratiques.
Depuis 2014, Rcube.org est la Fédération professionnelle du Réemploi et de la Réparation avec pour objectifs de dévélopper la Réduction, le Réemploi et la Réutilisation pour prolonger la durée de vie et réduire la quantité de déchets.
14h
Introduction par M. Le Député Matthieu Orphelin
14h15
Plénière d'introduction avec les représentants des organisations du secteur du Réemploi
15h15
Ateliers thématiques: réemploi & électronique, transport, événementiel,
16h30
Ateliers thématiques: alimentaire et emballage, mobilier/immobilier, textile,
18h
Plénière de fin sur la Loi Economie Circulaire (en recherche d'intervenants encore)
19h
Remise des Trophées du Réemploi et du Recommerce
Vernissage de l'exposition: "Le réemploi dans tous ses états"
Cocktail dînatoire networking
Gâteaux d'anniversaire des membres de Rcube avec les salariés et bénévoles des membres
RCube Party, le réemploi danse
Cet événement s'inscrit lors de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets. En partenariat avec: BNP Paribas, le Syctom, La Mairie de Paris, Impact Partenaire, L'Echo Circulaire, SEB, Recommerce.
Exposition collective avec les oeuvres de :
Falaï Balde - José Castillo - Patrick de Bruyn - Éric Defoër - Maria Ducasse - Nadou Fredj - Christelle Guénot - Kevin-Ademola Sangosanya
VERNISSAGE
Vendredi 22 novembre - à partir de 19H
Mémoire de l'avenir présente A kind of Magic, une exposition en deux volets qui se déroulera du 23 novembre 2019 au 15 février 2020.
Le premier volet: A kind of Magic vol.1 : les nouveaux panthéismes du 23 novembre au 21 décembre 2019 présente le travail de 8 artistes qui questionnent les croyances culturelles, rituelles, personnelles ou universelles, d'ici ou d'ailleurs, d'hier ou d'aujourd'hui.
Dans toute leur singularité les oeuvres réunies donnent à voir un syncrétisme des nouvelles sensibilités ou critiques qui émergent et en devenir.
Et si, aujourd'hui, alors que nous vivons de multiples crises, et notamment une crise spirituelle aux horizons métaphysiques flous, l'art était encore porteur de cette possibilité d'être un lieu de rencontre sensible et intuitif entre le surnaturel et le naturel, entre l'extraordinaire et le quotidien, entre l'intangible et le tangible ?
L'Art, à ses origines, possédait des fonctions magiques ou sacrées : il permettait de relier l'être humain à d'autres réalités - monde des esprits, monde des ancêtres ou encore forces de la nature. C'était un moyen d'agir sur ce qui était de l'ordre de l'incontrôlable, d'influencer le cours des choses ou de s'assurer les bonnes grâces des divinités. L'art était un médiateur, un moyen de communication entre deux réalités, deux mondes.
Autrement dit, l'art - création artificielle d'une image - était un acte de transgression initié par un être humain bravant les interdits et les limites de sa condition pour comprendre l'univers; il apparait d'ailleurs avec les grandes questions de l'existence, les premières sépultures, et donc, avec la naissance de la conscience.
Ces objets permettaient de matérialiser ce qui est de l'ordre de l'intangible, de l'invisible. Les objets - sacrés - habités, investis d'une charge spirituelle étaient utilisés dans le cadre de rituels, accompagnés de musique et de danse dans l'objectif de transformer, de métamorphoser la réalité, ou de conjurer un sort. Jadis, aussi, on pratiquait les arts divinatoires, tandis que l'alchimie était considérée comme l'art suprême de la transmutation.
Tout au long de l'histoire de l'humanité, des artistes n'ont cessé de perpétuer cette tradition d'un art messager, d'un art symbolique, renouant avec la fonction du chamane. Ainsi, le surréalisme entrait en contact, via des procédés artistiques, avec la puissance de l'inconscient et le monde des esprits. Le dripping de Pollock était inspiré des rituels des Indiens Navajo. Basquiat, de même que nombre d'artistes contemporains haïtiens, se nourrissait du Vaudou. L'art brut, l'art naïf et l'art populaire ont parfois été les porte-paroles d'une étrange réalité invisible. Certains artistes ont réalisé des œuvres protectrices, guérisseuses, comme Louise Bourgeois ou Annette Messager, tandis que les poupées de Michel Nedjar ressemblent à des poupées vaudou. Les performances artistiques elles-mêmes auraient pour origine les rituels ou rites de passage.
Time:
17:00-21:00
Description:
Claude et Paul Blaizot
sont heureux de vous inviter à la présentation du
nouveau livre de bibliophilie publié par
L'Atelier du Livre d'art & de l'Estampe de l'Imprimerie nationale
Le Cantique des oiseaux
7 poèmes du poète persan Farîd od-dîn 'Attâr traduits par Leili Anvar
illustrés de 7 eaux-fortes originales de Sylvie Abélanet
accompagnés de citations de François Cheng et saint François d'Assise
Tirage unique limité à 60 exemplaires numérotés sur papier Arches BFK Rives
Soirée de signature le jeudi 21 novembre 2019 de 17 h à 21 h
A cette occasion seront exposées les eaux-fortes du livre, imprimées sous forme d'estampes, et trois "cages-reliquaires".
Time:
17:00-21:00
Description:
vernissages le jeudi 21 novembre de 17h à 21h et le samedi 23 novembre de 15h à 20h30
Exposition jusqu'au 9 janvier 2020
Harald Fernagu, Masque divinatoire, technique mixte, 30 x 12 x 10 cm, 2019
Time:
17:00-21:00
Description:
Yeon연 (lien) : ondes immatérielles
Du vendredi 22 au dimanche 24 novembre 2019
Exposition de l'association SONAMOU
Artistes invités par Sonamou pour cette exposition : Park In Kyung, Chung Ha-Min, Kim Tschang-Yeul, Tchine Yu-Yeung, Bang Hai-Ja, Kim Soun-Gui
Avec une huitaine d'artistes d'origine coréenne de la première génération qui s'est installée en France, l'association Sonamou, composée elle d'une trentaine de plasticiens coréens, présentera à nouveau cette année sa nouvelle production artistique dans le très pittoresque Bastille Design Center. Suite à l'exposition « Gan간 (閒, interstice) » de l'an dernier, la quarantaine d'artistes des deux générations se rencontreront cette fois sur le thème du « Yeon 연 (緣, lien) : ondes immatérielles ».
Si le gan 간 désigne le silence, la pause, l'espace vide, le temps suspendu entre deux choses visibles, le « yeon », lui, décrit concrètement ce qui les relie entre elles, figurant des ondes intangibles, tantôt la lumière, tantôt l'ombre, ou des ondes invisibles comme l'air. Le mot yeon 연 (緣) signifie « nouer » ou « raffermir l'attache d'un tissu déchiré ». Englobant l'idée qu'aucun lien ne se crée par hasard entre deux êtres, comme l'indiquent les mots coréens in yeon 인연 (因緣) et yeongo 연고 (緣故), ce vocable peut également évoquer le fil d'un cerf-volant. À l'instar de l'espace et du temps qui sont en perpétuel tissage, le yin et le yang se croisent ainsi pour créer le monde, toute chose faisant in fine l'objet d'un rapport de cause à effet.
Le « yeon », invisible, apparaît dans l'art comme une myriade de vagues intangibles à travers des traits, des couleurs et des espaces vides, entre des œuvres, entre des artistes et le public...
Les participants à cette exposition font partie de deux générations différentes mais sont tous porteurs d'une double culture - la coréenne et la française. Chacun d'entre eux interprétera donc différemment, à travers sa propre création (peinture, photographie, vidéo, installation...), la thématique du « yeon ». Ainsi dans le vaste et imposant espace du Bastille Design Center, les œuvres et le souffle du « yeon » crées par la rencontre d'artistes de deux générations, produiront à travers l'espace-temps de nouveaux « yeon » en relation avec les visiteurs.
Kim Hyeon-suk / Commissaire de l'exposition
Fondée en 1991, Sonamou est l'une des plus importantes et des plus prestigieuses associations d'artistes coréens oeuvrant en France. Elle a été reformée sous le nom d'Association des Artistes Sonamou (président actuel Lee Young-in) en 2001, à la suite de la démolition du studio collaboratif « Artsenal ». Jusqu'à présent, plus de 150 artistes ont adhéré à l'association et elle compte aujourd'hui une cinquantaine de membres actifs en France tous plasticiens confirmés convaincus que l'art et les échanges artistiques transcendent les frontières et contribuent au rapprochement des êtres humains.
Time:
17:00-21:00
Description:
Time:
17:00-22:00
Description:
exposition du 21 au 30 Novembre
«Avec un langage plastique qui est celui de son époque, Chaminade rejoint la famille prestigieuse des peintres paysagistes au premier rang desquels il place Corot, Turner et Cézanne. Avec eux il partage la préoccupation de traduire picturalement la lumière et l'air. » LH
Catalogue rétropective Chaminade, Hôtel Dieu, Tonnerre 1988
« Chaminade nous éblouit Depuis un demi-siècle que peint Chaminade, il ne s'est pas écarté d'un chemin suivi avec exigence et humilité face aux problèmes que posent la lisibilité la matière picturale, l'espace et la lumière.... » LH
La Gazette Drouot, 2002
Time:
17:00-21:00
Description:
Seront présentés un choix de livres de Pagine d'arte, des éditions originales et des œuvres sur papier de Geneviève Asse, Massimo Cavalli, María Chillón, Alexandre Hollan, Farhad Ostovani, Enrico Della Torre, Italo Valenti.
Les ouvrages sur Daumier et Meryon seront aussi disponibles avec leurs eaux-fortes et lithographies.
Time:
17:00-21:00
Description:
21 novembre 2019 - 21 décembre 2019
Du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h30 à 19h
ŌITA
L'art du bambou de la région d'ŌITA
ABE Motoshi
HIROI Yasushi
KAWASHIMA Shigeo
MORIGAMI Jin
NAKATOMI Hajime
SATOH Haruo
SHIOTSUKI Juran
SUGIURA Noriyoshi
TANIGUCHI Michito
YOKOYAMA Osamu
YONEZAWA Jiro
YUFU Shohaku
La galerie Mingei présente les créations contemporaines en bambou de la région d'Ōita.
Ōita est la région la plus dynamique et la plus innovante du Japon dans l'art du bambou ; c'est elle qui réalise les formes les plus contemporaines. Emancipés de la tradition, les artistes ne conçoivent plus en priorité des œuvres fonctionnelles pour l'ikebana mais bien de véritables sculptures, laissant libre cours à leur imagination sans aucune contrainte formelle.
Douze artistes seront exposés à la galerie Mingei du 21 novembre au 21 décembre 2019.
De l'exposition « Fendre l'Air - l'Art du Bambou au Japon » on retrouvera entre autres, Yonezawa Jiro qui fut la star du Musée-du-Quai-Branly avec ses œuvres laquées d'un rouge flamboyant et Jin Morigami dont les créations aériennes ressemblent à de la véritable dentelle.
Yonezawa Jiro fut aussi l'invité d'honneur de la marque de luxe LOEWE pour le dernier salon de design de Milan Salone del Mobile. Il nous fera l'honneur de sa présence pour le vernissage : jeudi 21 novembre de 17h à 21h.
24 octobre - 24 novembre
Du lundi au vendredi de 11H à 19H,
samedi et dimanche sur rendez-vous
Time:
18:00-20:00
Description:
René Vienet et Les Éditions du Pacifique sont heureux de vous inviter
au lancement de l'ouvrage Un âne dans la fosse aux tigres, du romancier chinois LU Tao, ainsi qu'au vernissage de l'exposition de l'illustrateur du roman, le peintre ZHOU YuGang.
Time:
18:00-21:00
Description:
La Galerie INSULA est heureuse de vous inviter à une RENCONTRE
avec les photographes Thomas JORION et Olivia LAVERGNE
jeudi 21 novembre - 18h30 / 21h *
dans le cadre de l'exposition à découvrir sans modération
PHOTO IN EXTENSO
Thomas JORION / Olivia LAVERGNE / Caroline POLIKAR / Sandrine CNUDDE
* ;-) Autour d'un verre de Beaujolais nouveau (coïncidence du calendrier oblige...) séléctionné par notre voisin artiste-caviste, AUGUSTIN Marchand d'vins - 26 rue des Grands Augustins 75006 PARIS
Time:
18:00-21:00
Description:
泡沫 - UTAKATA de Satoshi Saïkusa
Depuis trente-cinq ans, Satoshi Saïkusa poursuit une quête photographique double : d'un côté le lustre des images de mode délicatement mises en scène, de l'autre l'intimité obscure de l'expérimentation plastique. Les thématiques abordées par le photographe plasticien sont multiples, tout autant que les techniques mises à contribution, mais sa préoccupation est la même : que ce soit sur un mode majestueux, euphorique ou au contraire sombre, c'est l'éphémère, l'éternelle question de l'inexorable écoulement du temps. Saïkusa lui donne pour nom "Utakata", reprenant le terme ouvrant les célèbres Notes De Ma Cabane De Moine (Hōjōki) de Kamo no Chōmei (1155-1216) et qui qualifie les bulles se formant à la surface de l'eau.
Avec la participation de Maï Saïkusa
Projectroom : CROSSROADS de Christophe Rihet
Time:
18:00-20:00
Description:
Salon du Vieux Colombier
Du samedi 16 novembre au mercredi 4 décembre
Du lundi au vendredi 10h30 > 17h, jeudi jusqu'à 19h, samedi 10h > 12h - 14h > 17h
Ce sont les œuvres d'une quarantaine de graveurs qui seront exposées sur les cimaises du Salon du Vieux Colombier.
Les estampes réalisées spécifiquement sur ce thème par les membres de l'association y côtoieront celles de leurs invités : c'est pour mieux affirmer la diversité et la vitalité de l'estampe dans l'expression artistique contemporaine qu'a été privilégiée l'invitation d'exposants étrangers. Un hommage particulier sera rendu à A.-L. Piza récemment disparu.
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
«Une ombre qui devient vivante avec une animation de plus en plus palpable, jusqu'à un rai de lumière de plus en plus éclatant.»
À travers sa mémoire, des souvenirs qui sont à la fois familiers et à la fois inconnus se réunissent, créant un environnement traversé par la lumière. Une lumière dont on ne voit pas la source, mais l'effet.
L'amateur est invité -en tant que visiteur exclusif- à revisiter, au-delà du beau et perfectionnisme de la technique, les termes de l'absence, de l'obscurité et de l'intensité.
En marchant à travers de la lumière, du noir et du rien.
M.A.
Time:
18:00-21:00
Description:
VERNISSAGE JEUDI 21 NOVEMBRE DE 18H À 21H
21/11/2019 - 12/01/2020
Arthur Aeschbacher, 20.000 lieues au-dessus de Dada
par Gérard-Georges Lemaire
N'avez-vous jamais rêvé de vous embarquer dans le Nautilus ? Vous auriez navigué dans les profondeurs insondables du vieil océan de Lautréamont et vous vous seriez émerveillés des innovations techniques de ce submersible riveté de toutes parts. Vous vous seriez régalés de tout ce confort luxueux, des ouvrages rares de la bibliothèque, de sa collection si unique de livres du second rayon, d'une décoration somptueuse et d'un goût extravagant : vous auriez découvert les exigences scientifiques, esthétiques et livresques du capitaine Nemo, que Jules Verne a baptisé d'un mot latin, qui rappelle celui qu'Ulysse s'est attribué quand il a voulu échapper à Polyphème - Outis, c'est-à-dire Personne. Si ce n'est pas un homme, c'est tout de même une figure hors du commun, qui a accompli des actions mémorables avant de devenir un exilé volontaire, une sorte de pirate de haut vol, qui s'est assigné la mission de détruire les navires battant un certain pavillon. Et vous n'auriez pas résisté à l'envie de revêtir un scaphandre, de plonger dans l'inconnu et de marcher sur le fond de cette mer pour en découvrir les secrets. Avec vos semelles de plomb aux pieds, vous auriez arpenté sans le moindre effort ces fonds marins et vous auriez découvert des monstres jusqu'alors jamais vus des navigateurs et des paysages inouïs.
Mais ce voyage a aussi un but précis : pénétrer dans l'univers d'un artiste qui a décidé, de connivence avec le capitaine, de vous offrir un spectacle mémorable. Un beau jour (ou une belle nuit, car nous avions perdu toute notion du temps terrestre), le capitaine nous invita à le suivre en un lieu secret. Nous arrivâmes devant une caverne illuminée par des poissons-lunes géants qui avaient été capturés et disposés tout le long des parois, qui projetaient une luminosité trouble. Au fond de cette grotte immense avec mille stalactites et stalagmites effilées comme des poignards, formant une colonnade où se déroulait un ballet incessant de créatures monstrueuses, nous attendait un homme immobile. Il nous fit signe de nous arrêter. Il se dirigea vers une roue énorme qu'il fit tourner. Au fond de cette cavité modelée par des siècles de réactions chimiques acido-basiques se dressaient de grands panneaux ornés de lettrines qui étaient à moitié occultées. L'homme mystérieux actionna un levier, puis un autre, et les lames dont étaient composés ces panneaux se levèrent. Les lignes d'écriture tronquées constituèrent une autre configuration. Puis il abaissa de nouveau ces lourdes barres d'acier et une nouvelle association se présenta à nos yeux. Nous avons seulement pu comprendre que ces textes énigmatiques étaient en caractères latins, mais nous ne sommes pas parvenus à en décrypter le sens. Comme nous ne pouvions pas parler avec notre hôte des abysses marins, il a fallu attendre de retourner au sous-marin et après un déshabillage laborieux, de nous retrouver dans le salon. Un serviteur nous apporta des boissons exotiques et le capitaine Nemo nous présenta l'auteur de ces étranges écritures. Il nous le présenta en ces termes : "Arthur Aeschbacher est un ami de longue date. Nous nous sommes connus sur les bords du lac Léman quand nous étions collégiens. Puis nous nous sommes perdus de vue. Bien des années plus tard, je l'ai sauvé d'une mort certaine car il se trouvait dans un petit canot ballotté sur une mer agitée. Nous avons repris le fil de nos conversations d'adolescents. Et il m'a appris tout ce qui avait changé dans l'art des grandes villes d'Europe et d'Amérique. Il avait renoncé à la peinture, mais pas à la création. Il agençait ses oeuvres en découpant et en superposant des affiches de théâtre d'autrefois. Il voulait exploiter la dimension plastique et chromatique des lettres imprimées. Il lui était venu l'idée de traiter la question en d'autres termes : il avait acheté un stock de persiennes en plastique et y avait disposé des textes qui étaient taillés horizontalement. Donc illisibles. Les mouvements des lames, destinés à faire entrer plus ou moins de lumière, transformaient les relations entre tous ces signes typographiques. J'ai décidé de lui donner la possibilité de réaliser son projet sur une toute autre échelle et avec des moyens ultramodernes. Je vais lui céder la parole car il saura mieux que moi vous expliquer ses intentions."
"Tout a commencé par mon amour immodéré pour les caractères, les mots, l'odeur de l'encre et la trace de l'impression au plomb qui donne un léger relief au papier. Cela vous semblera dépassé, mais ce sont mes souvenirs qui guident mes gestes et mes réalisations. Toutefois, la procédure que j'ai adoptée me limitait au tableau dans sa forme classique. Je désirais passer à une forme moins conventionnelle. C'est pourquoi j'en suis venu à imaginer ces Stores-Surfaces. Si parmi vous il est des personnes qui s'intéressent à l'art actuel, elles noteront que je tourne en dérision le groupe Supports/Surfaces, qui a eu l'ambition de mettre fin à la peinture telle qu'on la connaît. Au fond, l'idée était assez similaire, mais j'ai utilisé d'autres moyens. L'humour et la dérision jouent un grand rôle dans ma recherche. Elles devineront aussi que j'ai détourné la pratique de l'Optical Art. Ce sont des clins d'œil qui n'échappent à personne. J'ai occulté le texte pour ne conserver que ces fragments de lettres. Et la cinétique m'a permis de miser sur des associations qui sont purement visuelles. Plus de langue, plus de sens, tout du moins de sens par le truchement de l'écriture. Mon écriture imaginaire tend à produire un autre sens et parle à un autre sens." Un de nos compagnons l'interrompit pour dire : "Au bout du compte, vous reprenez le titre de Paul Claudel L'Œil écoute". "Pas exactement", rétorqua A. A., "je veux que l'oeil soit l'organe d'une parole dont il serait le maître absolu. Léonard de Vinci, plagiant Cicéron, a pensé que la peinture devait être l'égale de la poésie. Je compose des poèmes qui bougent et qui se lisent au tréfonds de la rétine. Sans mot dire."
Les années ont passé. Nemo a achevé son parcours sur cette planète. Mais j'ai vu une présentation de ces fameux stores place Saint-Sulpice. Et j'ai entendu dire hier qu'il se préparait une exposition dans le vieux quartier de Buci. J'espère avoir la chance d'y revoir ce fantasque et fascinant A. A., un artiste qui n'a jamais cessé d'étonned'étonner et de mettre à jour une beauté à la fois moderne et excentrique.
Arthur Aeschbacher
Né en 1923 à Genève, Suisse.
Vit et travaille à Paris.
A. Aeschbacher, élève de Fernand Léger, a étudié successivement à l'école des beaux-arts de Genève, à l'école du Louvre, à l'atelier de la Grande Chaumière et à l'Académie Julian. Il travaille avec des affiches lacérées, pour les utiliser comme matériau pictural. Les lambeaux d'affiches sont utilisés pour des recompositions formelles. Le travail sur la typographie devient, par la suite, le centre d'intérêt de son travail. Son travail sur l'éclatement
de la typographie fait de lui, selon l'expression de Pierre Restany, « un affichiste qui n'est pas nouveau réaliste ».
Expositions personnelles (sélection) :
2015 Collages 1963 - Collages 2015, Galerie Klaus Braun, Stuttgart, Allemagne.
2013 Turn Cut-Pacifico, Galerie Caracole, Puerto Vallarta, Mexique.
2010 Catcheurs Masqués, Galerie Véronique Smagghe, Paris.
2006 A. Aeschbacher, Rétrospective, Les Abattoirs d'Avallon, F. (catalogue, préface par G. G. Lemaire)
2005 Arthur Aeschbacher, Galerie Marion Meyer, Paris. (catalogue, préface par G. G. Lemaire)
1993 Affichisme Revisité, Galerie Olivier Nouvellet, Paris.
1987 Galerie Sonia Zannettacci, Genève, Suisse.
1982 6-4-2, Galerie 30, Paris. (préface par Jérôme Bindé)
1973 15 ans de collages éclatés, rétrospective, Jacques Damase Gallery, Bruxelles, Belgique. (préface par Alain Jouffroy)
1972 Store-Surface, Galerie Germain, Paris.
1971 Galerie Fabien Boulakia, Paris.
1965 Galerie Paul Facchetti, Paris. (préface par Charles Estienne)
1958 Galerie Colette Allendy, Paris.
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 18 novembre au 1er décembre
Vernissage & dédicace de L'écriture, le jeudi 21 novembre, 18h
Time:
18:00-21:00
Description:
21 novembre 2019 - 11 janvier 2020
La galerie sera fermée du 22 décembre au 6 janvier (inclus).
Depuis plus de 40 ans, Ursula von Rydingsvard développe des constructions biomorphiques surprenantes, souvent à l'échelle monumentale. Placées dans la nature, ces œuvres apparaissent comme des concrétions naturelles formées par érosion ou sédimentation, discrètes et rivalisant avec les arbres et les feuillages environnants, comme nous l'avons vu à Chaumont-sur-Loire.
Ces œuvres se fondent également remarquablement bien dans un cadre urbain, comme en témoigne la présentation de ses sculptures en 2015 au Giardino della Marinessa à Venise.
L'artiste travaille principalement avec du bois de cèdre, avec son parfum unique et une forte résistance aux intempéries ; elle le creuse de manière compulsive et le recouvre de graphite. L'exposition présentera également deux bronzes coulés à partir de moules en bois. De plus, certaines œuvres sur papier seront exposée.
Ursula Von Rydingsvard, Kiki's Hair, 2018
Cèdre - 205.5 x 130 x 154 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Ursula von Rydingsvard
Née en 1942 à Deensen, en Allemagne nazie, d'une mère polonaise et d'un père ukrainien, tous deux agriculteurs. La famille a vécu l'occupation de la Pologne et les traumatismes de la Seconde Guerre mondiale. Elle émigre ensuite aux États-Unis et s'installe à Plainville, dans le Connecticut.
Ursula von Rydingsvard est diplômée de l'Université de Miami en 1965 et de l'Université de Columbia en 1975.
Son travail peut être vu dans le Domaine de Chaumont-sur-Loire, au Storm King Art Center et au Bloomberg Building à New York, au Nelson-Atkins, au Kansas City, au Barclays Center à Brooklyn et dans les jardins du Musée de Philadelphie.
Le Yorkshire Sculpture Park, en Grande-Bretagne, a présenté une rétrospective de l'artiste en 2014. Son travail se trouve également dans une trentaine de musées à travers le monde.
Ursula Von Rydingsvard, Untitled, 2019
Papier de lin fait à la main, soie et pigment - 68 x 78.5 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Time:
18:00-21:00
Description:
21 novembre 2019 - 1 février 2020
de mercredi à vendredi | 14h - 19h
samedi | 11h - 19h
vernissage jeudi 21 novembre | 18h - 21h
Commissaire : Elena Lespes Muñoz
La galerie Salle Principale présente pour la première fois le travail de l'artiste brésilien Ícaro Lira. Depuis plusieurs années, son travail s'attache à analyser l'évolution et les implications des actes politiques et historiques brésiliens sur les trajectoires intimes. Pour sa première exposition en France, leçons de la pierre, il mêle à ses recherches au long cours, le fruit de réflexions plus récentes, développées lors de sa résidence à la Delfina Foundation à Londres cet été et à la Cité internationale des Arts de Paris où il réside actuellement.
