Yennayer est le premier jour de l'an du calendrier agraire utilisé depuis l'antiquité par les Berbères à travers l'Afrique du nord. Il correspond au premier jour de janvier du Calendrier julien, qui aujourd'hui est décalé de 13 jours par rapport au Calendrier grégorien, soit le 14 janvier de chaque année. Suite probablement à une erreur des premières associations culturelles qui ont prôné le retour à cette fête traditionnelle, menacée de disparition, l'opinion que la date traditionnelle est le 12 janvier est très répandue -surtout en Algérie.
Vers 1968, l'Académie berbère a proposé de créer une "ère berbère" tout comme il y a une ère chrétienne et une islamique, et a fixé comme an zéro du calendrier berbère les premières manifestations connues de la civilisation berbère, au temps de l'Égypte ancienne, lorsque le roi numide Chechonq Ier (Cacnaq) fondateur de la 22e dynastie égyptienne prit le trône et devint pharaon en Égypte. Avant d'envahir la Palestine, il réunifia l'Égypte en l'an 950 avant J.-C. À Jérusalem, il s'empara de l'or et des trésors du temple de Salomon (un grand évènement cité dans la Bible).
Le nom de yennayer provient du nom latin du mois, ianuarius ou januarius, lui même nommé en l'honneur de Janus (mythologie), dieu romain des portes et des ouvertures.
Time:
16:00-19:00
Description:
Avec
Hervé Deschamps, septième chef de caves de la Maison Perrier-Jouët
Pierre Gagnaire, chef triplement étoilé
Marc Jeanson, botaniste
En librairie le 11 janvier
Lancement en avant-première du livre le mardi 12 janvier
à la Librairie Yvon Lambert
Rencontre avec l'auteure et signature
De 16h00 à 19h00
« Goûter est un acte qui permet d'assimiler le monde extérieur dans notre corps. Parmi les différents actes du «toucher», goûter est le plus intime, car c'est le monde extérieur qui entre dans notre être. »
Extrait de Sentir
Ryoko Sekiguchi
Sentir est un voyage qui touche à tous nos sens, et la première aventure menée par Ryoko Sekiguchi en territoire liquide : le vin de Champagne.
Tout commence par sa rencontre avec Hervé Deschamps, septième chef de caves de la Maison Perrier-Jouët depuis 1811, qui lui dévoile ses passions, ses exigences de perceptions et ses rêves, qui lui permettent année après année d'assembler des vins comme le chef accorde les ingrédients d'un plat.
Le regard vif et sensible du chef Pierre Gagnaire se joint à la conversation, faisant naître des goûts et des sensations à partir du vivant et du présent. L'ouvrage est rythmé par la précieuse complicité du botaniste, Marc Jeanson, qui associe nos sensations à des plantes et nous les racontent.
Sentir est un voyage, une traversée de notre paysage mental gustatif, du jardin à l'assiette en passant par la vigne.
Ryoko Sekiguchi, auteure rare, poétesse et traductrice japonaise, relie la littérature et les goûts, les perceptions, les mémoires et les cinq sens. Elle écrit en français et en japonais et est traduite en plus de 10 langues. Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres, elle a été résidente de la Villa Kujoyama à Kyoto et de la Villa Médicis à Rome. Ryoko Sekiguchi intervient régulièrement à l'occasion d'évènements portant sur la cuisine, l'art et la littérature.
Time:
17:00-19:00
Description:
Après leur rencontre en 1997 aux ateliers de Belleville, Dom Garcia et Karim Bonnet se retrouvent aujourd'hui pour une exposition commune de leurs photographies noir et blanc et couleur, sur toile et sur papier à la Galerie 59.
Les deux photographes vous proposent une déambulation à travers 20 ans de regards immortalisés à Paris et ailleurs, exposés dans la mythique galerie d'art du 59 RIVOLI.
L'exposition FLASH FORWARD vous attend du mardi 12 au dimanche 24 janvier de 13h à 19h (fermeture le lundi 18 janvier).
@karimbonnet @domgarcia2015
Du mardi 12 janvier au dimanche 24 janvier
Tous les jours de 13h à 19h, sauf le lundi
Vernissage mardi 12 janvier à partir de 17h
Time:
15:30-19:30
Description:
La Galerie Ligne 13 présente
« L'explosition finale »
Après 15 ans de soutien aux artistes urbains, la Galerie Ligne 13 quitte la rue La Condamine à Paris 17ème pour s'envoler vers de nouveaux horizons...