[...] C'est ainsi, par accumulation disparate de détails, peut-être à priori anodins, que quelque chose s'amorce dans son travail. Faire pièce des silences, s'essayer aux récits, laisser sourdre des rapprochements, en archiviste consciencieux, Ícaro Lira déroge pourtant à la tâche qui semble lui incomber. Aux règles de classification, de séparation et d'assignation, il préfère l'accumulation modeste et discrète d'objets hétéroclites et les lignes de fuites ouvertes par des associations éphémères. Dire mais préférer ne pas. Chercher à raconter l'histoire de trajectoires intimes, ou collectives, par des groupements fragiles et peu bavards, pour donner à voir des lignes de sens irréductibles aux grands récits. Et à la voix monocorde, préférer l'archive intime, forme fissile et non-homogène par excellence. Ainsi, le déplacement d'un objet restera toujours possible, et avec lui, une écriture qui sans cesse se dérobe à l'achèvement.
- Elena Lespes Muñoz, extrait du texte d'exposition leçons de la pierre, 2019
L'exposition leçons de la pierre est programmée dans le Festival Visions d'exil qui se déroule du 01 au 30 novembre 2019 à Paris et à Pantin, organisé par l'association Atelier des artistes en exil.
Ícaro Lira, O turista aprendiz / L'apprenti touriste - Part#5, série Frente de trabalho - 2018
Boîte en bois, photographie de Mário de Andrade du livre O turista aprendiz 1976, tissu, pierre trouvée sur la côte de Ceará, contreplaqué construction navale - 220 x 110 x 3 cm - unique
Courtesy Salle Principale, Paris
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
Claude Lemand est heureux de vous inviter au vernissage des peintures récentes de
Vernissage : jeudi 21 nov 2019 de 18h à 21h
Exposition : 21 nov au 21 déc
Time:
18:00-21:00
Description:
VERNISSAGE LE JEUDI 21 NOVEMBRE
Exposition du 22 novembre 2019 au 11 janvier 2020
Ce qui frappe, lorsque l'on découvre le travail de Claude Como, c'est son désir de trier, lister, répertorier. Depuis 30 ans, en effet, l'artiste marseillaise travaille le plus souvent par séries : le Szondi test (6 séries de 48 portraits de psychopathes, 1990-1992), Fragments agrandis d'anatomie (1996- 1999), Rosacerdoce (une installation de 1000 tableaux représentant une rose dans la serre du parc de Saint Cloud, 2004), Landscapes (2013- 2016), etc.
Ce travail sur des ensembles, qui sous entend implication sur la durée et immersion complète dans un sujet, traduit un besoin universel - exacerbé chez l'artiste - de trouver des réponses à ce qui nous dépasse. Une démarche touchante, parce qu'utopique, d'inventorier pour mieux comprendre ce qui nous entoure et de capturer l'infini des possibilités que nous offre le vivant.
C'est particulièrement le cas pour Gaia (Work in in Progress) entamée en 2018, dont la Galerie Lazarew a l'honneur de présenter le premier volet aujourd'hui. Ici, il est question d'une plongée au coeur de la terre nourricière, la terre mère, où l'humain, l'animal et le végétal s'entremêlent, où la sensualité, la vie et la mort rodent dans un écosystème silencieux. Chez Claude Como, ce silence, loin d'être associé à l'absence ou la mort, trouble parce qu'il est puissamment vivant.
Autour d'une installation centrale (La Flaque, 2019 - huile et résine sur bois, huile sur toile), Claude Como propose des oeuvres qui dialoguent par analogie de sens, de formes, de matières, de couleurs et d'expériences. Tout dans cette exposition est organique, vivant, depuis les sujets traités jusqu'à la scénographie, en passant par la manière dont les objets et tableaux se répondent. Les paysages au fusain qui ouvrent l'exposition se retrouvent sur les bustes de femme en céramique, dont le dos végétal rappelle les éléments marins (coraux, algues) des sculptures Hands remain. Au sein de celles-ci, on retrouve parfois un pied, une main, en écho aux puissantes huiles sur toile des mains nouées (Hand Made I et II). On ne peut rester insensibles à la vue des oiseaux aux ailes végétales de la série Icarus (céramique), disposés dans une position troublante... qui n'est pas sans rappeler celle de la femme allongée qui nous regarde (Allegoria, huile sur toile).
Huile sur toile, résine, fusain, céramique, Claude Como met au service de la diversité du vivant la pluralité des mediums, avec virtuosité et justesse; elle donne naissance à des oeuvres reliées mais qui revendiquent leur unicité, dans une exposition énigmatique et puissante.
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 19 novembre au 30 novembre 2019
Time:
18:00-21:00
Description:
EXPOSITION DU MARDI 19 NOVEMBRE AU SAMEDI 7 DÉCEMBRE 2019
Time:
18:00-20:00
Description:
YOUR SOUL IS A CHOSEN LANDSCAPE
21 novembre 2019 - 11 janvier 2020
Vernissage jeudi 21 novembre de 18h à 20h
«J'ai passé ces dernières semaines à vivre et à travailler à seulement 800 mètres de l'un des plus grands complexes architecturaux et culturels de l'histoire. Les vibrations du Grand Siècle pulsent dans mon atelier. Il est impossible d'échapper à l'éclipse du baiser du roi soleil. Son rayonnement se déplace au-delà des salles reflétées guidées, à travers les hectares de jardins impeccablement entretenus avec ses sculptures monumentales en plein air, et passe les immenses portes d'entrée dorées. Je suis un américain en France, avec une perspective étrangère. L'incroyable grandeur et les accomplissements culturels sont fascinants, même admirables. Mais en tant qu'étranger, il est difficile de ne pas comparer le règne de Louis XIV, ses héritiers, et leur riche noblesse au monde actuel, en particulier aux États-Unis avec sa classe de milliardaires.
Comment faire de la sculpture figurative avec le bagage de l'histoire et les réalisations artistiques incroyablement riches trouvées à Versailles et en France? De plus, comment peut-on faire cela avec la lourde comparaison avec le paysage économique / social du monde d'aujourd'hui? Au contraire, cela a renforcé mon intérêt pour la représentation de l'humanité et de la condition humaine. C'est un rappel de ce que signifie être un humain avec tous nos défauts et dysfonctionnements, vivre notre vie avec la reconnaissance et la prise de conscience de notre propre finitude. Cela a renforcé ma pensée sur «le peuple», la classe non dirigeante, les outsiders et le pouvoir réel que nous détenons.
Pour ce qui est de l'individu, ce spectacle a été inspiré non seulement de la dynastie des Bourbons, mais également de personnalités françaises importantes: penseurs et artistes tels que David, Rodin, Delacroix, Géricault, Bonnard, Baudelaire, Rimbaud et Verlaine. En fait, le titre de l'exposition vient de la première ligne d'un poème de Verlaine intitulé Claire de Lune. Ce poème comprend également la ligne «masque et bergamasque» qui est le titre du catalogue de 200 pages produit par Laurent de Verneuil qui accompagne l'exposition. J'ai choisi l'histoire française, l'état actuel du monde et mon propre paysage pour encadrer cette exposition. "
Derek Weiberg, octobre 2019
Derek Weisberg
Né en 1983, vit et travaille à Brooklyn, New York.
Derek Weisberg a étudié au California College of Art and Crafts à Oakland, en Californie, où il a reçu un BFA en 2005. Gallery Lefebvre et Fils est heureux de présenter la première exposition personnelle de Weisberg en Europe. Weisberg a fait de nombreuses expositions à travers les États-Unis et est un ancien élève du programme Sharpe Walentas Studio, un programme de résidence très prestigieux à New York. Il a créé la plupart des sculptures figuratives à grande échelle en porcelaine. Sa maîtrise et son contrôle du matériau ont évolué vers une manière plus collaborative de travailler avec l'argile; permettant au matériau d'exprimer sa propre voix et son propre vocabulaire. Cette approche ressemble à l'expression zen de Wabi Sabi; une connexion à la matérialité et aux principes spirituels à travers l'acceptation de la réalité, du hasard, de l'imperfection.
Derek WEISBERG
Souls Aren't Like Reptile Tails I'm Afraid, 2019
77 x 43 x 29 cm
30.5 x 17 x 11.5 in.
Cone 6 porcelain and stoneware
Derek WEISBERG
Souls Aren't Like Reptile Tails I'm Afraid II, 2019
Porcelain, stoneware and glaze
78 x 40 x 27 cm
30.5 x 16 x 10.5 in.
Time:
18:00-21:00
Description:
Second espace au 38, avenue Matignon
21 novembre 2019 - 18 janvier 2020
La galerie sera fermée du 22 décembre au 6 janvier (inclus).
La plupart des tableaux de Fabienne Verdier sont en grand format. Taille de vie, ils reflètent son corps en mouvement. Typiquement, un peintre s'assoit à son chevalet sur son tabouret, peignant des signes qui sont l'image abstraite des choses vues de loin. Fabienne Verdier a brisé cette approche. Ses peintures sont la trace réelle et immédiate laissée sur la toile, elle-même posée sur le sol, de la danse de son corps qui guide le pinceau géant suspendu, chargé de son poids de pigment.
La méthode est similaire à celle de Jackson Pollock, mais à une autre échelle. Loin de l'araignée qui coule de l'Américain, c'est une force tellurique au travail. Bien sûr, ce geste ne sort pas de nulle part, mais il n'imite pas non plus une forme préexistante. Il est inspiré par les forces naturelles qui nous entourent, la foudre dans le ciel, les courants dans une rivière, la veine d'un rocher, la torsion d'une branche, l'éclatement d'un bourgeon, tout un monde vivant ou statique. Celles-ci chargent l'esprit et le corps du peintre, la déplacent et courent à travers elle jusqu'à ce qu'elle expulse, comme un volcan avec sa lave, les énergies bouillonnant en elle.
Il aurait été paradoxal et trompeur d'essayer de traduire en format timbre-poste une telle expérience physique et mentale. C'est pourquoi, plutôt que de faire une version intégrale mais miniaturisée de sa peinture, l'artiste a préféré magnifier un détail qui préserve l'énergie et les flux vitaux qui ont donné naissance à l'œuvre originale. Pour décider de la peinture finale choisie pour le timbre-poste, Fabienne Verdier a réalisé 12 œuvres. Cette recherche est présentée ici dans son intégralité.
Fabienne Verdier
Née à Paris en 1962. Son travail est régulièrement exposé en Europe et en Asie et fait partie de plusieurs collections, dont le MNAM Centre Pompidou (Paris), le Bayerische Staatsgemäldesammlungen (Munich) et la Fondation Hubert Looser et le Kunsthaus de Zurich. Le Musée Granet d'Aix-en-Provence a prolongé sa rétrospective de son œuvre. Fabienne Verdier, Sur les terres de Cézanne fait ses preuves jusqu'au 5 janvier 2020.
Fabienne Verdier, Littoral, 2019
Acrylique et techniques mixtes sur toile - 137 x 178 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Time:
18:00-21:00
Description:
22 NOVEMBRE - 15 DÉCEMBRE
https://frankmulliez.com
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 21 novembre 2019 au 10 janvier 2020
La neuvième exposition personnelle de Jean Clerté à la galerie Pascal Gabert rassemblera une série d'œuvres récentes intitulée Sur l'herbe, clin d'œil à un certain Déjeuner... à la charge érotique commune. Fidèle à ses obsessions, l'artiste-conteur nous entraîne dans son monde, fantasque et féerique, peuplé d'animaux fabulés. Il nous transmet son goût du mystère et du rêve, et suscite toujours émerveillement et fascination.
«Architecte doublé d'un poète, Jean Clerté construit des murs avec des pierres de vent, peuple une forêt avec un seul arbre, nous fait croire que les animaux étranges qui peuplent ses toiles sont plus vrais que les nôtres. Allure de conquistador du toucan drapé dans un pan du ciel, le singe nous fait un clin d'œil, sainte grenouille lévite sur l'air, la girafe fait la roue, le lion porte tout un village sur sa tête et le tigre efface ses rayures pour être moins visible de sa proie.
Les matériaux constituant l'univers à portée de ses mains : Jean Clerté en JOUE et nous fait JOUER.»
Vénus Khoury-Ghata
«L'amour-mer à perte de vue, des iles d'inquiétude - parfois les oiseaux sont bombes, le feu est quelque part et le guerrier tue le léopard - mais il y a toujours un ventre de tigre de calendrier des postes, une bouche de caïman, un oiseau bagagiste, un Jean-chapeau ou un Pélican pour servir d'arche de Noé aux rêves contagieux.»
Marie-Laure de Cazotte
Sans titre, série Sur l'herbe, 2017, acrylique sur toile, 130 x 97 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
21 novembre 2019 - 18 janvier 2020
La galerie sera fermée du 22 décembre au 6 janvier (inclus).
Juan Uslé est un artiste discret créateur d'œuvre muette, poétique et musicale. Loin de l'agitation de la vie, il peint souvent la nuit dans sa maison à Saro, en Espagne, ou dans son atelier à New York, deux havres de méditation. Ses mouvements pulsatiles et réguliers s'alignent les uns avec les autres, les couleurs apparaissant au rythme de son rythme cardiaque. Dans ses peintures et dessins, il alterne avec une lenteur délibérée entre des gestes amples et des mouvements plus réduits, distribuant sur la toile ou le papier une énergie douce et captivante, une réflexion voluptueuse. L'artiste permet à ses coups de pinceau de se chevaucher et crée des séquences plus ou moins étendues qui produisent des variations d'éclairage. Dans son travail, de larges bandes de couleurs foncées, souvent grises et noires, font écho aux lignes de couleurs vives qui capturent l'essence même du trait. Entre l'ombre des cendres et la lumière du renouveau, dans les moments de concentration, Juan Uslé atteint la vibration et l'énergie créative.
Juan Usle, En Benissa (4), 2018
Aquarelle - 30.5 x 23 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co., Paris
Né en 1954 à Santander, l'artiste partage son temps entre Saro, dans les collines verdoyantes de Cantabrie (Espagne) et New York où il vit depuis plus de 30 ans. Ses œuvres sont conservées dans plusieurs musées en Europe (Musée national d'art moderne, Paris ; Tate Modern, Londres ; Irish Museum, Dublin ; Moderna Museet, Stockholm ; Reina Sofia, Madrid ; Staatsgalerie, Stuttgart et Munich) et en Amérique. En 2014, une importante exposition de la série Soñe que revelabas a été organisée par le Kunstmuseum de Bonn ; cette année, une série de travaux sur papier sera présentée à l'Arsenal MACE à Ibiza.
Juan Usle, Lines & horizons, 2019
Vinyle, dispersion, acrylique et pigment sec sur toile
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co, Paris
Time:
18:00-21:00
Description:
Come with me, 2019, Acrylique sur toile, 160 x 141 cm
Vernissage ce soir, jeudi 21 novembre à partir de 18 heures en présence de l'artiste qui dédicacera sa monographie parue aux éditions Lelivredart
Exposition du 20 novembre au 7 décembre 2019
Dans le deuxième espace de la galerie, nous présentons des peintures de Roger-Edgar Gillet, Serge Kantorowicz, Ugarte, Jean Rustin, Vladimir Veličković et des bronzes de Marc Petit.
Khaled Alkhani, venu en France il y a huit ans d'une Syrie broyée où il est né en 1975, invente un maelström puissant d'où émerge en geyser chromatique une tête sublime et fragile. Fine, forte, dominante, et cependant repliée sur elle-même, lointaine, parfois dévastée, indestructible. Tête de ciel opaque sur une terre de fin du monde, avec un air de madone abandonnée.
On voit des jetées de corps aux effets de sillage perdu, et de somptueuses calligraphies charnelles, quand l'artiste-magicien libère les énergies qui s'agitent au fond des nappes de chair intime.
Le rouge, âpre et cru, domine des valeurs violacées violeuses de ténèbres, en saisissant contraste avec des teintes mates, pudiques et douces, qui apaisent l'étendue. Violence créatrice et sérénité s'étreignent. Règne un somptueux gris d'horizon où s'enfouissent toutes les couleurs du monde, et d'où surgissent de pures allures vitales.
L'expressionnisme ouvert, vivant et contemporain de Khaled Alkhani conjure les mauvaises mémoires. Son art majestueux dit la vie infinie qui résiste infiniment, et sa peinture sans frontière, fût-elle vêtue de soleils blessés, éblouit l'étendue.
Christian Noorbergen
Nuages orange, 2019, Huile sur toile, 170 x 170 cm
Lever au soleil, 2019, Huile sur toile, 195 x 97 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Oeuvres récentes de Lamiel
21 novembre - 14 décembre 2019
Vernissage le jeudi 21 novembre
Time:
18:00-21:00
Description:
Exposition du 21 novembre au 14 décembre
Marc Dailly fait ses études à Lyon, à l'école Emile Cohl, où il obtient son diplôme d'illustrateur en 2004. Mais, très vite il s'adonne à la peinture, sa première passion, et notamment à l'huile, un véritable coup de cœur.
Il trouve son inspiration dans l'art du XIX, du réalisme de l'école russe au mouvement préraphaellite. C'est pourquoi, ses premières toiles sont très classiques, trop sages selon lui. Il craint de s'empêtrer dans une rigidité sclérosante et improductive.
C'est en s'intéressant de plus près à la peinture figurative contemporaine, de Justin Mortimer à Peter Doig, que Marc Dailly parvient à libérer sa technique en jouant sur les « non-dits ».
« J'ai peur de trop contrôler ma peinture, je préfère laisser libre cours à mon inconscient qui saura vraisemblablement bien mieux que moi raconter des histoires ».
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage public // Jeudi 21 novembre 2019 de 18h à 21h30
Exposition du 22 novembre au 15 décembre de 14h à 19h
Tous les jours sauf le mardi et le mercredi.
Monsta s'amuse, construit, apprend, ré apprend, s'associe...
Chacune de ces actions est motivée par l'envie de garder son âme d'enfant et ainsi continuer d'alimenter sa créativité pour ne jamais cesser d'avoir des idées à noter sur un bout de papier qu'il finira par concrétiser.
Monsta s'amuse à créer des personnages imaginaires, des monstres qu'on pense tout droit sortie de la tête d'un enfant, personnages qu'il met en scène dans ses oeuvres. Ces petits et grands monstres peuvent être si mignons et si cruels à la fois. L'ambivalence de chacune de ses oeuvres repose sur cette double appréciation de ses personnages et du contexte. Il choisit le monde de l'imaginaire pour se décrocher du monde réel, c'est une forme de thérapie où il préfère s'échapper que s'y retrouver.
Monsta construit des oeuvres sur des supports qui ne cessent d'évoluer. L'illustration sur toile, mais aussi sur des matériaux comme le bois ou bien encore les installations lui servent à exprimer ses idées. Les sculptures murales et dernièrement la sculpture dans l'espace sont aussi des outils médiateurs qu'il utilise. En effet pour l'exposition "Turbulences" Monsta réalise sa première sculpture en tant que telle. Il ne se fixe pas de limite quant aux moyens ou aux outils pour transmettre ses idées. Monsta note toutes ses pensées artistiques même les plus farfelues et attend le moment où il trouvera le support idéal pour l'exprimer. Chacun de ses choix que ce soit une toile, une sculpture, une installation... fait partie intégrante du message qu'il veut transmettre.
Monsta apprend et ré apprend chaque jour. Son attachement presque obsessionnel à la naïveté et la spontanéité le pousse à se dépasser en terme de créativité. Il a toujours dessiné, l'illustration est l'un de ses outils qu'il maîtrise à la perfection. Il fait pourtant le choix d'oublier cette dextérité pour ré apprendre à créer et dessiner d'un oeil neuf. Il se force à perdre ses réflexes de dessin pour réussir à capturer la spontanéité d'un trait nouveau. Monsta aime se challenger, le fait de sortir de sa zone de confort lui permet de produire un nouveau contenu plus authentique et en dehors du cadre. Il trouve qu'à l'âge adulte on perd notre regard pétillant et imaginatif, on se cantonne à ce qu'on sait déjà. Avec le temps et les préoccupations qui s'accumulent, on perd notre légèreté. Monsta met un point d'honneur à éveiller la part d'enfant qui sommeille encore en chacun de nous.
Monsta s'associe à une autre artiste Mlle Terite et ils créent ensembles "Enfants sauvages" : une association artistique qui entremêle leur deux univers. Ils nous racontent une histoire tout droit sortie de leur imaginaire à travers des créations empreintes de désenchantement et d'espoir. Ce duo fait écho au travail personnel de Monsta et ne déroge pas à son envie de nous partager un sentiment doux et sauvage à la fois.
Monsta a imaginé un univers bien à lui "the world of monsta", une création qui s'équilibre entre naïveté et dénonciation. A l'aide de ses supports visuels, il lance le début de l'histoire, laisse chacun se l'approprier et choisir la fin qui lui plait...
Une sensation qu'on peut notamment ressentir lors d'un périple en avion, ici Monsta fait écho aux turbulences que nous traversons dans le voyage de la vie.
Un mot aussi utilisé pour parler du comportement d'un enfant agité. "Quel enfant turbulent !" une réflexion souvent perçue négativement. Monsta lui fasciné par l'enfance prend exemple sur les faits et gestes des plus petits qui ne sont pas toujours réfléchis ou mesurés mais plutôt spontanés.
Un titre qui résonne en deux temps, l'innocence et la violence. L'exposition mêle une innocence douce, imaginaire et volatile. En opposition avec une violence réelle, ré échie et anxiogène.
L'adulte d'aujourd'hui et l'enfant perdu d'hier se retrouvent au sein des divers supports de l'artiste. Il crée un fil rouge entre ses oeuvres matérielles, qu'il s'agisse de toiles, de sculptures ou d'illustrations. Monsta fait appel à notre âme d'enfant pour une première lecture tout en douceur qui nous transporte vers un monde imaginaire comme il sait si bien le faire. Puis il vient réveiller notre conscience endurcie par les problèmes sociétaux pour une deuxième lecture plus brute et violente.
Chacune des oeuvres est réfléchie soigneusement pour transmettre un message engagé et libérateur sans pour autant diriger le regard et l'avis du spectateur. Monsta ne cherche pas à provoquer une seule analyse, au contraire il souhaite déclencher une pluralité de questionnements.
Monsta nous invite dans "the world of Monsta" où il nous expose un univers chaotique rempli de "Turbulences" ponctué d'une légèreté enfantine déconcertante, du 22 novembre au 15 décembre au coeur du loft du 34.
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage le jeudi 21 novembre 2019
A partir de 18h
Exposition du 22 novembre au 13 décembre 2019
Du lundi au jeudi de 10h à 19h, le vendredi de 10h à 18h et le samedi de 13h à 18h
Nasti appartient à la nouvelle génération d'artistes d'art urbain.
Pochoiriste, ses traits sont précis et fins, les détails et la couleur apportent volume et contraste. Enfants ou vieillards, icônes féminines ou parfaits inconnus ; tous nous transpercent l'âme par leurs regards et leurs visages poignants.
Nasti s'est notamment fait remarquer par sa grande installation à la Base sous-marine de Bordeaux, mêlant pochoirs et installations cathodiques.
Nous serons ravis de vous accueillir pour découvrir ce jeune artiste très prometteur !
"L'humanité est un prototype de l'évolution façonnée par l'entropie.
Alors je détruis les pinceaux, dilue la peinture pour donner naissance à la matière mentale qui fixe l'image du temps.
Quel est le nouveau visage de l'humanité ?"
Cette exposition a été réalisée en partenariat avec Champagne Edouard Martin.
Time:
18:00-21:00
Description:
Vernissage le jeudi 21 novembre à partir de 18 heures
Exposition du jeudi 21 novembre au dimanche 1er décembre 2019
Pablo Delgado est un artiste originaire du Mexique, il s'est installé dans l'est de Londres, où il a vécu et travaillé. Il est aujourd'hui un des artistes urbains les plus connus en Angleterre. Il est réputé pour ses scènes miniatures depuis 2012. Au départ ses premiers travaux se composaient uniquement de minuscules portes collées sur les murs. Ensuite il a commencé installer méticuleusement des humains, des animaux et des objets pour créer de petites scènes surréalistes et humoristiques. Delgado choisit soigneusement les lieux de son travail, il crée des illusions visuelles et joue à cache-cache avec le public. Ses scènes, une fois collées au bas des murs, sont portées à la vie avec des ombres noires très détaillées peintes sur la chaussée. L'artiste a exposé dans son pays d'origine en 2007, au Canada, en France au cabinet d'amateur en 2014, à Londres à la Howard Griffin Gallery, la Nelly Duff Gallery et plus récemment avec Isaac Cordal et Slinkachu à la Well Hung Gallery en 2019. Il a réussi à créer un véritable culte pour tous ceux qui sont la recherche de ses nouvelles interventions dans la rue.
Condamné à être libre
C'est sur la valse d'un Beau Danube Bleu aux accents mariachis que nous entraîne Pablo Delgado. Voyage aux confins de la pensée si tant est que l'on soit ouvert à l'inconnu et imperméable aux injonctions de la conformité.
Nulle grandiloquence, il chuchote à nos yeux de discrètes et subtiles confidences sur un vaste champ, celui des infinis possibles, aux larges surfaces de couleur. Cet espace vierge, exempt de toute antériorité et de tous préjugés, se révèle d'une inaltérable et potentielle ouverture.
L'homme existe d'abord, se rencontre, surgit dans le monde, et il se définit après.
(L'existentialisme est un humanisme, Jean-Paul Sartre)
A Singularity avait donné le coup d'envoi d'un voyage en trois temps.
Un personnage, seul, si petit que l'on pourrait douter de sa présence, semble flotter chevauchant des bulles aéronefs. Ni homme ni femme, ni jeune ni vieux. Atome d'un corps, poussière de la galaxie, cellule se mouvant sur de vastes à-plat colorés.
Image esquissée d'un soi à peaufiner. Une œuvre auto-suffisante, à nulle autre pareille, sans référence, préfiguratrice d'un monde nouveau, réinventé, débarrassé de tout virus régulateur d'une société sclérosée, formatée.
Cette image abstraite, mais paradoxalement figurative, éclaire précisément l'univers poétique et surréaliste auquel l'artiste a juré fidélité. Ces saynètes sont omniprésentes, tant dans ses expositions-installations que lors de ses interventions urbaines, à Londres, Paris, Los Angeles et ailleurs.
Allá, donde terminan las fronteras, los caminos se borran.
Donde empieza el silencio. Avanzo lentamente y pueblo la noche de estrellas,
de palabras, de la respiración de un agua remota que me espera donde comienza el alba.
(Libertad bajo palabra, Octavio Paz)
Là où cessent les frontières, les chemins s'effacent.
J'avance lentement et je peuple la nuit d'étoiles, de paroles,
de la respiration d'une eau lointaine qui m'attend où paraît l'aube.
(Liberté sur parole, Octavio Paz)
Space Matters est le deuxième étage d'une exposition en forme de triptyque.
Le personnage de Singularity rencontre l'autre. Un groupe de femmes mène la danse. Quelle fête, quelle joie, quelle excitation ! Virevolter, jouer, côtoyer, partager, échanger, comprendre ce qui nous rassemble dans le grand jeu de la vie et ce qui nous y différencie. Mettre en évidence les re-pères, la recon-naissance d'un « je », conscient et acteur de sa singularité, metteur en scène et réalisateur de lendemains qui chantent.
Des personnages dont la taille réduite au possible est proportionnelle à l'énormité de la tâche à accomplir, conscients de la difficulté qui les attend dans la construction d'une civilisation ouverte, aimante. Ils sont à peine visibles et néanmoins actifs au sein d'un espace à conquérir, acteurs essentiels d'une scène supposée bienveillante.
L'artiste tourne volontairement le dos au personal branding (marchandisation de l'individu par lui-même), aux posts, stories et autres nombrilismes des réseaux sociaux. Son œuvre ne copine pas avec les campagnes publicitaires, ne flirte pas avec les codes marketing ! Son imaginaire n'est pas un produit de consommation, pas plus que son ego.
À la surpopulation, au consumérisme forcené, à la pollution exponentielle de Mexico, mégapole au bord de la crise de nerf, Pablo Delgado, lui-même Defeño ou Capitalino (habitant de la capitale aztèque), répond par un travail de miniaturisation qui ne manque pas d'ambition : Smaller is Bigger.
Gaal s'éloigna ; dans le vide au-dessus de lui flottaient des lettres de feu :
TAXIS POUR TOUTES DIRECTIONS.
(Le cycle de Fondation, I, Asimov)
A Free Unit, troisième et dernière station de la trilogie « 2020, L'Odyssée de l'espèce », raisonnera sur les cimaises du cabinet d'amateur. Comme un nouveau départ où il ne s'agira pas de suivre « un » chemin tracé mais « le sien », imprévisible, dissonant, debout en « personne libre ».
Un parcours semé d'embûches que doctes penseurs et philosophes, tenants d'un déterminisme social, estiment infranchissables. Les personnages de Pablo Delgado, aux regards juvéniles émerveillés, sont quant à eux porteurs d'une énergie positive, d'un mélange de naïveté, d'ambition et d'espoir. Une force qui permet de soulever des montagnes. L'aventure ne fait que commencer !
Pablo a toute notre confiance !
Jean-Luc Hinsinger
Time:
18:00-21:00
Description:
Pierre Bonard promène sa trentaine tranquille et son œil vif au gré de ses envies. Il arpente les rues de Belleville ou de Pondichéry, les collines islandaises ou des Buttes Chaumont, armé de son Reflex ou d'un moyen format. S'il utilise la technique numérique, le plus souvent pour la couleur, Pierre préfère capturer le monde en noir et blanc, et développer et tirer lui-même ses images à l'argentique. En touche à tout, il se confronte à la matière et pousse même jusqu'à la fabrication de ses propres cadres, d'une simplicité désarmante et d'une efficacité charmante.
« La photographie c'est un art; c'est mieux qu'un art, c'est le phénomène solaire où l'artiste collabore avec le soleil. »
Alphonse de Lamartine
Le photographe, à l'instar des propos de Lamartine, traque la lumière mais se repaît aussi de l'obscurité qu'elle provoque. Le résultat est une véritable calligraphie de silhouettes et de formes géométriques, organiques ou minérales, déclinée au fil des déambulations. Il joue ainsi avec les contrastes entre un mur de briques, une brume nébuleuse et des figures endimanchées. Son regard transforme l'anecdotique en dramaturgique, mué par l'immortalisation de l'instant
Le propre de la photographie est de capturer un reflet de réel, qu'il soit réaliste ou non. Ici Pierre Bonard s'amuse de la scène de la vie, qu'il distancie, voire parfois magnifie, grâce au traitement en noir et blanc. Est-ce l'absence de couleurs qui ancre les images de Pierre dans une certaine intemporalité? Ou est-ce simplement le théâtre de la vie qui est rejoué éternellement, à guichet fermé?
Sa maîtrise du cadrage et du déclencheur offre au regard un théâtre d'ombres, onirique ou anecdotique. Le réel, à travers son objectif, se pare d'une grâce presque mystérieuse, que les sels d'argent révèlent pour nous ravir.
"Dans l'approche intellectuelle de sa compréhension du Monde, proche de l'Animisme des premières civilisations, l'œuvre de Rubén Fuentes est une ode à la symbiose du Minéral, de l'Animal, du Végétal et de l'Humain.
Fidèle à sa préoccupation militante de la défense des espèces, en rappelant constamment leurs mises en danger, Rubén Fuentes nous invite à travers ses œuvres, à approfondir la question fondamentale de notre coexistence sur la Planète Terre que nous avons en partage.
Belliqueuse ou Pacifique, c'est de cette coexistence que dépend notre survie car la disparition programmée des deux autres est annonciatrice de la Notre."
"Notre biosphère est fragile, elle peut être déstabilisée si nous détruisons ses composants de manière irresponsable sans comprendre le réseau complexe des interdépendances."
Rubén FUENTES
De la série 53 rue Jean Rongière, sans titre, 2017
L'exposition itinérante de Sylvie Valem réunit deux séries réalisées entre 2017 et aujourd'hui. 53 rue Jean Rongière (2017 - 2018) amène le visiteur dans l'enfance de la photographe.
Elle habitait une maison avec jardin dans la rue qui donne son nom à la série. Suite à la perte de sa mémoire, l'unique souvenir qu'elle garde est un arbre, un cognassier dans lequel elle grimpait. Ce travail photographique est une tentative de créer et de se réapproprier ses souvenirs d'enfance.
Altitude 1110 mètres (2019) nous amène dans le Jura, où l'artiste a passé de nombreux hivers. Son seul souvenir est le paysage enneigé.
De la série 53 rue Jean Rongière, sans titre, 2017
Je suis photographe.
A 38 ans je perds la capacité à me souvenir de mon passé et celle de mémoriser efficacement mon présent.
Subitement le monde est impalpable, je suis comme anesthésiée ; la photographie participe dès lors à une possible reconstruction de mon histoire.
Sylvie Valem
De la série Altitude 1110 mètres, sans titre, 2019
Time:
18:00-21:00
Description:
avec les dernières oeuvres de Déborah Chock et de Bertrand Thomassin
Vernissage le 21 novembre à partir de 18h
Exposition du 21 novembre au 15 janvier 2020
Time:
18:00-21:00
Description:
Time:
18:00-21:00
Description:
#59
Vera Kox
footprints to fingertips
jusqu'au 21 décembre
du mercredi au samedi, 14h-19h
Dans le cadre d'une résidence en cours à la Cité internationale des arts, Vera Kox, artiste d'origine luxembourgeoise-allemande basée à Berlin, est invitée à investir la galerie 22.48 m² pour un projet spécifique qui rend compte de ses dernières œuvres. Une occasion pour l'artiste de montrer ses récentes recherches dans le contexte de la galerie parisienne.
"Polyuréthane, papiers à bulles, perles de gel de silice, plâtre ou céramique autant de matériaux dont Vera Kox explore les effets de texture et de matière. Ses sculptures aux couleurs artificielles évoquent des reliques futures d'un présent industriel. Dans une mise en tension entre l'organique et l'inorganique, l'artiste combine ainsi des matériaux synthétiques avec des formes entropiques dans un étrange paysage composé." (extrait du catalogue Flatland / abstractions narratives, exposition collective curatée par Marianne Derrien et Sarah Ihler-Meyer, Mrac Occitanie et Mudam, 2016-2018)
Cette exposition donnera lieu à un texte conçu par la critique d'art Marianne Derrien. Un programme de visites et de rencontres sera proposé tout au long de l'exposition.
Vera Kox (LU/DE) travaille principalement l'installation et la sculpture. Elle a obtenu un Master in Fine Arts au Goldsmiths College, London (2010) et a exposé son travail dans des institutions et galeries internationales. Son travail a été récemment montré à Bienvenue Art Fair, Cité Internationale des Arts, Paris, à Exgirlfriend, et Klemm's gallery, Berlin, Opdahl gallery Stavanger, Ribot Milan. Elle a participé à des expositions dans différentes institutions: au MRAC Sérignan, Mudam Luxembourg, Palais d'Iena, Paris, Casino Forum d'Art, Luxembourg. Vera Kox a effectué plusieurs résidences : au Künstlerhaus Bethanien, Berlin, au Casino Forum d'Art Contemporain, au Seoul Art Space, et à la School of Visual Arts de New York.
Exposition organisée en coopération avec la Mission culturelle du Luxembourg en France et avec la Cité Internationale des Arts.
Time:
18:00-21:00
Description:
HORS DU TEMPS
Exposition des manières noires de
YANG Chung-Ming
Artiste invité de Taipei
du 22 novembre au 1 décembre 2019
VERNISSAGE: jeudi 21 novembre à 18h
Conférence dimanche 24 novembre à 16h:
"Similitudes entre l'estampe orientale et occidentale"
Association pour l'Estampe et l'Art Populaire
49bis, rue des Cascades, 75020 Paris
01 47 97 05 35 estampe-artpopulaire.com
YANG Chung-Ming, artiste taiwanais, travaillant à Taipei, présente une série de manières noires qui posent des questions, telles: Qu'est-ce le temps ? Que sont les ondulations temporelles ? Comment revèle-t-on la structure et le passage du temps ? L'artiste renverse le rapport impression/matrice, transformant ses plaques originales en installations, pour présenter l'image concrète et la construction abstraite du temps.
L'Association Florence s'efforce depuis plus de trente ans de soutenir des artistes contemporains de tout horizon.
Chaque année, elle organise à l'Espace Commines une exposition de quatre jours pour des artistes sélectionnés par un jury attentif aux expressions artistiques de notre temps.
L'édition 2019 réunit neuf artistes sensibilisés à la nature qui livreront leur perception de celle-ci à travers des oeuvres inédites.
Time:
18:00-21:00
Description:
Découvrez les oeuvres de 5 artistes contemporains africains
Leslie Amine - William Bakaïmo - Françoise Benomar
Seyni Awa Camara - Moustapha Baïdi Oumarou
Exposition du 21 novembre au 21 décembre 2019
Lundi-vendredi 11h30-19h / Samedi 14h-19h
Vernissage Jeudi 21 novembre de 18h à 21h
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 21 novembre 2019 au 08 février 2020
Une exposition autour d'une surprenante technique d'animation : l'écran d'épingles...
Silhouettes d'Alexandre Alexeïeff et Claire Parker
devant leur écran d'épingles
Comment animer des films avec des épingles ? L'exposition « Alexeïeff / Parker : montreurs d'ombres », conçue par le CNC en collaboration avec le Musée-Château d'Annecy, propose de découvrir un procédé extraordinaire : l'écran d'épingles, qui par le jeu de lumière à la surface de ses pointes d'acier, permet la réalisation de films d'animation.
Inventé par Alexandre Alexeïeff et Claire Parker dans les années 1930, cet instrument inspire aujourd'hui une poignée de cinéastes qui ont su, chacun à leur manière, en explorer toute la poésie.
À ne pas manquer : l'écran d'épingles de 1937, des projections de films, un écran pédagogique pour expérimenter et une journée de découverte et de pratique samedi 23 novembre de 11h à 17h.
Entrée libre
Renseignement au service culturel
Vernissage : jeudi 21 novembre de 18h à 21h
Ateliers et conférence : samedi 23 novembre de 11h à 17h
Visites commentées : mardis 26 novembre 2019 et 14 janvier 2020 de 18h30 à 19h
Silhouettes d'Alexandre Alexeïeff et Claire Parker devant leur écran d'épingles
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 22 novembre 2019 au 9 février 2020
Si plusieurs générations de photographes se reconnaissent une dette envers Kertész, c'est parce qu'il a légué une œuvre singulièrement innovante, construite à l'écart des courants et des commandes.
Cette œuvre a fait l'objet de nombreuses études, mais sa pratique du 24x36 demeure étonnamment indistincte et méconnue. Or, pour reprendre les mots de John Szarkowski (conservateur du MoMa de New York) : « plus peut-être que tout autre photographe, André Kertész a compris l'esthétique particulière de l'appareil portatif et l'a rendue manifeste ».
Kertész se dote en effet d'un Leica dès 1930. Avec cet appareil, l'œil du photographe ne se concentre plus sur un dépoli mais se projette dans un cadre qui se juxtapose à son champ de vision. Le viseur permet ainsi au regard de chercher ses repères dans l'image pendant que le corps prend ses appuis dans l'espace. En quelques saisons, André Kertész ouvre alors la voie à une nouvelle attitude : la déambulation photographique.
Une étude récente et inédite menée sur les négatifs originaux conservés par la Médiathèque de l'architecture et du patrimoine a permis de reconstituer pour la première fois la continuité chronologique des images que le photographe a prises entre 1930 et 1936 avec son Leica. Fruit de cette recherche, l'exposition présentée à la Maison Doisneau, accompagnée d'un ouvrage de référence publié par les éditions André Frère, propose de remonter à ce moment de la prise de vue et d'observer ces quelques pas de Kertész dans des images d'un genre nouveau.
Commissaire : Cédric de Veigy
Coproduction : Médiathèque de l'architecture et du patrimoine, Charenton-le-Pont et Maison Doisneau.
Vernissage jeudi 21 novembre 2019 | 18h - 21h
Exposition | 22 novembre - 8 janvier 2020
James Chedburn - Miguel Chevalier - Alain Le Boucher - Miss.Tic - Philippe Obliger - Pétra Werlé
Street art avec Miss.Tic, art digital avec Alain Le Boucher et Miguel Chevalier, miniatures en mie de pain avec Pétra Werlé, steampunk avec James Chedburn et art végétal avec Philippe Obliger, créateur de l'Outre-Forêt, que nous présentons pour la première fois à la galerie grâce à une rencontre de bistrot, cette exposition touche aux multiples facettes de l'art contemporain.
Qu'est-ce que l'art végétal me direz-vous ? En l'occurrence, ce sont des plantes vivantes, des cactus, que Philippe Obliger modifie pour obtenir les formes qu'il désire. C'est de greffe en greffe, avec un savoir et une patience de botaniste que miracle des miracles, il obtient une sculpture végétale qui reste vivante tant qu'on l'arrose tous les trois mois.
De la rue à l'ordinateur, de la terre à la mie de pain, de la lumière à l'automate, les matières et les formes se répondent dans l'imaginaire toujours fertile des plasticiens et plasticiennes puisque le féminin est à l'honneur.
Lélia Mordoch
Time:
18:00-21:00
Description:
du 21 novembre au 11 janvier 2020
vernissage jeudi 21 novembre à partir de 18h
En 1967, Dorothée Selz exposait pour la première fois à Paris. Âgée de 21 ans, invitée par le grand commissaire Harald Szeemann, elle participa en effet à la mythique exposition «Science-Fiction» au Musée des Arts Décoratifs.
Cette précocité concluait une enfance véritablement baignée dans l'art, notamment grâce à un père voyageur, passionné d'art brut et d'art populaire, proche des frères Prévert, de Calder ou de Foujita.
Mais sa longévité ne doit qu'à elle-même: depuis la fin des années 1960, dans la lancée du Eat Art de Daniel Spoerri, Dorothée Selz a essaimé dans le monde entier son art comestible et chamarré, pop, léger et profond, féministe, et toujours d'une absolue liberté.
Cette exposition parcourt quatre décennies de la production artistique de Dorothée Selz, tout en explorant certaines de ses affinités avec les collections de son père Guy.
Dorothée Selz, série Science-fiction, Spoutnik n°1, Vers la Lune, 1997
Magazine marouflé sur bois, ciment et acrylique, 46 x 38 cm
Time:
18:00-21:00
Description:
Du 20 novembre au 1er décembre 2019
VERNISSAGE JEUDI 21 NOVEMBRE DE 18H À 21H
Pierre MILLOTTE & Martine SAINT-ARROMAN
Pierre MILLOTTE & Martine SAINT-ARROMAN se rencontrent dans un enjeu similaire : derrière des oeuvres abstraites et construites exprimer l'intime de chacun et son parcours de vie.
Beaucoup de pudeur donc dans ce qui est donné à voir, de force aussi. L'un parle de l'espace intérieur, l'autre du temps vécu, ils se répondent, sans rien imposer.
Time:
18:00-21:00
Description:
La Paroisse orthodoxe bulgare Saint-Patriarche-Euthyme-de-Tarnovo à Paris, en collaboration avec l'Institut culturel bulgare, sous le haut patronage de Son Excellence M. Angel Tcholakov, ambassadeur de la République de Bulgarie en France et Monaco, et avec la bénédiction de Son Éminence Mgr Antonii, métropolite orthodoxe bulgare d'Europe occidentale et centrale, présente pour la dixième année consécutive une exposition d'icônes orthodoxes contemporaines.
Cet événement célèbre dix ans de coopération fructueuse avec l'unique chaire d' «Arts ecclésiastiques » de Bulgarie, celle de l'université de Veliko Turnovo « Saints Cyrille et Méthode », avec laquelle les participants sont liés d'une manière ou d'une autre.
L'exposition, marquant le jubilé, comprendra des icônes, des photographies, des fresques et des sculptures en miniature, des dessins, des compositions en plastique sur des thèmes chrétiens et des sculptures en bois de professeurs d'arts ecclésiastiques et de leurs élèves de Bulgarie et de Roumanie, ainsi qu'une partie des œuvres primées de la sixième exposition biennale internationale des arts ecclésiastiques qui se tient actuellement à Veliko Tarnovo.
Le vernissage aura lieu à 18 heures, le 21 novembre 2019, jour de la famille chrétienne, lorsque l'Église orthodoxe célèbre l'Entrée au Temple de la Mère de Dieu, à l'Institut culturel bulgare (28 rue de la Boétie, 75008 Paris) et sera suivi de deux conférences.
Le professeur Miglena Pashkova, Maître de conférence habilité à diriger des recherches (HDR) - référence dans le domaine de l'iconographie et de la restauration en Bulgarie - présentera un film sur les œuvres découvertes de 1994 à 2001 par une équipe dirigée par elle : des peintures murales médiévales de XIe et XIIe siècles dans l'église Saint-Archange-Michael de la ville de Rila.
Puis, le professeur Mihai Coman, Maître de conférence HDR, présentera sur le thème: « Les peintures murales d'églises contemporaines en technique de fresque en Roumanie - un patrimoine culturel de l'antiquité préservé à ce jour ». Une histoire passionnante sur la tradition vivante de l'art orthodoxe - conservée à ce jour dans les églises orthodoxes en Roumanie par l'un des représentants les plus vertueux de la nouvelle génération d'iconographes roumains.
Pour terminer cette belle soirée, le chœur de la communauté de l'église orthodoxe interprétera quelques chants.
Time:
18:00-21:00
Description:
Salle Béatrice Hodent de Broutelles
Du 22 novembre au 4 décembre
Vernissage le jeudi 21 novembre à 18h
Neuf membres de l'association Ombre et Lumière présentent une sélection de neuf gravures. Animaux, paysages, scènes figuratives ou abstraites entraînent irrésistiblement notre esprit dans un monde de rêve et de poésie.
Time:
18:00-21:00
Description:
ANTONYO MAREST, CLEMENT ARNAUD "YESONME", MONKEY BIRD, PAVEL RTUE, POES et SPEEDY GRAPHITO
Vernissage : 21.11.19 - 18h à 21h
Exposition : 22.11.19 - 05.12.19
Je-Sa: 14h-19h ou sur rdv
Time:
18:00-22:00
Description:
Venez célébrer l'événement en compagnie des artistes autour d'une coupe de champagne ! Plein de surprises vous attendent !
du 21 au 30 Novembre 2019
Time:
18:00-21:00
Description:
21 novembre 2019 - 18 janvier 2020
La galerie sera fermée du 22 décembre au 6 janvier (inclus).
Dans le monde de l'art du XXe siècle, trois artistes se distinguent par leurs recherches sur la figure humaine : Picasso, Giacometti et Bacon. Ils ne pouvaient défier la forme humaine qu'en la déformant à des degrés divers d'intensité, allant parfois jusqu'à vandaliser et rendre insupportables les traits attrayants du visage que des siècles d'art classique avaient réussi à renforcer et à imposer. Picasso était obsédé par la fragmentation, Giacometti hanté par le flot des lignes, Bacon consommé par l'impact vertigineux de la présence, mais ils aspiraient tous à la même chose : célébrer la figure humaine insaisissable et addictive.
Picasso a joué un rôle essentiel dans Bacon décidant de devenir peintre. Giacometti et Picasso se connaissaient bien, bien que leur relation puisse être plutôt tempestueuse. Bacon et Giacometti déménagent dans les mêmes cercles à Londres en 1965 et se tiennent mutuellement en haute estime. Cette réunion d'estampes des trois artistes cherche à évoquer les liens entre ces figures clés du XXe siècle.
Pablo Picasso (1881 - 1973)
Né à Malaga, en Espagne, il est devenu l'artiste central du XXe siècle autant pour sa contribution formelle que pour ses positions politiques. Après avoir parcouru l'art moderne avec sa production abondante, Picasso est célébré de façon permanente dans le monde entier.
Alberto Giacometti (1901 - 1966)
Né en Suisse, Giacometti devint l'un des plus grands sculpteurs modernes. Peintre et artiste, il consacre son travail à la recherche de la représentation de la vision, notamment de la forme humaine. En 1926, il s'installe à Montparnasse et travaille dans un atelier que l'Institut Giacometti a reconstitué et utilise aujourd'hui pour des expositions temporaires.
Francis Bacon (1909 - 1992)
Artiste anglais autodidacte, Bacon a réinventé la mythologie avec des images de corps humains et des portraits capturant les désastres et les convulsions de l'existence. Une rétrospective de son travail est actuellement organisée au Centre Pompidou à Paris.
Francis Bacon, Three Studies of the Male Back (triptych), 1987
Lithographie - 3 x 81 x 59.5 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Pablo Picasso, Tête d'homme barbu, 1966
Gravure - 57.5 x 45 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Pablo Picasso, Peintre et modèle avec une spectatrice, 0
Gravure - 45 x 34 cm
Courtesy of the artist & Galerie Lelong & Co.
Time:
18:00-21:00
Description:
Dans le cadre de la 8ème édition du parcours PhotoSaintGermain 2019
http://www.photosaintgermain.com
EXPOSITION COLLECTIVE QUELQUE CHOSE NOIR À LA GALERIE GRADIVA - SECTION ART CONTEMPORAIN
Commissaire : Fanny Lambert
Du 5 novembre 2019 au 17 janvier 2020
Vernissage le mardi 5 novembre 2019 de 17h à 21h
Avec les œuvres des artistes Hans Bellmer, Benoit Blanchard, Mathieu Bonardet, Gladys Bregeon, Anne-Lise Broyer, Charlotte Charbonnel, Clara Chichin, Alice Chochoy, Amaury da Cunha, Nicolas Daubanes, Raphaël Denis, Fred Deux, Julien-Adolphe Duvocelle, Sarah Feuillas, Anne-Charlotte Finel, Agnès Geoffray, Victor Hugo, Marc Lathuilliere, Pierre Liebaert, Jonathan Llense, Charles Lopez, Christophe Manon, Aurore Pallet, Bertrand Rigaux, Héloïse Rouard, Doriane Souilhol, Marie Sommer, Maxime Touratier, Stéphanie Solinas, Alejandro Mario Yllanes
Une exposition dans le cadre de Photo Saint Germain
Pierres, bile, nuit, humeurs, encre, voix, deuil, gouffres, mythes, ... sont autant de motifs contenus dans la proposition "Quelque chose noir". De la couleur à la ressouvenance du texte de Jacques Roubaud, le noir en "Rien"° comme empli de tout serait l'une des pistes pour aborder cette exposition qui, en juxtaposant œuvres contemporaines et anciennes, se voudrait l'occasion d'une errance à travers le noir et ses profondeurs.
Une vingtaine d'artistes sont invités ici à s'immiscer parmi les œuvres de Victor Hugo, Hans Bellmer ou Fred Deux pour ne citer qu'eux.
Éclairer les lueurs de l'obscur par l'image, fixe ou mouvante, mais aussi via le texte, qu'il soit lu ou écrit, le son, la peinture ou encore le dessin. La couleur, circonscrite à ses présupposées de non ou d'anti-couleur, porteuse d'autant d'images que d'évocations à une vision scotopique se révèle grâce à l'infime. Car si l'absence de perception n'est pas le noir, l'idée d'une adaptation progressive apparaît. Une vie s'ébat derrière les visibles.
Pièces sonores, volumes, films et tirages accompagnent ce chemin vers les bas-fonds d'un champ chromatique peu discernable où se déplacent des folies tapies.