Pour clore cette aventure artistique parisienne la galerie accueille du 13 janvier au 13 février les artistes et les amoureux d'Art urbain pour une dernière exposition et vente d'œuvres toujours disponibles.
L'EXPLOSITION FINALE
Du 13/01/21 au 13/02/21
Du mercredi au samedi de 15h30 à 19h30
Time:
14:00-19:00
Description:
Exposition du jeudi 14 au dimanche 31 janvier 2021 du mardi au samedi de 14 à 19 heures et le dimanche de 14 à 17 heures
La déconstruction est un concept développé par le philosophe français Jacques Derrida (1930-2004). Cette forme de critique soutient qu'il n'existe pas de signification unique et intrinsèque d'un texte ou d'une image, mais qu'il s'agit en réalité d'une pluralité de significations, qui s'avèrent souvent être contradictoires. Sa forme d'analyse consiste à montrer comment un des éléments d'une construction, qui se veut, isolé et valorisé, dépend intimement de l'élément rejeté ou dévalorisé.
Vermibus est connu pour sa critique de l'utilisation du corps humain par l'industrie de la publicité et de la mode. Dans sa nouvelle exposition intitulée « DECONSTRUCTIONS », il prend acte du fait que ses critiques, ainsi que ses modifications, dépendent et sont intimement liées au concept et à l'imaginaire qu'il dénonce.
Derrida s'interroge également sur l'endroit où se situe le sens : dans l'auteur, dans le texte ou chez le lecteur ? Il conclut que toute tentative de communiquer une idée serait en fait un échec, car les mots utilisés à cette fin sont des symboles qui contiennent des perceptions différentes, dépendant de la charge conceptuelle précédente que le mot contient pour le récepteur.
Avec cette exposition, les réinterprétations de Vermibus sont censées être comprises librement par le spectateur, sans en avoir la charge conceptuelle précédente de sa relation avec la mode, la publicité, la beauté et l'interprétation de la pièce. En réduisant les conditionnements, l'artiste a décidé, au lieu de nommer ses œuvres ou de les laisser « sans titre », que les titres n'existeraient aucunement en tant que partie ou description.
Cela ne signifie pas que l'utilisation du langage est inutile pour Derrida et il ne l'est pas non plus pour Vermibus. Au contraire, ce qui est important à propos du langage et de l'image, c'est qu'en raison de sa structure, de sa qualité et de cette déconstruction supplémentaire, nous pouvons produire de nouveaux contextes d'interprétation différents.
Time:
15:00-19:00
Description:
Clément BAGOT, Clément MANCINI, Rob MILES, Karine ROUGIER, Louis GARY, Léo DORFNER, Clara RIVAULT
14.01 - 30.01.2021
Commissariat d'exposition - Marianne Dollo
Vernissage / Opening : 14.01, 15h - 19h
En présence des artistes / In the presence of the artists
« I DO NOT CARE est une exposition collective que j'ai imaginée en contournant les usages discursifs des commissariats, en m'éloignant de leurs classiques logiques de thème ou fil conducteur. Ici, l'objet scénographique est de tisser des liens invisibles entre les artistes sélectionnés. En offrant à qui regarde un affût, depuis ce bel espace, pour considérer avant tout le rapport sensible voire intime aux œuvres choisies dans cet unique dessein ».
Marianne Dollo
Time:
19:00-22:00
Description:
Jeudi 14 janvier 2021, les prix de la 9ème édition du Trophée béton Écoles seront remis à l'occasion d'une soirée spéciale, diffusée en direct de la Maison de l'Architecture Île-de-France.
Rendez-vous sur Facebook à 19h précises pour suivre avec nous cette cérémonie !
Le jury de cette édition a eu lieu sous la présidence de Jury sous la présidence d'Amina Sellali, architecte, directrice de l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Paris-Est.