Un cycle de lectures viendra prolonger cette ambulation dans le dissimulé et ses nuances.
° « Rien » est l'ultime poème du recueil de Jaques Roubaud Quelque chose noir.
Time:
18:00-21:00
Description:
organisé par l'association "Arrimages"
Time:
18:30-22:00
Description:
Les Worldwide Hospitality Awards, un évènement incontournable
Depuis 20 ans, Hospitality ON a entrepris de valoriser les initiatives de l'industrie hôtelière mondiale à travers les Worldwide Hospitality Awards. Cette compétition internationale, créée par Georges Panayotis, Président et CEO de Hospitality ON, est l'occasion pour les groupes hôteliers de mettre en avant les réalisations exemplaires de leurs équipes en matière de communication, de marketing, d'innovation, de ressources humaines, de responsabilité sociale et environnementale, de fidélisation client...
Avec la création des Worldwide Hospitality Management Schools Awards en 2010, un lien fort entre les écoles internationales de management hôtelier et les futurs responsables opérationnels s'est installé.
Depuis le début de l'évènement en 2000, les Hospitality Awards ont reçu plus de 1500 candidatures et plus de 200 trophées ont été attribués. Des candidats de tous les continents s'inscrivent à la compétition tous les ans. L'organisation et le déroulement des Worldwide Hospitality Awards sont placés sous le contrôle d'un Advisory Board qui est constitué de personnalités de l'industrie hôtelière mondiale pour les candidats hôteliers, et de personnalités des écoles de management hôtelier internationales ainsi que des managers en ressources humaines de groupes hôteliers pour les candidats des écoles hôtelières.
Un jury international composé d'une quarantaine de personnalités du monde des affaires, de l'industrie touristique et de la communication, hors hôtellerie-restauration, sélectionne les 3 finalistes des Worldwide Hospitality Awards.
Le jury pour les Worldwide Hospitality Schools Awards est composé de personnalités du monde de l'industrie hôtelière internationale. Chaque année, une personnalité d'un grand groupe hôtelier mondial préside la cérémonie qui se déroule au mois de novembre à Paris. Une innovation majeure a été apportée lors de la 13ème édition en 2012 avec l'introduction du vote des lecteurs du site hospitality-on.com
Programme de la cérémonie - Mercredi 21 novembre 2019
18:30 - Accueil et enregistrement des participants à l'InterContinental Paris Le Grand Hôtel
Les participants devront se munir du badge d'entrée qui leur a été communiqué par l'équipe organisatrice afin de pouvoir accéder à la cérémonie.
19:00
La cérémonie est officiellement ouverte. Le programme sera disponible ultérieurement.
21:00 - Début du Cocktail dînatoire
Une occasion unique et privilégiée de rencontrer les différents acteurs de l'industrie hôtelière internationale.
Time:
18:30-21:30
Description:
François Tajan, président délégué
Fabien Naudan, vice-président
Géraldine Martin, directrice de la Librairie d'Art
& les Editions du Chêne
ont le plaisir de vous convier au lancement de l'ouvrage
D'ART D'ART !
L'intégrale
en présence des auteurs Frédéric Taddeï et Marie-Isabelle Taddeï
Time:
18:30-21:30
Description:
Créations du styliste Sud Africain Thebe Magugu
Photographiées par Aart Verrips
Une exposition au profit de l'association Dessine l'Espoir
Preview le 21 Novembre 2019 de 18h30 à 21h30
Vernissage le 3 décembre de 18h30 à 21h30
Avec cette série "Figures of Fortitude", Thebe Magugu, rend hommage à la force de la femme Sud Africaine. "Nous sommes constamment entourés de femmes, et à titre personnel, j'ai toujours admiré leur puissante capacité à posséder à la fois la Force et la Vulnérabilité, des traits de caractère auxquels je suis reconnaissant d'avoir été exposés, à travers les figures matriarcales qui m'ont élevé. Des femmes qui contribuent à élever positivement la condition humaine..."
Exposition jusqu'au 20 décembre 2019
Cette exposition participe intégralement au financement de l'opération de fundraising lancée par l'Association Dessine l'Espoir en faveur de l'éducation d'orphelins et d'enfants défavorisés en Afrique australe.
Objectif: soutenir 500 enfants pour la rentrée scolaire 2020
Time:
18:30-23:00
Description:
Triumph Elysée Motor
40 Avenue De La Grande Armée
75017 Paris
Votre showroom Triumph Elysée Motor Paris est heureux de vous inviter à sa soirée de lancement de la nouvelle Street Triple RS, le jeudi 21 novembre à partir de 18H30 au 40 Av. de la Grande Armée 75017 Paris.
Nous avons le plaisir de vous annoncer la venue de la merveilleuse dessinatrice Gasoline MAAB.
Au programme : Blind Test, animations, un weekend en Angleterre pour visiter l'usine Triumph à gagner ainsi que de nombreux cadeaux Triumph !
Time:
18:30-21:00
Description:
exposition du 21 novembre au 22 décembre 2019
"His native home deep imag'd in his soul."
Homer, The Odyssey
Le fait de m'installer à la compagne après tant d'années d'une vie urbaine a produit un changement imprévu dans mon travail d'artiste. Mon regard sur la nature, jusqu'à ce jour, était celui d'un citadin nourri, sans doute plus par un idéal intellectuel que par un vrai désir de comprendre les échanges complexes que l'homme entretien avec son environnement. Désormais j'ai décidé de m'éloigner du monde naturel pour m'approcher de l'homme, et notamment vers son attachement à certains lieux; des endroits qu'il fait siens et que, même dans son absence, son esprit continue d'habiter.
Ce changement a vu naître le série 'ROOMS.' Il s'agit d'un ensemble de tableaux montrant des pièces vides. Abandonnées, désuets, balayées de tout artéfacts, ces espaces parlent de l'absence, mais une absence habitée par la mémoire des vies passées qui restent encore gravées dans les murs, comme pour dire que la notion d'esprit du lieu n'est pas uniquement un attribut du paysage mais le fait de l'homme aussi. Chacun d'entre nous nourrit un attachement particulier pour un endroit dans ce monde avec lequel il a un lien, qu'il s'agisse d'une maison de famille, l'endroit où vivait la grand-mère ou juste un sentiment de bien-être lié à un endroit sans autre explication. Pour moi c'était la vieille maison de famille où j'ai grandi. Quand je l'ai vidée pour la vendre, j'ai découvert que ma mère, en repeignant les différentes pièces à travers les années, n'avait jamais bougé les meubles. L'empreinte du mobilier imprimée ainsi sur les murs était un spectacle émouvant. Comme si les fantômes d'hier hésitaient encore à partir - c'était une curieuse matérialisation du genius loci. Mais bien que la séparation avec cette maison fût douloureuse, c'était une décision. Dans les tableaux du séries 'ROOMS,' j'ai voulu parler aussi d'un déchirement bien plus dramatique: des maisons évacuées à la va-vite, à contre cœur pour survivre; des maisons dont les pièces vides font encore résonner la mélancolie de ceux qui sont partis.
Ashley Ashford-Brown
Time:
18:30-21:00
Description:
Dans le cadre de la journée internationale contre les violences faites aux femmes
Exposition du 21 novembre au 06 décembre à la Mairie du 2e arrondissement de Paris, Salle des expositions
Vernissage de l'exposition avec une lecture performance de l'artiste accompagnée de la chorégraphe et danseuse Hélène Larrode le jeudi 21 novembre à 18h30.
La Mairie du 2e arrondissement de Paris est très honorée d'accueillir cette exposition à l'heure où la thématique des violences faites aux femmes prend de plus en plus d'ampleur. Des femmes couvrent les murs de notre ville de cris de colère et d'hommages aux victimes de féminicides. Nous les soutenons. 134 femmes ont été tuées par un compagnon ou par un ex- conjoint depuis le 1er janvier 2019 ! Peut-être qu'à l'heure où vous recevrez ce dossier de presse, ce chiffre sera déjà obsolète.
Journée de lutte contre les violences faites aux femmes
Aujourd'hui, la violence à l'égard des femmes et des filles constitue l'une des violations des droits humains les plus répandues, les plus persistantes et les plus dévastatrices dans le monde.
Elle demeure également l'une des moins signalées en raison de l'impunité, du silence, de la stigmatisation et du sentiment de honte qui l'entourent. En France, près de trois femmes meurent chaque semaines sous les coups et la violence.
Afin d'attirer l'attention sur cette insupportable situation, la Mairie du 2e vous convie à une programmation engagée et novatrice, afin de sensibiliser le grand public sur cette question de société majeure.
Exposition "La liste des prénoms"
L'artiste Oleñka Carrasco vous propose en Mairie du 2e du lundi 18 novembre au vendredi 6 décembre une installation parlant d'un phénomène social apparemment très répandu dans les médias mais qui ne cesse d'augmenter : la violence faite aux femmes, les féminicides, pas d'une manière documentaire, plutôt comme une narration du deuil.
16 photographies sont installées, salle des expositions, ainsi que plusieurs structures et mobiliers. Les clichés parlent d'un deuil, d'un cri contre l'oubli, d'une liste infinie de prénoms de celles qui ne peuvent plus crier. À travers ces objets et ces récits, c'est le drame vécu par des centaines de femmes qui se présentent à nous.
Time:
18:30-21:00
Description:
"Surnager" est la première exposition monographique de l'artiste peintre Charles Brun-Théremin alias CBTH.
La peinture et le dessin sont des passions qui l'accompagnent depuis toujours.Après avoir suivi une formation d'arts appliqués, il évolue successivement dans les domaines de l'illustration, la photo et le graphisme; avec toujours comme fil conducteur l'amour des formes et des couleurs. Aujourd'hui son art a repris une plus grande place dans sa vie et son atelier a trouvé résidence dans la pépinière de notre galerie.
L'artiste nous propose des images qu'il va chercher au fond de lui même et qu'il retranscrit avec une spontanéité parfois troublante.Les influences de CBTH sont multiples : il est aussi bien inspiré par l'art moderne et contemporain que par le mouvement du street art.A la croisée des chemins, il nous présente aujourd'hui dans cette exposition un panel de son travail artistique.
Time:
18:30-21:00
Description:
Sculptures
Vernissage jeudi 21 novembre 18h30
Une synthèse exigeante à travers des formes fortes, une simplicité construite sur la base d'une éxpérience des matériaux, d'un goût pour la recherche, finalement libérée de la contrainte fonctionnelle pour cette ancienne styliste.
Time:
18:30-21:00
Description:
La Galerie Gosserez a le plaisir de vous inviter au sein de sa galerie pour une nouvelle exposition dédiée au designer libanais Georges Mohasseb de studio Manda.
Après le lancement de leur collaboration autour de la collection Bee, à l'occasion du PAD Paris en Avril 2019, la Galerie Gosserez et Georges Mohasseb présentent un ensemble de nouvelles pièces inédites.
Une exposition intitulée Cycle of Life.
Vernissage le jeudi 21 Novembre 2019, de 18h30 à 21h (sur invitation)
Exposition du 22 Novembre au 21 Décembre 2019
Time:
18:30-21:00
Description:
par la Galerie Sophie Leiser
Pour son exposition Les Argentiques, Maurice Renoma dévoile des photographies - certaines inédites - intemporelles, sensuelles et mystérieuses, en noir et blanc. Explorateur infatigable du corps féminin, il met en lumière les émotions qui naissent de la grâce d'une attitude, d'un regard, d'une marque encrée sur une cuisse ou un dos, le velours du grain de la photo se confond avec celui de la peau.
Time:
18:30-21:00
Description:
du 21 novembre 2019 au 11 janvier 2020
Trois ans après « Archives de Pierre » (2016) à la Galerie Univer, « Jeux d'écritures » décline de nouvelles propositions sur l'esthétique du signe, orientation centrale chez cet artiste qui travaille sur l'archéologie du geste graphique, la matérialité de l'inscription, la trace et la rupture de transmission avec les premières civilisations.
"L'Empire du signe ES 12/ C3", Pigments et acrylique sur aquagravure, 84 cm x 78 cm, 2018
Time:
18:30-21:00
Description:
Charles Bézie / Antoni Ros Blasco
Ka i Yuen Chan / Laurent De Gaulle
Hy ung-k i Kim / As M'Bengue
Takaaki Nagashima / Takesada Matsutani
Satish Panchal / Alexis Poliakoff / Pol Richard
Exposition "Hiroshi Harada"
50 ans à Paris autour de ses amis
Vernissage
Judi 21 novembre 2019
de 18h30 - 21h
Exposition
du 22 novembre au 28 décembre 2019
Time:
18:30-21:00
Description:
Time:
18:30-21:00
Description:
Exposition collective de 6 artistes femmes sur les thèmes d'identité, de 'home'.
LE VERNISSAGE :
Jeudi 21 novembre à partir de 18h30
L'EXPOSITION :
du vendredi 22 novembre au mardi 3 décembre 2019
Time:
18:30-21:00
Description:
du jeudi 21 au lundi 25 novembre, de 11 à 18 heures
Paris Match fête cette année ses 70 ans. À cette occasion, le magazine organise, avec la Maison Cornette de Saint Cyr, une vente aux enchères d'exception, en hommage à ces photographes qui ont fait «la Une» ou «la double» du magazine.
Soixante-dix ans de passion, d'émotion... et de photographies
L'ensemble des photos de Paris Match est rassemblé dans un fonds photographique qui représente aujourd'hui plusieurs millions de photos physiques. Archivés avec soin et conservés dans des conditions idéales au sein même de la rédaction, ces négatifs, ektats et tirages de différents formats sont jalousement gardés, tel un véritable trésor national. Si ces « photos de Match » sont emblématiques, c'est parce que depuis 1949 les plus grands photographes collaborent avec le service photo de la rédaction qui réalise, chaque jour, une minutieuse sélection parmi des milliers de photographies. Sa mission, trouver LA photo : celle qui sera la plus juste, la plus iconique, qui transmettra le plus d'informations et d'émotion.
À travers une sélection de photographies de couvertures mythiques, de reportages forts, bouleversants ou historiques, cette vente aux enchères anniversaire rend ainsi hommage à cette collaboration unique et déterminante... car c'est bien grâce à eux si Paris Match peut raconter, depuis maintenant sept décennies, toute l'actualité, dans sa gravité comme dans sa légèreté.
« Les photographes et reporters de Match sont devenus des personnages. Ils sont entrés dans notre légende et nous ont fait entrer dans l'histoire de la presse française. Le choc de leurs photos et le poids des mots qui les accompagnaient ont transformé notre aventure en un succès durable. »
Olivier Royant, directeur de la rédaction de Paris Match. Extrait de l'éditorial du numéro anniversaire paru le 11 juin 2019.
Pour célébrer notre anniversaire, le magazine met en vente, le 25 novembre, à la Maison de ventes Cornette de Saint Cyr, 130 photographies iconiques parues dans nos pages. L'occasion de revivre les temps forts de ces dernières décennies.
Que vous soyez fidèle abonné ou lecteur occasionnel, vous n'êtes pas sans le savoir : si Paris Match est connu pour son « poids des mots », c'est aussi l'endroit où « le choc des photos » opère. Comment oublier ce cliché des meilleurs ennemis du cinéma français, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, comme suspendus dans l'air, dans leur smoking-nœud pap' ? Et ce Jacques Chirac au balcon, triomphant, après sa victoire aux élections alors que la foule l'acclame ?
Pour une image parue, des dizaines sont gardées secrètes en attendant d'être un jour peut-être dévoilées au grand public
Depuis sept décennies, le nombre de photographies vues dans ces pages est inquantifiable. A lui seul, Johnny Hallyday a fait plus de 80 couvertures. Catherine Deneuve et Sophie Marceau, une trentaine chacune, et Caroline de Monaco, près d'une centaine. Sans compter tous les événements historiques, mariages princiers ou drames nationaux, qui ont noirci le papier. Et pour une image parue, des dizaines sont gardées secrètes en attendant d'être un jour peut-être dévoilées au grand public.
Ces clichés (négatifs, tirages de différents formats, Ekta) sont précieusement conservés dans un fonds à température, taux d'humidité et luminosité optimaux au sein même de la rédaction. Une véritable caverne d'Ali Baba. Alors, pour partager un peu cette histoire, le département développement a choisi 130 images qui vont être mises aux enchères par la maison Cornette de Saint Cyr. Des couvertures mythiques et des grands reportages parus en une ou en double au sein du journal, soigneusement encadrés pour l'occasion, seront mis à l'honneur. La belle de jour Catherine Deneuve en noir et blanc, la princesse Diana en maillot bleu, pensive au bout de son plongeoir, Brigitte Bardot, elle aussi en maillot, sourire moqueur, mais également les premiers pas sur la Lune, des paysages et des animaux en danger...
Autant de grands récits qui rendent hommage aux noms qui accompagnent Paris Match depuis 1949. « Les photographes et reporters de Match sont devenus des personnages. Ils sont entrés dans notre légende et nous ont fait entrer dans l'histoire de la presse française. Le choc de leurs photos et le poids des mots qui les accompagnaient ont transformé notre aventure en un succès durable », écrivait Olivier Royant, le directeur de la rédaction, dans le numéro anniversaire paru en juin dernier. Les estimations des tirages postérieurs numérotés et certifiés papier baryté vont de 1 500 à 4 000 euros. Et pour ceux qui n'auraient pas les moyens ou seraient simplement curieux, une exposition ouverte au public aura lieu les jours précédant la vente. Alors, pourquoi se priver ?
Time:
18:30-21:00
Description:
L'incantation outrepasse le monde de la raison, ouvre les portes du sensible, du transgressif et du fascinant. Médiatrice entre les deux mondes du visible et de l'intangible, activée par les écritures et les mots, sa magie oscille entre nos envies les plus profondes et les diabolisations sociales.
Ses manifestations sonores et visuelles nous enivrent et nous plongent vers les tréfonds d'un espace mémoriel fantastique et fantasmé. Ses personnages sont les spectres d'un monde invisible.
Les formules, les symboles et les outils de l'incantation évoluent au travers des époques, exprimant en son sein les dogmes de la société qui teintent le monde contemporain. Elle revêt dans cette exposition le costume de l'image expérientielle, cette vision qui influe subversivement sur les esprits, dans un jeu sensuel de la matière et des perceptions de l'espace spectatorial.
Les œuvres qui vous seront présentées se parent de jeux de lumières, explosent d'aventures colorées et s'exaltent de mystères sonores, nous propulsant d'un monde intérieur à un autre.
Des artistes nous ramènent vers un temps archaïque et primordial quand d'autres déconstruisent les édifices ou accouchent d'architectures archéologiques.
Épagôgè se dévoile au 59 Rivoli, C.O.S.M.I.C. vous invite à découvrir cette expérience où les corps percent le vivant, la virtualité devient le nid de fantasmagories, les figures transgressives dénigrent l'interdit, et vous offre à entrevoir le reflet tangible d'un au-delà mystérieux et fécond.
Artistes :
Azel
Yann Toma
Ivan Murit
Simon Lazarus
Valentine Vera
Margaux Taleux
Sliman Ismaili Alaoui
Christopher Alexander Kostritsky Gellert
Magali Rifflart-Villeneuve
Alexia Antuofermo
Chloé Coislier
Lucas Ngo
Oudy
OB
SOIRÉE PERFORMANCE :
Mercredi 27 Novembre 2019 18h30
SOIRÉE PROJECTION CosmiX :
Vendredi 29 Novembre 18h30
Time:
18:30-22:00
Description:
Vente aux enchères organisée au profit de l'association La Source
Vente au profit de La Source des oeuvres FESTIN de 32 artistes plasticiens parmi les + importants de la scène française, sur le thème de la gastronomie.
Projet artistique et caritatif original « Festin » réunis les œuvres de 32 artistes plasticiens parmi les plus importants de la scène française, invités à interpréter à leur guise le thème de la gastronomie et de la nourriture. Toutes les oeuvres ont été réalisées dans un format unique : 130 x 89 cm.
S'agissant d'une vente caritative, PIASA n'appliquera aucun frais de vente.
EXPOSITION DES OEUVRES DU 22 AU 27 NOVEMBRE 2019
Vernissage le 21 novembre de 18h30 à 22h
Vente le 27 novembre 2019 à 20h30
https://www.piasa.fr/fr/auctions/festin#lots-list
Time:
19:00-21:00
Description:
Le 21 novembre 2019 se tiendra la sixième édition des Victoires des Leaders du Capital Humain au Pavillon d'Armenonville, à Paris. Plus de 700 directeurs des ressources humaines, directeurs spécialisés et dirigeants seront réunis lors de cette demi-journée afin de partager leurs meilleures pratiques, échanger autour de problématiques communes ou nouvelles et de mettre en lumière, identifier des modèles variés, innovants, tout en apportant une reconnaissance publique aux innovations et succès des professionnels du secteur.
http://www.victoiresleaderscapitalhumain.com
Time:
19:00-22:00
Description:
Le Musée national des arts asiatiques - Guimet fête cette année ses 130 ans. Participez à une nocturne exceptionnelle sur le thème « Souffle et énergie au cœur » le jeudi 21 novembre de 19h à 22h.
Réservation obligatoire 130ans@guimet.fr
#130AnsGuimet
130 ans et pas une ride pour le musée national des arts asiatiques - Guimet
Le MNAAG s'apprête à célébrer son 130e anniversaire le 21 novembre par une soirée de festivités. Le musée a gardé l'esprit inventif et la fraicheur d'âme de son fondateur Émile Guimet (1836-1918). Sur le thème « Souffle et énergie au cœur » le musée vous propose à travers un parcours et des activités de découvrir ses facettes les plus dynamiques : musique fusion, créations contemporaines asiatiques à travers un parcours dans les collections où l'actuel et le passé jouent en résonance, expérience ludiques d'un escape game,... Le musée, fondé à l'origine sur l'expérience de découverte, l'intelligence des œuvres et la diversité des approches artistiques, continue au 21esiècle d'entretenir le goût et la curiosité pour une Asie qui d'hier à aujourd'hui est toujours porteuse d'innovation. . Entre un circuit dans l'Asie contemporaine, un jeu de piste à sensations, des morceaux de musique choisis et une performance d'artiste, le musée ouvre ses portes pour une nocturne exceptionnelle.
Lors de son voyage en Asie, notamment au Japon à la fin de 1876, outre sa quête de toutes les spiritualités, Émile Guimet traque la nouveauté et achète du « contemporain ». Dans son sillage, le MNAAG s'enrichit des créations d'aujourd'hui et présente L'Asie maintenant, parcours original au sein de la collection permanente où se retrouvent distingué un florilège de 150 œuvres contemporaines et nouvellement acquises, dont certaines ont été offertes au musée par les artistes venus répondre à « une carte blanche ». Une signalétique particulière permet de suivre plus d'un centaine d'œuvres installées dans les collections.
Totalement inédit au MNAAG, un escape game ou jeu de piste est mis en place pour la première fois pour faire découvrir la richesse de la collection et mettre en valeur l'histoire de l'institution. Il s'agit d'une expérience culturelle ludique et inédite dont le suspense demeure entier : « Une ombre plane dans les salles. Une divinité semble vous en vouloir et vous retient prisonnier. Saurez-vous trouver l'origine de ce mal ? ». C'est ainsi que d'énigme en énigme, d'œuvre en œuvre, il convient d'explorer l'extraordinaire collection du MNAAG et de trouver les indices qui conduisent à la source des énergies. D'énergie, de souffle, il sera aussi question dans la performance de Shoi, jeune artiste coréenne, qui remplira l'espace de la bibliothèque historique de plusieurs milliers de ballons blancs dans le cadre d'une performance aérienne et métaphorique.
Destiné à un large public, le MNAAG s'adresse à tous les visiteurs désireux de mieux connaître l'Asie, mais aussi de comprendre et de s'émouvoir, en réponse au souhait du fondateur de créer en 1889 « un musée qui pense, un musée qui parle, un musée qui vit ».
Time:
19:00-21:00
Description:
L'automne s'achève doucement et voici l'hiver arrive a grands pas. Pour se réchauffer le coeur, quoi de mieux que de s'imaginer des fêtes de noël féériques. Chez Paris Secret, on croit avoir trouvé ce qu'il vous faut...
Fermez les yeux et imaginez une vue imprenable sur la tour Eiffel scintillant de mille feux. Après un peu de shopping et un bon chocolat chaud, enfilez vos gants et chaussez vos patins à glace car (roulement de tambours) les galeries Lafayette-Haussmann transforment leur rooftop en patinoire le temps des fêtes de fin d'année. Le plus ? C'est totalement GRATUIT !
Alors que les vitrines, le sapin et la ruche de Noël des Galeries Lafayette se sont enfin dévoilées le 20 novembre dernier, dans un même temps, elles ont enfin ouvert les portes de leur patinoire de 176 m2. Son doux nom ? La patinoire perchée !
À vos patins, prêts ? Partez !
Ouvert tous les jours de 10h à 20h
Time:
19:00-21:00
Description:
cocktail VIP au 5ème étage
Situé au 20 rue La Boétie, dans le 8e arrondissement, le nouveau Centre Culturel Coréen à Paris permettra d'offrir au public français, avec ses quelque 3 756 m² (soit 5 fois la superficie de ses locaux actuels de l'avenue d'Iéna), beaucoup plus d'activités et d'événements. Avec son auditorium ultra moderne, ses deux grands espaces d'exposition, une très vaste bibliothèque et de nombreux espaces pour les ateliers d'art et cours de coréen, ce nouveau lieu est destiné à devenir, à partir de novembre 2019, le haut lieu de la culture coréenne à Paris.
Le jeudi 21 novembre marquera le coup d'envoi d'un événement de haute tenue : l'inauguration des nouveaux locaux du Centre Culturel Coréen. Les festivités se poursuivront sur deux mois, jusqu'au 14 février 2020. Le programme se déroulera dans et hors les murs du nouveau Centre et s'adressera à un très large public. Préparé en étroite collaboration avec le Musée National Folkorique de Corée, l'Office National du Tourisme Coréen à Paris et la Korea Creative Content Agency, ce programme donnera l'occasion au public français de découvrir les nombreuses facettes de la culture coréenne, entre autres à travers une très belle exposition sur les couleurs traditionnelles coréennes.
Bonne nouvelle pour les amateurs de culture coréenne en France. Le nouveau Centre culturel coréen a ouvert ses portes, hier heure locale, 20 rue de la Boétie, à deux pas de l'avenue des Champs Élysées, en plein cœur de Paris.
L'ancien établissement avait été inauguré en 1980 près de la place du Trocadéro et assurait jusqu'à présent la diffusion de la culture du pays du Matin clair dans le vieux continent. Mais, en raison de ses locaux trop étroits et vieillissants, cette organisation n'était plus en mesure de satisfaire l'intérêt et la demande croissante pour la culture coréenne.
Le nouvel établissement est par conséquent cinq fois plus grand que le précédent. Sur une superficie totale de 3 756m2, le bâtiment est composé de huit étages dont un sous-sol. Il est le 4e plus grand Centre culturel coréen au monde. Différentes salles dotées de technologie de pointe ont été créées, comme celle permettant d'expérimenter la culture coréenne ou encore à la gastronomie. Les visiteurs pourront également se rendre dans une salle de concert disposant de 120 sièges, une grande salle d'exposition, une bibliothèque et une salle de conférence.
Lors de la cérémonie d'inauguration, tenue hier après-midi, près de 500 personnalités importantes des deux pays étaient présentes, y compris le ministre sud-coréen de la Culture, des Sports et du Tourisme, Park Yang-woo, l'ancienne ministre française de la Culture, Fleur Pellerin, la sénatrice Vivette Lopez et le député Joachim Son-Forget.
Time:
19:00-22:00
Description:
Tesla s'apprête à présenter son pickup 100 % électrique.
Ce devait être un lancement en grande pompe, une sorte keynote comme sait si bien le faire Apple... Mais la présentation du niveau pickup de Tesla a connu un moment de flottement ce jeudi 21 novembre, lorsque les vitres du nouveau véhicule se sont brisées sur scène...
Moitié véhicule blindé, moitié avion furtif, le "Cybertruck" au style pour le moins déroutant a été présenté près de Los Angeles par Elon Musk, le patron de Telsa.
Cet étrange engin recouvert d'inox n'a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux en raison de son design inspiré du film "Blade Runner".
Les moqueries sur cet objet roulant non identifié aurait pu s'arrêter là, mais c'était sans compter sur un incident en pleine présentation. Des boules en acier ont été jetées sur les vitres de la voiture pour tester leur résistance, les brisant instantanément.
Time:
19:00-21:00
Description:
Exposition du 21 novembre au 11 janvier
Vernissage jeudi 21 novembre de 19h à 21h
Dédicace samedi 23 novembre à partir de 14h
Né en 1969 à Meaux, Olivier Ledroit découvre le dessin avec Brian Froud et Alan Lee. Après des études à l'école supérieure des arts appliqués Duperré à Paris, il débute sa carrière en réalisant des illustrations pour des magazines de jeux de rôle (Casus Belli).
En 1988, il rencontre le scénariste Froideval et signe avec lui sa première bande dessinée aux éditions Zenda : Les Chroniques de la Lune noire obtient un immense succès et devient très vite une série fondatrice ! A 20 ans à peine, Olivier Ledroit fait figure de précurseur de l'Héroïc Fantasy et devient le leader du genre !
Après 5 albums de la série, Ledroit passe la main à un autre dessinateur pour se consacrer à un polar fantastique chez Vents d'Ouest: scénarisé cette fois par Mosdi, Xoco est un chef d'œuvre graphique, pour la première fois en couleurs directes à l'aérographe.
C'est en 1996 qu'il débute sa collaboration avec Pat Mills: ils signent ensemble la série Sha, une histoire futuriste sur thème de réincarnation.
En juin 1997, il adapte la nouvelle Ennemis mortels de Philip K. Dick. L'univers de cet auteur l'inspire également pour la conception de la Porte écarlate chez Soleil.
En 2000, Ledroit et Pat Mills dévoilent leur côté sombre avec une nouvelle série de dark fantasy Requiem, chevalier vampire.La série est à nouveau un succès et donne naissance à une série parallèle dessinée par Franck Tacito, Claudia.
En 2014, il lance une nouvelle série mêlant contes de fées et univers steampunk sur le premier scénario de Thomas Day : Wika.
Fait rare en bande dessinée, Olivier Ledroit réalise ses planches en très grands formats et directement en couleurs, jouant avec les effets de matières, les volumes. Il se révèle un véritable chef de file de cette génération d'auteurs apparue au début des années 1990, fascinée par l'heroic fantasy, les jeux de rôle et la nouvelle BD anglo-saxonne.
Time:
19:00-21:00
Description:
Exposition du 22 novembre 2019 au 12 janvier 2020
du mardi au samedi de 11h à 19h
Robert Combas et Jean-Luc Parant, "Les Zieux ouverts"
Tatouage Académique, Texte manuscrit à l'encre de Chine, 48 x 31.5 cm
Robert Combas et Jean-Luc Parant, "Les Y'œufs fermés !"
Tatouage Académique, Texte manuscrit à l'encre de Chine, 48 x 31.5 cm
Time:
19:00-21:00
Description:
Soyez les premiers à découvrir les trésors des prochaines ventes aux enchères "Art Moderne & Art Contemporain". Parmi ces nombreux chefs d'oeuvres, un tableau magistral de Pierre Soulages sera exposé à l'espace Tajan.
Le centenaire de Pierre Soulages est l'occasion de revenir sur sa technique de raclage, initiée par l'artiste à la fin des années 50. Sur la toile enduite d'un apprêt blanc, de larges bandes de peinture noire viennent recouvrir une partie de la surface. Et c'est à l'aide de brosses que Soulages découvre ensuite une partie du fond, laissant apparaître la couche ocre sous-jacente dans un jeu de transparences offrant ainsi une infinie variation de couleurs aux luminosités inattendues.
Time:
19:00-21:00
Description:
Huberty & Breyne Gallery Paris est très heureux d'accueillir une rétrospective du fabuleux parcours de la collection Noctambule. C'est son éditrice, Clotilde Vu, qui a soigneusement sélectionné les pièces, en collaboration avec chaque auteur, dont les œuvres ont marqué le paysage de la Bande Dessinée, de Riff Reb's à David B., en passant par Chloé Cruchaudet, Edith, Benjamin Lacombe, David Prudhomme, Pascal Rabaté ou encore Pierre Alary, Bezian, ByMöko, Christian de Metter, Arthur de Pins, Paul Echegoyen, Loïc Godart, Gani Jakupi, Jung, Marc Lizano et Thierry Martin. Ils ont tous répondu présents pour célébrer leur anniversaire à travers une exposition flamboyante, chaleureuse et éclectique.
22 novembre > 7 décembre 2019
Time:
19:00-21:00
Description:
DU 19 NOVEMBRE AU 7 DÉCEMBRE 2019
Vernissage le jeudi 21 novembre à 19h
La galerie Daniel Maghen a le plaisir de dédier une exposition à deux maîtres du polar en bande dessinée : Tibet avec Ric Hochet et Bernard Vrancken avec I.R.$ aux éditions du Lombard, du 19 novembre au 7 décembre 2019.
Grand classique de la bande dessinée franco-belge des années 60-70, Tibet s'impose rapidement comme l'un des piliers du Journal Tintin, notamment grâce au succès de Ric Hochet, sa série mythique écrite par André-Paul Duchâteau. 78 tomes, quinze millions d'exemplaires vendus et traduites en sept langues, les enquêtes haletantes de Ric Hochet, jeune journaliste-détective, mêlent réalisme et humour avec de superbes scènes de courses-poursuite dont Tibet avait le secret. L'exposition rassemble près de quatre-vingt-dix planches originales issues notamment de la première époque, dont certaines où l'on peut apercevoir notre héros Ric au volant de sa Porsche.
Un point commun avec I.R.$, la série phare de Bernard Vrancken écrite par Stephen Desberg qui nous gratifie également de sensationnelles scènes embarquées avec au volant, le célèbre et charismatique agent du fisc américain : Larry B. Max. Ce thriller passionnant mène au cœur des plus grands scandales financiers, une série incontournable en vingt tomes vendue à deux millions d'exemplaires, qui fait de Vrancken un classique du genre des années 2000-2020. On appréciera indéniablement l'élégance de sa ligne claire qui sert magnifiquement le réalisme du récit, à travers plus de cent originaux rassemblés pour cette rétrospective organisée à l'occasion des vingt ans de la série. Une vingtaine d'illustrations originales à l'encre de Chine et au lavis, réalisées initialement pour la galerie, et finalement publiées en octobre 2019 dans le hors-série Les Dossiers Max (éd. Le Lombard), seront également présentées.
Daniel Maghen, la Famille Tibet, Bernard Vrancken et Stephen Desberg ont le plaisir de vous inviter au vernissage de leur exposition le jeudi 21 novembre, à partir de 19h.
Gilbert Gascard, dit Tibet (1931-2010), n'a que 16 ans lorsqu'il rejoint les rangs du studio Disney de Bruxelles, collaborant à l'édition locale du Journal de Mickey. Lorsque l'opportunité se présente de devenir maquettiste au journal Tintin, il n'hésite pas et fera patiemment son apprentissage dans l'ombre des Hergé, Laudy et autres Jacobs. La reconnaissance viendra en 1952, lorsqu'il crée Chick Bill, le cow-boy qui parcourt la plaine en chantant, puis Ric Hochet, qu'il crée en 1955 avec Duchâteau. Depuis, il s'était essentiellement consacré à ses deux personnages fétiches, produisant pas moins de deux albums par an. 70 albums de Chick Bill sont parus et 78 albums de Ric Hochet. Un record de longévité pour un auteur de bande dessinée ! En janvier 2020 seront célébrés les dix ans du décès du dessinateur.
Né en mai 1965 à Ixelles, Bernard Vrancken publie ses premières planches dans le journal Tintin à l'âge de 16 ans, puis dans le magazine (À suivre) au début des années quatre-vingt-dix avec Stephen Desberg au scénario, une rencontre déterminante puisque ce dernier deviendra naturellement son scénariste fétiche. De 1996 à 1998, ils réaliseront Sang Noir (éd. Le Lombard), une saga romantique en quatre tomes. En 1999, le duo revient avec I.R.$ (éd. Le Lombard). Les enquêtes financières de Larry B. Max se taillent rapidement une place de choix au panthéon de la bd avec deux millions d'albums vendus. La série, toujours en cours, compte maintenant vingt volumes et deux hors-série : Larry B. Max se dévoile dans Les Echos (2003) et Les Dossiers Max, l'album anniversaire des 20 ans d'I.R.$ paru en octobre 2019. Les deux hommes publient également H.ELL (éd. Le Lombard), un thriller médiéval-fantastique en deux tomes, de 2013 à 2015.
Time:
19:00-21:00
Description:
Salle des Fêtes
Venez découvrir le "32ème Salon des Artistes Peintres et Sculpteurs du 15ème".
Une cinquantaine d'œuvres sélectionnées par la commission culturelle de la Mairie du 15ème seront exposées dans la magnifique salle des fêtes.
32e BIENNALE DES PEINTRES.
ARTISTE INVITÉ : GEORGES MOQUAY
Incontournable rendez-vous des peintres et sculpteurs du 15e, cette 32e biennale accueille les œuvres de nombreux artistes professionnels ou amateurs. Cette année la Mairie du 15e reçoit comme artiste invité le peintre et plasticien Georges MOQUAY. Ses œuvres, exposées dans les plus grandes galeries d'art, dégagent une énergie sans pareille, dans un univers foisonnant et empreint de dérision.
EXPOSITION DU 21 AU 24 NOVEMBRE 2019.
Entrée Libre et gratuite tous les jours de 14h à 20h, le dimanche de 14h à 17h.
Vernissage Jeudi 21 novembre à 19h
Time:
19:30-22:30
Description:
chez les caves Legrand
Chemin des Vignes
113 bis avenue de Verdun
92130 Issy-les-Moulineaux
Tél : 01 46 38 11 66
cdv@chemindesvignes.fr
Time:
19:30-21:00
Description:
Rencontre avec les artistes Brodbeck & de Barbuat et Cerise Doucède et le commissaire d'exposition Julien Hory
Dans le cadre de la 8ème édition du parcours PhotoSaintGermain 2019
http://www.photosaintgermain.com
Présence humaine,
un monde pour plusieurs planètes
Brodbeck & de Barbuat* / Cerise Doucède
Commissariat: Julien Hory
Exposition du 29 octobre au 30 novembre
Du mardi au vendredi de 14h30 à 19h30
et le samedi de 12h à 19h
* En collaboration avec la Galerie Papillon
Samedi 26 octobre de 16h à 20h :
Vernissage de l'exposition
Mardi 5 novembre de 16h à 21h :
Vernissage PhotoSaintGermain,
le parcours photo de la rive gauche
Jeudi 21 novembre 19h30 :
Rencontre / Présentation de l'exposition
par les artistes et le commissaire d'exposition
Tournés vers l'espace et l'univers, les chercheurs multiplient les projets de conquête et de colonisation des planètes. D'après leur pronostic, il faudra un jour quitter une terre malade devenue invivable. Il faudra déserter, abandonner un monde qui deviendrait alors silencieux. Et si le jour J était demain, qu'est ce que notre civilisation laisserait derrière elle, et à quoi ressembleraient nos nouvelles terres ? C'est ce que nous avons voulu imaginer dans cette exposition collective réunissant les artistes Brodbeck & de Barbuat et Cerise Doucède à la Galerie Ségolène Brossette.
Dans la série Memories of a Silent World. Les oeuvres de Simon Brodbeck et Lucie de Barbuat racontent un monde déserté par l'humanité. Quelques rescapés, pareils à des fantômes, hantent des espaces connus pour être des hauts lieux de l'activité humaine. Ces lieux deviennent des décors de théâtre d'où émane une mélancolie douce. Ces photographies nous renvoient aux origines de la photographie et finalement, à notre histoire commune.
Régulièrement, de nouvelles planètes sont découvertes en dehors de notre système solaire. Loin d'être un simple fantasme, ces exoplanètes font entrevoir la possibilité d'une vie loin de la Terre, lorsqu'on aura fini de l'exploiter et de la détruire. Il sera peut-être temps de coloniser l'Univers, mais que trouvera-t-on ? Pour nombre de scientifiques, les modes d'adaptation des organismes photosensibles pourraient modifier les conditions d'apparition des couleurs. Nous aurions donc des paysages inédits échappant à toute référence. Ces décors, Cerise Doucède les a imaginés dans sa série Nouvelles Terres.
Par une scénographie constituée de vestiges de notre époque, nous avons voulu réunir ces deux mondes. L'ancien, écrin de nos souvenirs et de notre histoire, et celui de demain, dans des paysages encore inexplorés et incertains. Une façon aussi de nous questionner sur notre rapport à l'environnement.
Julien Hory
Exposition dans le cadre de PhotoSaintGermain,
le parcours photo de la rive gauche
Cerise Doucède
Time:
19:30-23:00
Description:
Venez découvrir la toute nouvelle TRIUMPH STREET TRIPLE RS
Cocktail, live music.
Animation avec à la clé à gagner Stage moto circuit du mans, blouson cuir, gants...
Time:
19:30-21:30
Description:
Marco Marchiani "Mavilla"
Frammenti di esistenza
Fragments d'existence
L'exposition Fragments d'existence marque une nouvelle étape d'un cheminement artistique entamé par Mavilla lors de la première exposition, Le bruissement assourdissant de la vie, en 2017.
Les œuvres, intimement liées entre elles, montrent qu'elles sont intriquées les unes aux autres et qu'elles constituent, au sein même de leur autonomie, un parcours unique dans lequel le temps n'a pas envahi l'espace.
Exposition
du 22 novembre au 7 décembre 2019
du mardi au samedi
de 10 à 13 et de 14 à 19 h
Vernissage
le jeudi 21 novembre 2019 à partir de 19h30
en présence de l'artiste
Time:
20:00-22:00
Description:
The Barberettes est un duo féminin de doo-wop, qui avait débuté en 2014 en tant que trio et qui est actuellement formé par Shinae An Wheeler et Sunnie Lee. Le nom "Barberettes" est une référence au style de musique a cappella barbershop. L'ajout du suffixe "ettes", est un hommage aux nombreux groupes féminins des années 1950 et 60 qui ont fait pareil.
En 2014, tout en se produisant dans de nombreux lieux à Séoul, le groupe sort l'album « The Barberettes Vol.1 », nominé pour trois Korean Music Awards. Il participe au festival international Mu:con de Séoul et il est sélectionné pour jouer en 2015 au SXSW Music Festival d'Austin au Texas. En un an, le groupe est invité à plusieurs reprises à la radio et à la télévision coréennes. Il se produit aussi Japon et passe à la radio japonaise avec Marty Friedman.
En 2015, les Barberettes reprennent Be My Baby des Ronettes, qui se classe à la 38e place du Gaon Music Chart. Lors de leur passage au SXSW Music Festival à Austin, les médias (NPR, Marie-Claire, Bitch, Austin Chronicle...) les reconnaissent comme le meilleur groupe du festival. Elles jouent également en Europe entre autres au MIDEM à Cannes pour la K-Pop Night Out ou à Londres pour le K-Music Festival. Elles sont aussi invitées à la radio et à la télévision par la BBC.
En 2016, elles se produisent lors du Korea Times Music Festival à Los Angeles, au Great Escape à Brighton. Elles sortent leur 2e album « The Barberettes » avec la collaboration de Marty Friedman, ancien guitariste du groupe de heavy metal Megadeth, qui est un de leurs fans. Sur le single « Love Shoes », on peut entendre Stuart Zender ancien bassiste de Jamiroquai. Cette année-là, elles se produisent aussi pour la première fois en France aux Trans Musicales de Rennes. France Culture les qualifie d'indémodables et France Inter dit qu'elles renouvellent le doo-wop.
En 2017, les Barberettes jouent au Liverpool Sound City en Angleterre, au festival Sinsal en Espagne, au Festival Musicas do Mundo de Sines au Portugal, au festival Kwala à l'Île de La Réunion. Elles rejouent également au Festival Mu:Con de Séoul et au Zandari Festa.
En 2018, elles sortent leur 3e album, « The Barberettes Seasons », et sortent également un vinyle sous le label de Mathias Malzieu, chanteur de Dionysos, qui est fan du groupe. Il les fait également apparaître dans son dernier livre « Une Sirène à Paris », sorti début 2019 et qui sera adapté au cinéma en 2020.
En 2019, le duo se produit pour la première fois à Taïwan. Il est à Paris en novembre pour l'ouverture du nouveau Centre Culturel Coréen et se présente lors de cette seconde soirée au Centre en formation orchestre composée d'excellents musiciens.
Avec :
Shinae An, chant, guitare
Sunnie Lee (Lee Kyeongseon), chant
Katja (Hyunjung Ji), piano
Sebastien Gastine, contrebasse
Hadrien Remy, guitare
Vincent Frade, batterie
Time:
20:00-22:00
Description:
Decidement! "Women" De l'artiste photographe Caroline Piat c'est la nouvelle exposition à venir en novembre du 18 au 24/2019.
Women est une exposition dévoilant des femmes de différents horizons pour montrer que la beauté n'a pas d'âge et pas de culture. A travers des portraits, des photos de nus et des vidéos, plongez au cœur du genre féminin, bien plus complexe qu'il n'y paraît.
Time:
20:30-22:00
Description:
Grand Café Fauchon
11, place de la Madeleine
À l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, l'association Elle's Imagine'nt, parrainée par Frank Lebœuf, organise son deuxième gala caritatif.
Il sera présenté sous forme d'un cocktail de gala d'exception, signé par le chef Frédéric Claudel.
La soirée sera animée par des artistes et personnalités de talents, des ateliers culinaires, une vente aux enchères et de nombreuses surprises...
http://www.ellesimaginent.fr
Description:
Fête nationale du Liban : anniversaire de l'indépendance
Description:
Hippodrome - 1, Avenue de la Pelouse
du Vendredi 22 Novembre 2019 au Lundi 25 Novembre 2019
Vendredi 22 Novembre 2019 de 11:00 à 22:00
Samedi 23 Novembre 2019 de 10:00 à 21:00
Dimanche 24 Novembre 2019 de 10:00 à 20:00
Lundi 25 Novembre 2019 de 10:00 à 18:00
La 19ème édition du Salon Gastronomique Mer et Vigne ouvre ses portes à l'hippodrome de Maisons-Laffitte du 22 au 25 novembre!
140 exposants sont présents durant ces quatre jours et ont hâte de vous faire découvrir leurs merveilles culinaires :)
Les Nouveautés à ne pas rater! : Offrez-vous une pasteis de nata au stand des Portugais Queijaria Nacional en sirotant un bon Porto, puis tournez-vous vers l'Italie en découvrant le Pecorino affiné dans une grotte du Piémont et bien évidemment le Parmesan de là-bas avec Artegustum. Puis sur l'Ile d'Oléron vous dégusterez de véritables rillettes et pâtés artisanaux avec Villa Marthe. Pierre Matayron nous fera l'honneur d'être présent sur ce salon avec ses jambons de porcs noirs Gascons qui vivent en plein air. Le Maroc s'invite cette année avec deux gammes prestigieuses d'huile d'olive de Tihli & Co. Les Pastilles de Savoie vous feront découvrir ses tisanes à sucer à emporter partout ;) Pour l'apéritif rendez-vous avec Aperoom Créateur d'apéritifs à base de Crémant d'Alsace et pourquoi pas un Puligny Montrachet de chez La Maison Jomain? Vers Bordeaux nous aurons Le château La Grande Clotte avec son Lussac Saint Emilion. Dans la Vallée du Rhône Le Domaine de La Palud vous fera le plaisir d'être présent avec ses Châteauneuf-du-Pape blancs et rouges. Au Sud-Ouest, Le Château la Renaudie vous présentera son Pécharmant et le Château Maye de Bouye ses Bergerac et Montbazillac.
24ème édition des Sapins des Créateurs
Thème Glacier-Crystal-Polaire
Pour la septième année, le Comité Montaigne apporte son soutien aux Sapins des Créateurs.
Sous le parrainage de la Fédération de la Haute-Couture et de la Mode
Nous sommes ravis de vous faire découvrir les 27 Sapins de Noël des Créateurs,
ainsi que XMAS MONTAIGNE une sélection de pièces « idées cadeaux » des Maisons du Comité Montaigne.
Vendredi 22 Novembre 2019,
Journée Presse sur rendez-vous : de 14h - 17h - Hôtel Plaza Athénée, 25 avenue Montaigne Paris 8e (1er étage)
merci de nous confirmer votre préférence d'horaire et votre venue : beatrice@beatricemanson.com
CHRISTIAN DIOR, CHRISTIAN GHION, CHRISTIAN LACROIX, DIDIT HEDIPRASETYO, ELIE SAAB,
EMANUEL UNGARO, EMMANUELLE RYBOJAD, EYMERIC FRANÇOIS, FRANCIS KURKDJIAN,
FRED par VINCENT DARRÉ, JEAN PAUL GAULTIER, JEAN-CHARLES DE CASTELBAJAC,
JEAN-CLAUDE JITROIS, JEAN-JACQUES ORY, LESAGE par HUBERT BARRÈRE, LOUIS-MARIE DE CASTELBAJAC,
MARC-ANTOINE COULON, MATHILDE DE L'ECOTAIS, OLIVIER THEYSKENS, PATRICK HOURCADE,
PHILIPPE FERRANDIS, REDA AMALOU, RUBEN ALTERIO, SASCHA NORDMEYER,
SWAROVSKI par NATHALIE COLIN, SYLVAIN LE GUEN, YANINA COUTURE.
Exposition publique du samedi 23 au lundi 25 Novembre 2019 de 11h00 à 18h00
Hôtel Plaza Athénée, 25, avenue Montaigne Paris 8 (entrée libre)
Thème Glace-Crystal-Polaire
Pour la septième année, le Comité Montaigne apporte son soutien aux Sapins des Créateurs.
Sous le parrainage de la Fédération de la Haute-Couture et de la Mode
18h30 - Illuminations de l'avenue Montaigne / (lieu à confirmer)
suivi de la visite privée de l'exposition des Sapins des Créateurs / Hôtel Plaza Athénée
20h00 - Vente aux enchères / Hôtel Plaza Athénée (sur invitation uniquement)
21h00 - Diner caritatif / Restaurant Maison Blanche (sur réservation exclusivement)
Journée Presse : vendredi 22 Novembre, sur rendez-vous, 14h et 16h / Hôtel Plaza Athénée (invitation par mail)
Exposition publique du samedi 23 au lundi 25 Novembre de 11h00 à 18h00 / Hôtel Plaza Athénée, entrée libre
> Une affaire de générosité
Toutes les œuvres originales créées pour les Sapins des Créateurs sont ensuite vendues aux enchères. L'occasion d'acquérir des pièces inédites et de faire une bonne action, les fonds récoltés étant dédiés à la recherche contre le cancer sous le patronage du Professeur David Khayat, Chef de service de Cancérologie de la Clinique Bizet ; Fondateur et Président de la Charte de Paris contre le cancer.
Time:
18:00-21:00
Description:
Rendez-vous artistique incontournable, le Salon d'automne du Cesaf et Arts Passion présente les sculptures, peintures et photographies d'une quarantaine d'artistes.
du 19 au 27 novembre
vernissage le 22 novembre à 18h
Time:
18:00-21:00
Description:
Philippe Wahl, Président directeur général du Groupe La Poste a inauguré à Paris, boulevard de Vaugirard, un Musée de La Poste rénové de fond en comble, métamorphosé. À l'occasion de cette renaissance, des journées portes ouvertes sont organisées ce week-end des 23 & 24 novembre.