Avec la participation de :
Stéphanie Celle, adjointe au Directeur de l'enseignement supérieur et de la recherche en architecture, Ministère de la Culture - Dominique Boré, présidente, Maison de l'architecture Île-de-France - Gilles Davoine, journaliste, AMC - Sandrine Mansoutre, EFB - Ricardo Abuauad, architecte et directeur de l'université Andrés Bello à Santiago, Chili - Suzel Brout, architecte - Dominique Carril, architecte - Paul Chemetov, architecte - Jacques Dubois, architecte - Franck Hammoutène, architecte - Hilda Sebbag, architecte - Frédéric Schoeller, architecte - Adrien Paporello, ingénieur-architecte, représentant de l'association AAIIA - Olivier Waintraub, Directeur Général SEERI & Directeur Général Mandataire Patrimoine & Valorisation - Alexandra Kienlen et Tom Hirtzlin, architectes, lauréats de la 8ème édition du Trophée béton Écoles - Coordination Générale : Claire Barbou, Bétocib
Le Trophée béton Écoles organisé par les associations Bétocib, CIMbéton et la Fondation EFB, placé sous le patronage du ministère de la Culture, a pour but de révéler les jeunes diplômés des écoles d'architecture, de les parrainer et de leur offrir une visibilité à l'orée de leur vie professionnelle.
Time:
12:00-18:00
Description:
jusqu'au 13 février 2021
du jeudi au samedi de 14h à 18h
Après une résidence à la galerie pour "La grande verrière" en février 2017, puis sa participation à l'exposition collective "Fantômes" en mai 2018, progress gallery a le plaisir de présenter "Bellevue", la première exposition personnelle à la galerie de Gilles Elie.
Il y sera question de paysages péri-urbains , de sites à l'intersection de plusieurs lieux identifiés: zone commerciale, fête foraine, garage automobile, zone pavillonnaire, décor de film, camping, parking, station-service,..... et de "choses qui ont leur place dans ce type de sites".
Signature du livre « Paris au coeur de la création contemporaine »
de Julien Baldacchino (Editions Henry Dougier)
le samedi 16 janvier 2021
Dans le cadre de l'exposition de Jean-Baptiste Boyer "Horizon"
17.10 - 12.12.2020
Prolongation jusqu'au 23 janvier 2021
Vernissage samedi 17 octobre de 14h à 20h
Time:
15:00-18:00
Description:
Vernissage le samedi 16 janvier de 15h à 18h
Exposition du 18 janvier au 13 février 2021
du lundi au samedi de 14h à 17h30
D'abord formé à la bijouterie aux ateliers de Font Blanche à Nîmes, puis au CERFAV près de Nancy où il devient Compagnon verrier européen, Xavier Le Normand collabore depuis plusieurs années avec la Clara Scremini Gallery.
Tour à tour une pièce minérale, un fragment de paysage, un galet glissé dans une poche, Xavier Le Normand nous emmène à travers ses pièces dans des mondes oniriques, des paysages fantasmés.
Chaque pièce est à voir davantage comme un indice semé, un repère qui nous guiderait au travers d'une rêverie.
Car c'est avant tout cela la matière première de son travail la recherche de sensations, d'appréhensions mais pas n'importe lesquelles celles qui sont fugaces, celles qu'on a oubliées, celles qui peuvent bouleverser aussi.
Son écriture est sensible, la ligne peut paraître vulnérable mais la matière est forte.
Xavier Le Normand joue des paradoxes dans l'élaboration de chaque pièce : de l'instantanéité de la matière à chaud face à la langueur du travail à froid des textures.
Il use de cette propriété incroyable du verre, de cette technicité infaillible, cette matière qui semble inflexible, impassible ; pour créer une ambivalence, afin que chaque pièce provoque un ressenti, que chaque pièce vienne toucher notre regard.
Julie Dalouche, 2021
Time:
15:00-18:00
Description:
30 ans déjà ! #1
Xippas fête ses trente ans
16 janvier - 13 mars 2021
A l'occasion du 30e anniversaire de la création de la galerie, Xippas a le plaisir de présenter un cycle d'expositions qui met à l'honneur ses artistes et ses trente ans d'histoire. Dans ce premier volet, des œuvres de Céleste Boursier-Mougenot, Peter Halley, Valérie Jouve, Vera Lutter, Marco Maggi, Vik Muniz, Matthew Porter, Philippe Ramette, Bettina Rheims, Pablo Reinoso, Lucas Samaras, James Siena et Takis seront exposées.