Les métiers de La Poste d'aujourd'hui et de demain vous intéressent ? Venez découvrir leur histoire !
Le Musée conserve des collections d'une ampleur insoupçonnée :
800 000 pièces philatéliques
plus de 225 000 images
37 000 pièces relatives à l'histoire de la Poste
plus de 6 000 œuvres d'art moderne et contemporain
une frise retraçant les 5 300 timbres émis depuis 1849
près de 200 mètres linéaires d'archives...
Le Musée de La Poste se réinvente et rouvrira le 23 novembre prochain à Paris.
Au pied de la Tour Montparnasse, et après plusieurs années de rénovation, le Musée de La Poste révélera ses collections début novembre dans ses nouveaux espaces.
Réaffirmant ainsi son ambition culturelle et patrimoniale dans le paysage muséal français, le Musée de La Poste a fait l'objet - depuis avril 2015 - d'une réhabilitation complète de son bâtiment par l'atelier Jung Architectures. Le Musée de La Poste dévoilera un nouveau concept muséographique et architectural avec une scénographie totalement repensée et une nouvelle distribution de ses espaces : galerie d'accueil et son « Totem » traversant les 3 plateaux d'expositions permanentes, espaces dédiés aux ateliers, galerie d'exposition temporaire, boutique, auditorium et espaces privatisables.
À la fois musée d'entreprise, musée de société, musée de quartier, le Musée de La Poste labellisé "Musée de France" est chargé de présenter, conserver et diffuser le patrimoine postal.
Accessible à tous dans des conditions optimales de visite, le Musée de La Poste rénové mettra en lumière ses collections pour un voyage au coeur de l'histoire de la Poste, de l'art postal et de la philatélie d'hier à demain.
Cette nouvelle destination culturelle au cœur de la capitale racontera l'histoire d'une entreprise intimement liée à celle de la France.
Time:
18:00-21:00
Description:
Le Grand Jeu est heureux d'accueillir Babs pour le lancement de son nouveau livre "CBA │ Cyber Babs Art" publié par Wasted Talent
LE LIVRE
Après deux premiers tomes consacrés à ses croquis, Babs nous présente ici l'aboutissement de ses entraînements. Il a sélectionné quelques œuvres marquantes, qui jalonnent sa période de transition et illustrent le passage d'un Graffiti classique à ce qu'il aime appeler un courant Neo Graffiti.
Une cinquantaine de peintures réalisées dans toute l'Europe où il véhicule l'héritage de son prédécesseur, Dem 189.
Plongez dans un univers futuriste, mécanique et parfois organique emprunté aux illustrateurs qui l'ont marqué et influencé, Philippe Druillet, Mœbius, Katsuhiro Otomo ou encore Giger. pour ne citer qu'eux, Babs revisite et s'approprie ces ambiances pour en délivrer sa propre vision dans un Graffiti abstrait, bercé par le Septième art et la science-fiction.
Time:
18:00-21:00
Description:
"Anoir et la femme dans le jardin"
de
Patricia Reinhart
ciné collage, Full HD, BW and colour, loop, sound, 9.47 min, 2015-2017
Projection :
vendredi 22 novembre de 18h à 21h
à plusieurs reprises à travers la soirée
Dans le cadre de l'exposition de Patricia Reinhart "IN BLOOM"
IN BLOOM
Patricia Reinhart
Exposition :
7 novembre - 8 décembre 2019
Vernissage :
jeudi 7 novembre à partir de 18h
Commissaire : Gabriela Anco.
Patricia Reinhart, l'élémentaire élément femme
La plasticienne autrichienne travaille la sensualité comme fil rouge de l'identité. « As a woman, after the storm, I lay down my arms. I don't want to fight anymore or to act like a man. I would love to go to the garden, as a woman. » Artiste plasticienne autrichienne, Patricia Reinhart peint, installe, performe, photographie et réalise ses ciné-collages, montages d'images fixes et mouvantes en still-motion. Son film « Anoir and the woman in the garden »(1) est un ciné-collage qui explore la féminité par le biais d'une sensualité impressionniste et définissante, exprimant une identité en dehors des stéréotypes et du mimétisme de la lutte masculin-féminin. Au carrefour du feu de l'eau de l'air et de la terre, Patricia Reinhart nous rappelle que nous sommes faits de particules élémentaires.
Carine Dolek
(1) Oeuvre présentée dans le cadre de la Nuit Blanche à Paris en 2018, projetée sur sur l'Enceinte de Philippe Auguste dans Paris 03.
Patricia Reinhart, Sans Titre, aquarelle/feutre sur toile, 170 x 150 cm, 2019
Time:
18:00-19:00
Description:
La Fnac Forum des Halles accueille l'auteur de polar JAMES ELLROY, ce vendredi 22 novembre à 18h00, pour une séance de dédicaces à l'occasion de la sortie de son livre La tempête qui vient, suite de sa nouvelle quadrilogie, Second Quatuor de Los Angeles.
Time:
18:00-21:00
Description:
À l'occasion de la sortie de "Hula Hoop 3" chez Solo Ma Non Troppo et de "Je ne partirai plus en colonie de vacances" aux éditions On your slate, Tom de Pékin est l'invité de la galerie Arts Factory le vendredi 22 novembre, pour une soirée placée sous le signe des activités de plein air et de la franche camaraderie.
dès 18h : dédicace et exposition hula hoop
sur les tablettes de notre espace librairie
dès 19h30 : lecture par tom de pékin
du livre "je ne partirai plus en colonie de vacances"
à propos des ouvrages présentés :
hula hoop 3
tom de pékin - éditions solo ma non troppo
Journal intime dessiné au printemps 2017 à l'île de la Réunion et en été 2018 autour de Montréal : instants captés à la gouache et aux crayons de couleurs.
"Entre le fleuve et l'océan, la masse bleue et la clarté du ciel, les cercles tournoient absorbant la forme de nos fragiles silhouettes. Il fallait réunir les deux et trouver à travers ce mélange, un passage qui allait nous permettre d'échapper à ces pensées trop présentes pour réussir à s'en séparer. Nous voulions donner de l'énergie à nos corps et nos âmes pour qu'elle danse au centre du temps qui passe. Les histoires changent, les amitiés restent."
Cet album clôt le cycle Hula Hoop initié en 2016 par solo ma non troppo ainsi que le journal éponyme de l'artiste.
format 20 x 27 cm - 36 pages couleur
250 exemplaires, impression numérique
15 euros
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je ne partirai plus en colonie de vacances
tom de pékin - éditions on your slate / liquid sky
Entre fantasmes et souvenirs, Tom de Pékin, nous fait revivre un fragment de sa jeunesse. "Je ne partirai plus en colonie de vacances" relate des évènements troubles surgit de sa mémoire, tour à tour drôles ou dramatiques. Ce texte, à l'air ingénu dévoile les premiers émois de l'auteur et les rêves et déceptions qui les accompagnent. Un conte faussement naïf où la sexualité affleure, qui dresse le portrait en décalage d'une époque et d'un milieu que l'artiste utilise et reconstruit à la façon d'une aventure.
Tom de Pékin livre en confession intime des moments délicats
de son enfance avec tendresse et non sans autodérision, caractéristiques omniprésentes dans l'ensemble de son œuvre qui sont ici relayées par ses illustrations hautes en couleurs.
format 12 x 20 cm - 36 pages couleur
110 exemplaires, impression numérique
17 euros
Dans le cadre de l'exposition "Arts Factory vs Editions 476"
60 artistes - multiples - zines - originaux
exposition du 14 novembre au 23 décembre 2019
vernissage le mercredi 13 novembre de 17h à 21h
Pour son exposition de fin d'année, Arts Factory invite les Editions 476 à déployer leur foisonnante production sur les quatre niveaux de la galerie. Fondé en 2015 par les graphistes Maxime Barbier et Etienne Robial, ce label atypique au line-up éclectique est spécialisé dans l'impression en risographie; il compte à ce jour près de 300 références à son catalogue : affiches, zines et livres d'artistes.
Réunissant talents confirmés et newcomers, explorant aussi bien le dessin contemporain, l'illustration, la photographie que le graphisme, les éditions 476 affichent une politique de diffusion résolument abordable, avec une gamme de prix comprise entre 6 et 30 € pour un tirage numéroté et signé ... de quoi régaler le sapin avant l'heure !
En contrepoint de cette profusion d'images imprimées, Marie Baudet, Marie-Pierre Brunel, Nathalie Choux et Loulou Picasso - quatre artistes à la fois édités par 476 et représentés par la galerie Arts Factory - proposent un ensemble d'œuvres originales spécialement réalisées pour cet événement bicéphale.
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Au delà des nouvelles sorties qui seront dévoilées tout au long de l'exposition, vous pourrez retrouver, de notre espace librairie aux moindres recoins de la galerie, les éditions limitées de :
Romy Alizée - Rafael Alterio - Maxime Barbier - Cloé Bourguignon - Marie-Pierre Brunel - Jacco Bunt - Olga Capdevila - Marie Casaÿs - Laurent Cilluffo - Chacoco - Marion Chapuis - Nathalie Choux - Noémie Chust - Liam Cobb - Crayon Crayon - Daphné Clairhajat - Elisa Dhervillers - Louise Duneton - Stéphane Dupont - Philippe Dupuy - Jacques Floret - George(s) - Jochen Gerner - François Godin - Amit Greenberg - Marie Guillard - Lucas Harari - Thomas Hedger - Marie Baudet - Jean Jullien - Simon Landrein - Elodie Lascar - Marine Luszpinski - Jean-François Martin - Mape 813 - Javier Mayoral - Fanette Mellier - Sergio Membrillas - Alice Meteignier - Lucas Ngo - Johanna Olk - Natacha Paschal - Tom de Pekin - Delphine Phan - Loulou Picasso - Kristelle Rodeia - Etienne Robial - Oriane Safré-Proust - Raphaël Tachdjian - Rebecka Tollens - Stéphane Trapier - Bryce Wymer - Aline Zalko - Isaiah Zagar - Daniel Zender - Lisa Zordan
Vernissage de l'exposition "Acquisitions, donations : 10 ans d'enrichissement des collections"
Le Musée-Galerie Carnot de Villeneuve-sur-Yonne présente l'exposition "Acquisitions, donations : 10 ans d'enrichissement des collections du Musée-Galerie Carnot"
Vernissage vendredi 22 novembre à 18h
A voir Jusqu'au 29 février.
Du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h.
Time:
18:00-21:00
Description:
HUMAN REBOOT
Solo show d'Ismaël Joffroy Chandoutis
Lauréat du Prix Icart Artistik Rezo 2019
VERNISSAGE
Vendredi 22 novembre de 18h à 21h
en présence de l'artiste
EXPOSITION
Samedi 23 et dimanche 24 novembre de 11h à 19h (dernière entrée à 18h)
Entrée libre
PRÉSENTATION
Créé en 2008, le PRIX ICART ARTISTIK REZO encourage la découverte des talents émergents de la création contemporaine. Du 22 au 24 novembre, son partenaire ÉLÉPHANT PANAME accueille le solo show du lauréat du Prix Icart Artistik Rezo 2019 : Ismaël Joffroy Chandoutis.
REBOOTER NOTRE PENSÉE !
Pour sa première exposition personnelle, l'artiste visuel français présente deux courts métrages et un travail inédit. Entre geste documentaire et tentative de représenter l'invisible, les films d'Ismaël Joffroy Chandoutis explorent un cinéma sans frontières qui s'étend à l'art contemporain.
HUMAN REBOOT déploie une série d'installations vidéos, de photos et d'expériences sonores qui invitent à redessiner notre regard sur le monde. Un monde qui devient de plus en plus hybride, tout comme les formes développées par l'artiste.
ISMAËL JOFFROY CHANDOUTIS
Né en 1988 en France, il est diplômé de l'INSAS en montage, de l'école supérieure d'art Sint-Lukas en réalisation, ainsi que du Fresnoy. Ses films ont été sélectionnés et primés dans de nombreux festivals internationaux tels que le Prix Révélation Art Numérique de l'ADAGP, le Prix Studio Collector par le Frac d'Auvergne ou encore le Prix du Meilleur Documentaire au Festival de Chypre. Il vit à Paris et est actuellement en résidence au Centquatre-Paris.
ENCOURAGER L'ÉMERGENCE
Cette exposition monographique est l'une des récompenses attribuées au lauréat du Prix du Jury. Véritable tremplin pour des artistes émergents, le PRIX ICART ARTISTIK REZO constitue une formidable opportunité de rencontres entre des artistes, des étudiants, des personnalités reconnues dans le monde de l'art et du public.
Time:
18:00-21:30
Description:
du 23 novembre au 7 décembre
L'édition bibliophile noir et blanc du hors-série Blake et Mortimer Le Dernier Pharaon paraîtra le 22 novembre chez Dargaud et vient clôturer cette aventure entamée il y plus de quatre ans.
Pour prolonger et accompagner la parution de cet album, la Galerie 9ème Art, en partenariat avec les Éditions Blake et Mortimer, expose du 23 novembre au 7 décembre 2019 huit versions alternatives des planches de l'album.
VERNISSAGE LE VENDREDI 22 NOVEMBRE À 18H
ET MISE EN VENTE EN LIGNE EN MÊME TEMPS ICI : http://www.galerie9art.fr/index.php?expo=371
Il y a quarante ans, à l'occasion de la sortie du récit de science-fiction Aux médianes de Cymbiola, Claude Renard et François Schuiten rencontrent Edgar-Pierre Jacobs. Celui-ci leur révèle alors, en découvrant ce livre au crayon, qu'il est très inspiré par le mouvement expressionniste allemand et qu'il est attiré depuis toujours par cette technique. Malheureusement cette forme graphique n'était pas prisée par Hergé pour le journal Tintin. À l'occasion de cette exposition, François Schuiten reprend ainsi à son compte le désir de Jacobs, cet auteur qu'il admire depuis si longtemps.
Pour chaque tirage, agrandi et unique, le dessinateur a repris son travail à la plume et l'a repensé dans une technique mixte (fusain, encre, acrylique) pour se rapprocher de la photographie des films de Fritz Lang et Robert Wiene.
Afin de renouveler le regard sur la planche, François Schuiten a choisi un format monumental (110 x 90 cm) qui permet de véritablement mettre en lumière l'image et la dynamique de sa composition.
Une occasion unique d'entrer dans le détail des planches et dans l'atmosphère fantastique de cet album.
Time:
18:00-21:00
Description:
Galerie Bridaine
8, rue Bridaine
Exposition du 21 novembre au 3 décembre 2019
Vernissage vendredi 22 18h-21h
Goûter-vernissage dimanche 24 16h
Braderie d'œuvres sur papier dimanche 1er décembre
Tous les jours de 14h30 à 19h nocturne vendredi jusqu'à 21h
Contact 06 56 83 46 14 06 07 67 55 41
Artiste invitée Eszter Weissmann
Time:
18:00-21:00
Description:
22.11.2019 / 14.12.2019
Vernissage vendredi 22 novembre 2019 de 18h à 21h
La Galerie Paris Horizon a le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition de l'artiste photographe Lian Jinyong, Jour et Nuit, le vendredi 22 novembre 2019 de 18h à 21h.
L'exposition Jour et Nuit présente quatorze photos réalisées par Lian Jiinyong entre 2017 et 2019 à Shenzhen, la ville la plus moderne de Chine. Dans ses œuvres, Lian Jinyong nous offre à voir la zone périphérique de Shenzhen, théâtre du quotidien des gens qui évoluent en marge de la vie métropolitaine moderne.
Deux séries sont à découvrir : « jour » et « nuit ». Dans la première, soit les objets (dont des matériaux de construction entassés comme une colline) occupent seuls l'espace de l'image ; soit les habitants tiennent le rôle principal. Mais si objets et personnes ne cohabitent jamais dans un même espace-cadre, ils sont pourtant reliés par une même atmosphère de vertige créée par une surexposition à la lumière. Dans la série « nuit », le flou règne pour laisser distinguer des dos, des profils, ou encore des jambes ou des pieds. Constructions humaines, arbres, personnage seul ou en groupe, assis ou débout peuplent l'image ... Nous les observons de loin ou dans l'obscurité.
Lian Jinyong a grandi dans la région de Shenzhen, puis a intégré l'École de l'image des GOBELINS à Paris et a suivi un cursus cinéma à l'université Paris VIII. Elle vit actuellement entre Paris et Shenzhen.
Time:
18:00-21:00
Description:
UNE VISION CONTEMPORAINE D'ARTISTES ITALIENS ET FRANÇAIS
Kerozen
Peinture
Patricia de Boysson
Peinture
Olivier Rivière
Bronzes
Katy Coucke
Photo
Michelé Tombolini
Peinture
Caroll-Ann Willering
Photo
François Pohu-Lefèvre
Photo
Gysin
Coll'Art
Noël Roch
Peinture
Avec la participation de Rossella GILLI, qui exposera un stèle en verre de Murano, Patrick BRETAGNE avec une surprenante toile de Mona Lisa, et Sylvie QUANTIN qui présentera une petite mosaïque de Mona Lisa réalisée spécialement pour l'exposition, et de Sophie LORMEAU, et ses miniatures.
VERNISSAGE
VENDREDI 22 NOVEMBRE DE 18 À 21 HEURES
EXPOSITION
DU 18 AU 28 NOVEMBRE 2019
ouverture tous les jours de 11h à 19h
CLÔTURE
JEUDI 28 NOVEMBRE DE 14 À 21 HEURES
Kerozen
Olivier Rivière
Caroll-Ann Willering
Time:
18:00-21:00
Description:
Invitée par art-exprim et Jeune Création, Chevaline Corporation crée la suite de "Parc à huîtres" et installe ses bureaux au 87 rue Marcadet dans le 18e arrondissement à Paris. Avec "Silicone Carne", Chevaline Corporation poursuit son entreprise et vous propose de découvrir ses nouvelles procédures, son management pointu autogéré, son expertise délicate.
Objectifs croissance à la hausse et développement personnel !
Chaussure-saucisse, matière visqueuse et cravate restent au cœur des préoccupations de la firme. Autant de sujets qui seront abordés dans un cycle de performances au sein des ateliers fantasmés de Chevaline Corporation. À la frontière entre obscurantisme et technique de pointe, les quatre membres vous y présenteront leurs nouvelles méthodes de travail et de management.
Un programme de représentations est proposé, la scénographie reste visible aux horaires d'ouverture habituelles de l'espace d'exposition.
Exposition du 22 novembre au 14 décembre 2019
Entrée libre
Du mercredi au samedi de 14h à 19h
Performance : les vendredis 29.11 et 06.12 à 18h30 / les samedis 23.11, 30.11 et 07.12 à 17h
Vernissage le 22 novembre de 18h à 21h
Performance à 19h et à 20h ce jour-là
Un projet réalisé par Barthélémy Belleudy, Louis-Benoît Dauphin et Thomas De La Taille.
Vernissage vendredi 22 novembre 18h
Du 22 au 24 Novembre
Time:
18:00-21:00
Description:
Pour les Amis du Château de Versailles
Jusqu'au 15 mars 2020
Du 19 novembre au 15 mars 2020, au sein des salles d'Afrique et de Crimée, se tiendra l'exposition « Versailles Revival » ou comment entre 1867 et 1937, le Château déchaîne les passions autour du Versailles de l'Ancien régime, tandis qu'il fait l'objet d'un grand programme de restauration et de remeublement.
exposition
Cent ans après la Révolution française, à l'aube de la « Belle Époque », un phénomène spectaculaire d'engouement, de nostalgie, de curiosité et de passion se développe autour du Versailles de l'Ancien régime. À travers près de 350 œuvres - dont une grande part issue de collections privées et internationales -, documents et photographies, l'exposition « Versailles Revival » retrace ce moment surprenant de l'histoire de l'art où Versailles prend place parmi les grands motifs littéraires, picturaux et musicaux... Des artistes de toutes origines s'emparent du lieu qui inspire par ailleurs, des répliques à travers le monde.
Dans le même temps, la République réunit ses assemblées à Versailles et y reçoit les souverains étrangers. Les jardins accueillent fêtes aristocratiques et tourisme populaire. Les grandes eaux, qui n'ont jamais perdu de leur attrait au cours du XIXe siècle, deviennent une destination pour les foules. Tandis que s'engage un grand programme de restauration et de remeublement du Château qui franchit le million de visiteurs dès 1937.
Histoire d'un renouveau
Si les prémices de ce nouvel engouement se manifestent dès le Second Empire, à travers la vénération de l'impératrice Eugénie pour Marie-Antoinette, c'est à la fin du siècle que la fascination gagne les milieux artistiques et littéraires. Marcel Proust redécouvre ce « Versailles, grand nom rouillé et doux, royal cimetière de feuillages, de vastes eaux et de marbres ». Les peintres les plus divers s'en inspirent, du Russe Alexandre Benois à Georges Rouault en passant par Gaston la Touche, Lucien Lévy-Dhurmer et Henri Le Sidaner, mais aussi des photographes comme Eugène Atget, Edward Steichen et Man Ray. Le cinéma s'empare également du sujet dès ses débuts.
Le mobilier et les arts décoratifs déclinent les grands exemples royaux. De même, le Château sert de modèle à celui de Louis II de Bavière, ainsi qu'aux résidences de Boni de Castellane comme d'Alva Vanderbilt, et jusqu'au paquebot France de 1912 surnommé « le Versailles des mers ». D'incroyables fêtes font revivre Trianon. Sarah Bernhardt se produit au Château à l'occasion de la visite du tsar Nicolas II en 1896. Une société hors du temps se constitue autour du monument-symbole, avec ses figures mondaines, la comtesse Greffulhe et Robert de Montesquiou ; ses écrivains, Marcel Proust, Henri de Régnier ; ses musiciens, Reynaldo Hahn, Gabriel Fauré ; ses peintres : Paul Helleu ou Giovanni Boldini ; son paysagiste attitré, Achille Duchêne.
Cette vague d'enthousiasme accompagne le travail acharné auquel se livrent, à cette époque, les conservateurs du Château pour lui rendre sa splendeur perdue et le rapprocher de son état de l'Ancien Régime ; au détriment du musée historique inauguré en 1837 par Louis-Philippe. Avec pour grande figure de cette entreprise, Pierre de Nolhac, directeur du musée de 1892 à 1920.
L'exposition, présentée dans les salles d'Afrique et de Crimée, met en tension ces deux histoires parallèles. D'un côté, la chronique de cette « résurrection » du Château, pour reprendre le titre des mémoires de Pierre de Nolhac ; de l'autre, ce moment où Versailles retrouve, au tournant du XXe siècle, un éclat royal et aristocratique en même temps qu'une popularité nouvelle.
1889 - Jacques-Emile Blanche
Portrait de Jeanne-Julie Regnault (1851-1941), dite Julia Bartet, sociétaire de la comédie française
1893 - Alfred Roll
Fête du Centenaire des Etats Généraux au bassin de Neptune, le 5 mai 1889
1871 - Pierre Puvis de Chavannes
Fusiliers marins dans le parc de Versailles
1864 - Eugène Lami
Les grandes eaux à Versailles
1879 - Henri-Lucien Doucet
Robert, comte de Montesquiou-Fezensac (1855-1921)
1911 - Auguste Rodin [Fondeur Eugène Rudier]
Georges Clémenceau
Time:
18:00-20:00
Description:
22 - 23 - 24 novembre 2019
vendredi 22 novembre de 14 à 20 heures
samedi 23 novembre de 11 à 20 heures
dimanche 24 novembre de 11 à 19 heures
vernissage : vendredi 22 novembre 2019, 18h - 20h
Invité d'honneur Bernard Noël
www.salon-pages.paris
Time:
18:30-21:30
Description:
IDA MÉDICIS Galerie a le plaisir de vous convier à ses 1 AN !
Pour fêter cela, nous vous invitons à une "ART TOMBOLA" en collaboration avec l'artiste peintre Pierre-Luc POUJOL.
Participez si vous le souhaitez et vous repartirez peut-être avec une œuvre* de l'artiste.
Une opportunité exceptionnelle pour une soirée inoubliable !
On vous attend avec impatience.
Les tickets de tombola sont disponibles à la vente à la galerie.
*Une magnifique digigraphie, numérotée, série exclusive et limitée, signée par l'artiste.
Time:
18:30-22:00
Description:
L'index Women Equity 2019 révèle une nouvelle fois que les sociétés dirigées par des femmes ont des résultats supérieurs à celles dirigées par des hommes. La cérémonie de vendredi soir récompense les plus performantes d'entre elles.
La dixième édition du Palmarès Women Equity récompense vendredi soir les 50 entreprises les plus performantes avec une femme à leur tête. Tirées de l'index 2019, qui analyse près de 30.000 entreprises réalisant entre 4 et 150 millions d'euros de chiffres d'affaires, ces sociétés illustrent le constat implacable réalisé depuis 10 ans : les compagnies ayant une femme à leur direction ont des performances économiques supérieures à celles ayant un homme dirigeant. Alors qu'elles ne représentent que 15.2% du chiffre d'affaires de l'échantillon global, leurs bénéfices bruts d'exploitation cumulés pèsent 21.1% de l'ensemble.
"Quelle que soit la façon dont on analyse l'index, les entreprises dirigées par des femmes ont de meilleurs résultats", constate Dunya Bouhacene, la présidente de Women Equity Partners à l'origine de l'index. Comment l'expliquer? Pour l'initiatrice de cette étude annuelle, ces dirigeantes ont été soumises à des conditions d'accession à leur position extrêmement élevées : "Elles ont dû avancer dans l'adversité, déconstruire l'assignation qui leur était faite, et se démener pour arriver là où on ne les attendait pas", avance-t-elle. "Une dirigeante qui intègre notre palmarès cette année m'a écrit que grâce à nos données chiffrées et objectives, elle avait le sentiment de ne plus avoir besoin de se justifier", relate Dunya Bouhacene.