Depuis trente ans, la galerie a œuvré au soutien des artistes et à la découverte de nouveaux talents. Elle a également édité de nombreux catalogues et accompagné ses artistes auprès d'institutions prestigieuses. Au total, ce sont plus de 500 expositions qui furent présentées dans ses espaces à Paris, Bruxelles, Athènes, Genève, Montevideo et Punta del Este.
Le 19 octobre 1990, Renos Xippas inaugure sa galerie dans le Marais à Paris, avec une exposition majeure dédiée à Takis, présentée sur les trois niveaux de la galerie. Pour cette première exposition, Takis imagine un environnement de sculptures magnétiques inspiré par l'architecture des différents espaces de la galerie. Au premier étage, une série de sculptures musicales, variation des fameux Musicaux, sont installées sur les murs directement et génèrent des sons mystérieux et poétiques. Dans l'espace du rez-de-chaussée, Takis installe un groupe de Signaux Lumineux dont les mâts sont constitués de vis d'Archimède. Enfin, dans l'espace carré au sous-sol, Takis crée un Jeu d'Echecs magnétique en hommage à Marcel Duchamp. Il transforme le sol de la salle en un échiquier géant sur lequel des tiges métalliques et des aiguilles flottent, tendues grâce à des électroaimants. Par la suite, de nombreuses expositions seront organisées avec Takis qui deviendra un des artistes historiques et emblématiques de la galerie.
A cette époque, peu de galeries sont présentes dans le Marais, devenu aujourd'hui l'épicentre de l'art contemporain à Paris. La galerie s'installe sur trois niveaux du bâtiment qu'elle occupe toujours au 108 rue Vieille du Temple. A l'étage, l'escalier en bois et les fenêtres lumineuses contribueront à forger l'identité de son espace.
Dès son ouverture, la galerie devient rapidement un lieu d'exposition et une plateforme de promotion pour de nombreux artistes internationaux dont Chuck Close, Lucas Samaras, Peter Halley, Vik Muniz, Robert Irwin, Vera Lutter, Takis, etc. Elle joue aussi un rôle important dans la promotion d'artistes français tels que Philippe Ramette, Céleste Boursier-Mougenot, Valérie Jouve, Bertille Bak, Yves Bélorgey, Yvan Salomone, Dominique Blais, etc.
A partir des années 2000, Xippas élargit ses activités à l'échelle internationale. Ses galeries sont aujourd'hui présentes dans quatre pays : France (Paris), Suisse (Genève), Belgique (Bruxelles et Knokke) et Uruguay (Montevideo et Punta del Este). L'une des dernières en date, la nouvelle galerie Baronian Xippas inaugurée en 2019 à Bruxelles est le fruit d'une longue coopération entre Albert Baronian et Renos Xippas. En Belgique encore, une nouvelle entité Baronian Xippas vient d'ouvrir ses portes à la mi-décembre 2020 à Knokke. A Punta del Este, fameuse station balnéaire sud-américaine, le tout nouvel espace Xippas s'est ouvert en janvier 2020 au milieu du paysage uruguayen, sur un terrain de 6 hectares.
Pour célébrer le 30e anniversaire de la galerie et revisiter son histoire, Xippas Paris réunira, au fil de trois expositions successives, les œuvres des artistes qui l'ont accompagné. Cet anniversaire sera également l'occasion de réunir critiques, journalistes, collectionneurs et amateurs d'art autour d'une passion commune.
Avec des œuvres de Céleste Boursier-Mougenot, Peter Halley, Valérie Jouve, Vera Lutter, Marco Maggi, Vik Muniz, Matthew Porter, Philippe Ramette, Bettina Rheims, Pablo Reinoso, Lucas Samaras, James Siena et Takis.
Rut Blees Luxemburg, Nicola Lo Calzo, Chantal Regnault, Sue Williamson
Vernissage Samedi 16 janvier 16h-19h
Exposition 13 janvier - 27 février 2021
UN(HIDDEN) pourrait être, derrière certains fastes exhibés, quelques exemples de souffrances dissimulées, des souffrances dévoilées à travers les travaux de ces quatre artistes photographes, souffrances bien présentes de populations marginales ou pas.
Avec le phénomène du « Voguing » Chantal Regnault découvre à New York entre 1989 et 1992, ville où elle est déjà établie, l'essor du « bal ». Elle est attirée et curieuse de ce monde parallèle qui s'est développé à l'ombre du sida.