Les dirigeantes génèrent une meilleure rentabilité
Montrer que les femmes dirigeantes n'ont pas à rougir de leurs performances est l'un des enjeux de l'index Women Equity. En moyenne, leurs entreprises ont une rentabilité opérationnelle de 8% contre 5.7% pour celles pilotées par leurs homologues masculins. Ce taux passe à 16.1% pour les 50 entreprises présentes dans le dernier palmarès Women Equity, récompensées ce vendredi soir au cours d'une cérémonie.
Etabli notamment sur la base du chiffre d'affaires et de la rentabilité de l'année passée, ainsi que sur la croissance moyenne au cours des trois dernières années, le palmarès décerne deux trophées. Le premier concernant la performance économique salue cette année les résultats d'Entoria. Dirigée par Sylvie Langlois depuis 2014, cette enseigne de courtage réalise près de 150 millions d'euros de chiffre d'affaires avec une croissance moyenne de 40% par an sur les trois dernières années.
Le second trophée loue les démarches en matière de responsabilité sociétale des entreprises. Lors de cette édition, c'est la performance de Gazignaire dirigée par Cécile Mul qui a été félicitée. Cette filiale du groupe Mul, spécialisé dans la transformation et la valorisation des matières premières végétales, a particulièrement séduit le jury par ces engagement environnementaux et sociaux.
Mais, au-delà du jury, avec ces exemples magistraux, ce sont surtout les investisseurs que Dunya Bouhacene veut séduire et attirer de plus en plus vers les femmes dirigeantes.
Time:
18:30-21:00
Description:
Paris Polar est fier de vous annoncer le vainqueur de la sélection des lecteurs du prix Paris Polar 2019 : J.M. Erre pour Qui a tué l'homme-homard ? (éd. Buchet-Chastel). Une cérémonie de remise du prix aura lieu le vendredi 22 novembre, à 18h30 dans l'antichambre de la mairie du 13e, en présence de l'auteur.
Time:
18:30-21:00
Description:
Du 21 novembre au 22 décembre 2019
Vernissage en présence des artistes vendredi 22 novembre à partir de 18:30
Support des expressions les plus diverses, le mur se revendique libre. Il porte le grati devenu expression artistique et parfois contestataire, aussi bien que l'affiche publicitaire qui lui assigne un pouvoir persuasif et consumériste. Sur lui, s'inscrivent toutes sortes d'événements accidentels ou pas : témoin et texture de la ville, il en garde la mémoire, il raconte une histoire du temps. Il est dans tous les cas une surface en constante mutation, un work in progress incessant, un palimpseste sans fin.
Michel Daumergue et Jacques Jaudeau, chacun de leur côté, se sont intéressés à ces murs et s'y sont attardés pour en livrer un travail commun.
Time:
18:30-21:30
Description:
Pour terminer l'année de son anniversaire en beauté, la Saif organise une grande exposition collective de ses auteurs à l'Espace Niemeyer à Paris du 22 au 29 novembre 2019.
À l'occasion de son 20e anniversaire, soucieuse de s'adresser à toute la diversité des arts visuels, la Saif a lancé un appel à tous ses sociétaires pour participer à une exposition collective.
Plus de 900 artistes - architectes, designers, dessinateurs, illustrateurs, graphistes, peintres, photographes, plasticiens, sculpteurs, scénographes - ont répondu !
Les auteurs ont contribué à créer une œuvre commune emblématique, mosaïque de plus de 900 images, qui témoignent de la vitalité de la création artistique en France.
Vernissage : Vendredi 22 novembre de 18h30 à 21h30
Les espaces d'exposition seront ouverts au public de 11h à 18h.
Time:
18:30-21:00
Description:
Musée intercommunal
Une exposition rassemblant les œuvres réalisées à la fin de sa vie à Etampes entre 1875 et 1888
Exposition du 22 novembre 2019 au 23 février 2020
Vernissage le vendredi 22 novembre à partir de 18h30
"En 2019, le musée intercommunal d'étampes rend hommage à l'un des artistes phares de ses collections autour du cycle d'expositions intitulée « Narcisse Berchère (1819-1891), de l'Orient au Pays d'étampes» et célèbre ainsi le bicentenaire de la naissance du peintre.
Après l'orientalisme, le deuxième volet « Narcisse Berchère - l'aquarelliste » rassemble les vues que Berchère a réalisées à la fin de sa vie à étampes entre 1875 et 1888. En 1889, il donnait au musée un ensemble composé de 3 albums de 125 planches intitulé « Etampes et ses Environs ».
L'exposition met l'accent sur cette technique de peinture qui s'assimile plutôt aux arts graphiques et au dessin. Berchère était un fin aquarelliste, qu'il s'agisse de vues orientalistes ou, comme c'est le cas pour notre sujet, de la représentation du paysage local, étampes et ses environs. l'aquarelle permet à Berchère la représentation d'un paysage qui instaure une relation intime entre le peintre et sa ville natale, mais également avec le spectateur. Berchère dépeint sa propre vie, son enfance, sa vieillesse passée à Etampes, multipliant les points de vue, les panoramas, les éléments de l'architecture et du paysage qui caractérisent cette ville, ses églises, ses rivières, ses rues pavées, les hôtels particuliers de la renaissance, les lavoirs, les moulins, les ponts, du faubourg Evezard à celui de Saint-martin.
Il peint aussi la vallée, la plaine environnante. Il s'attarde sur le site du vauvert à Ormoy-la-Rivière, ses sous bois, ses corps de ferme avec les charrettes en route ou sur le bord du chemin. On peut citer Brunehaut à Morigny-Champigny, l'étang de Moulineux, les carrières de Saint-martin. là aussi, c'est toute la vie rurale qu'il contemple en toute simplicité. Berchère sillonne le pays de son enfance, le chante avec nostalgie.
Il retranscrit le pittoresque à travers une multitude de petits détails - une porte, une meule de foin, un chat, un pot à lait, un paysan assis sur le bord du chemin - qui en disent long sur l'affection, la sensibilité qu'il porte à la ville qui l'a fait grandir, là où habitent sa famille et ses amis. Sans oublier d'immortaliser la nature qui l'entoure, comme pour fixer un moment, pour s'en souvenir."
Thomas CROSNIER, Chargé des collections du Musée intercommunal.
Time:
18:30-21:00
Description:
Jusqu'au 1 décembre
VERNISSAGE LE VENDREDI 22 à partir de 18h30
17 photographes exposent sur le thème : photographier aujourd'hui
Christine Noël
Daniel Nassoy
Elisabeth Laplante
Nicolas Hamel
Emmanuèle Lagrange
Nicole Salvat De Roche
Patrick Blanchard - L'Imagier
Sigrine Genest
Sophie Déprez
V. Wurmlit Baudot
Xecon Uddin
Nathalie Hamel Blanchard
Riyoung Han
Louis Tranchinsu Ulrike Klett
Michel Crine
Nacho Gómez Sales
Time:
18:30-21:00
Description:
Fabrique artistique et numérique
Mail JP Timbaud
Le mythique salon de l'Expression Artistique Rosnéenne exposera cette année deux invitées d'honneur féminines : Claire BARJOLLE (peintre) et Françoise ABRAHAM (sculpteur).
Du 22 novembre au 1 décembre 2019
Vernissage le vendredi 22 novembre à 18h30
Time:
18:45-21:00
Description:
La Fondation Antoine de Saint Exupéry pour la Jeunesse a le plaisir de vous convier à
la Cérémonie de remise des Prix aux lauréats de l'édition 2019
du Concours d'écriture Jeunesse & Francophonie Saint Exupéry :
« Journal de bord de l'océan »
Présidée par Charlotte Casiraghi
avec à ses côtés l'éco-explorateur Raphaël Domjan
Le vendredi 22 novembre 2019 à 18h45
Après un premier concours lancé depuis l'espace par l'astronaute de l'ESA Thomas Pesquet (2017), puis une 2ème édition autour du Centenaire de l'Aéropostale (2018), la Fondation Antoine de Saint Exupéry a lancé un nouveau concours d'écriture Jeunesse & Francophonie sur le thème de la protection des mers et des océans avec deux ambassadeurs de renom : les navigateurs François Gabart et Thomas Coville.
Charlotte Casiraghi et Raphaël Domjan dévoileront les 10 lauréats et leurs 4 textes « Coup de Coeur » qu'ils liront sur scène.
Time:
19:00-21:00
Description:
lancement de Fétichisme et curiosité, en présence de l'auteure Laura Mulvey et de l'éditrice Rosanna Puyol
Fétichisme et curiosité est la première traduction en français d'une anthologie de textes de Laura Mulvey, originellement parue en 1996. Préface par Clara Schulmann.
Fétichisme et curiosité est aussi la première publication des éditions Brook !
Time:
19:00-22:00
Description:
Party 80's by Chanel
Time:
19:00-21:00
Description:
A l'initiative du Ministère de la Culture (direction régionale des affaires culturelles d'Ile-de-France) en lien avec le réseau TRAM, une réflexion a été engagée sur le parcours de l'artiste en Ile-de-France, sur l'ensemble des aspects artistiques, économiques, sociaux, etc ...
Un document a été produit et sera diffusé à l'issu de la soirée de restitution qui aura lieu le vendredi 22 novembre de 19 à 22 heures au Palais de Tokyo.
Time:
19:00-21:00
Description:
Oksana Yambykh est une artiste peintre française d'origine ukrainienne, née en 1966 à Poltava, Ukraine. Après ses études artistiques en Ukraine, Oksana rejoint la France dès l'âge de 26 ans. Elle adhère d'abord à Art'partage, puis à Figuration Critique, en 2005. Elle intègre le groupe Narro en 2007, donne une impulsion internationale à sa carrière et expose régulièrement à Paris, au Grand-Palais, en Europe. Ses œuvres se retrouvent dans de nombreuses collections privées en France, Ukraine, Etats-Unis, Allemagne, Australie, Grande-Bretagne, Hollande, Danemark, Suède, Autriche, Luxembourg, Belgique, Espagne, Italie... et dans la collection de la famille royale de Bourbon Parme des Deux Siciles.
Le groupe franco-ukrainien "Sc" accompagnera le vernissage par la musique ukrainienne contemporaine, de standards internationaux de jazz et de leurs propres compositions.
Time:
19:00-22:00
Description:
Time:
19:00-22:00
Description:
Une nouvelle exposition de dessins de SWEN et de collages des années 1990 à 2000...
Time:
19:00-23:55
Description:
Exposition le 22/11 & 23/11
Ven 22 nov : 19h - 04h
Sam 23 nov : 14h - 04h
Ce projet c'est la rencontre entre Thomas (Zombietears_) et Tanguy (Yugnat999) il y a un an. Thomas vient du monde de l'illustration et met à profit ses compétences de dessin dans son side project de tatouage.
Tanguy passe une grande partie de son temps libre à publier des memes en franglais sur son compte Instagram.
Au cours de cette année, chacun de leur côté, ils ont cherché à faire progresser leurs compétences respectives et trouver de nouveaux axes de travail. La collaboration entre ces deux jeunes s'est progressivement mise en place quand Tanguy a voulu faire sortir de leur cadre numérique ses memes. La contrainte de copyright et de propriété des images s'est tout de suite imposée. Thomas a donc proposé un moyen détourné : reproduire avec sa patte ces photos surmontées d'une légende.
Dans un style acide et pop Thomas se propose de revisiter certains des memes les plus emblématique de Tanguy selon plusieurs thématiques telles que l'amour, l'angoisse, la tristesse ou encore la vie quotidienne.
La non utilisation de cadre est une manière de rendre hommage à la viralité de ces images, comme si l'absence de limites physiques à la toile était un moyen pour ces illustrations de s'étendre dans l'espace qui les entoures.
Par cette expo nous tentons de rendre l'art numérique réel, d'offrir ses lettres de noblesse au meme et de présenter notre vision du passage à l'IRL (In Real Life), de sortir le meme de sa matrice.
FLASH TATTOO
Sam 23 nov : 14h - 18h
sur rendez vous : https://www.instagram.com/zombietears_
Exposition collective avec les oeuvres de :
Falaï Balde - José Castillo - Patrick de Bruyn - Éric Defoër - Maria Ducasse - Nadou Fredj - Christelle Guénot - Kevin-Ademola Sangosanya
VERNISSAGE
Vendredi 22 novembre - à partir de 19H
Mémoire de l'avenir présente A kind of Magic, une exposition en deux volets qui se déroulera du 23 novembre 2019 au 15 février 2020.
Le premier volet: A kind of Magic vol.1 : les nouveaux panthéismes du 23 novembre au 21 décembre 2019 présente le travail de 8 artistes qui questionnent les croyances culturelles, rituelles, personnelles ou universelles, d'ici ou d'ailleurs, d'hier ou d'aujourd'hui.
Dans toute leur singularité les oeuvres réunies donnent à voir un syncrétisme des nouvelles sensibilités ou critiques qui émergent et en devenir.
Et si, aujourd'hui, alors que nous vivons de multiples crises, et notamment une crise spirituelle aux horizons métaphysiques flous, l'art était encore porteur de cette possibilité d'être un lieu de rencontre sensible et intuitif entre le surnaturel et le naturel, entre l'extraordinaire et le quotidien, entre l'intangible et le tangible ?
L'Art, à ses origines, possédait des fonctions magiques ou sacrées : il permettait de relier l'être humain à d'autres réalités - monde des esprits, monde des ancêtres ou encore forces de la nature. C'était un moyen d'agir sur ce qui était de l'ordre de l'incontrôlable, d'influencer le cours des choses ou de s'assurer les bonnes grâces des divinités. L'art était un médiateur, un moyen de communication entre deux réalités, deux mondes.
Autrement dit, l'art - création artificielle d'une image - était un acte de transgression initié par un être humain bravant les interdits et les limites de sa condition pour comprendre l'univers; il apparait d'ailleurs avec les grandes questions de l'existence, les premières sépultures, et donc, avec la naissance de la conscience.
Ces objets permettaient de matérialiser ce qui est de l'ordre de l'intangible, de l'invisible. Les objets - sacrés - habités, investis d'une charge spirituelle étaient utilisés dans le cadre de rituels, accompagnés de musique et de danse dans l'objectif de transformer, de métamorphoser la réalité, ou de conjurer un sort. Jadis, aussi, on pratiquait les arts divinatoires, tandis que l'alchimie était considérée comme l'art suprême de la transmutation.
Tout au long de l'histoire de l'humanité, des artistes n'ont cessé de perpétuer cette tradition d'un art messager, d'un art symbolique, renouant avec la fonction du chamane. Ainsi, le surréalisme entrait en contact, via des procédés artistiques, avec la puissance de l'inconscient et le monde des esprits. Le dripping de Pollock était inspiré des rituels des Indiens Navajo. Basquiat, de même que nombre d'artistes contemporains haïtiens, se nourrissait du Vaudou. L'art brut, l'art naïf et l'art populaire ont parfois été les porte-paroles d'une étrange réalité invisible. Certains artistes ont réalisé des œuvres protectrices, guérisseuses, comme Louise Bourgeois ou Annette Messager, tandis que les poupées de Michel Nedjar ressemblent à des poupées vaudou. Les performances artistiques elles-mêmes auraient pour origine les rituels ou rites de passage.
Time:
19:00-21:00
Description:
Grande galerie - Espace culturel Condorcet - 21, rue Maurice Sabatier
Du samedi 23 novembre au samedi 21 décembre 2019
mardi et vendredi 16h - 18h | mercredi et samedi 10h - 12h30 et 14h - 18h
Vernissage de l'exposition vendredi 22 novembre à 19h
Artiste associé : Matthieu Venot
Beaux-arts 2019, exposition bisannuelle à Viry-Chatillon, donne à nouveau la parole aux artistes plasticiens qui travaillent autour d'une thématique donnée. Cette année, Beaux-arts aborde la géométrie : les lignes, les formes, les angles....
L'artiste associé Matthieu Venot est un photographe contemporain créatif et optimiste.
L'œil est immédiatement attiré par les couleurs pastel et le travail sur les lignes. Ce photographe contemporain se sert du ciel immaculé comme d'un fond de studio. C'est pour lui un moyen de ne pas perturber la composition de ses images : simples et graphiques. Les lignes se croisent et se superposent, les formes se détachent de ce fond bleu jusqu'à nous faire oublier ce que l'on regarde : un toit, un mur, une rambarde, un balcon.
Artistes invités :
Xavier Blondeau, Jean-Paul Boyer, Bertrand Creac'h, Lionel Desneux, Daniel Duhamel, Frédérique Gaumet, Jean-Paul Hebrard, Claude Lazar, Clémence Lerondeau, Aude Mouillot, Monique Pavlin, Jean-Marc richard et Bernard Russo
Time:
19:00-21:00
Description:
Est-il encore besoin de présenter, de justifier, de célébrer une exposition de bols ? Peut-être l'est-il davantage pour leur soeur imprévue, la boule !
Par delà sa vocation fonctionnelle immémoriale, par la simplicité de sa forme (nonobstant bien des variantes possibles) autant que par les aspects réduits de son décor, le bol est porteur d'une universalité et d'une intemporalité qui nous touchent peut-être plus immédiatement, et sans doute plus généralement, qu'aucune autre forme de la céramique. Il suffit de constater, de nos jours, la vogue des chawans japonais !
C'est que, sans doute, face à l'incroyable essor assez désordonné de la céramique contemporaine, le bol apparait au véritable artiste, et à son public le plus fidèle, comme un refuge, un lieu de ressourcement et de méditation voire un rappel à l'ordre !
Il reste au fond l'objet culte de son art, celui qui a essuyé ses premières gammes, qui recèle la plénitude de la soif apaisée, qui appelle les joies simples de la main qui le tient et de la vue qui le contemple, qui continue d'être chaque jour son confident et parfois même son lieu d'expérimentation, mais qu'on ne peut détourner de sa vocation initiale sans lui faire perdre son âme ! Il protège ainsi le céramiste de céder trop fortement à la tentation des excentricités formelles et des caprices de la mode.
Il le rappelle à sa vraie nature, à l'essence la plus sûre de son art ! De sorte que dans son espace étroit, il révèle bien souvent les traits les plus emblématiques de son auteur. C'est là une grande part de son attrait ! Parfois au seuil d'un style, il en est souvent la somme ! Un bol de Champy, de Fouilhoux, de Girel, et c'est tout Champy, Fouilhoux et Girel ! Et de même pour tant d'autres .....
Par ailleurs l'exiguïté du bol et sa simplicité foncière ne sauraient entraver l'extrême diversité des talents ! Tout au contraire, elle les force à la concentration ! Ce qui fait qu'une exposition de bols d'auteurs divers est toujours un florilège assez exaltant de formes et de décors ! On le vérifiera ici sans peine !
Et là dessus la boule !
La boule face au bol !
En un sens, elle n'est que la refermeture du bol sur lui même... mais elle est en même temps la forme même de la terre et des astres, la forme géométrique et cosmique la plus pure, la plus parfaite ! Non plus, pour le potier, un objet vital comme le bol, réceptacle de notre nourriture, mais un instrument purement intellectuel, un objet de contemplation, ou de rêve idéal un peu comme les disques bi de l'ancienne Chine !
Alors qu'en feront nos artistes invités ? Un hymne à la pure matière, à l'épure de l'idée.... ou aux miroitements du rêve ?
Jean François Juilliard
Vernissage vendredi 22 novembre 2019 à partir de 19h en présence des artistes.
Pour participer au traditionnel dîner de vernissage, merci de réserver par mail : lelavoirceramique@gmail.com (participation 12€ par personne)
Exposition du 22 novembre au 8 décembre 2019
Ouverture : les mardis, mercredis et jeudis de 19h à 20h30 et les samedis et dimanches de 15h à 19h.
Time:
19:00-21:00
Description:
Alice Chevalier, Paul, Fabienne Colombani et Arnaud Simonin
Exposition du 19 - 24 novembre 2019
Description:
Philippe Wahl, Président directeur général du Groupe La Poste a inauguré à Paris, boulevard de Vaugirard, un Musée de La Poste rénové de fond en comble, métamorphosé. À l'occasion de cette renaissance, des journées portes ouvertes sont organisées ce week-end des 23 & 24 novembre.
Les métiers de La Poste d'aujourd'hui et de demain vous intéressent ? Venez découvrir leur histoire !
Le Musée conserve des collections d'une ampleur insoupçonnée :
800 000 pièces philatéliques
plus de 225 000 images
37 000 pièces relatives à l'histoire de la Poste
plus de 6 000 œuvres d'art moderne et contemporain
une frise retraçant les 5 300 timbres émis depuis 1849
près de 200 mètres linéaires d'archives...
Le Musée de La Poste se réinvente et rouvrira le 23 novembre prochain à Paris.
Au pied de la Tour Montparnasse, et après plusieurs années de rénovation, le Musée de La Poste révélera ses collections début novembre dans ses nouveaux espaces.
Réaffirmant ainsi son ambition culturelle et patrimoniale dans le paysage muséal français, le Musée de La Poste a fait l'objet - depuis avril 2015 - d'une réhabilitation complète de son bâtiment par l'atelier Jung Architectures. Le Musée de La Poste dévoilera un nouveau concept muséographique et architectural avec une scénographie totalement repensée et une nouvelle distribution de ses espaces : galerie d'accueil et son « Totem » traversant les 3 plateaux d'expositions permanentes, espaces dédiés aux ateliers, galerie d'exposition temporaire, boutique, auditorium et espaces privatisables.
À la fois musée d'entreprise, musée de société, musée de quartier, le Musée de La Poste labellisé "Musée de France" est chargé de présenter, conserver et diffuser le patrimoine postal.
Accessible à tous dans des conditions optimales de visite, le Musée de La Poste rénové mettra en lumière ses collections pour un voyage au coeur de l'histoire de la Poste, de l'art postal et de la philatélie d'hier à demain.
Cette nouvelle destination culturelle au cœur de la capitale racontera l'histoire d'une entreprise intimement liée à celle de la France.
Description:
Hippodrome - 1, Avenue de la Pelouse
du Vendredi 22 Novembre 2019 au Lundi 25 Novembre 2019
Vendredi 22 Novembre 2019 de 11:00 à 22:00
Samedi 23 Novembre 2019 de 10:00 à 21:00
Dimanche 24 Novembre 2019 de 10:00 à 20:00
Lundi 25 Novembre 2019 de 10:00 à 18:00
La 19ème édition du Salon Gastronomique Mer et Vigne ouvre ses portes à l'hippodrome de Maisons-Laffitte du 22 au 25 novembre!
140 exposants sont présents durant ces quatre jours et ont hâte de vous faire découvrir leurs merveilles culinaires :)
Les Nouveautés à ne pas rater! : Offrez-vous une pasteis de nata au stand des Portugais Queijaria Nacional en sirotant un bon Porto, puis tournez-vous vers l'Italie en découvrant le Pecorino affiné dans une grotte du Piémont et bien évidemment le Parmesan de là-bas avec Artegustum. Puis sur l'Ile d'Oléron vous dégusterez de véritables rillettes et pâtés artisanaux avec Villa Marthe. Pierre Matayron nous fera l'honneur d'être présent sur ce salon avec ses jambons de porcs noirs Gascons qui vivent en plein air. Le Maroc s'invite cette année avec deux gammes prestigieuses d'huile d'olive de Tihli & Co. Les Pastilles de Savoie vous feront découvrir ses tisanes à sucer à emporter partout ;) Pour l'apéritif rendez-vous avec Aperoom Créateur d'apéritifs à base de Crémant d'Alsace et pourquoi pas un Puligny Montrachet de chez La Maison Jomain? Vers Bordeaux nous aurons Le château La Grande Clotte avec son Lussac Saint Emilion. Dans la Vallée du Rhône Le Domaine de La Palud vous fera le plaisir d'être présent avec ses Châteauneuf-du-Pape blancs et rouges. Au Sud-Ouest, Le Château la Renaudie vous présentera son Pécharmant et le Château Maye de Bouye ses Bergerac et Montbazillac.
Espace culturel Maurice-Utrillo
Place Jean Jaurès
T5 Alcide d'Orbigny
T. 01 72 09 35 73
Du 25 novembre au 20 décembre 2019
Ouverture du lundi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h (fermeture à 17h le samedi)
Vernissage le samedi 23 novembre à 11h
Cette année le Salon des Arts Plastiques sera consacré aux peintres de Rüdersdorf (ville jumelée avec Pierrefitte) et aux peintres Pierrefittois ayant exposé en Allemagne dans ce même cadre.
Avec Jean-Francois Clervoy, Barbara Carlotti, Monsieur K, Luc Labenne, Florence Thomassin, Thomas Suire, Antonin Tri Hoang, Jérôme Marin, Victoria Lukas, Vatican Soundsystem (& more...).
Soirée orchestrée par la cellule Cosmiel : Lucien Raphmaj, Akira Rabelais, Nadège Piton et SMITH.
DESIDERATION : PROLOGUE
SMITH (CELLULE COSMIEL x DIPLOMATES x AKIRA RABELAIS)
26.10.19 - 23.11.19
La galerie Les filles du calvaire est heureuse de vous inviter au vernissage de l'exposition "Désidération" de SMITH (cellule Cosmiel x DIPLOMATES x Akira Rabelais) qui se tiendra à la galerie le samedi 26 octobre de 15h à 22h.
Photographe, cinéaste, plasticien, SMITH explore la pensée et la pratique de la transition, de la mutation, de l'hybridation, de l'entre-deux dans son travail plastique et théorique. Transition de genre et d'état, plasticité, métamorphoses atomiques et biotechnologiques, travail du rêve, fréquentations de l'au-delà, promenades cosmiques et transmutations jalonnent son travail et ses recherches depuis presque dix ans.
Son nouveau projet « Désidération », imaginé avec la cellule Cosmiel, le studio DIPLOMATES et le compositeur Akira Rabelais, compose la possibilité d'une autre histoire, d'un autre destin de l'espèce humaine, à l'intersection du réel, de la fiction, de l'art, de la philosophie et de la science. Le prologue de ce projet au long cours sera présenté à la galerie les Filles du Calvaire à l'automne 2019.
Quatre soirées, intitulées « mues », ponctueront l'exposition :
Samedi 26 octobre - 20h - Vernissage et introduction aux phénomènes de la désidération
Jeudi 14 novembre - 19h30 - autour de l'endocosmologie
Vendredi 15 novembre - 19h30 - soirée spéciale avec Paul B. Preciado
Samedi 23 novembre - 20h - clôture de l'exposition et implantation cosmique
https://desideration.space/home
SMITH, Désidération (2001-2019)
Courtesy galerie Les filles du calvaire
SMITH, Désidération (2001-2019)
Courtesy galerie Les filles du calvaire
Time:
15:00-18:00
Description:
PROLONGATION ET FINISSAGE SAMEDI 23 NOVEMBRE
SIGNATURE DU CATALOGUE PAR L'ARTISTE 15H-18H
VERNISSAGE JEUDI 10 OCTOBRE 2019 DE 16H à 21H
EXPOSITION DU 10 OCTOBRE AU 23 NOVEMBRE
Io Burgard, « Les objets désirants »
Il arrive bien des fois qu'un éclair d'animisme nous traverse l'espace d'un instant, et qu'en posant sur un objet son regard, vienne à l'esprit l'idée que sa présence nous est aimable. On dit d'une chose qu'elle est transitive lorsqu'elle est porteuse d'une action dirigée d'un sujet vers un objet. On éprouvera précisément le rapport inverse au contact d'une œuvre d'Io Burgard : voici soudain que la chose vous émeut, vous agit et se fait aimer. Comment s'y prend la chose ?
Accueillies par le dessin, la sculpture ou encore le bas-relief, les choses d'Io Burgard semblent dotées d'un principe de vie interne qui préside à leur forme. Leurs creux, leurs arrondis et leurs surfaces polies ménagent les endroits d'une rencontre à venir. Une Fenêtre de train est agrémentée d'une encoche où recueillir un bras, tandis qu'une corniche invite à y déposer son menton. Objet d'accueil, ainsi que l'artiste aime à la nommer, cette fenêtre sculptée se voit façonnée aux besoins de confort souvent déçus de la contemplation voyageuse. Nous nous consolons par les objets : les voici, berceurs, nous réconfortant en leur sein.
Partout, c'est la forme qui vous épouse. La Chaise musicale enjoint le corps à devenir interprète. Embout et bouche s'y embouchent, faisant du meuble l'instrument d'une jonction entre êtres animés et inanimés. Sa courbe vers le visage dirigée organise la tentation d'une étreinte insufflée. Observatrice de leur état sauvage, Io Burgard s'est plue à montrer la face désirante, et non seulement désirable, des objets. Bassin, fenêtre et fontaine attirent à elles langues et petites mains. Nous croyons manier ces choses de peu, de rien qui peuplent l'ordinaire et le quotidien : les voici, captivantes, révélant leurs fonctions agissantes sur tout un chacun.
Le principe physique de la dualité onde-corpuscule offre par analogie un dénominateur commun à ces œuvres. Celui-ci atteste, contrairement aux conceptions physiques classiques, du partage de propriétés corpusculaires et ondulatoires des objets quantiques. Qu'elles se déploient dans le plan ou le volume, les œuvres d'Io Burgard connaissent toutes des poussées sous leur paroi, dans leur silhouette, excédant ainsi leurs attentes formelles. Le Petit compagnon canin en est le discret insigne. Cet emblème de plâtre est aussi domestique qu'il est symbolique : être passeur, il est celui qui rend possible la coexistence d'une autonomie chez les animaux et les choses, et sublime leur capacité à se faire aimer.
Les choses de Io Burgard contiennent une équivoque, qui est d'amener le fantasme (le dessin) dans la tridimensionnalité (la sculpture). L'artiste recueille les mouvements qui traversent le monde et ses êtres animés et inanimés. Elle poursuit le décentrement de regard que l'Homme vu par une fleur de Jean Arp initiait : dans chaque transgression à leur média, les œuvres d'Io Burgard documentent les sursauts du désir qui joignent le monde et ses choses, et qui traversent les parois entre le sensible et l'invisible, le tangible et le palpable.
Camille Richert
Doctorante auprès de Laurence Bertrand Dorléac
Chargée d'enseignement au collège universitaire de Sciences Po.
Responsable / Tutrice pédagogique de la 9ème édition du Prix Sciences Po pour l'art contemporain.
Velleité 1, 2019 - Gesso, métal, plâtre, filasse, gouache et fusain sur toile de jute
51 x 37 cm
Time:
15:00-20:30
Description:
vernissages le jeudi 21 novembre de 17h à 21h et le samedi 23 novembre de 15h à 20h30
Exposition jusqu'au 9 janvier 2020
Harald Fernagu, Masque divinatoire, technique mixte, 30 x 12 x 10 cm, 2019
Time:
17:00-19:00
Description:
Dans le cadre de la 8ème édition du parcours PhotoSaintGermain 2019
http://www.photosaintgermain.com
FORMA
Thérèse Verrat & Vincent Toussaint
EXPOSITION // 6 au 23 novembre 2019
VERNISSAGE // mardi 5 novembre 16h à 21h
Photo Saint-Germain
Avec Forma, Thérèse Verrat et Vincent Toussaint entrent en conversation. L'ensemble des photographies réunies sous ce titre formule le résultat d'une expérience inaugurale, où toutes les préoccupations de l'un et de l'autre, de l'un avec l'autre, prennent corps, s'animent. Agrandissements, détails, effets chromatiques... Partout, il s'agit d'interroger le réel, comme de sonder la notion d'image-document.
La tête cramée d'une allumette. Une mèche insurgée. Des herbes folles. Une paupière close qu'une intrigue a crispée. Un incendie. Il y a dans les images de Thérèse Verrat et Vincent Toussaint la nature toute entière. Jolie dure. Pour comprendre ce qui les lie, il faut dresser l'inventaire des formes curieusement familières peuplant leur répertoire sans âge, du moins plus antique que d'aujourd'hui. Angle rond, tâche, fente, colonne, horizon. Un air de dorica castra, cette suite qui n'a de logique que la répétition d'un même son, de la fin d'une unité au commencement d'une autre. Peu de bruit dans ces photographies. Tout se passe comme s'ils tournaient le dos au sensationnel, persuadés que oui, l'ordinaire fait image.
Virginie Huet
https://verrat-toussaint.com
Time:
17:00-20:00
Description:
une proposition de Lucas Djaou
Eugénie Bachelot-Prévert
Mark Brusse
Ghasem Hajizadeh
Aki Kuroda
MARYAN
Chantalpetit
Raphaëlle Ricol
Antonio Seguí
Vernissage samedi 23 novembre 2019 de 17h à 20h
Exposition du 23 novembre au 21 décembre 2019
Time:
18:00-20:00
Description:
23 Novembre 2019 - 18 Janvier 2020
Galerie Thaddaeus Ropac présente une exposition de nouvelles peintures et d'œuvres sur papier d'Imi Knoebel où l'artiste poursuit son exploration des principes fondamentaux de la peinture et de la sculpture. Revisitant l'héritage de l'art minimal, de la peinture Colour Field et de l'art concret, cette nouvelle série se caractérise par la prédominance de formes élémentaires et par une approche plus expressive de la couleur telle qu'elle apparaît dans les surfaces à la texture dense.
Une dizaine de nouvelles grandes peintures de la série Figura seront exposées aux côtés de nouvelles oeuvres de la série BIG GIRL et d'un ensemble important de dessins de grand format, qui témoignent des expérimentations de Knoebel dans le domaine de la forme et de la couleur. L'exposition met en lumière le processus créatif de l'artiste, dont le travail exprime un équilibre subtil entre improvisation et contrôle. Dr. Max Wechsler, historien suisse l'art et commentateur attentif de l'œuvre d'Imi Knoebel, partage son point de vue sur cette exposition :
Dès l'instant où l'artiste rend son oeuvre publique, l'éternel questionnement quant à sa pratique ne le quitte plus. Il cherche - ce que l'on peut comprendre - à l'éviter, de manière peut-être encore plus catégorique lorsqu'il s'agit d'un artiste que l'on sait fort peu loquace, comme c'est le cas pour Imi Knoebel car que devrait-il donc répondre étant donné que sa pratique se trouve clairement déployée, incarnée dans l'oeuvre, sous les yeux du public. Sa pratique en effet n'est rien d'autre que le travail effectué sur l'oeuvre qu'il offre à la perception et à l'examen du public. En cela il ne se dérobe nullement à la question 'was machen Sie denn' (Que faites-vous donc). Car au cours du travail il s'y confronte à travers une auto-réflexion permanente. Il est aux prises avec la logique inhérente soulevée par des questions propres à la peinture, avec ses contradictions, ses doutes et ses joies et il prend des décisions. Ainsi c'est dans la réalité poétique de l'oeuvre que se manifeste la réponse.
Les œuvres présentées dans la présente exposition proviennent toutes de la phase la plus récente du travail de l'artiste. Dans l'ensemble de 36 dessins (Figure Z.1 - Figure Z.36), il délimite le champ de la peinture qu'il thématise dans les différents groupes d'oeuvres. Sur ces feuilles de papier rectangulaires Knoebel expérimente librement de possibles points de départ pour les peintures qui constitueront les séries BIG GIRL et Figurae. Les BIG GIRLS, plus lourdes et plus compactes, peuvent être interprétées comme une sorte de stade préparatoire aux Figurae, à la composition plus complexe. Dans les dessins il improvise avec la délicatesse des coloris tout en menant une recherche sur la forme, de telle sorte qu'une relation dynamique s'instaure entre le centre et les bords de la peinture qui est ici en gestation, chaque élément étant paraphrasé par un autre qui lui est semblable. Une vibration qui se propage à travers les différentes couches de couleur glaçurée de même qu'entre la surface et le fond.
Issues d'un dessin tracé à main levée suivant une intuition personnelle, les formes ou contours des peintures sur aluminium cherchent néanmoins à exprimer une figure claire. Le fond impose à la peinture des limites bien établies, auxquelles Imi Knoebel, dans sa manière de manier le pinceau, peut plus ou moins souscrire, mais contre lesquelles il peut aussi se rebeller en y intégrant des zones plus denses qui s'en détachent comme par exemple dans Figura Ny, qui pour ainsi dire s'affranchissent du reste de la composition, comme une figure intérieure. Bien sûr c'est aussi d'un point de vue conceptuel que la peinture sur aluminium est constituée de plusieurs couches, ouvrant ainsi des vues extrêmement diverses sur des images aux strates elles-mêmes changeantes. D'autant plus que le principe de superposition des couches combinée à l'expressivité du geste pictural, apporte de l'intensité dans la grande variété des coloris qui ont eux-mêmes leur propre magie.
Dr. Max Wechsler
A propos de l'artiste
Imi Knoebel est né à Dessau en Allemagne en 1940. À partir de 1962-64, il étudie les arts appliqués à la Darmstadt School of Arts and Crafts. Les recherches de Knoebel poursuivent les théories de Johannes Itten et de Lászlo Moholy-Nagy qui furent enseignées au Bauhaus à Weimar et Dessau. Entre 1964 et 1971, il étudie à la Staatliche Kunstakademie à Düsseldorf, dans l'atelier de Joseph Beuys. Après avoir pratiqué le dessin au trait, les projections lumineuses puis les peintures blanches (1972-75), il utilise pour la première fois la couleur en 1974. En 1975, il commence ses séries de peintures rectangulaires en couches superposées de peinture Mennige (peinture industrielle anti-rouille). C'est par la suite qu'il commence à juxtaposer les plans de couleurs vives et expressives sur différents supports en bois et en métal.
Ses œuvres se trouvent aujourd'hui dans les plus grandes collections publiques telles que le Musée national d'art moderne, Paris; Dia:Beacon and Dia Art Foundation, New York; Bonnefantenmuseum, Maastricht; MMK, Frankfurt; Berardo Museum, Lisbonne; Broad Contemporary Art Museum, Santa Monica; MOMA, New York; MOCA, Los Angeles; Museo Reina Sofia, Madrid; Hamburger Bahnhof, Berlin; Norton Museum, West Palm Beach; Sammlung Goetz, Munich.
Des expositions monographiques ont eu lieu dès 1975 à Düsseldorf, Winterthur et Bonn 1983 et Hamburg 1992. Imi Knoebel a participé à la documenta 5 (1972), 6 (1977) et 7 (1982). En 1996 le Haus der Kunst (Munich) montre une grande rétrospective. En 2002 la Kestner Gesellschaft de Hanovre célèbre ses 75 ans avec une exposition de Knoebel. En 2008 la Dia Art Foundation Beacon (NY) présente sa série 24 Farben - für Blinky (1977) et en 2009 la Neue Nationalgalerie de Berlin montre les plus importantes œuvres de l'artiste. En 2011, il réalise six vitraux pour la cathédrale de Reims. Des exposition majeures ont suivi au Museum der Bildenden Künste Leipzig (2011), au Kunstmuseum de Wolfsburg (2014), à la Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, au Museum Haus Esters de Krefeld (2015) au Musée Fernand Léger de Biot (2017), au Skulpturenpark Waldfrieden, Wuppertal, Allemagne (2017) et au Museum Haus Konstruktiv, Zurich, Suisse (2018).
Time:
18:00-21:00
Description:
23 NOV. - 11 JAN. 2020
Galerie Hussenot is pleased to announce the solo exhibition of the Romanian artist Sorin Câmpan (born 1940, lives and work in Cluj, Romania).
The exhibition engages and seeks to reevaluate the work of a remarkable painter active in Romania from 1970 up to today.
The works visualize a double removal: during his career his work was produced at a distance from the official artistic establishment of the '70s and '80s, and have not succumbed, like many of their contemporaries, to a mimetic rehearsal of international models after '89. In the majority of cases, the paintings never left the studio, and were undervalued, both culturally and economically, after 1989. We are proposing this new series of paintings as possible landmarks in a yet-unwritten history of the Romanian art scene, but also as models of artistic and social behavior.
Sorin Câmpan's works achieve their appearance of simplicity via a series of detours and through a nuanced reflection on the instruments of painting. Their enigmatic articulation demands a patient reading: simple images like nocturnal landscapes or still lives with fruit are pretexts to localize mystery, to subject it to a kind of order, which does not coincide with its translation or explanation. Beyond the always surprising dosage of transparency and secrecy, the quality of the painting - the austerity of means and the often-exuberant chromatics - make Câmpan a remarkable artist. Less visible but whose art continues to address us, Sorin Câmpan stands apart not by the size or number of works, but by his genuine, calm investigation of and with the medium of painting.
Time:
18:00-22:00
Description:
Time:
19:30-22:30
Description:
L'Insane presents SEVALI, the new Upcycled couture label made in Paris.
Bring out your inner Victoria's secret angel and/or inner Hugh Hefner and come discover the brand at our pyjama themed party.
An exclusive capsule collection of unique pieces will be available for the first time in store.
2000's hits by Flagalova
STRICT DRESSCODE : Pyjama Party
Drinks & Champagne
Time:
20:30-23:00
Description:
Le Bistrot de Paris
Carré Rive Gauche
33 Rue de Lille
75007 Paris
23 Novembre 2019 - 18 Janvier 2020
Galerie Thaddaeus Ropac présente une exposition de nouvelles peintures et d'œuvres sur papier d'Imi Knoebel où l'artiste poursuit son exploration des principes fondamentaux de la peinture et de la sculpture. Revisitant l'héritage de l'art minimal, de la peinture Colour Field et de l'art concret, cette nouvelle série se caractérise par la prédominance de formes élémentaires et par une approche plus expressive de la couleur telle qu'elle apparaît dans les surfaces à la texture dense.
Une dizaine de nouvelles grandes peintures de la série Figura seront exposées aux côtés de nouvelles oeuvres de la série BIG GIRL et d'un ensemble important de dessins de grand format, qui témoignent des expérimentations de Knoebel dans le domaine de la forme et de la couleur. L'exposition met en lumière le processus créatif de l'artiste, dont le travail exprime un équilibre subtil entre improvisation et contrôle. Dr. Max Wechsler, historien suisse l'art et commentateur attentif de l'œuvre d'Imi Knoebel, partage son point de vue sur cette exposition :
Dès l'instant où l'artiste rend son oeuvre publique, l'éternel questionnement quant à sa pratique ne le quitte plus. Il cherche - ce que l'on peut comprendre - à l'éviter, de manière peut-être encore plus catégorique lorsqu'il s'agit d'un artiste que l'on sait fort peu loquace, comme c'est le cas pour Imi Knoebel car que devrait-il donc répondre étant donné que sa pratique se trouve clairement déployée, incarnée dans l'oeuvre, sous les yeux du public. Sa pratique en effet n'est rien d'autre que le travail effectué sur l'oeuvre qu'il offre à la perception et à l'examen du public. En cela il ne se dérobe nullement à la question 'was machen Sie denn' (Que faites-vous donc). Car au cours du travail il s'y confronte à travers une auto-réflexion permanente. Il est aux prises avec la logique inhérente soulevée par des questions propres à la peinture, avec ses contradictions, ses doutes et ses joies et il prend des décisions. Ainsi c'est dans la réalité poétique de l'oeuvre que se manifeste la réponse.
Les œuvres présentées dans la présente exposition proviennent toutes de la phase la plus récente du travail de l'artiste. Dans l'ensemble de 36 dessins (Figure Z.1 - Figure Z.36), il délimite le champ de la peinture qu'il thématise dans les différents groupes d'oeuvres. Sur ces feuilles de papier rectangulaires Knoebel expérimente librement de possibles points de départ pour les peintures qui constitueront les séries BIG GIRL et Figurae. Les BIG GIRLS, plus lourdes et plus compactes, peuvent être interprétées comme une sorte de stade préparatoire aux Figurae, à la composition plus complexe. Dans les dessins il improvise avec la délicatesse des coloris tout en menant une recherche sur la forme, de telle sorte qu'une relation dynamique s'instaure entre le centre et les bords de la peinture qui est ici en gestation, chaque élément étant paraphrasé par un autre qui lui est semblable. Une vibration qui se propage à travers les différentes couches de couleur glaçurée de même qu'entre la surface et le fond.
Issues d'un dessin tracé à main levée suivant une intuition personnelle, les formes ou contours des peintures sur aluminium cherchent néanmoins à exprimer une figure claire. Le fond impose à la peinture des limites bien établies, auxquelles Imi Knoebel, dans sa manière de manier le pinceau, peut plus ou moins souscrire, mais contre lesquelles il peut aussi se rebeller en y intégrant des zones plus denses qui s'en détachent comme par exemple dans Figura Ny, qui pour ainsi dire s'affranchissent du reste de la composition, comme une figure intérieure. Bien sûr c'est aussi d'un point de vue conceptuel que la peinture sur aluminium est constituée de plusieurs couches, ouvrant ainsi des vues extrêmement diverses sur des images aux strates elles-mêmes changeantes. D'autant plus que le principe de superposition des couches combinée à l'expressivité du geste pictural, apporte de l'intensité dans la grande variété des coloris qui ont eux-mêmes leur propre magie.
Dr. Max Wechsler
A propos de l'artiste
Imi Knoebel est né à Dessau en Allemagne en 1940. À partir de 1962-64, il étudie les arts appliqués à la Darmstadt School of Arts and Crafts. Les recherches de Knoebel poursuivent les théories de Johannes Itten et de Lászlo Moholy-Nagy qui furent enseignées au Bauhaus à Weimar et Dessau. Entre 1964 et 1971, il étudie à la Staatliche Kunstakademie à Düsseldorf, dans l'atelier de Joseph Beuys. Après avoir pratiqué le dessin au trait, les projections lumineuses puis les peintures blanches (1972-75), il utilise pour la première fois la couleur en 1974. En 1975, il commence ses séries de peintures rectangulaires en couches superposées de peinture Mennige (peinture industrielle anti-rouille). C'est par la suite qu'il commence à juxtaposer les plans de couleurs vives et expressives sur différents supports en bois et en métal.
Ses œuvres se trouvent aujourd'hui dans les plus grandes collections publiques telles que le Musée national d'art moderne, Paris; Dia:Beacon and Dia Art Foundation, New York; Bonnefantenmuseum, Maastricht; MMK, Frankfurt; Berardo Museum, Lisbonne; Broad Contemporary Art Museum, Santa Monica; MOMA, New York; MOCA, Los Angeles; Museo Reina Sofia, Madrid; Hamburger Bahnhof, Berlin; Norton Museum, West Palm Beach; Sammlung Goetz, Munich.
Des expositions monographiques ont eu lieu dès 1975 à Düsseldorf, Winterthur et Bonn 1983 et Hamburg 1992. Imi Knoebel a participé à la documenta 5 (1972), 6 (1977) et 7 (1982). En 1996 le Haus der Kunst (Munich) montre une grande rétrospective. En 2002 la Kestner Gesellschaft de Hanovre célèbre ses 75 ans avec une exposition de Knoebel. En 2008 la Dia Art Foundation Beacon (NY) présente sa série 24 Farben - für Blinky (1977) et en 2009 la Neue Nationalgalerie de Berlin montre les plus importantes œuvres de l'artiste. En 2011, il réalise six vitraux pour la cathédrale de Reims. Des exposition majeures ont suivi au Museum der Bildenden Künste Leipzig (2011), au Kunstmuseum de Wolfsburg (2014), à la Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, au Museum Haus Esters de Krefeld (2015) au Musée Fernand Léger de Biot (2017), au Skulpturenpark Waldfrieden, Wuppertal, Allemagne (2017) et au Museum Haus Konstruktiv, Zurich, Suisse (2018).
Description:
Philippe Wahl, Président directeur général du Groupe La Poste a inauguré à Paris, boulevard de Vaugirard, un Musée de La Poste rénové de fond en comble, métamorphosé. À l'occasion de cette renaissance, des journées portes ouvertes sont organisées ce week-end des 23 & 24 novembre.
Les métiers de La Poste d'aujourd'hui et de demain vous intéressent ? Venez découvrir leur histoire !
Le Musée conserve des collections d'une ampleur insoupçonnée :
800 000 pièces philatéliques
plus de 225 000 images
37 000 pièces relatives à l'histoire de la Poste
plus de 6 000 œuvres d'art moderne et contemporain
une frise retraçant les 5 300 timbres émis depuis 1849
près de 200 mètres linéaires d'archives...
Le Musée de La Poste se réinvente et rouvrira le 23 novembre prochain à Paris.
Au pied de la Tour Montparnasse, et après plusieurs années de rénovation, le Musée de La Poste révélera ses collections début novembre dans ses nouveaux espaces.
Réaffirmant ainsi son ambition culturelle et patrimoniale dans le paysage muséal français, le Musée de La Poste a fait l'objet - depuis avril 2015 - d'une réhabilitation complète de son bâtiment par l'atelier Jung Architectures. Le Musée de La Poste dévoilera un nouveau concept muséographique et architectural avec une scénographie totalement repensée et une nouvelle distribution de ses espaces : galerie d'accueil et son « Totem » traversant les 3 plateaux d'expositions permanentes, espaces dédiés aux ateliers, galerie d'exposition temporaire, boutique, auditorium et espaces privatisables.
À la fois musée d'entreprise, musée de société, musée de quartier, le Musée de La Poste labellisé "Musée de France" est chargé de présenter, conserver et diffuser le patrimoine postal.
Accessible à tous dans des conditions optimales de visite, le Musée de La Poste rénové mettra en lumière ses collections pour un voyage au coeur de l'histoire de la Poste, de l'art postal et de la philatélie d'hier à demain.
Cette nouvelle destination culturelle au cœur de la capitale racontera l'histoire d'une entreprise intimement liée à celle de la France.
Description:
Hippodrome - 1, Avenue de la Pelouse
du Vendredi 22 Novembre 2019 au Lundi 25 Novembre 2019
Vendredi 22 Novembre 2019 de 11:00 à 22:00
Samedi 23 Novembre 2019 de 10:00 à 21:00
Dimanche 24 Novembre 2019 de 10:00 à 20:00
Lundi 25 Novembre 2019 de 10:00 à 18:00
La 19ème édition du Salon Gastronomique Mer et Vigne ouvre ses portes à l'hippodrome de Maisons-Laffitte du 22 au 25 novembre!
140 exposants sont présents durant ces quatre jours et ont hâte de vous faire découvrir leurs merveilles culinaires :)
Les Nouveautés à ne pas rater! : Offrez-vous une pasteis de nata au stand des Portugais Queijaria Nacional en sirotant un bon Porto, puis tournez-vous vers l'Italie en découvrant le Pecorino affiné dans une grotte du Piémont et bien évidemment le Parmesan de là-bas avec Artegustum. Puis sur l'Ile d'Oléron vous dégusterez de véritables rillettes et pâtés artisanaux avec Villa Marthe. Pierre Matayron nous fera l'honneur d'être présent sur ce salon avec ses jambons de porcs noirs Gascons qui vivent en plein air. Le Maroc s'invite cette année avec deux gammes prestigieuses d'huile d'olive de Tihli & Co. Les Pastilles de Savoie vous feront découvrir ses tisanes à sucer à emporter partout ;) Pour l'apéritif rendez-vous avec Aperoom Créateur d'apéritifs à base de Crémant d'Alsace et pourquoi pas un Puligny Montrachet de chez La Maison Jomain? Vers Bordeaux nous aurons Le château La Grande Clotte avec son Lussac Saint Emilion. Dans la Vallée du Rhône Le Domaine de La Palud vous fera le plaisir d'être présent avec ses Châteauneuf-du-Pape blancs et rouges. Au Sud-Ouest, Le Château la Renaudie vous présentera son Pécharmant et le Château Maye de Bouye ses Bergerac et Montbazillac.