Elle découvre une marginalité dure derrière le glamour apparent qui en vérité est le paravent d'une réalité d'exclusion. La société capitaliste américaine est en plein boom à la fin des années 80 et laisse au bord du chemin une population d'hommes et de femmes blessés par la vie, jeunes gens expulsés de leurs familles sans formation ni métier, victimes de racisme et de ségrégation. Ces populations exclues trouvent un exutoire dans les paillettes de personnages rêvés auxquels ils s'identifient à travers des mises en scène outrancières sur fond de musique disco.
Aujourd'hui c'est à Paris que le phénomène explose.
Le projet photographique Binidittu de Nicola Lo Calzo documente la vie de Saint Benoit le Maure, saint catholique du XVIe siècle et s'inscrit dans le cadre d'une recherche plus large sur les mémoires de l'esclavage colonial des diasporas africaines dans le monde atlantique, le projet CHAM.
La série BINIDITTU explore l'histoire de Saint Benoit, le saint invisible, car vraisemblablement fils d'esclaves africains à qui les siciliens vouaient un véritable culte de son vivant (une vie discrète faisant le bien) et dont, avec le temps, la figure devint rapidement subversive. De son vivant il avait acquis une incroyable renommée qui sera suivie de plusieurs siècles d'oubli.
Aujourd'hui Binidittu s'offre comme un symbole réactualisé de citoyenneté universelle et noue des relations entre migrants et population autochtone malgré un fossé bien présent.
La Sicile politique se sert du mythe de St Benoit pour développer des initiatives locales d'intégration et de paix sociale afin d'éviter l'exclusion économique et sociale.
La série REGLA couvre un travail mené à Cuba en 2015 et 2016 loin des clichés pour touristes et slogans racoleurs qui font suite à ceux de la Révolution.
Regla dévoile la vie des cubains, descendant d'esclaves marrons, membres de sociétés secrètes, adeptes de pratiques vaudoues autant que de hip-hop ou de rap, héritiers de mystères ancestraux perpétués par des cérémonies secrètes, autorisées ou non.
Rut Blees Luxemburg continue son travail photographique sur l'urbanité et le traitement de la lumière. Avec ELDORADO ATLAS, elle se focalise sur son environnement très proche à Londres et explore la ville en pleine mutation. La place des intérêts grandissants dans la société britannique capitaliste guide une financiarisation effrénée.
La City et son système, ouvre la voie à tous les bouleversements immobiliers ambitieux qui n'hésitent pas à démolir les bâtiments historiques en vue de juteux profits faisant fi des passéistes qui s'insurgent devant cette absence de sauvegarde du patrimoine immobilier de la ville. Sous couvert de développement, quelle sera l'identité de cette ville du futur, quel projet de société cette transformation induit-elle? Où en est aujourd'hui cette recherche de » l'Or « .
The Last Supper est un reportage photographique de Sue Williamson en N & B de 1981 ponctué d'une dernière photo actuelle en couleur (2008).
Il s'agit d'un témoignage décrivant une famille réunie pour une dernière soirée entre amis avant la démolition de leur maison. Leurs amis sont invités à laisser écrits, dessins sur les murs, traces de vie, trente années de vie familiale.
En effet le District 6 où ils vivaient avait été déclaré réservé pour les blancs uniquement et toute population hétérogène en a été expulsée au début des années 80, sur décision et ordre de la politique de l'apartheid mise en place par le gouvernement.
Sue Williamson a consacré toute sa vie d'activiste et d'artiste à la lutte contre l'apartheid et fait partie des pionnières sud-africaines qui ont documenté le changement social en Afrique du Sud.
Elle participe actuellement à l'exposition Global(e) Resistance au Centre Pompidou et est internationalement reconnue pour sa vie de lutte active.
Description:
7 janvier et 17 janvier
Time:
14:00-18:00
Description:
Pour clôturer l'exposition de Nikita Kadan, la galerie célèbre l'anniversaire de l'Art que Robert Filliou avait instauré le 17 janvier 1963 : « Voici 1 million d'années, ART était VIE, dans 1 million et 10 ans il le sera encore ».
Il le sera plus que jamais ce 17 janvier 2021 où la galerie vous accueillera de 14h à 18h pour fêter la nouvelle année !